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Archive pour le 25 août, 2009

Hocine Zehouane a été comdamné à mort par l’ALN pour avoir déserté son unité

hocine.bmpHocine Aït-Ahmed lors d’une conférence de presse qu’il a animée le 06 juillet 1964:

« Un mot sur HOCINE ZEHOUANE, nous connaissons son passé, il a été condamné à mort par l’ALN pour avoir déserté son unité, abandonné son arme pour se réfugier au Maroc en 1958. Le colonel Mohand ou el hadj avait confirmé à l’époque sa condamnation à mort. Il réclamait sa tête après le cessez-le-feu. Aujourd’hui,  il siège avec lui au bureau politique. A beau mentir qui parle de loin. Qu’ils viennent tous ici dans leurs villages respectifs, ils seront pendus par leurs propres parents qui ne veulent pas être déshonorés. A Alger c’est l’irresponsabilités sociale, c’est facile de s’y faire une pureté, de jouer les pucelles héroïques sous la protection de la Sécurité Militaire. Le socialisme à rebours, parce qu’il ne profite qu’aux renégats, c’est du NATIONAL-SOCIALISME parce qu’il ne peut s’édifier que par la contrainte, la force, la violence exercées sur les authentiques révolutionnaires et sur les populations paysannes qui ont gagné la guerre et qui ont déjà maintenant perdu la paix ».

Hocine Zehouane ou la hantise des droits de l’homme en Algérie

hocine.bmpPar Youcef Aouchiche 

Au moment où l’Algérie vit sa 17èeme année sous le règne de l’état d’urgence et des lois d’exception; au moment où les restrictions se multiplient sur les libertés individuelles et collectives; au moment où l’opposition démocratique est interdite d’expression; au moment où le droit à la vie est complètement spolié, l’Algérie de Hocine Zehoune a atteint un stade plus haut que celui de l’Algérie des Algériens. Elle est au stade suprême du respect des droits humains, au point où elle ne se soucie guère de ces dépassements. L’obsession majeure de Zehouane est le dossier des erreurs médicales. Quelle honte !

Dans un pays plein de dossiers (disparus, corruption, verrouillage sur tous les plans, misère sociale, insécurité, …etc), Hocine Zehouane s’aperçoit que les questions les plus importantes sont: les erreurs médicales, les expulsions et les licenciements. Dans la République de Zehouane, hormis la dégradation sociale, tout marche à merveille.  Quelle honte ! 

En minimisant les violations quotidiennes des droits de l’Homme et en ignorant les véritables préoccupations des Algériens, cet ancien membre de la machine répressive (membre du bureau exécutif du FLN au temps de Ben Bella), veut réduire à néant le combat de la LADDH. Une Ligue dont il a squatté l’appellation malgré son éviction par son conseil national. Si Zehouane veut évoquer son cas en abordant les licenciements abusifs, je vous assure que son éviction de la tête de LADDH à été réglementaire et conforme aux statuts et règlement intérieur de l’organisation. Réglementaire parce que l’homme en question a voulu porter préjudice aux fondements et principes généraux de la LADDH, en déviant de son combat. Conforme aux statuts et règlement intérieur parce que plus de deux tiers des membres du conseil national ont approuvé. Il ose parler encore au nom de la ligue ? Quelle honte !

Au moment où la LADDH, dont le président légitime est maître Mostefa Bouchachi, dresse un tableau noir sur la situation des droits de l’homme en Algérie en appelant notamment  à la levé de l’état d’urgence et des lois d’exceptions; au moment où elle dénonce le processus de neutralisation de l’opposition et des organisations démocratique, Hocine Zehouane s’attaque au plus vieux parti de l’opposition en Algérie. Il dresse un honteux réquisitoire contre le Front des Forces Socialistes.

