Zerhouni-Tounsi: le courant ne passe plus !

zer.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a boycotté la cérémonie du 47e anniversaire de la police, fêté à l’école d’El-Hamiz avec une sortie de promotion de commissaires divisionnaires, rapporte Liberté. « L’absence du ministre de tutelle, Noureddine Yazid Zerhouni, dont la présence a été annoncée la veille, a été très remarquée. Fait qui a donné lieu à des interrogations, compte tenu des rumeurs et spéculations autour des rapports entre les deux hommes, la prétendue démission de Tounsi qu’il a d’ailleurs démentie et les interférences et intervention directes du ministre dans la gestion ou le règlement de certains cas d’officiers suspendus contre l’avis du DGSN », écrit Liberté. El Mouhtarem

Commentaires

  1. amina&amin dit :

    Savez-vous que l’algerie est en etat d’urgence depuis 17 ans?

    -4 presidentiels
    -3 legislatives
    -2 referendums

    UN RECORD MONDIAL!!!

    Est-ce la methode d’IMPOSER des presidents, des deputés et senateurs et de travestir la constitution de la nation algerienne?

    Ban Kimoon, Obama et autres leaders du monde seront saisis pour leur demander une explication,…

    est-ce normal de gerer une nation ainsi?

    17 ans d’etat de siege/URGENCE!!!

    Pourquoi?
    jusqu’á quand?

    l’urgence qui dure !

    Un état d’urgence est une « réaction
    juridique temporaire, généralement
    constituée par une déclaration gouvernementale, faite en réponse à
    une situation grave et exceptionnelle
    posant une menace fondamentale à la nation ».

    Cette définition s’applique-telle à la situation en Algérie ?

    Est il crédible de considérer que
    dix sept années d’état d’urgence
    relèvent du temporaire ?

    Pouvons nous croire un instant qu’après quatre scrutins présidentiels, trois législatives et deux référendums, la nation algérienne soit en danger ?

    L’Algérie de 2009 connaît-elle une situation grave et exceptionnelle qui nécessite que la société renonce à un fonctionnement normal ?

    Pour l’ensemble des mécanismes onusiens
    de protection des droits de l’Homme, la réponse est non.

    Or, l’état d’urgence instauré le 9 février 1992 est toujours en vigueur et constitue le cadre répressif à l’exercice des libertés publiques en Algérie.

    Une telle situation d’exception qui dure et perdure en se normalisant de jour en jour dans la conscience collective des algériens, vise non pas à lutter efficacement contre le terrorisme, qui est paradoxalement considéré comme vaincu par les tenant même de ce discours, mais permet plutôt à l’Etat de transcender la société en dépolitisant la société civile et en monopolisant
    l’action et la décision politiques. Une telle stratégie se fait forcément au détriment des droits fondamentaux
    du citoyen.

    Les disparitions forcées, la torture et les exécutions extrajudiciaires portent
    le sceau de l’état d’urgence.

    La levée de l’état d’urgence est une revendication constante de la LADDH qui milite sans relâche sur le plan national et international pour sa concrétisation.

    Mais aujourd’hui, nous devons faire en sorte qu’elle devienne la revendication de toute la société. Aussi il est de la responsabilité des militants des droits de l’Homme, des politiques, des médias
    et des intellectuels de porter la revendication de la levée de l’état
    d’urgence et de poser le vrai débat
    autour des véritables enjeux qui
    dépendent de cet état de fait et qui sont : la libération du champ politique et médiatique, seuls chemins vers l’instauration d’un Etat de droit capable de préserver les droits et la dignité de ses citoyens.

    Mostefa BOUCHACHI
    Président de la LADDH

    http://www.algeria-watch.org/pdf/pdf_fr/laddh_errabita_2.pdf

    Tendrement votre

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