Archive pour août, 2009

A quand la primauté du politique sur le militaire ?

5afgenerauxalgeriemafia.jpgLa conscience nationale doit prendre conscience du fait que la POLITIQUE est un élément indispensable dans la société et que la société ne peut fonctionner sans cet élément, auquel cas notre pays sera l’otage perpétuel de cette vision militaire qui ne se soucie guère de l’avenir POLITIQUE de nos enfants. 50 ans après la tenue du congrès de la Soummam, on se retrouve avec les mêmes interrogations, le même état d’esprit qu’ont ces dirigeants militaires qui n’assument toujours pas leurs erreurs, leurs échecs et leurs inconsciences malgré la ruine totale du pays sur tous les plans. 

Comment une institution militaire qui n’arrive pas à mettre un terme àune poignée de «terroristes» se permet de détenir un pouvoir politique, décide et gère le destin d’un peuple entier ? Comment des acteurs POLITIQUES qui peuvent construire notre maison ALGERIE sont exclus de toutdébat ar pratiquement le même personnel militaire qui a grippé la révolution et assassiné des intelligences politiques pendant et après la révolution ? Comment peut-on expliquer qu’une poignée de gradés ont dévié cette institution militaire de sa véritable mission, qui est celle d’assurer au peuple la sécurité et le maintien de l’ordre et non de s’impliquer dans des décisions politiques dont on voit bien les résultats.

La tradition du régime militaire est de gommer tous ceux qui incarnent l’engagement politique, par cela privé le peuple, qui a pourtant fait la révolution, de son droit de décider lui-même de son propre destin, comme l’ont espéré nos ainés pendant la révolution. Le combat ne doit pas s’arrêter là;  il faut rendre le pouvoir au peuple, c’est cela le RESPECT à ces millions de braves qui ont donné leurs vies pour qu’on vivent libres et dans une démocratie propre à nous.

La classe politique doit se déterminer à travers un Manifeste politique qui va permettre de concrétiser la primauté du politique sur le militaire et lutter avec détermination contre l’instrumentation de notre armée, par cela permettre aux forces de pensées politiques de se projeter dans un projet politique qui coïncide profondément aux racines culturelles du peuple ALGERIEN.

Par Mohand Tahar MOHAMMEDI

Transport universitaire: L’ETUSA de retour !

etusaligne.jpgL’entreprise publique des transports urbain et suburbain d’Alger (ETUSA), s’apprête à réassumer, une part du transport universitaire à partir de la prochaine rentrée 2009/2010. «Le cahier des charges est en cours de finalisation entre la tutelle et le ministère de l’enseignement supérieur, pour la prise d’une part de marché du transport des oeuvres sociales universitaires à Alger», à indiqué au Courrier, Aït Namane Athmane, chargé de communication de l’ETUSA.

Zehouane Hocine (Z.H) adhère à l’organisation de Seif El-Islam Kadhafi

kadafi.jpghocinezehouane6953.jpgL’aile Hocine Zehouane (ZH) de LADDH a intégré la Coalition arabe pour la démocratie, le développement et les droits de l’homme, présidée par Seif El-Islam Kadhafi. La LADDH que préside Bouchachi attire l’attention de l’opinion publique et des partenaires nationaux et internationaux sur le fait que des personnes en manque de légitimité et de visibilité se réclamant de la ligue ont associé le nom de la LADDH à la Coalition arabe pour la démocratie, le développement et les droits de l’homme. Une organisation créée par et pour le fils du guide libyen, Seif El-Islam Kadhafi. El Mouhtarem

La LADDH (Bouchachi) reconnue par la FIDH

boucha.bmpLa Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) que préside Mostefa Bouchachi a été reconnue, le 3 août dernier, par le bureau international de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) comme la plus représentative. Ce qui constitue un désaveu pour l’aile rivale présidée par Hocine Zehouane. El Mouhtarem

Louisa trébuche et heurte Abdelmadjid

louisa.jpgsidi1.jpgQuelques jours après cette communication imaginaire, Abdelmadjid rappelle Louisa pour lui faire part de sa position. Une position qui a failli faire mouche car depuis plus personne n’ose dire que je suis…
 
Par Karim Aimeur
 
-Allo Abdelmajid, c’est Louisa qui est au fil !
-Bonjour Louisa, qu’est-ce que tu fait ?
-Eh bien, je suis entrain de penser à émettre une position sur la loi de finance complémentaire 2009.
-Qu’est-ce que tu veux que je te dise, Louisa ?
-Ecoute, j’ai pensé que le syndicat que tu présides défend les intérêts des travailleurs et le parti que je préside est le Parti des travailleurs. A partir de ce constat, j’ai décidé de te demander conseil à propos de cette Loi.
-Très bien Madame. Permet-moi de te dire que moi aussi je suis entrain de penser à la position à adopter. Je t’avoue même que je ne sais plus comment agir: engager ma position personnelle au nom de l’UGTA ou celle de l’UGTA en tant que syndicat.
-Tu sais Abdelmadjid, on est tombé dans le même pétrin. Moi également je ne sais pas trop si je parle en mon nom ou au nom de mes militants.
-Eh bien Louisa, tu attends quelques jours et une fois ma position engagée tu suis, Ok ?
-Mais Ya Madjid, il faut agir vite sinon l’opinion se posera ensuite des questions sur le retard que nous aurons pris.
-D’accord Louisa, entre temps, je te rappelle.

