Farouk KSENTINI: «Le casier judiciaire de Hattab sera vierge»
Le fondateur du Gspc, Hassan Hattab, n’aura aucune mention sur son casier judiciaire. «Qu’ils soient repentis ou autre, il faut absolument les débarrasser de cette charge», a déclaré hier Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (Cncppdh), en marge de la cérémonie de remise des prix aux détenus ayant décroché leur Bac et BEM. Se voulant plus clair, il ajoute: «Sinon la réconciliation nationale n’aura aucun sens.» «Je suis pour le retrait d’un casier vierge pour tout le monde», poursuit notre vis-à-vis, rapporte l’Expression.
Mais qu’est qu’il a fait exactement ? Il a tué qui ? pourquoi ? comment ? On pardonne sans savoir quoi et pourquoi. C’est la politique de l’oubli…pour répéter les erreurs !
ils peuvent faire ce qu’ils veulent tant que l’ghachi est plongé dans un profond sommeil.par contre ,le débat sur la pomme de terre fait rage ci temps ci.
Allez te pâturer ailleurs, Ksentini, tu es la honte en chair et en os ! Tu ne ne fais que promouvoir l’amnésie et absoudre les criminels de leurs crimes. Dieu te châtiera pour tous ce que tu fais. Ni Bouheflika, ni les généraux algériens assassins ne te protégeront.
Même si la justice humaine ne t’attrape pas, tu ne pourras éviter la justice divine.Tu seras la bûche de la Géhenne. Tfouh aalik, sale porc !!!
Ce K-sentini prouve au monde entier qu’il n’y a pas de justice en algerie et cela ouvre l’auto-route á d’autres crimes humanitaires pour une autre amnesie et re-belote …
Au bon entendeur.
CE BLED PLANET DE SINGE
Tout assassin arrêté et jugé mènera, inexorablement, aux commanditaires. D’où l’amnistie et l’impunité générale, nationale, internationale et éternelle qu’exige le promoteur, le protecteur et le porte parole des commanditaires.
Pourquoi ne pas vidé les prisons de l’Algérie, brulé tous les casiers des violeurs, des assassins, des voleurs, etc, etc…. Bled chkoupi, ya djemââ ce pouvoir va rendre ce bled complètement n…..
Savez-vous que l’algerie est en etat d’urgence depuis 17 ans?
-4 presidentiels
-3 legislatives
-2 referendums
UN RECORD MONDIAL!!!
Est-ce la methode d’IMPOSER des presidents, des deputés et senateurs et de travestir la constitution de la nation algerienne?
Ban Kimoon, Obama et autres leaders du monde seront saisis pour leur demander une explication,…
est-ce normal de gerer une nation ainsi?
17 ans d’etat de siege/URGENCE!!!
Pourquoi?
jusqu’á quand?
l’urgence qui dure !
Un état d’urgence est une « réaction
juridique temporaire, généralement
constituée par une déclaration gouvernementale, faite en réponse à
une situation grave et exceptionnelle
posant une menace fondamentale à la nation ».
Cette définition s’applique-telle à la situation en Algérie ?
Est il crédible de considérer que
dix sept années d’état d’urgence
relèvent du temporaire ?
Pouvons nous croire un instant qu’après quatre scrutins présidentiels, trois législatives et deux référendums, la nation algérienne soit en danger ?
L’Algérie de 2009 connaît-elle une situation grave et exceptionnelle qui nécessite que la société renonce à un fonctionnement normal ?
Pour l’ensemble des mécanismes onusiens
de protection des droits de l’Homme, la réponse est non.
Or, l’état d’urgence instauré le 9 février 1992 est toujours en vigueur et constitue le cadre répressif à l’exercice des libertés publiques en Algérie.
Une telle situation d’exception qui dure et perdure en se normalisant de jour en jour dans la conscience collective des algériens, vise non pas à lutter efficacement contre le terrorisme, qui est paradoxalement considéré comme vaincu par les tenant même de ce discours, mais permet plutôt à l’Etat de transcender la société en dépolitisant la société civile et en monopolisant
l’action et la décision politiques. Une telle stratégie se fait forcément au détriment des droits fondamentaux
du citoyen.
Les disparitions forcées, la torture et les exécutions extrajudiciaires portent
le sceau de l’état d’urgence.
La levée de l’état d’urgence est une revendication constante de la LADDH qui milite sans relâche sur le plan national et international pour sa concrétisation.
Mais aujourd’hui, nous devons faire en sorte qu’elle devienne la revendication de toute la société. Aussi il est de la responsabilité des militants des droits de l’Homme, des politiques, des médias
et des intellectuels de porter la revendication de la levée de l’état
d’urgence et de poser le vrai débat
autour des véritables enjeux qui
dépendent de cet état de fait et qui sont : la libération du champ politique et médiatique, seuls chemins vers l’instauration d’un Etat de droit capable de préserver les droits et la dignité de ses citoyens.
Mostefa BOUCHACHI
Président de la LADDH
http://www.algeria-watch.org/pdf/pdf_fr/laddh_errabita_2.pdf
Tendrement votre
Hattab sera VIEGE OHHHHHH que c’est beau la verginité apres combien de crimes!!! alors le peuple sera dépuceler.
l’etat d’urgence sert a confiner le peuple chez lui pour qu’ il n’y ai aucun moyen d’agir afin de reprimer comme ils veulent,surtout actuellement pretextant le terrorisme.
eh bien mon chére,je ne suis pas le porte parole ni de hattab ni de m henni,mais le colon-nia-lisme a bien dépucelé nos sœurs,en fin de compte les vous portez sur votre tête ces derniers,non.je ne porte pas de haine sur autrui,mais sachez qu’il a été dit »si deux communautés de croyants s’entretuent,il faut arranger entre eux »
les causes de se déchirement est bien(et
mal)connus.
« el fitnatou akbarou mine el kattl »
veuillez cher monsieur me pardonner si je me suis mal exprimer.
azzoul fellak
c’est vraiment grave ; quelqu’un qui à fait un geste par erreur peut être mais celui la , c’est avec honneur,et volonté,et fierté parce que a ce jours il na jamais prononcé qu il a tort !!!! dommage pour les pauvres parceque les patrons sont toujours vivants, nous n accepterons jamais cette injustice , l algerie restera debut et libre jusqu’a liternité
M. Farouk Ksentini se prend pour un vraie « Eddie Constantine » acteur des films américains des années cinquante ! c’est ce qu’on appelle du « Banditisme politique ».