Avec cette sortie, Zehouane réaffirme son attachement inconditionnel au système politique actuel. Ses positions flatteuses à l’égard des décideurs ne sont pas étonnantes. Les procès attribués par ce soit-disant défenseur des droits de l’homme à l’opposition, témoignent de sa servitude aux décideurs. Son acharnement contre l’opposition, et cela depuis l’indépendance où il a traité Ait-Ahmed de «traître», et sa volonté de porter atteinte aux combats et aux organisations démocratiques en Algérie, ne sont qu’une preuve de plus sur son éloignement du combat pour le respect des droits de l’homme. Une ravière de sang sépare l’homme et les droits de l’homme. Franchement,  il représente une honte pour les droits de l’homme.

France: un Algérien hospitalisé après avoir refusé d’être expulsé

expulsion.jpgUn Algérien placé dans un centre de rétention administrative (CRA) à Mesnil-Amelot, en région parisienne, a été hospitalisé lundi après avoir avalé des substances et refusé d’embarquer vers Alger. Cet Algérien de 40 ans devait embarquer lundi en début d’après-midi sur un vol à destination d’Alger dans le cadre d’une procédure de reconduite à la  frontière. Après avoir refusé d’embarquer, il a avalé des substances, dont la nature n’a pas été précisée, qui ont nécessité son hospitalisation. Toutefois sa situation n’est « pas d’une gravité extrême, c’est plus par principe de précaution qu’on l’a gardé en observation pour passer des radios » soulignant que « c’est relativement fréquent » car « les gens refusent toujours d’embarquer ». Installé en France depuis 2002, il a été placé en rétention le 27 juillet puis a été présenté devant le juge de la liberté et de la détention (JLD) qui a prolongé son maintien en rétention pour une durée de deux fois quinze jours afin qu’il puisse formuler des recours, a précisé une porte-parole de la Cimade, seule association habilitée à ce jour à intervenir dans les centres de   rétention, rapporte l’AFP.

Si Knauf permet à l’Algérie d’exporter ses produits finis, il faut l’applaudir

knauf.bmpPar Mohand 

Mon devoir me pousse à compléter cet article sur Knauf et à écrire certaines vérités. Si je suis toujours contre les ventes à tout va du patrimoine public à des opportunistes, quand la cession nous semble correcte on doit aussi le dire. Je n’ai rien contre Temmar, que je considère comme l’un des acteurs de l’échec de la politique économique et industrielle de l’Algérie.

Les préoccupations de l’auteur on voit bien tournent autour de primes non touchées et de partage du butin de la cession. Un patrimoine public est sacré il doit être défendu de la meilleure façon. S’il fallait revendiquer une part du butin alors ça ne va pas du tout, on ferait alors la même chose que ceux qu’on critique.
Knauf est une société familiale allemande de tout premier plan. Elle a acheté 50% des parts de l’usine algérienne, les conditions reprises dans l’article ci-après me semblent correctes. J’ignore cependant si la société algérienne aurait pu continuer à fonctionner tout en augmentant ses capacités de production dans des conditions correctes ou semblables à ce que Knauf a réalisé en peu de temps.

Si vous voulez des précisions, lisez cet article que j’ai repris ci dessous. On voit bien que dans ce dossier au moins il y a un bon partenaire et il y a eu une bonne négociation au moment de la cession. Si Knauf permet à l’Algérie d’exporter ses produits finis, il faut l’applaudir et non le critiquer. Je ne connais pas beaucoup d’IDE qui ont les mêmes caractéristiques (augmentation de la production et investissement productif important ).

(Lire la suite)

Preuves de la collusion Aït Ahmed, Israël, Salazar

Conférence de presse du frère Zahouane hier au bureau politique

Documents irréfutables saisis lors de l’arrestation du traître
Collusion avec l’impérialisme étranger

Répondant ensuite aux questions des journalistes, le frère Zahouane précisa que l’arrestation avait apporté des éléments nouveaux.

