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Archive pour le 29 août, 2009

Dahbia Takerrabet, 21 ans, FFS: « Les filles ont peur de la politique « 

fille1.jpg«Depuis mon jeune âge, j’ai toujours voulu faire de la politique», confie Dahbia, rencontrée en marge du séminaire de formation organisé par le FFS à Souk El Tnine.

Ses débuts: l’université de Sétif où elle a fait sa première année universitaire. «J’ai rencontré Feirouz Bouamama, secrétaire nationale chargée de la condition féminine, qui m’a encouragée à intégrer les rangs du FFS. Mais j’étais déjà convaincue de l’importance de m’engager politiquement», raconte-t-elle. «Les filles ont peur de la politique, lorsque je demande à mes amies de s’engager dans le combat démocratique, leur réponse est: « Tu es folle !? »». Concernant ses relations avec ses amies militantes des autres formations politiques, Dahbia «essaie toujours d’éviter les sujets qui fâchent, mais nous sommes vite rattrapées par l’actualité. Elle est là, la situation déborde. Mes différends avec mes copines restent d’ordre idéologique.» Quid de ses aspirations politiques ? «Mon combat est celui du FFS, la liberté et la démocratie. Je respecterai à la lettre les décisions de mon parti, les hauts postes ne m’intéressent pas, le plus urgent à mon sens est de rétablir l’ordre dans ce pays, car nous avançons vers l’inconnu.» Par Z. A. M. El Watan.

Les Algériens n’ont-ils pas les qualités et la volonté de gérer l’autoroute est-ouest ?

autoroutealgerie.jpgPar Mohand 

Une petite observation au sujet du DG de la protection civile. Il fut l’objet il y a quelques années de dénonciations de malversations mais rien n’est fait,  il est resté inamovible. Maintenant je vois pourquoi il fait partie de l’Equipe de Larbi Belkheir. 18 millions de dollars de prêts, ils peuvent rembourser, ils en ont des centaines d’autres à l’étranger. Mais je devine ce qui va se passer: cette usine va être achetée par une firme étrangère et le tour est joué. Les barons algériens s’en tireront encore à bon compte.

Un autre gâchis se prépare en sourdine ! On a décidé de confier la gestion de l’autoroute à une firme internationale. Est-ce qu’on ne sait faire marcher que les pizzerias, nous les Algériens ? Pourquoi un appel d’offres pour confier la gérance de l’autoroute à une firme internationale ? N’est-ce pas assez ! D’un côté on se plaint que les sociétés étrangères exportent leurs résultats en millions de dollars chaque année et on dit tout le danger de cette politique pour les finances publiques, d’un autre côté, on continue dans la même voie. Après le téléphone, l’eau, les aéroports, les ports, les usines de ciment etc, voila que l’autoroute attire les vautours intérieurs et leurs complices extérieurs.

Les Algériens n’ont-ils pas les qualités et la volonté de gérer cette autoroute ? N’avons-nous pas de cadres compétents, si oui pourquoi tant d’universités, tant de formations à l’étranger… si on n’arrive pas à constituer des élites capables de rivaliser avec les étrangers.
Si pour mettre en place un péage sur cette autoroute on appelle une firme étrangère et bien on fait la même chose que pour le téléphone. Aujourd’hui on paie nos communications locales en dollar ou en euro, demain les Algériens paieront l’utilisation de l’autoroute (construite avec les fonds publics) en dinar certes mais les résultats d’exploitation seront expatriés en dollars. Ils iront enrichir encore plus les étrangers et probablement de petits malins cachés qui ont des participations dans les firmes internationales.

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La semoulerie de Larbi Belkheir sous séquestre judiciaire

larbi20belkheir20p.jpgLa cour de Ghardaïa a ordonné la mise sous séquestre des biens fonciers relevant de l’entreprise de pâtes, Sersou, propriété du général à la retraite Larbi Belkhir et ses associés. Cette décision intervient suite à une plainte de la banque Al Baraka. Le huissier de justice, qui a notifié la décision de la cour aux responsables de l’entreprise, a également signifié aux propriétaires de ne plus prendre de décisions concernant les biens de l’entreprise. Selon une source judiciaire, la compagnie poursuivra ses activités, jusqu’au remboursement de ses dettes, estimées à 100 milliards de centimes. Selon cette même source, la décision notifiée par la cour de Ghardaia, fait suite à la demande de mise sous séquestre, introduite au président de la cour de Ghardaïa par un huissier de justice territorialement compétent. 

On apprend, par ailleurs, que le directeur général de la protection civile, Mustapha Lahbiri, est l’un des actionnaires de cette société, qui emploie 800 personnes. D’après ces mêmes sources, la formule exécutoire de la décision de mise sous séquestre a été effectivement signée par le président de la cour et notifiée aux services concernés, entre autres la conservation foncière de la wilaya de Ghardaïa.  Des sources concordantes révèlent que la société à responsabilité limitée, SARL Moulins Sersou, a obtenu un crédit bancaire entre 2001 et 2002 et un autre en 2003. Le montant de ces deux crédits est évalué à 18 millions de dollars. Une dette que la société en question n’a pas honorée envers sa banque en 2006. Les responsables de l’entreprise conservent la possibilité de s’acquitter de leurs dettes. El Khabar

Pasqua accuse Juppé dans l’affaire des moines de Tibhirine

jup.bmpAlors que M. Marc Trévidic, le juge d’instruction en charge de l’affaire des moines de Tibhirine, a officiellement saisi trois ministères français d’une demande de levée du secret-défense, l’ancien ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua, dans une interview mise en ligne sur le site d’Omega TV, évoque les cafouillages franco-français dans la gestion de l’affaire.

Sous des dehors bonhomme, de celui qui fait mine de ne «raconter que ce qu’il sait», l’ancien ministre de l’Intérieur accuse pratiquement l’ancien Premier ministre, Alain Juppé, d’avoir fait échouer une tentative sérieuse d’obtenir la libération des 7 moines de Tibhirine.

Charles Pasqua, qui n’était plus ministre de l’Intérieur au moment de l’affaire des moines, raconte qu’il avait été contacté par Jean-Charles Marchiani, préfet du Var et ancien des services secrets français, qui lui a affirmé disposer des contacts nécessaires pour mener des négociations avec les preneurs d’otages islamistes et que ces derniers étaient prêt à discuter d’une éventuelle libération des religieux. Il rappelle qu’à la même période les «terroristes avaient fait passer un message à l’ambassade de France qui allait un peu dans le même sens».

Charles Pasqua dit en avoir parlé au président français Jacques Chirac qui a donné son feu vert. Marchiani qui, à l’époque, n’était plus dans les services secrets a «pris les contacts nécessaires d’une part avec les services algériens et aussi, me semble-t-il, avec les preneurs d’otages». Les choses «semblaient se développer normalement», indique l’ancien ministre de l’Intérieur jusqu’à l’intrusion d’Alain Juppé. Celui-ci, «énervé d’apprendre que Jean-Charles Marchiani» a fait une déclaration publique qui a complètement fait capoter l’entreprise.

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