Quelques jours après cette communication, Abdelmadjid rappelle Louisa pour lui faire part de sa position. Une position qui a failli faire mouche car depuis plus personne n’ose…
- Bonsoir Louisa, je m’excuse pour t’avoir déranger en cette heure tardive de la nuit, mais il a fallu que je t’appelle.
-Ok, Madjid, y a-t-il de nouveau ?
-Ecoute, après plusieurs soliloques j’ai fini par décider d’engager ma position personnelle en soutenant la loi du Gouvernement.
-Si cette réponse que j’attends mon ami, car entre temps, moi aussi j’ai décidé d’apporter mon soutien sans consulter personne.
-Dits moi donc, Louisa, comment nous allons faire pour…
-Eh bien, tu invites la presse pour demain matin et tu rends public ta position. Je te suis dans au moins quarante huit heures, en invitant toujours les journalistes qui se chargent de faire connaître ma position.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les deux interlocuteurs ont émis, par la voix de la presse, leur position respective. Seulement Louisa veut que le Gouvernement explique davantage sa loi et elle prend contact avec Karim.
-Bonjour Karim ! Je viens de soutenir ta loi mais je veux que tu l’expliques davantage.
-Ok Louisa, je le ferai après demain dans une longue interview avec la presse.

Qui est Abdelaziz Belkhadem ?

belkha.jpgVoici en quelques lignes de la biographie maléfique du sinistre Belkhadem dont l’accoutrement sur la photo revêt l’hybridité du personnage.

Il a commencé sa carrière d’enseignant à SEUGGER dans l’ouest algérien avant qu’il ne devienne responsable administratif d’un établissement scolaire. A la fin des années 70, il est nommé directeur d’un établissement scolaire à BOUSFER grâce à ses accointances avec le parti cynique de l’époque le FLN. La chance de sa vie, l’a eu bienfait de la présence dans l’établissement scolaire de la fille aînée de l’un des chefs d’une Zaouia de MOSTAGANEM répondant au nom de HALIMA BOUROUKBA. C’est lors de l’inspection d’un projet militaire, en tant que chef de la seconde région militaire que le Colonel CHADLI BENDJEDID, futur président, rencontra la fameuse Dame lors d’une cérémonie familiale tenue chez un notable de la région. La chance, pour ne pas dire la baraka, tomba du ciel sur le Sieur KHADEM qui était convié en tant que représentant de la KASMA sur le quota du Wali. Sentant la faiblesse du Colonel pour la dame que le responsable de la S.M chargea El KHADEM d’approcher la fameuse dame. Ce qui est fut depuis tout le monde connaît la fin de l’histoire.

En devenant président, CHADLI ramena El KHADEM au secrétariat de la présidence. En tant qu’arabophone, il était chargé de l’administration arabe. Depuis, El KHADEM a fait son chemin. D’un simple rabatteur au poste de premier ministre. L’histoire lèvera le voile opaque sur ses personnages d’un autre âge. Nous sommes plus puissants qu’eux, ils sont contrôlés, nous sommes indépendants. Ils sont les serviteurs de leur maîtres qui les ont crées, nous sommes maîtres de notre destin. Ils sont la nuit, alors que nous sommes le jour. Il sont synonyme du malheur, nous les porteurs d’espoirs. Il n y a point de secret que le temps ne révèle. Par Jeff

Le CNAPEST demande un salaire de 10 millions de centimes

salaire.bmpLe Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (CNAPEST) demande un salaire mensuel minimum de 10 millions de centimes. Citant une étude réalisée lors de la session nationale tenue le mois d’août de l’année passé à Béjaïa, le CNAPEST continue de revendiquer «un relèvement des salaires à un niveau minimum de 101 812,00 DA». Selon Messaoud Boudiba, secrétaire national de l’information, «cette rémunération est amplement méritée par les enseignants qui font actuellement face à des conditions de vie difficiles».

Vous êtes la pire espèce que la planète a eu le malheur de recevoir

belkhadem2500389553729.jpgPar Ammi Said 

Si nous additionnons ces millions de dollars que les mercenaires qui nous gouvernent volent, nous trouverons la somme exacte de 500 milliards de dollars, qui manquent à notre pays et qui sont gagnés à la sueur de son sol. Des hommes qui se disent fiers d’être Algériens, défenseurs acharnés de nos constantes nationales, soucieux des intérêts suprêmes de la nation, soucieux du bien-être, de la dignité et de la paix au sein de la population et sauveurs de l’unité du peuple, ne sont, en réalité, que des bandits de la misère, du déshonneur et de la pire espèce humaine que la planète a eu le malheur de recevoir sur sa terre.