«D’abord, c’est le résultat de la maîtrise du terrain par les militants et les djounouds, grâce au soutien total de la population qui a collaboré pleinement avec les milices populaires et notre armée et leur ont fourni au jour le jour des renseignements sur les activités de la contre révolution». Ensuite, le frère Zahouane aborde un second élément nouveau; «d’après les documents saisis lors de l’arrestation, la collusion entre Aït Ahmed et l’impérialisme étranger. Une correspondance échangée entre le traître et ses agents de l’extérieur démontre que les services d’Israël et de Salazar accordent un intérêt particulier à la contre révolution et ont essayé de la contacter». Troisième élément nouveau: la confusion qui règne au sein de la contre-révolution et qui ressort également des documents saisis. «Ainsi, des éléments extérieurs contre-révolutionnaires exigeaient d’Aït Ahmed qu’il change son sigle. D’autre part, certains agents du traître proposaient la liquidation physique de Boudiaf notamment, déclare Hocine Zahouane qui rappelle par ailleurs que l’on a trouvé une caisse de bouteilles de bière.
 

Aït Ahmed comparaîtra devant la Cour criminelle révolutionnaire
Abordant la question du châtiment d’Aït Ahmed, le frère Zahouane précisa que l’affaire serait «instruite selon la juridiction du pays». «Il comparaîtra devant la Cour criminelle révolutionnaire. Dès qu’il aura été présenté aux magistrats (cela demande évidemment quelque temps car il a été pris en pleine montagne et son acheminement s’entoure de certaines précautions. Il sera inculpé officiellement et l’inculpation sera rendue publique».

 

Démoralisation et de la contre-révolution
Quant aux autres contre-révolutionnaires, le frère Zahouane ajouta : « Ils ne se manifestent plus beaucoup depuis un certain temps déjà. Ainsi, les services de sécurité ne signalent aucune activité de Sadek, et il n’est pas impossible qu’il soit effectivement parti à l’étranger. Pour ce qui est de Hassani, nous e pouvons évidemment pas le situer de jour en jour car il est difficile de suivre les évolutions de quelqu’un qui se promène dans la montagne». D’une manière générale, le frère Zahouane explique que les quelques petits groupes restant encore dans le maquis avaient une vie de plus en plus difficile, étant donné la mobilisation de l’ANP et le soutien confiant des masses envers les autorités.
Ces éléments donnent des signes de découragement certains lors de leurs contacts avec leurs parents et amis.
 

Ramener tous ceux qui ont été trompés
A ce sujet, le frère Zahouane rappela la position du pouvoir révolutionnaire. «La politique du Parti et du gouvernement est de ramener à la légalité tous ceux qui ont été trompés et qui ne sont pas réellement criminels ». Il mentionna à ce sujet, le retour de deux ex-députés, Ben Brahim et Ali Chérif, qui, revenus de leur erreur, s’étaient d’eux-mêmes mis à la disposition de la justice.
« L’arrestation d’Aït Ahmed, qui était la cheville ouvrière de la réaction extérieure comme le démontrent les documents provoque une démoralisation accentuée des contre-révolutionnaires qui peuvent constater la…simple dont il a été pris. C’est un coup sévère pour la contre-révolution », conclut le frère Zahouane.

Journal Le Peuple du mercredi 21 octobre 1964

L’ancien lieutenant de Benbella, Zehouane Hocine (Z.H), s’attaque au FFS*

hocine.bmpL’ancien membre du bureau politique du FLN du temps du président Ahmed Benbella, Zehouane Hocine (Z.H) a dénoncé hier, dans une conférence de presse animée à Alger, « une accointance soutenue entre le FFS et la FIDH pour, à défaut de la contrôler, casser la LADDH », rapporte Le Soir d’Algérie. L’animosité que le FFS nourrirait à son égard, Z.H la remonte aux premières semaines qui ont suivi la démission du président Liamine Zeroual. Z.H, rapporte le Soir, a soutenu que Aït-Ahmed, intéressé à l’époque par une candidature à la magistrature suprême, l’avait approché pour l’impliquer dans sa campagne électorale au niveau de l’Algérois. Son refus de servir de béquille électorale au «zaïm» le placera en ligne mire de l’artillerie politique du FFS.

