Le colonel Fewzi n’est plus en service ?
Par El Mouhtarem « Algérie Politique »
Nous apprenons d’une source informée que le colonel du DRS chargé des « relations » avec la presse, Fewzi, n’est plus en service. Par ailleurs, nous apprenons que le dossier réalisé par le quotidien Le Jeune indépendant sur la presse algérienne a été commandé par un certain Farouk (!). Pour rappel, le Jeune indépendant dont le directeur est un ancien machiniste au niveau d’une imprimerie, a consacré un dossier à la presse algérienne en réaction à un article d’El Watan rapportant une déclaration de Abdelaali Rezagui qui a remis en cause l’indépendance des journaux algériens. En effet, lors d’une soirée organisée par le quotidien Algérie News, M. Rezagui a affirmé que la presse en Algérie est dirigée par un seul rédacteur en chef « Benaknoun » en référence au colonel Fewzi. Dans son éditorial, le DP du Jeune indépendant a rendu hommage à « Benaknoun » et remercié au passage « Djezzy » et « Nedjma » pour le soutien qu’ils apportent à son journal.
On envoie des billets courts qui peuvent agrémenter votre site et diversifier les opinions exprimées.Ce n’est pas des commentaires longs et lassants.Je ne comprends pas pourquoi on les refuse.
Dernière publication sur L'expertise Auto , le Droit des Assurés : ESP pour véhicule ,c'est quoi?
Est-il vraiment responsable? peut-on honnêtement lui mettre tout sur le dos? N’a-t-il pas en réalité des chefs intraitables qui lui donnent les ordres? Pour le moins, ne partage-t-il pas cette responsabilité avec d’autres ? On peut penser en effet qu’un vrai cadre de l’Etat n’exécute pas les instructions les yeux fermés; sans apprécier les conséquences sur les hommes et les biens et sans s’assurer de la conformité de ces actes par la loi et la morale.
Mais franchement le nombre d’hommes et de responsables qui ferment les yeux sur le droit, qui ferment les yeux sur les délits quand à la morale c’est pour les autres , c’est à dire nous, ils sont nombreux dans les rouages de gestion et dans les organes de contrôle et même dans les arcanes politiciennes algériennes que sont l’APN et le Senat.
Il est certes l’un d’eux, les seules cironstances atténuantes qui existent dans son cas est que c’est un militaire, et les autres non. Les ordres militaires s’exécutent ils ne se discutent pas.
Sur un plan plus général, cette décision si elle s’avère exacte, est une erreur sur le plan tactique mais aussi sur le plan humain. Sur le plan tactique, les décideurs ceux qui l’on prise et approuvée confirment ce qu’on avait peine à généraliser, c’est à dire que la Presse est aux ordres et que nombre de journalistes et de responsables de presse sont en fait des agents au service d’une propagande et non des hommes de conviction qui défendent leurs opinions et leurs idées.
Sur le plan humain, ce colonel ne peut se défendre de cette décision qui tomberait d’en haut.
Pourquoi donc tous ceux qui pillent l’Algérie, qui salissent l’image du pays ne font pas l’objet même pas de réprimande. Pourquoi donc aucune autorité, au vrai sens du terme ne corrige les fautes, ne sanctione les délits ni ne participe à la construction d’un Etat de droit?
