Archive pour août, 2009

Italie: expulsion d’un Algérien soupçonné d’être proche des terroristes

expu.bmpUn Algérien soupçonné d’avoir fourni un soutien logistique à des membres de l’ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) a été expulsé samedi d’Italie sur ordre du ministre de l’Intérieur Roberto Maroni. D’après l’enquête du parquet de Venise, Nabil Belhouchi avait des contacts avec d’autres Algériens arrêtés en Italie et en Grande-Bretagne pour avoir fourni de l’aide à des membres de l’ex-GSPC, devenu depuis Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Il serait également proche d’une organisation qui s’occupe d’assurer un soutien logistique et financier à des personnes arrivant du Maghreb en vue de faire du prosélytisme pour la cause islamique en Italie et dans d’autres pays de l’Union européenne.

Nabil Belhouchi aurait eu, déclarent les enquêteurs, un comportement « subversif », méprisant les Italiens et les juifs et glorifiant les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. Le décret d’expulsion pour des raisons de sécurité de l’Etat et de prévention du terrorisme a été signé le 4 août par M. Maroni et deux jours plus tard l’ambassade algérienne en Italie a délivré un laisser-passer pour permettre l’entrée du suspect sur le territoire national. Nabil Belhouchi a été rapatrié à Alger par un vol au départ de Milan, dans le nord du pays, a précisé l’agence. AFP

Palestine: Abbas réélu à la tête du Fatah

abbas.jpgLe Fatah a réélu samedi le président palestinien Mahmoud Abbas à la tête du Fatah, au cinquième jour de son premier congrès en 20 ans marqué par des débats houleux sur les moyens de revitaliser cette formation. Les quelque 2.000 délégués, qui participaient au congrès dans la ville de Bethléem, en Cisjordanie, ont voté à l’unanimité à main levée pour M. Abbas, a annoncé le président du congrès, Othman Abou Gharbiyé. 

Enseignement supérieur: Vendredi restera un jour de repos officiel

hraoubia.jpgLe ministre de l’Enseignement supérieur et de la  Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, a souligné samedi à Alger que le vendredi restera « un jour de repos officiel » alors que le samedi sera une  journée de repos, appelant les responsables du secteur à s’organiser dans ce sens. Le ministre a indiqué « qu’afin de lever toute ambiguïté à ce sujet,  le vendredi restera un jour de repos officiel pour le secteur de l’enseignement  supérieur, tandis que le samedi sera un jour de repos et les responsables des  établissements sont appelés à s’organiser et revoir leur planning pour bien  gérer cette situation et récupérer les cours données jeudi dans l’ancien système ». Il a précisé, à ce propos, que « la nouvelle rentrée universitaire sera après le mois sacré de Ramadhan ».   

Italie: l’immigration clandestine est désormais un délit

haraga.jpgLa loi italienne durcissant la lutte contre la criminalité et l’immigration clandestine, qui est désormais passible d’une   amende de 5.000 à 10.000 euros, est entrée officiellement en vigueur samedi avec la publication dans le Journal officiel des décrets d’application. La loi, adoptée définitivement par le Parlement italien début juillet, prévoit ainsi que l’entrée ou le séjour illégaux sur le territoire italien deviennent un délit et soient passibles d’une amende de 5.000 à 10.000 euros. Le séjour des immigrés clandestins dans les centres d’identification et d’expulsion passe de deux à six mois tandis que les personnes louant un logement aux clandestins ou les hébergeant risquent jusqu’à trois ans de prison. Les autres mesures de cette loi controversée prévoient également un   « registre des sans-abri » qui seront fichés par le ministère de l’Intérieur ou l’introduction de rondes de citoyens pour assurer la sécurité dans certains quartiers de grandes villes, rapporte l’AFP.

L’imbroglio politique «franco-algérien» et ses «enchères» dans l’économie mondiale.

boutef1.jpgPar A.By 

Une des clés de la voûte, sans doute, de l’énigme du pouvoir occulte algérien semblait partiellement avoir été, quelque peu, repérée comme un «mirage américain» lors d’une parution unique – non reprise par aucun média nulle part ailleurs – d’un «intrus petit filet» d’une rubrique confidentielle d’un tabloïd français, après la tenue du sommet du GATT – ancêtre de l’OMC – en Mai 1994 aux États-Unis.