«A la démission du président Zeroual, Aït-Ahmed m’a envoyé l’un de ses neveux pour me demander de l’aider dans sa campagne électorale au niveau d’Alger. J’ai été reçu par ce neveu au Musée des arts africains (la somptueuse villa d’Aït-Ahmed) et je lui ai signifié qu’il était suicidaire d’aller aux élections», a-t-il révélé. Ce refus a irrité Aït-Ahmed et a conséquemment sabordé la relation jusque-là très bonne entre les deux hommes. «Depuis, nos relations se sont gâtées», a avoué Zehouane.

Par ailleurs, Z.H a accusé le FFS d’entrer en accointance avec des réseaux d’intérêts à l’extérieur pour briser la ligue. Il a cité nommément Driss-El Yazami, un Français d’origine marocaine qui officie en tant que premier responsable de plusieurs organisations, dont la FIDH dont il assure le secrétariat général. «Longtemps en rapports intimes avec les dirigeants du FFS à Paris, il a abrité (El Yazami, ndlr) une cellule spéciale avec à sa tête un neveu d’Aït-Ahmed, Yahia Assam, dès 2001 avec pour mission de préparer la mainmise sur la LADDH à Alger», a-t-il encore accusé.  Selon Zehouane, la LADDH n’a pas bonne presse chez la FIDH en raison de sa position par rapport au conflit du Sahara occidental.  Synthèse d’après Le Soir d’Algérie. * Le titre d’El Mouhtarem

Toutes les sociétés françaises paient des commissions à des fonctionnaires algériens !

nigeriacorruption2.jpgPar Mohand 

Eva Joly sait que les corrupteurs sont connus des gouvernements.Les commissions payées à des fonctionnaires des Etats du sud peuvent être répertoriées dans chaque Etat et si on voulait agir c’est très simple.

En effet une décision de l’OCDE obligeait les Etats à mettre en place une réglementation qui permet de connaître avec précision les bénéficiaires des commissions. Ainsi toutes les sociétés Françaises par exemple qui travaillent avec des opérateurs publics algériens et qui paient des commissions déclarées comme commerciales à des fonctionnaires de l’Etat sont obligées de déclarer les bénéficiaires. A défaut, une taxe de 300% de la valeur de la commission est exigible par le fisc. Les sociétés qui déclarent les bénéficiaires, elles, sont autorisées à rentrer dans les frais commerciaux les montants payés. Un simple regard sur les comptes des sociétés travaillant par exemple en Algérie peut permettre de savoir si elles paient des commissions et combien ? On peut connaître aussi le bénéficiaire lequel doit être identifié avec précision dans les livres obligatoires de la société. Cependant et généralement se sont en effet les filiales situées dans les paradis fiscaux qui sont mandatées pour payer les commissions aux fonctionnaires. Dans ces paradis fiscaux (listes grises et noires) il n’est pas possible à quiconque d’y faire des investigations approfondies.

On utilise les filiales car en vertu des règles instituées en la matière par l’OCDE , la corruption de fonctionnaires ou l’octroi d’avantages à des fonctionnaires publics est interdit y compris ceux des pays tiers. Ceci pour la lettre mais dans les faits toutes les sociétés françaises par exemple paient des commissions à des fonctionnaires Algériens pour obtenir des marchés. Je connais quelques cas significatifs de la gabegie dans ce domaine, les sociétés françaises, belges et autres, font davantage encore, assurées d’avoir des marchés, elles gonflent considérablement les prix.

