• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 12 août 2009

Archive pour le 12 août, 2009

L’UGTA apporte son appui total aux dernières mesures prises par les pouvoirs publics

sidi.jpgL’Union générale des travailleurs des algériens (UGTA), soucieuse de ses responsabilités dans la défense des intérêts des travailleurs, d’une part, et du développement durable de l’Algérie, d’autre part, apporte son appui total aux dernières mesures de nature économique et financière, prises par les pouvoirs publics et contenues dans la loi de finances complémentaire. Ces mesures, notamment celles relatives à la limitation du crédit a la consommation, sont opportunes, légitimes, et dans l’intérêt supérieur de notre pays. Elles sont dictées par la préoccupation fondamentale de préserver les équilibres économique et financier, tant internes qu’externes, afin de garantir l’indépendance nationale et un développement ordonné de l’économie nationale. Ce sont des principes que l’UGTA a toujours défendus et par conséquent ne dérogera pas à cette ligne de conduite, quelles que soient les vicissitudes de la conjoncture.

Ces mesures s’intègrent pleinement dans la démarche économique du gouvernement, inspirée par le programme de M. le président de la République pour la période  2010/2014, et affecté d’une enveloppe de 150 milliards de dollars. L’utilisation rationnelle des ressources financière et leur préservation face aux appétits de toutes sortes, notamment dans la conjoncture actuelle caractérisée par la crise mondiale, la poursuite du développement global et l’émergence d’une économie hors hydrocarbures, diversifiée densifiée, et compétitive, constituent les principaux axes de ce programme. C’est ainsi que les pouvoirs publics ont décidé de relancer l’investissement, en faveur du secteur industriel, doté d’une enveloppe de 150 milliards de dinars et d’une autre enveloppe de l’ordre de 1 000 milliards de dinars pour mettre a niveau l’agriculture.

Ces efforts précédents pour consolider et élargir les bases d’une croissance saine et durable, imposent inévitablement une plus grande rigueur à l’Etat, dans la régulation de l’économie nationale. La réussite est une nécessité vitale pour le devenir du pays, et l’on comprend, dès lors, que l’UGTA appelle à la mobilisation de toutes les énergies nationales pour relever le défi. C’est pourquoi elle se félicite des mesures prises qui contribueront à atteindre les objectifs fixés par le programme présidentiel. De même, elle relève, avec satisfaction, que l’accès au crédit immobilier est toujours libre, ce qui permettra aux citoyens d’y recourir en cas de besoin. Cette source de financement pour l’obtention d’un logement est de loin la plus recherchée. Le logement, bien durable, est aussi l’un des vecteurs de la croissance économique. Ainsi, sur l’essentiel, les pouvoirs publics ont pris en compte les besoins des citoyens.

L’UGTA est fermement convaincue que l’objectif ultime est l’émergence d’une économie productive. Le crédit à la consommation ne contribue pas à la réalisation d’un tel objectif puisqu’il sert les intérêts d’économies étrangères. Il est l’une des causes de l’explosion des importations dont une grande partie ne sert ni à la satisfaction des besoins légitimes des citoyens, ni au fonctionnement normal de l’économie nationale. C’est la raison pour laquelle, l’UGTA considère que le crédit à la consommation doit être en adéquation avec les objectifs du pays et des intérets des travailleurs et de leurs familles.

A ce titre, l’UGTA prône que la mise en place d’un crédit à la consommation doit être un paramètre incontournable pour la promotion de la production nationale, et un facteur d’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens. En dehors de ce cadre, il ne peut être encouragé, car il est une source de destruction d’emplois et de pans entiers de l’économie nationale. Or l’objectif des pouvoirs publics, qui rejoint les préoccupations de l’UGTA, est de créer des emplois grâce à l’expansion de l’économie nationale, et d’en faire un levier efficace du développement des activités productives nationales.  

Annaba: Un citoyen agressé à l’arme blanche par un député !

benali.jpgelkhabarblesse.jpgLe député du FLN de la wilaya de Annaba Benali Messaoud et son fils, se sont rendus coupables, lundi vers 21h, d’une agression à l’arme blanche sur leur voisin, au vieux quartier d’El M’haffer de cette ville.
Le député et son fils sont allés chercher la victime chez elle pour lui asséner un coup de couteau, provoquant de profondes blessures au niveau de l’épaule et de la poitrine et ont malmené son épouse, enceinte de quelques mois. Elle a présenté un certificat d’incapacité de travail de six jours. La victime Belaâmri Redouane, 34 ans, licencié en droit, conseiller juridique de profession est hospitalisé à l’hôpital Ibn- Rochd. Il habite avec son épouse et sa vieille mère, une demeure située au 17, rue El M’haffer.
Cette agression fait suite à un litige ayant opposé la victime à son voisin le député, depuis des années déjà, au sujet d’un terrain mitoyen aux deux propriétés.