D’après cette «confidence» non complètement détaillée par le contenu dudit «petit-filet», et parait-il avant l’aparté «décisif», lequel devait réunir Bill Clinton et François Mitterrand avant le début officiel du sommet, le directeur de la CIA de l’époque, James Woolsey, avait soit disant préalablement «renforcé» les atouts de négociations de son président – dixit: «pour l’aider, au cas où, à faire “plier diplomatiquement” son habile homologue, le vieux renard français, ancien ministre de l‘intérieur de l‘ancienne Algérie Française» – en l’informant d’un dossier très actif à l’époque et jusqu’à date maintenu ultraconfidentiel, traitant justement de la compréhension de raisons occultes et manipulatrices des derniers soubresauts politiques majeurs des années 1988-1992 qu’avait vécu l‘Algérie après sa «fracture démocratique» du coup d‘état non avoué de Janvier 1992, incluant même un «bonus de taille» dans cette «saga tragique politico-algérienne aux ordres», entre autre, un précieux «soupçon» issu du même renseignement à ne pas négliger, à propos de l’identification probable et finale des réels principaux commanditaires de l’assassinat voulu «spectaculaire» du président algérien Mohamed Boudiaf le 29 Juin 1992. Et enfin pour «corser» l’ensemble du dossier en question, la CIA rajoutait – comme une cerise sur un gâteau – une révélation sur les probables dessous de l’affaire du « suicide » louche et incompréhensible de l’ancien premier ministre socialiste français, Pierre Bérégovoy le 01 Mai 1993.

Quelque soit la véracité, la fiabilité ou même la manipulation intoxicante des «atouts» suggérés par James Woolsey à son président, un premier «bémol» flagrant et important était à relever et ce ne serait pas été «délibéré ou gratuit» de la part de la CIA pour ne pas le motiver: c’est que cette dernière avait englobé «volontairement» et à juste titre sans «confusion» les deux événements – «atouts-jokers» – dans une synthèse générale commune de renseignements, avec comme toile de fond une vieille réalité algérienne, encore défaillante et tragique, comme s’il y avait une insinuation, sans relâche aux yeux de l’agence américaine, d’une corroboration d’un quelconque «cordon ombilical» qui devait encore exister et persister, sous une autre facette, entre La France d’aujourd’hui et son ancienne colonie, l’Algérie, «souveraine» depuis bien voila presque 50 ans.

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Le président Bouteflika demande la réouverture du dossier d’enquête du général Saidi Fodil

5afgenerauxalgeriemafia.jpgPar Cherfaoui.K. 

Le général Saidi Fodil fut de loin l’un des meilleurs directeurs de la DDSE, un des départements des services secrets algériens. Dès son accession  à la tête de cette direction, il avait engagé de sérieux remaniements dans le fonctionnement de ce département en introduisant de nouvelles formes quant au traitement de l’information. Le plus surprenant surtout c’est qu’il avait essayé de mettre fin à certaines pratiques héritées concernant les nominations aléatoires aux postes de chefs des bureaux de sécurité (BS) dans les ambassades algériennes à l’étranger, le plus souvent au prix d’une altercation avec ses supérieurs le général de corps de l’armée Toufik et le feu général-major Lamari Smain chef du contre espionnage. 

Saidi fodil a exercé en pas mal d’occasions sous le couvert du ministère des Affaires étrangères, se forgeant de cette façon une redoutable réputation de négociateur et de diplomate. C’est l’homme par qui est venue la résolution du conflit des Touaregs d’Algérie, un conflit qui risquait d’embraser des territoires entre l’Algérie, le Niger et le Mali, en ouvrant les portes de l’ingérence française qui n’attendait que cette occasion rêvée pour faire du conflit un cheval de bataille voulant surtout raviver la question identitaire Kabyle. 

Le général Saidi fodil a réussi en étant à la tête de la DDSE des coups de maître en mettant à jour un réseau d’espionnage au profit de la CIA impliquant un officier du DRS en poste à l’ambassade d’Algérie en Turquie. De même qu’il avait réussi d’autres coups d’éclats comme celui de la récupération d’un dossier classé, renfermant des preuves de l’implication d’un officier des services algériens en poste à Ankara (Turquie). 

Même avec le sérieux coup de pousse de l’ancien président Liamine Zeroual, le général Saidi Fodil ne pouvait pas faire le poids  face au Généraux Mediene Toufik et  Lamari Smain, ceci pour de nombreuses raisons, comme l’absence totale d’un service opérationnel armée relevant de l’autorité directe de Saidi fodil. Ce qui mettait la DDSE en position de fragilité face à la DCE et la DCSA, ce qui révélait l’incapacité de la DDSE à engager des opérations à caractère juridique ou armées.