Décidement tous n’en veulent pas. Tous ne veulent pas que le citoyen lambda puisse demain se défendre et s’opposer quand il a raison à quiconque l’incrimine, le vole, ou lui refuse un droit. La meilleure preuve : ecrivez au Président de la République ou à un quelconque responsable, signalez lui des erreurs, des cas invraisemblables, des injustices criardes, des passes droits terribles, des vols ouvertement opérés, des favoritismes à couper le soufle, des disfonctionnements outrageant, des attitudes pueriles de grands administrateurs de l’Etat etc… normalement chaque cas soumis est un dossier à ouvrir et à qualifier puis à sanctionner. Chez nous vous ne verrez rien se produire, le silence dans le meilleur des cas, et dans certains autres cas c’est l’accusateur qui devient accusé. Enfin bref, ceci dit, entre le colonel déchu Fawzi que d’aucun qualifie de « lumière » dans son rôle , et les frères du Président , je pencherai pour le colonel qui a gravit les échelons par l’ancienneté et non par un coup du hasard. Lorsque nous saurons et les journalistes pourront en parler sans peur d’être démasqués des agissements de ceux la et de certaines personnes qui se disent prochent du centre du pouvoir (c’est à dire Bouteflika et ses frères) alors on mesurera le dégré de lachete des hommes qui s’attaquent à l’un pour mieux camoufler les agissements des autres. Certains disent il est le Directeur de « publication de la Presse algérienne dans son ensemble » , mais qui donc lui a confié cette mission, qui donc l’encourage dans cette voie depuis de longues années? Si effectivement on désapprouve ses agissements il aurait suffi d’un ordre et ou d’un texte de loi et tout le systême se mettra à reconsidérer et changer son fonctionnement pour penser arriver à une démocratie populaire et une république. Mais que fait Said dans son cabinet doré, ne fait il plus aussi de la manipulation et de la dissimulation?
L’information c’est le domaine des hommes de la Presse qui ont choisi ce job exigeant. Les renseignements et la défense des intérêts supérieurs de l’Algérie c’est le rôle des services secrets. La justice enfin, un arbitre sans oublier les politiques qui doivent tracer le chemin et définir l’avenir.
Au lieu de ça on continue comme à l’accoutumée à bricoler et à casser des hommes d’un coté et de l’autre on érige en intouchables une multitude d’opportunistes ignares. Pour vous persuadez regardez la liste des nouveaux ambassadeurs et consuls, sans oublier les walis.
J’avais décidé de ne pas parler de ce cas en particulier, parceque son départ éventuel ne change rien au fonctionnement dirigiste de toute l’Algérie.
Tu fais ce que je dis mais tu ne fais pas ce que je fais.
Toute la politique de l’Algérie se résume à ça. Et tant que c’est cela, je désespère de mon pays. Le colonel Fawzi aurait sauté, parcequ’il aurait permis que des pigistes lancent des pavés dans la marre. On s’en fout d’ailleurs si c’est vrai ou pas. On sait qui vole qui se remplit les poches, qui peut tout faire sans être inquiéter, ils sont nombreux il forment une caste, cette caste est le mal de l’Algérie et tant qu’elle existe, elle fera que la masse sera traitée de gueux par des arrivistes sans foi ni loi, sans vertu, sans coeur et sans ame, ils n’ont que leurs avoirs et ils sont fiers d’apparaitre comme tels…
En Algérie il ne faut pas réveiller les démons, mon Colonel, il faut les laisser se gargariser et se ventrer en prenant tout ce qui est possible de prendre sans en parler. Qu’un Ministre soit dénoncé pour la concussion dont il aurait brillé, qu’un Président d’APN (se délecte de ses milliards pris indument) qu’un wali escros se pavanne dans Alger la blanche (la grise) d’un bureau à un autre et d’un ministère à autre, qu’un ministre se répand de son caractère régionaliste en favorisant les amis et les proches, et qu’au passage il se sucre, qu’un SG, le proche des proches, gave ses contacts de marchés sans compter et sans aucune retenue et dans l’illégalité la plus totale (les fournisseurs tous le savent, mais ils observent une certaine réserve pour le moment) tout cela procéde d’une certaine logique qui n’éveille aucune réaction.
Le fait d’avoir laisser se produire un tentative de réglement de compte entre deux clans opposés,et alors tout se met en branle et il faut bien chercher dans la tête que quoi calmer les ardeurs des autres éventuels qui s’aviseraient d’emprunter cette voie salvatrice et utile portant. Cette voie qui veut qu’il faut dénoncer les cas de concussions, de vols et de mauvaises gestion.
Au lieu d’enquêter, de juger, de démettre les vrais loups cachés dans la bergerie, on prend au hasard une personne dont on dit qu’il est le maître des fées et on lache les chiens pour le mordre. A aucun moment et dans aucun écrit des opposants à commencer par le Maol, je n’ai rencontré dans mes lectures sur l’Algérie, que ce Colonel s’est constitué une fortune indue, ou que cet individu a participé à tel ou tel massacre. Je demande à voir. Ce n’est pas le cas de beaucoup d’autres dont les noms couvrent les forums et les articles des associations d’opposition. Pendant ce temps les loups continuent leurs oeuvres sans souci.
