L’UGTA apporte son appui total aux dernières mesures prises par les pouvoirs publics

sidi.jpgL’Union générale des travailleurs des algériens (UGTA), soucieuse de ses responsabilités dans la défense des intérêts des travailleurs, d’une part, et du développement durable de l’Algérie, d’autre part, apporte son appui total aux dernières mesures de nature économique et financière, prises par les pouvoirs publics et contenues dans la loi de finances complémentaire. Ces mesures, notamment celles relatives à la limitation du crédit a la consommation, sont opportunes, légitimes, et dans l’intérêt supérieur de notre pays. Elles sont dictées par la préoccupation fondamentale de préserver les équilibres économique et financier, tant internes qu’externes, afin de garantir l’indépendance nationale et un développement ordonné de l’économie nationale. Ce sont des principes que l’UGTA a toujours défendus et par conséquent ne dérogera pas à cette ligne de conduite, quelles que soient les vicissitudes de la conjoncture.

Ces mesures s’intègrent pleinement dans la démarche économique du gouvernement, inspirée par le programme de M. le président de la République pour la période  2010/2014, et affecté d’une enveloppe de 150 milliards de dollars. L’utilisation rationnelle des ressources financière et leur préservation face aux appétits de toutes sortes, notamment dans la conjoncture actuelle caractérisée par la crise mondiale, la poursuite du développement global et l’émergence d’une économie hors hydrocarbures, diversifiée densifiée, et compétitive, constituent les principaux axes de ce programme. C’est ainsi que les pouvoirs publics ont décidé de relancer l’investissement, en faveur du secteur industriel, doté d’une enveloppe de 150 milliards de dinars et d’une autre enveloppe de l’ordre de 1 000 milliards de dinars pour mettre a niveau l’agriculture.

Ces efforts précédents pour consolider et élargir les bases d’une croissance saine et durable, imposent inévitablement une plus grande rigueur à l’Etat, dans la régulation de l’économie nationale. La réussite est une nécessité vitale pour le devenir du pays, et l’on comprend, dès lors, que l’UGTA appelle à la mobilisation de toutes les énergies nationales pour relever le défi. C’est pourquoi elle se félicite des mesures prises qui contribueront à atteindre les objectifs fixés par le programme présidentiel. De même, elle relève, avec satisfaction, que l’accès au crédit immobilier est toujours libre, ce qui permettra aux citoyens d’y recourir en cas de besoin. Cette source de financement pour l’obtention d’un logement est de loin la plus recherchée. Le logement, bien durable, est aussi l’un des vecteurs de la croissance économique. Ainsi, sur l’essentiel, les pouvoirs publics ont pris en compte les besoins des citoyens.

L’UGTA est fermement convaincue que l’objectif ultime est l’émergence d’une économie productive. Le crédit à la consommation ne contribue pas à la réalisation d’un tel objectif puisqu’il sert les intérêts d’économies étrangères. Il est l’une des causes de l’explosion des importations dont une grande partie ne sert ni à la satisfaction des besoins légitimes des citoyens, ni au fonctionnement normal de l’économie nationale. C’est la raison pour laquelle, l’UGTA considère que le crédit à la consommation doit être en adéquation avec les objectifs du pays et des intérets des travailleurs et de leurs familles.

A ce titre, l’UGTA prône que la mise en place d’un crédit à la consommation doit être un paramètre incontournable pour la promotion de la production nationale, et un facteur d’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens. En dehors de ce cadre, il ne peut être encouragé, car il est une source de destruction d’emplois et de pans entiers de l’économie nationale. Or l’objectif des pouvoirs publics, qui rejoint les préoccupations de l’UGTA, est de créer des emplois grâce à l’expansion de l’économie nationale, et d’en faire un levier efficace du développement des activités productives nationales.  

Commentaires

  1. omar dit :

    Tout comme elle a applaudi en son temps , la loi khelil sur les hydrocrbures, pour les memes raisons de defense de l’interet superieur de la nation et des travailleurs.

  2. hchicha dit :

    Union générale pour le soutien à la dictature algérienne.

    heu …. Et la défense des interets des travailleurs algériens dans tout ça me direz-vous? … heu …. faut pas trop rêver non plus cher hchicha ! LOL

    En rire pour ne pas se laisser envahir par les nerfs wellah!!!

    Yakhi UGTA !!!!!

  3. ruyame dit :

    le mandat de l’UGTA à déjà expiré. donc, UGTA est illigale sur la scène algérienne.

  4. ammisaid dit :

    L’UGTA défend totalement ceux qui volent les richesses de notre pays, qui sucent le sang et la sueur des travailleurs et plongent des millions de nos compatriotes dans la misère la plus sereine. Donc, l’UGTA est devenue une prostituée du système vorace et violent qui nous dirigent illégalement depuis l’indépendance. Ne pas y adhérer à elle est un devoir de tout travailleur qui veut recouvrir sa dignité de travailleur égale à celle des autres de toute la terre.

  5. radjef said dit :

    Bonsoir tout le monde.Les caniches des temps modernes! Mais passons et interressons nous aux choses serieuses. Tout recemment, dans son edition de mardi passé, le quotidien Liberté à attribué une declaration fictive aux Djemmaas de Mechtras à la suite de l’arrestation du patron du cabaret Liberté. En effet selon le quotidien Liberté, les Djemmaas de Mechtras auraient entamé des demarches pour la liberation du patron du cabaet incriminé à la suite de son agression contre un officier de la police et reclameraient l’ouverture des « lieux de débauches ». Les Djemaas de Mechtras se sont insurgées contre de tels propos en affirmant que ce n’est pas la premiere fois que ce journal intermediaire de la gendarmerie, attribue des propos fictifs et degueulasses à la population de Mechtras en faisant croire que celleci soutient les lieux de debauche. Et d’ajouter: pourquoi toutes les lettres adressées à la presse algérienne pour denoncer la proliferation des bars et des bordels, n’ont pas été publiées à ce jour…Et pourquoi le quotidien Liberté ne parle til pas de la guerre qui oppose les differents services de securité pour le contrôle de ces lieux de débauche ou il y a un argent fou à ramasser. Plus que cela, ceux qui parlent au nom des Djemaas donnent ouvertement leurs noms…

  6. sadike dit :

    bone jour je suis un elmment algirenne je suiter qeu le payer algiri ilesont participe par le persidon de la reu pabliqe m.abdelazizi boutfilke
    en fin ete algrenneca sar chenger bouqeu

  7. kamel dit :

    Mr sidi aid, quece vous appeler les droits de taravailleurs, avotre avis c un salaire de misere , la pauvrete, la situation catastrophique des fonctionnaires algeriens ( en particulier) et des travailleurs en genral , je vous demande juste une chose …………………demissioner si vous avez un peut de sang kabyle petit chouchou du pouvoir , j’arrete la sinon , je vais dire des chose « vulgaires  » meme tres , parceque vous nous degouter

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