Le FFS dénonce la gestion de l’APC de Tizi-Ouzou

tizi594126588.jpg« Encore une fois, le président de l’Assemblée populaire communale de Tizi-Ouzou et son exécutif viennent de prouver leur incapacité à se transcender pour opérer un saut qualitatif dans la gestion citoyenne et la bonne gouvernance et assurer le bien-être de la population, préférant et continuant à se vautrer dans la fange et la souillure », a dénoncé la section du FFS de Tizi-Ouzou dans une déclaration rendue publique hier. « Après plus de vingt mois d’une gestion chaotique ponctuée de scandales de toutes natures, l’édile, loin de rechercher la stabilité nécessaire à toute assemblée en charge des préoccupations des citoyens, persiste dans une fuite en avant qui dénote, si besoin, une immaturité politique et une inconscience grave ».

« Le FFS relève plusieurs dysfonctionnements et autres lacunes qui influent négativement sur le quotidien de la population de la commune de Tizi-Ouzou. L’exemple le plus frappant de cette non-gestion est les chaînes, les bousculades, les empoignades et autres malversations qui persistent dans les services de l’état civil barricadés et transformés en bunker (…) La dégradation de la cité et des villages s’ajoutant aux maux quotidiens comme le gel de tous les POS, l’aménagement sélectif des quartiers de la ville, le non-respect des délais de réalisations des travaux d’aménagement par divers entreprises engagées…l’amoncellement d’immondices de toutes natures à tous les coins de rues, à des températures qui dépassent les 40° et l’exclusion des villages et des zones rurales des programmes de développement ».

« Désabusés, les citoyens sont amenés à occuper la rue pour tenter de se faire entendre comme c’est le cas des habitants des Bâtiments bleus, des villages de Betrouna, de la cité des Genêts ou encore celle des 2000″. Le FFS dénonce le leurre éhonté qui consiste à doter la commune d’une majorité de façades ou l’intérêt personnel est la valeur dominante et ou la prébende le dispute à l’aventurisme ».

Commentaires

  1. smail dit :

    Avant tout , nous saluons l’initiative de la section ffs de Tizi Ouzou qui a osé dénoncer la mauvaise gestion de la l’APC.
    Faire de la politique c’est dénoncer les tares observées parci et par là mais c’est aussi faire des propositions concrétes et s’imposer en tant que force incontournable.
    Aussi,en tant que militant du FFS d’une autre région,je propose à la section de Tizi Ouzou,d’installer en leur sein une commission de reflexion pour tenter de faire des propositions concretes relatives à un mode de gestion de la cité à l’effet d’attirer l’engouement des populations de la commune à venir adhérer en masse au FFS.
    Salutations Fraternelles et militantes.

  2. aka dit :

    azul, la discalification des partis politique en algérie sa se confirme de plus en plus. FLN, RND, MSP, FFS, RCD….vous travaillez tous au prfil du système. alors arrettons vous mascarade et vos piéces theatrales. le peuple en a marre de vous. vous êtes tous des……..!!!!!!

  3. algerien opprimé dit :

    a AKA
    Qui es-tu pour prononcer la disqualification des partis politiques?
    A t’écouter,il va falloir abandonner toute forme de lutte voire meme laisser le pays à l’abandon total!
    Anarchiste,tu dois etre dans ce cas!Pas besoin d’institutions élues,ni d’administration ou peut etre installer une monarchie dans ce pays!N’est-ce-pas ce que tu désires?
    Expliques-toi!Que veux-tu offrir à ton pays!

  4. farid dit :

    effectivement tu as raison camarade smail ce que tu dis mérite une grande réflexion sur le comment, d’une gestion ffs toute en étant dans l’opposition au système.
    il va falloir imaginé un mode de gestion propre au ffs.
    l’un des points faibles de notre parti reste la gestion des collectivités nos élus change de comportement une fois à l’apc ils me paraissent très mou vis a vis de l’administration meme parfois au service de l’administration que de la population.