Il existe aussi des corrupteurs étrangers qui partagent des sommes considérables en bénéficiant pour une grande part des montants déclarés payés aux fonctionnaires algériens. C’est bien simple un produit qui coute 10 on le facture 20 ou plus ,  sachant que le partenaire fera tout ce qui en son pouvoir pour faire passer le marché.
Il y a également des partenaires de véritables manipulateurs qui n’ayant jamais pu réaliser des opérations semblables trouvent le moyen en Algérie d’obtenir des marchés de montants 100 fois supérieurs à leurs réalisations précédentes. Il y a également des ententes entre fournisseurs pour éviter de se concurrencer et ainsi , ils trouvent le moyen de facturer à n’importe quel prix des produits et ça passe.

Tout le monde sait que les appels d’offres ne servent que de façade, puisqu’il est arrivé que des offres sont ecartées au profit des amis de certains. Ainsi en Europe, ils poussent le bouchon plus loin encore, ils se vantent de connaître tel ou tel, par l’intermédiaire duquel ils deviennent comme par enchantement un fournisseur incontournable. Il trouve même le moyen de s’en vanter quand il a pris un verre de trop en disant: j’ai les marchés que je veux, aux prix que je veux, et ce grâce à une femme amie de tel ( tel est évidemment une personne connue de l’administration concernée…)

Lorsque j’ai entendu ces propos, j’ai fait des recherches et j’ai confirmé qu’en effet ce qu’il a dit est vrai par les données publiées dans le Bomop. J’ai eu connaissance des prix , je vous fais grace des chiffres, mais croyez moi, ils parlent d’eux-même et on n’a pas besoin d’avoir une expérience en la question pour constater le vol qualifié. J’ai vérifié également la situation d’une société qui vient de décrocher des marchés de plusieurs millions d’Euro, ce que je sais de cette société et de son gérant est ahurissant. Il est un spécialité de la tromperie et de fausses informations, les dossiers fournis sont un ensemble de données inventées, mais ça passe, les différentes commissions ne sont en fait que des outils de la manipulation, une véritable tromperie à grande échelle. Il parait qu’il connaît des hauts placés en Algérie qui font tous ses caprices … il les récompense bien, et en avance il leur offre une pinup blonde qui le suit partout, pour les aveugler.

Oui EVA JOLY dit vrai, elle parle de ce qu’elle connait mieux que quiconque. Souhaitons lui beaucoup de courage.

Avons-nous en Algérie un homme ou une femme comme Eva joly, si oui, nous pourrions l’alimenter en données assez précises, en attendant une OLAF (Office de la lutte anti fraude de l’UE) à l’Algérienne pour mettre de l’ordre et un terme aux agissements de plus en plus répandus.
Ils sont nombreux, el madhlouline, mais pour leur chance on commencera par la source c’est-à-dire les étrangers, ceux qui aiment nous traiter de tous les noms, nous les divulguerons à leur opinion publique et à leur Justice… C’est la meilleure manière pour effaroucher nos multiples brebis galeuses algériennes pour qu’elles cessent leurs traîtrises en attendant quelles rendent des comptes.

Temmar a bradé le complexe du plâtre Fleurus d’Oran !

knauf.bmpLe ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, Adelhamid Temmar, avait bradé le complexe plâtrier de Fleurus (Oran) au profit de l’Allemand KNAUF.  Ce dernier a tout fait pour se débarasser des travailleurs. Temmar n’a jamais répondu aux lettres de doléances des travailleurs, parce que de l’avis de beaucoup d’Algériens,  il est complice avec l’étranger Knauf. Le complexe du plâtre a toujours réalisé des bénéfices énormes; je ne vois pas pourquoi a-t-il été bradé à Knauf qui courait derrière lui pendant 28 ans. Temmar et les responsables ERCO SODEPAC et SOPLAF sont complices de ce bradage. Une magouille en objectif disaient tous les travailleurs. Ces derniers dénoncent le silence de l’Erco et de Tammar au sujet de leurs droits: prime de rendement et les 10%  de la cession de l’usine au profit de l’étranger.  Mon écrit est un appel de détresse de 156 travailleurs victimes de cette machination qui réclament haut et fort leurs droits bafoués par ERCO et KNAUF. Par Khaled

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