Deux ans de prison ferme requis contre le voleur du portable de Chérif Abbas

cherifabbescopy.jpgLe représentant du ministère public auprès du tribunal d’El-Hadjar (Annaba) a requis 2 ans de prison ferme à l’encontre de l’auteur du vol du téléphone portable du ministre des Moudjahidine, Mohamed Cherif Abbès, commis lors de sa visite de travail, à la midécembre 2008, dans la wilaya de Annaba. Le mis en cause, M. K., 40 ans, serveur au salon d’honneur de l’aéroport Rabah-Bitat de Annaba, qui a été le lieu de transit du ministre, a fait l’objet d’un interrogatoire poussé de la part des éléments de la brigade de recherches et d’investigation du groupement de la Gendarmerie nationale de Annaba.

Lors du procès, le mis en cause, questionné sur l’objet qu’il avait lancé par la vitre du véhicule de la gendarmerie, lors de son transfert de son lieu de travail vers la brigade, a repris la même déclaration faite aux enquêteurs : «J’ai jeté un paquet de cigarettes vide.» La deuxième personne impliquée dans cette affaire, qui a remis le téléphone portable du ministre aux gendarmes, plus de trois mois après les faits, et n’ayant pu le faire fonctionner, du fait de ses caractéristiques hautement sophistiquées, a déclaré l’avoir trouvé sur le bas-côté de la chaussée, dans les environs de l’aéroport. Il s’est vu requérir une peine de six mois de prison ferme. L’affaire a été mise en délibéré et le jugement sera rendu dans les prochains jours. Le Soir d’Algérie

Commentaires

  1. SAMARITAIN dit :

    DEUX ANS SEULEMENT!?DOMMAGE ! MOI J AURAIS AIMER LE MAXIMUM CAD 5 ANS!. :)

  2. SAMARITAIN dit :

    ….. JE NE TOLÈRE PAS LE POUVOIR, NI CHERIF ABBAS NON PLUS , ET JE NE CAUTION PAS LE VOL MINABLE DES TÉLÉPHONES PORTABLE.
    J OPTE PLUTÔT POUR LES DILAPIDATION DE L ARGENT DU PEUPLE COMME PAR EXEMPLE « PICKÈ » LES 800 MILLIARDS DE CENTIMES AU PANAF !. BESSAHTEK MME TOUMI ET QUE LES DEUX VOLEURS DE SI-CHERIF MOISIRONS EN PRISON. AMEEN .
    le Pauvre Samaritain de N’Aldjérie

  3. solitaire dit :

    10 portables de ministres font 20 ans de prison l’équivalent de la peine de achour mais pour tevez vous bien 3200 milliards.

  4. sphynx dit :

    lorsequ’il sagit de retrouvé des objets volés de la nomenclatura nos flics sont tres efficaces!!pauvre algerie.

  5. bezef dit :

    C’est le comble un voleur volé….

  6. abou kalibs dit :

    justice aveugle au service de la nomenclatura
    si lembda vole un oeuf il doit rembourser
    un boeuf.

  7. amina&amin dit :

    Pour ceux qui ne savent pas encore qui gouverne réellement l’Algérie ?

    http://www.youtube.com/watch?v=pRlXe1HzKC0&eurl=http%3A%2F%2Fwww%2Etout%2Dsur%2Dl%2Dalgerie%2Ecom%2FApres%2DZidane%2D%2DIsabelle%2DAdjani%2D%2D%2DBouteflika%2Dentretient%2Dses%2Dre%5F7482%2Ehtml&feature=player_embedded

    Savez-vous que l’algerie est en etat d’urgence depuis 17 ans?

    -4 presidentiels
    -3 legislatives
    -2 referendums

    UN RECORD MONDIAL!!!

    Est-ce la methode d’IMPOSER des presidents, des deputés et senateurs et de travestir la constitution de la nation algerienne?

    Ban Kimoon, Obama et autres leaders du monde seront saisis pour leur demander une explication,…

    est-ce normal de gerer une nation ainsi?

    17 ans d’etat de siege/URGENCE!!!

    Pourquoi?
    jusqu’á quand?

    l’urgence qui dure !

    Un état d’urgence est une « réaction
    juridique temporaire, généralement
    constituée par une déclaration gouvernementale, faite en réponse à
    une situation grave et exceptionnelle
    posant une menace fondamentale à la nation ».

    Cette définition s’applique-telle à la situation en Algérie ?

    Est il crédible de considérer que
    dix sept années d’état d’urgence
    relèvent du temporaire ?

    Pouvons nous croire un instant qu’après quatre scrutins présidentiels, trois législatives et deux référendums, la nation algérienne soit en danger ?

    L’Algérie de 2009 connaît-elle une situation grave et exceptionnelle qui nécessite que la société renonce à un fonctionnement normal ?

    Pour l’ensemble des mécanismes onusiens
    de protection des droits de l’Homme, la réponse est non.

    Or, l’état d’urgence instauré le 9 février 1992 est toujours en vigueur et constitue le cadre répressif à l’exercice des libertés publiques en Algérie.

    Une telle situation d’exception qui dure et perdure en se normalisant de jour en jour dans la conscience collective des algériens, vise non pas à lutter efficacement contre le terrorisme, qui est paradoxalement considéré comme vaincu par les tenant même de ce discours, mais permet plutôt à l’Etat de transcender la société en dépolitisant la société civile et en monopolisant
    l’action et la décision politiques. Une telle stratégie se fait forcément au détriment des droits fondamentaux
    du citoyen.

    Les disparitions forcées, la torture et les exécutions extrajudiciaires portent
    le sceau de l’état d’urgence.

    La levée de l’état d’urgence est une revendication constante de la LADDH qui milite sans relâche sur le plan national et international pour sa concrétisation.

    Mais aujourd’hui, nous devons faire en sorte qu’elle devienne la revendication de toute la société. Aussi il est de la responsabilité des militants des droits de l’Homme, des politiques, des médias
    et des intellectuels de porter la revendication de la levée de l’état
    d’urgence et de poser le vrai débat
    autour des véritables enjeux qui
    dépendent de cet état de fait et qui sont : la libération du champ politique et médiatique, seuls chemins vers l’instauration d’un Etat de droit capable de préserver les droits et la dignité de ses citoyens.

    Mostefa BOUCHACHI
    Président de la LADDH

    http://www.algeria-watch.org/pdf/pdf_fr/laddh_errabita_2.pdf

    Tendrement votre

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