  5. Guevara dit :

    Voila, maintenant ce que je pense est confirmer(1er secretaire d section ELU par remplissage), si le f.f.s a tizi fonctionne convenablement, normalement la gestion de la commune de tizi-ouzou sera gerer par la section et non pas par le 1er secretaire national, alors arreter svp votre blof votre mascarade, vous avez tuer a jamais le f.f.s, mais ce que je pense moi je le penserais tjrs si je suis au f.f.s c’est parceque c’étais le seul parti qui etais proche de mes pensées.. donc je reprend ma liberté qui le f.f.s qui le f.l.n ou le r.n.d c’est la même chose..aller chanter ailleurs tabbou! ya pas que la kabylie en algérie ain-defla est algérienne aussi maghnia souk ahras etc etc il y’a 48 wilayas et pas tizi et bougie seulement, va voir ailleurs..

  6. bouiabdallah dit :

    pourquoi a tizi ouzou les citoyens continue a construire sans permis de construire malgré les directives du ministere de l’habitat comme le cas de la cité bekkar et lotissement bekkar c’est une catastrophe venez faire un controle surtout les location sans contrat un depassement flagrant de la part de cette apc aucun controle il doivent passer maison par maison surtout du coté du stade nous declarons tout acte barbarie pour ces agitations et nous declinons toutes nos responsabilites quant a ces constructions au cote lotissement bekkar copie wali de tizi ouzou et chef de d’aira et chef de surete,

  7. iris dit :

    docteur iris de new york
    L’affaire du véhicule disparu en 2007 rebondit à l’APC de Tizi-Ouzou Le scandale de la Yaris prend de nouvelles proportions

    L’affaire de la Toyota Yaris, la fameuse voiture appartenant à l’APC de Tizi-Ouzou qui a disparu subitement en 2007, refait surface.
    01 Décembre 2008, La Dépêche de Kabylie
    Elle a été examinée la semaine écoulée au niveau de la cour de la ville des Genêts après qu’elle eut été jugée au tribunal local le 15 juin dernier.
    Et encore une fois, les deux principaux accusés, à savoir l’ex-secrétaire général de la même APC et son chauffeur ont été condamnés à six mois de prison avec sursis, confirment ainsi le verdict du tribunal, mais avec toutefois une nouveauté de taille.
    En effet, les deux personnes ne sont plus tenues de rembourser le prix de la voiture, évaluée à 70 millions de centimes, comme cela a été décidé par le tribunal.
    Et pour cause, l’APC concernée s’en est désisté ! Pour rappel, le tribunal a condamné les deux accusés en plus donc de six mois de prison avec sursis, à payer 35 million de centime chacun. Ainsi, et à la surprise générale, l’APC a décidé de passer l’éponge en ne réclamant plus le remboursement.
    Une décision qui fait des vagues à Tizi, et au sein même de la composante de l’assemblée communale mettant le maire dans une position très inconfortable, c’est le moins qu’on puisse dire. “C’est inconcevable !” dira en substance un des élus de la même APC estimant qu’avec cette décision “on a poussé le bouchon trop loin”.
    Plus d’un ne comprend pas en fait “ le jeu” auquel s’est prêtée l’APC en décidant d’abord, il y a quelques mois, de réhabiliter le secrétaire général dans ses fonctions après qu’il “ eut été licencié, alors qu’il traînait cette affaire pendante en justice qui l’avait dans le temps déjà condamné”, affirment certaines sources.
    “La meilleure, c’est qu’on lui a confié le poste de directeur de la réglementation alors qu’il était en justice”, ironise le même élu. Il faut dire que cela prête à des interrogations. Notons que les faits de cette affaire dite “ affaire de la Yaris” remontent à l’année dernière. Celle-ci a disparu d’une façon inexplicable.
    Cela même si la version retenue est celle que le véhicule appartenant à l’APC s’est volatilisé alors qu’il se trouvait chez le SG chez lequel il a été laissé par le chauffeur qui venait de le déposer, comme à l’accoutumée chez lui.

  8. irisjsk dit :

    commune de Tizi-Ouzou a été poussé vers la porte de sortie ou tout simplement comment son siège lui a été arraché sous le fessier. C’est pourtant très simple, dès lors que piétiner les lois de la République algérienne est aussi ordinaire que de prendre une tasse de café au café du coin.