En date du 26 avril 2006, le député a été débouté par la Cour suprême dans cette affaire. La justice avait donc tranché en faveur de la mère de la victime, Berhaïl Fella, qui est la propriétaire de la demeure qu’elle occupe avec son fils et son épouse. Refusant de se plier à la décision de la justice et comptant sans doute, qu’avec son immunité parlementaire, il n’aura pas de comptes à rendre à celle-ci, le «représentant du peuple» n’a pas cessé, aux dires de la victime, de la malmener et de l’insulter pour lui prendre le terrain en question. Il avait même édifié un mur de séparation pour accaparer ce terrain. La victime a été évacuée aux urgences hospitalières et les policiers du commissariat central de Annaba se sont rendus sur place dans la nuit-même pour entamer une enquête sur cette affaire. Le Soir

L’Algérie au 112ème rang du classement du Forum économique mondial

L’Algére classée à la 112e place en matière de facilitation du commerce extérieur sur une liste comportant 121 pays. Seulement cinq pays africains font pire que nous en matière de complication des procédures: Burundi, Nigeria, Zimbabwe, Côte d’Ivoire, Tchad. Le rapport du Forum économique mondial pointe du doigt les procédures douanières dont la complexité force le pays à être à la 115e pour ce chapitre.  La corruption est un autre indice intégré par l’étude. On est à la 72e position à propos de cette donne. Le manque de transparence des taxes est aussi un mal dont souffre le commerce extérieur car celles-ci changent tout le temps tout comme leurs modalités de paiement…

Vivendi ne s’intéresse pas à l’opérateur mobile algérien OTA

vive.jpgVivendi a démenti s’intéresser à l’opérateur mobile algérien Orascom Telecom Algérie (OTA), contrairement aux informations publiées par « La Tribune ». Selon le quotidien économique, le conglomérat aurait entamé des discussions « très préliminaires », avec l’opérateur de téléphonie mobile algérien, filiale de l’égyptien Orascom. Avec 14 millions d’abonnés, OTA est le premier opérateur mobile d’Algérie. Orascom demanderait 10 milliards d’euros en échange de sa filiale, un montant jugé élevé compte tenu du nombre d’abonnés, estime la société de gestion d’actifs CM-CIC. Lejournaldunet

Après le PLJ, le PJL

nassimelkfel.bmpNassim El Kfel, président du Mouvement des jeunes et des étudiants algériens (MJEA), s’apprête à créer un parti politique. Ce nouveau parti est dénommé Parti des jeunes libres (PJL). Pour jeter les bases de cette formation, Nassim a rencontré tout récemment le conseiller politique de l’ambassade américain à Alger, Ryan Kambell. La rencontre s’est déroulée dans le siège du bimensuelle «Top Secret» à Alger-Centre dont Nassim est le patron. El Kfel nous a déclaré que les USA est un meilleur partenaire qu’on peut consulter. Nassim nous a indiqué également qu’il a rencontré auparavant un représentant de l’ambassade de France à Alger pour baliser le terrain à son parti. Sans commentaire !

Nassim El Kfel, simple étudiant, est devenu aujourd’hui un grand homme d’affaires. Il gère de nombreuses affaires dans la téléphonie mobile, l’immobilier et les médias.  

Caricature de notre ami R.Z

wwekend.jpg

Sedraia, la commune oubliée

sedraia.jpgSi les habitants de Sedraia aspirent, pour des raisons de proximité, à ce que leur commune oubliée bascule dans la Wilaya de Bouira dès le prochain découpage administratif, le plus alarmant reste que cette commune marginalisée, enclavée  et presque invisible sur la carte géographique de l’Algérie, est au bord de l’implosion.

C’est la situation socioprofessionnelle qui inquiète et interpelle. Les  habitants de ce Douar baptisé Sedraia en raison d’une plante sauvage portant le même nom, subissent à la fois l’ingratitude d’un climat versatile et l’indifférence quasi-totale des autorités du pays. En effet les jeunes et moins jeunes,  souffrent de la pandémie  la plus répandue dans le pays, un chômage aigu et généralisé. Aucune perspective, aucun espoir, aucune issue à leur désarroi, et leur unique activité, sont les cinq prières quotidiennes dans une modeste mosquée qui se distingue facilement des taudis et bidonvilles qui surplombent le village de Sedraia crée en 1976 pour devenir un village socialiste initié sous Houari Boumediene. Bien que faisant partie de la Wilaya de Médéa, Sedraia est située à quatre kilomètres de Birghbalou et à 40 kilomètres de Bouira. Elle compte près de 7500 habitants et occupe une superficie de près de 14 hectares nationalisés à l’époque socialiste dans le cadre du slogan «  la terre appartient à celui qui la travaille ! » mais  comme beaucoup d’autres parcelles de terre, aucune indemnisation n’a été perçue par les propriétaires à ce jour.

(Lire la suite)

FRONT NATIONAL - Bouches-du... |
Mouvement des Jeunes Social... |
15ème circonscription du No... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sagvar, le Roman Noir de la...
| Sarkophage
| UES - Claude WEBER