Ils sont souvent des ignorants, têtus et sans aucune conscience qui leur permettra de voir, au moins, l’ampleur des dégâts qu’ils ont causés et qu’ils continuent à causer chaque jour. Ils sont des lâches et des profiteurs car ils se cachent quand ça chauffe et deviennent des lions quand ils nous voient diviser, tourmentés par les soucis de la misère dont laquelle ils nous ont plongé et terrorisés par la puissante peur qui nous interdit de se révolter, de crier, de demander des comptes et de s’unir pour devenir une force capable, pacifiquement, de les déloger des lieux où ils vivent heureux, en sécurité et rassurés pour l’éternité.

(Lire la suite)

Imporation: A propos des trois modes de paiement

importation.bmpPar Mohand 

Je suis au regret de redire que le credoc peut être libéré à terme, tout dépend de la manière dont il a été formulé au départ. Je m’inscris en faux quand on dit que les 3 modes de paiement sont traçables de la même manière.

Par ailleurs le crédit fournisseur peut effectivement être donné pas seulement pour les remdoc et les paiements libres, ils peuvent l’être pour les credoc de la même façon.
L’immobilisation des montants à l’émission des credocs peut l’être comme il peut ne pas l’être, tout dépend de la qualité, de l’importance et des habitudes de l’importateur ainsi que les relations professionnelles qu’il entretient avec sa banque et ses fournisseurs.

Il faut ajouter une autre raison qui motive en faveur du credoc, dans la liste des documents qui permet le paiement du fournisseur, il y a notamment un document très important: le certificat de conformité exigé pour tout importation. Ce document n’est pas exigé pour les paiements libres, ce qui laisse la porte ouverte à toutes les manipulations, les falsifications, et surtout l’envoi de n’importe quoi sans aucun contrôle de qualité. Il ne faut pas se leurrer, aux départs il n’y a pas de contrôle strict notamment quand les marchandises sont destinées à l’ Afrique du nord ou à l’Afrique noire… ils disent ce n’est pas nécessaire, c’est pour l’Afrique. Je ne vais pas détailler ces aspects et les idées conçues.

Des trois modes de paiements, le credoc peut être utilisé pour préserver les intérêts du client et du pays, encore faudrait-il que les opérateurs l’utilisent à bon escient en mettant des garde fous suffisants sans bloquer son opérationalité. Quand au coût du credoc , certes le credoc irrevocable et confirmé coute relativement cher (et ce en fonction du risque pays). Pour l’Algérie,  il coute autour de 3 % du montant hors transport. Pour le Credoc sans confirmation, ce dernier est aussi valable et contraignant pour le fournisseur, il ne coute moins de 100 € tous frais compris:  courriers, swift, fax et modifications éventuelles confondus. En Algérie,  il coute autour de 3000 DA. Si j’étais importateur, je préférerai un credoc qui me donne le pouvoir de suivre et de mettre des gardes fous, même si il me coute quelques centaines de DA supplémentaires.

(Lire la suite)

LSP: Détournement et scandale à Béjaïa

logementlsp.jpgDes proches du Chef de cabinet de l’ex- Wali et de hauts cadres du ministère de l’Habitat ainsi que des joueurs de la JSMB et du MOB ont bénéficié et revendus, pour certains, en catimini des logements destinés à une catégorie sociale bien précise.  L’ancien DFC de l’OPGI suspendu par l’ancien P-dg pour avoir dénoncé le scandale dans les attributions de ce type de logements,  a exhibé des dossiers dans lesquels figurent des élus de l’APW qui ont bénéficié de ces logements ainsi que d’autres personnes proches de hauts cadres du ministère de l’Habitat et des proches de l’ancien Pdg.

Le projet de réalisation de 390 logements LSP au quartier de Tala Ouryan en plein centre-ville de Béjaïa a été inscrit en 2002. L’attribution de ces logements aux élus de l’APW a eu lieu le 17 avril 2005; c’est la raison pour laquelle l’homme par qui le scandale est arrivé qui est cet ancien DFC ; s’interroge si ces élus ayant bénéficié de ces logements étaient inscrits dans le lot des autres souscripteurs c’est-à-dire avant le lancement du projet ou étaient-ils sur une liste d’attente au cas où des postulants se désisteraient. Ces attributions ont eu lieu à l’époque de Rachid Fatmi ancien wali de Béjaïa muté à Souk Ahras.  Synthèse d’El Mouhtarem d’après Le Courrier

1...678910...14

FRONT NATIONAL - Bouches-du... |
Mouvement des Jeunes Social... |
15ème circonscription du No... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sagvar, le Roman Noir de la...
| Sarkophage
| UES - Claude WEBER