    En effet, M. Mohand Belhadj qui s’était vu refuser sa demande de congé annuel par la tutelle (l’administration de wilaya) a jugé intelligent de se faire délivrer un certificat médical pour pouvoir se permettre quelques jours de repos. Relevons au passage que M. Belhadj n’a pas pris de congé depuis trois ans. Ayant envoyé à qui de droit le document qui lui a été dûment remis par l’autorité médicale compétente , il a cru contourner l’obstacle qui a été dressé devant lui. Hélas, les choses sont plus compliquées.

    Légalement, c’est toujours M. Belhadj qui est le maire de la commune de Tizi-Ouzou, puisque son congé de maladie n’a pas encore expiré. Autrement dit, l’installation de M. Naguim Kolli à la tête de la commune n’est pas conforme aux textes réglementaires en vigueur. Par ailleurs, en cas de démission du maire, le choix de son successeur doit dépendre de celui des autres élus de la commune. En général, c’est le groupe majoritaire qui place l’un des siens. La compétence des services de la wilaya consiste à approuver par arrêté le choix des élus quant au détenteur du premier fauteuil communal.

    Cependant, au-delà du constat du fait que le code communal a été piétiné, il y a lieu de s’interroger sur les véritables raisons de la mise à l’écart de M. Mohand Belhadj qui est pourtant un ancien combattant. A-t-il contrarié la mafia ? Dans ce cas, en quoi ? Est-ce à comprendre alors que ce que la mafia n’a pu obtenir de la main de M. Belhadj, elle compte l’obtenir de celle de M. Kolli ? Toutes les conjectures sont légitimes, du moment que l’on sait avec exactitude au moins deux choses :
    la première, c’est que la commune de Tizi-Ouzou s’assure des rentrées de grandes masses d’argent annuellement.
    La seconde est que tous les maires qui ont essayé d’initier des projets réellement utiles pour les citoyens de Tizi-Ouzou, surtout s’ils ont essayé d’assurer une gestion transparente, se sont retrouvés sur le banc de touche.

    M. Chérif Aït-Ahmed, ex-président de la même APC (APC Tizi-Ouqou), a appris à ses dépens de quoi était capable la mafia. Le malheureux a même failli passer à trépas pour avoir osé tenter de partager équitablement entre tous les citoyens de Tizi-Ouzou l’argent de leur commune. Dès les premiers jours de son installation, la mafia a tenté, par le biais d’un de ses messagers, de lui faire parvenir jusqu’à son domicile un sachet contenant pas moins de 2.000.000, 00 DA. « Ceci est à considérer comme un pourboire ou une petite avance », lui dit le messager. M. Aït-Ahmed, horrifié, chargea son interlocuteur d’informer ses chefs qu’il ne mangeait pas de ce pain là. Devant son refus catégorique de se laisser corrompre, la mafia passa à la vitesse supérieure. Elle mena contre lui une action psychologique pour le déstabiliser. Pour cela, elle loua les services de quelques journalistes et du wali de l’époque, un certain Hocine Ouadah. Celui-ci eut la mission de l’accuser « publiquement » de dépenser l’argent de la commune d’une façon irrationnelle. Les journalistes, quant à eux devaient se charger de rapporter dans leurs feuilles les propos du wali et de colporter aussi par-ci et par-là que Chérif Aït-Ahmed ne pouvait pas bien servir les citoyens de Tizi-Ouzou puisqu’il était originaire d’Ain El Hammam et non de Tizi-Ouzou. Comme cette campagne de dénigrement a été un coup d’épée dans l’eau, la mafia n’eut d’autre choix que de le menacer de mort. Cet exemple de M. Chérif Aït-Ahmed est pris pour rappeler que l’existence de la mafia à Tizi-Ouzou n’est pas une simple vue de l’esprit, mais qu’elle existe bel et bien. D’ailleurs, même l’administration de wilaya est sous sa botte depuis longtemps.

    C’est pourquoi nous réitérons la question : jusqu’à quand M. Naguim Kolli sera-t-il jugé « assez bon ? » et quelles seraient ses concessions ?

    Créer un blog gratuitement sur Unblog.fr

    Oops ! Une erreur est survenue.

    L'accès au blog est momentanément impossible,
    veuillez nous excuser et ré-essayer dans quelques instants.

    Retour ou Écrivez-nous si le problème persiste.