Par A.By
Une des clés de la voûte, sans doute, de l’énigme du pouvoir occulte algérien semblait partiellement avoir été, quelque peu, repérée comme un «mirage américain» lors d’une parution unique – non reprise par aucun média nulle part ailleurs – d’un «intrus petit filet» d’une rubrique confidentielle d’un tabloïd français, après la tenue du sommet du GATT – ancêtre de l’OMC – en Mai 1994 aux États-Unis.
D’après cette «confidence» non complètement détaillée par le contenu dudit «petit-filet», et parait-il avant l’aparté «décisif», lequel devait réunir Bill Clinton et François Mitterrand avant le début officiel du sommet, le directeur de la CIA de l’époque, James Woolsey, avait soit disant préalablement «renforcé» les atouts de négociations de son président – dixit: «pour l’aider, au cas où, à faire “plier diplomatiquement” son habile homologue, le vieux renard français, ancien ministre de l‘intérieur de l‘ancienne Algérie Française» – en l’informant d’un dossier très actif à l’époque et jusqu’à date maintenu ultraconfidentiel, traitant justement de la compréhension de raisons occultes et manipulatrices des derniers soubresauts politiques majeurs des années 1988-1992 qu’avait vécu l‘Algérie après sa «fracture démocratique» du coup d‘état non avoué de Janvier 1992, incluant même un «bonus de taille» dans cette «saga tragique politico-algérienne aux ordres», entre autre, un précieux «soupçon» issu du même renseignement à ne pas négliger, à propos de l’identification probable et finale des réels principaux commanditaires de l’assassinat voulu «spectaculaire» du président algérien Mohamed Boudiaf le 29 Juin 1992. Et enfin pour «corser» l’ensemble du dossier en question, la CIA rajoutait – comme une cerise sur un gâteau – une révélation sur les probables dessous de l’affaire du « suicide » louche et incompréhensible de l’ancien premier ministre socialiste français, Pierre Bérégovoy le 01 Mai 1993.
Quelque soit la véracité, la fiabilité ou même la manipulation intoxicante des «atouts» suggérés par James Woolsey à son président, un premier «bémol» flagrant et important était à relever et ce ne serait pas été «délibéré ou gratuit» de la part de la CIA pour ne pas le motiver: c’est que cette dernière avait englobé «volontairement» et à juste titre sans «confusion» les deux événements – «atouts-jokers» – dans une synthèse générale commune de renseignements, avec comme toile de fond une vieille réalité algérienne, encore défaillante et tragique, comme s’il y avait une insinuation, sans relâche aux yeux de l’agence américaine, d’une corroboration d’un quelconque «cordon ombilical» qui devait encore exister et persister, sous une autre facette, entre La France d’aujourd’hui et son ancienne colonie, l’Algérie, «souveraine» depuis bien voila presque 50 ans.
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