Algérie: 85% des journalistes affirment que la formation universitaire est insuffisante
Plus de 85% de journalistes affirment que la formation universitaire est « insuffisante », a révélé jeudi à Alger un sondage mené par la Fédération nationale des journalistes algériens (FNJA). Selon Hadef Noureddine, membre du secrétariat national de la FNJA, le sondage qui a concerné 122 journalistes a démontré que 85,24% des journalistes affirment que la formation universitaire est « insuffisante » contre 14% qui pensent le contraire. 79,50% des journalistes proposent la création d’une Ecole de journalisme alors que 20,49% préconisent une formation spécialisée en post-graduation, a ajouté Hadef qui a mené cette enquête sous le thème « Les besoins effectifs des journalistes en matière de formation ».
Pour ce qui est des formations, 90,16% préfèrent une formation dans les langues étrangères et 77,86% souhaitent suivre une formation dans le domaine des techniques rédactionnelles et journalistiques. 89,34% du total de l’échantillon optent pour la formation pédagogique directe tandis que 11, 47% désirent une formation par correspondance ou via le Net.
Les auteurs de ce sondage ont oublié de donner un chiffre important: les 100% de journalistes qui n’ont pas une formation digne de ce nom, en dehors de ceux qui n’en ont pas du tout… Y compris, les brebis de la FNJA qui sont analphabètes trilingues, journalistiquement parlant, préférant se jeter sous la protection de l’UGTA, syndicat pompier des pouvoirs publics et du patronat, pour avoir droit à la mangeoire
lesjournalistes ont besoin de bravours et d’honneteté plus que autre formation et tant que le professionnalisme fait defaut ,cette profession restera a la mercie des despotes ,des opportunistes,et des illitres qui vont continuer a servir leur maitres qui leur gettent des miettes sans plus et le cauchemard continuera de sevir ,on ne sait si un nouneau jaout et said renaiteront un jour d’ici la fumant le the et restant eveiller
Le metier du journalisme est trés offensif et ciblé .Il bat en brèche et ecrase comme un buldozzer toutes les idées reçues ,en période troubles ou tranquille .
Des ecoles de journalisme ou des facultes de journalisme :Oui!
Mais jamais sans les langues etrangeres !
Les metiers du journalisme sont tres
offensifs et tres cibles .Via la concurrence que lui impose le journalisme par sites Internet interposés
ecrire et publier avec des moyens lourds,obligeront les editeurs et les syndicats des journalistes à acquerrir un materiel de publication et de diffusion tres sophistique ,mais tres competitif.
D’un autre coté ,les ecoles de journalisme et les facultés de journalisme feront nettement arriver
le niveau du jounalisme et de l’investigation à un niveau nettement plus superieur ,discursif et cognitif.
A condition que ces mêmes ecoles et facultes ,actualisent leurs savoirs et techniques en parallele avec le developpement des idees dans le monde(echanges entre les deux rives de la mediterrannee,environnement,ecologie
archeologie et vestiges dans le tourisme,agriculture et espaces forestiers..)comme cela est conçu dans les grandes universites en Europe.
Ces savoirs ne peuvent etre à la portee du journaliste sans l’apport et la maitrise des langues etrangeres ,français,anglais,espagnole
allemand,russe etc..
Il faut rappeler que dans toutes les universtes on cree des cours et des cursus sur les grandes questions actuelles ,cela veut dire qu’un professeur (doctorant ou maitre de conference)a toute la lattitude à creer
des cours , de parfaire et d’inaugurer
un nouveau savoir universitaire ,
des cours de la chronique,du billet , de l’editorial ou du reportage.