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La presse algérienne: banditisme intellectuel, lâcheté et Djezzy !

belhimer.jpgPar Mahmoud Belhimer, ancien rédacteur en chef-adjoint d’El Khabar et fondateur d’El Fedjr 

Je tiens d’abord à saluer et encourager les journalistes qui travaillent encore en Algérie dans des conditions médiocres et essayent de dire des vérités malgré tout ce que vous connaissez.

Effectivement, les gens comme la personne que vous venez de citer (Anis Rahmani), (je n’ose pas citer son nom), ont donné à notre presse l’image de «banditisme intellectuel». Ils ont détourné et trahi les sacrifices de Omar Ouartilane, Said Mekbel, Allaoua, Tahar Djaout, Smail Yefsah… En fin de compte, ils ont aidé le pouvoir à mettre la presse dans sa poche en négociant notre liberté contre la rente. Ils ont confisqué une liberté chèrement payée par les Algériens.

Mais, je veux bien qu’ils s’affrontent de cette façon par torchons interposés. Nous allons tous découvrir des choses, bien que leurs histoires sont si connues et visibles. Maintenant,  j’aimerai bien qu’Ennahar écrira sur El fedjr, journal dont je suis membre fondateur et rédacteur en chef-adjoint durant deux ans. Sa directrice, Hadda Hazzam, qui se présente comme une femme moderne, démocrate et militante des droits et des libertés, m’a obligé à aller chercher un travail dans un autre journal pour subvenir à mes besoins.  Elle m’a privé de mon salaire en me disant: «Toi tu est actionnaire, donc tu n’as pas le droit à un salaire». Je lui ai dit que je ne peux pas vivre comme ça et qu’elle doit faire la différence entre être salarié et être actionnaire. Il fallait attendre 4 ans pour percevoir les dévidendes… Lorsqu’on j’ai réclamé mes droits, elle m’a chassé du journal que j’ai crée avec d’autre amis. Lorsque j’ai quitté El Fedjr, Hadda Hazzam a fait appel à Anis Rahmani qu’elle insulte aujourd’hui. Avec mon ami Zaidi (llah irahmou), elle nous a traîné devant les tribunaux pendant 3 ans, pour récupérer nos salaires d’une année. Et pour nos actions, elle s’est accaparée de la totalité.

J’ai vécu aussi un autre problème lié à la pression qu’exerce sur la presse les pouvoirs financiers. Ces derniers menacent notre presse jusqu’à sa mise à genoux. Vous connaissez tous un certain Hamid Grine, directeur de la communication de Djezzy. Ce monsieur, fort de sa position de distributeur de la mane publicitaire: pages de pub, puces, voyages, a « colonisé » tous les journaux (TAHANHOUM). Il est le vrai rédacteur en chef; il peut même licencier des journalistes, les affecter et choisir ceux qui couvrent les activités de Djezzy. La presse a fait de lui un grand romancier dépassant les écrivains connus comme Rachid Boudjedra et…le grand Balzac !!. Le malheur est que toute la presse a accepté de sacrifier sa liberté contre quelques téléphones mobiles, pages de pub offertes par Grine. Les patrons des journaux acceptent TEHIN et ERROUKHSS. La presse algérienne peut critiquer Toufik, l’homme fort du DRS,  mais jamais Djezzy. Comme écrivait un jour mon ami Hassene Moali d’Elwatan. !!

Hamid Grine a crée beaucoup de problèmes à des journalistes honnêtes qui refusent de collaborer avec lui dans ce jeux de bandits et de rentiers, comme mon ami Faycel M’djahed de Liberté, qui a du quitter son journal à cause de lui. Et bien sûr, moi aussi il essayait de me créer des problèmes lorsque j’été rédacteur en chef adjoint à El khabar. Il a demandé à mes responsables de me licencier si non Djezzy cessera de donner la pub à El khabar. Une menace d’asphyxier financièrement puisque les revenus de la pub de DJezzy à El khabar dépassent les 2 milliards de centimes par mois !! Heureusement que les responsables du journal étaient à mes cotés.

Je vais partager avec vous ces SMS que j’ai eu à échanger avec ce «Grand écrivain romancier» que je garde pour l’histoire de notre presse.

Hamid Grine, chargé de la communication à Djeezy, m’envoie un message le lundi 13 mars 2006 à 22h 30mn, voici le texte: «Tu censure nos communiqués, j’en informe Ali» (Ali est le PDG d’El khabar). Ma réponse par  SMS: «Réponse: 1. c’est moi qui ai insisté pour que le communiqué sortira demain. 2. Daz Maahoum Anta waali djerri Taak 3. Je suis responsable à El khabar et je ne serais jamais un esclave de Djeezy. 4. et fin, je ne vais jamais être acheté par une puce, portable, dîner, ou même un voyage à l’étranger. Mahmoud Belhimer». Hamid Grine, envoie ce message à mes responsables à El khabar et m’envoie un autre SMS: «C’est un message de voyou, je ne m’abaisserai pas à ton niveau, On ne joue pas dans la même division, je demanderai des sanctions à Ali que tu insultes.».

Ma réponse par SMS: «1. le voyou c’est ce lui qui menace un journaliste pour publier un communiqué. 2. le niveau ? Oui,, un Huntington de Djeezy qui se croit le seul détenteur du monopole du savoir! 3. Ta division, c’est les Zéro. 4. et fin. Encore une fois, Daz Maahoum 200 pour 100. Mr Belhimer ».  Himid Grine continue dans la provocation et l’insulte par SMS toujours, et envoi ceci. «Nedjma te paye combien». (J’ai un numéro Nedjma) J’ai décidé de ne pas répondre après insistance de mes responsables.

Voila mes amis une histoire parmi autres, mais ce que je souhaite est qu’Allah me donne le temps et la santé pour écrire sur ma modeste expérience. J’aimerai bien que des collègues, ouled familiya, fassent la même chose.

Réduction de 50% des tarifs de la billetterie maritime durant la ramadhan…

ould.jpgLes tarifs de la billetterie maritime seront réduits de 50% durant le mois sacré du ramadhan au profit de la communauté algérienne établie à l’étranger, a annoncé vendredi le ministre de la Solidarité  nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, Djamel Ould Abbès.  »Tous les Algériens et Algériennes qui veulent passer le mois du ramadhan ici en Algérie bénéficieront d’une réduction de 50%, quelle que soit leur tranche d’âge  ou leur fonction », a-t-il déclaré. Ould Abbès a indiqué que cette réduction sera appliquée « pendant tout le mois du ramadhan ».  Il a tenu à saluer cette initiative décidée par l’Entreprise nationale  du transport maritime des voyageurs (ENTMV) en faveur des ressortissants en  provenance de Marseille, d’Alicante et de Barcelone.

Gabon: Affrontements entre manifestants et policiers

bongo.jpgPlusieurs personnes ont été blessées lors de violents affrontements qui ont opposé vendredi à Libreville des manifestants aux forces de l’ordre après la dispersion d’un rassemblement interdit par les  autorités gabonaises. Ces heurts ont éclaté après la dispersion dans la matinée par les forces de l’ordre d’un rassemblement de plusieurs centaines d’opposants qui demandaient la démission du gouvernement du ministre de la Défense Ali Ben Bongo, fils du  défunt président Omar Bongo et candidat à la présidentielle du 30 août. Les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes contre les manifestants  qui ont répliqué par des jets de projectiles. Plusieurs personnes ont été blessées, selon les journalistes sur place. Jeudi, une coalition d’une dizaines de candidats à la présidentielle  avait annoncé pour vendredi une marche afin de demander la démission de M. Bongo.  Les autorités ont déclaré jeudi soir que cette marche était interdite.

Le Niger dit « oui » à l’allongement du mandat du président Tandja

tandja.jpgLes Nigériens ont approuvé l’adoption d’une nouvelle Constitution permettant de prolonger le mandat du président Mamadou Tandja lors du référendum tenu mardi, selon le résultat annoncé vendredi par la commission électorale (Céni). Le « oui » l’a emporté avec 92,50% des votes, a annoncé le président de la Céni Moumouni Hamidou lors de la cérémonie de proclamation officielle des résultats. Le taux de participation à la consultation a été de 68,26%, a-t-il   précisé. L’opposition, qui dénonce depuis des semaines un « coup d’Etat » du président, avait appelé à boycotter le référendum.  Quelque six millions de Nigériens étaient convoqués aux urnes mardi pour se   prononcer sur l’adoption d’une nouvelle Constitution devant permettre à Mamadou  Tandja, 71 ans, de se maintenir au pouvoir trois ans de plus, puis de se   représenter autant de fois qu’il le souhaite. La Constitution actuelle impliquait qu’il se retire le 22 décembre, à la   fin d’un second quinquennat consécutif. Les résultats annoncés vendredi par la commission électorale doivent être   validés par la Cour constitutionnelle, rapporte l’AFP.

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