Je tiens à rassurer les internautes, je ne prends pas le parti d’un au détriment des autres, je pense en toute conscience et j’écris en toute bonne foi. Ce qui m’intéresse c’est l’Algérie, mes ennemis sont les voleurs qui brandissent des menaces et qui pensent pouvoir agir à leur guise, se sont ceux la les vrais ennemis de l’Algérie, mais qu’une personne dans le cadre de ses fonctions se prend pour goebels , et voit toute la meute à ses pieds, on est presque tenté de lui trouver des circonstances atténuantes. Les journalistes dits « libres » par contre eux ils n’en ont pas , car ils trompent leurs auditoires alors qu’ils ne devraient pas. On ne peut^meme pas dire que c’est des erreurs passagères, des erreurs tout le monde en fait. Qui n’en fait pas des erreurs ? Pour ne pas faire il faut ne rien faire. Mais pour certains c’est devenu une habitude quotidienne.
Encore faut il en outre préciser c’est quoi une faute dans cette Algérie où tout le monde ment.
Quant au colonel « savant » il se retrouvera sans doute sous peu dans une Ambassade ou un autre poste plus stratégique encore, il ne sera pas chomeur encore moins demandeur d’asile comme certains de ses amis.
Quoiqu’il en soit, nous continuerons avec j’espère plus de vigueur maintenant que le mois sacré est passé à parler de ce qui fache et de ce que nos « poursuivants » n’aiment pas qu’on aborde. Nous le ferons avec plus de détails encore. Nous pourchasserons les loups jusqu’à en faire de brebis à la merci de la justice, lorsqu’elle se réveillera. Nous les prendrons par le bout d’où ils ne s’attendent pas, celui de leurs corrupteurs. Dans un prochain commentaire , nous éveillerons encore plus les consciences et nous donnerons les détails qui croustillent comme dit la pub. Notre chance est qu’ils ne peuvent rien changer. Ni la pression, ni rien d’autre. Ce qui temperera nos actions c’est lorsqu’enfin ils changeront eux mêmes d’attitude en arrêtant de salir l’Algérie en la mettant au banc des nations malaimées.
saha aidkoum à tous.
Mohand
Cher frère Mohand,
Tu sais bien que ceux qui profitent à fond des richesses de notre pays et de son peuple, n’ont pas, peut-être, à des rares exceptions participé directement, aux assassinats, aux violations de nos lois, aux usurpations de toutes sortes et aux mensonges qu’ils ont instauré dans tout le pays.
Ils ont, malins qu’ils sont, toujours utilisé des Algériens et des Algériennes pour nous détruire, détruire notre économie, nos valeurs et notre unité.
Pour ne pas réciter tout leurs méfaits du plus grand au plus petit, du plus nocif au plus futile et du plus grave au plus supportable.
C’est la politique du moindre mal qui fait le nid des guerres, des crimes barbares dans tout les domaines (economique, sociale, psychologique…) et de la justice impitoyable pour les victimes, les innocents et les fragiles et de l’impunité totale pour les vrais coupables, ceux qui manoeuvrent dans l’ombre, qui ont les mains de PILATE et qui planifient toutes les horreurs (et, ce n’est pas ce qui manque dans notre histoire, notamment, la plus récente, car les dernières horreurs dont notre pays est victime sont le fruit des actes, des intentions et des paroles des frères).
Tout les envahisseurs directs ont quitté notre pays. En réalité, nous sommes responsables de nos réussites et de nos échecs, de nos bonheurs et de nos malheurs et de nos divisions et de nos unions.
Je ne pense pas que le peuple Algérien dans sa grande majorité, soit interressé par tel ou tel coupable, par la vengeance, par l’injustice envers tel ou tel de ses enfants qui lui a fait du mal, ni par l’exigence de la perfection envers ceux qui le dirige, le protège et le guide, ni par la haine définitive et noire envers ceux et celles qui ne cessent pas de les humilier, de les voler, de les écraser, les massacrer…
Tout les verbes qui font mal quand ils sont conjugués par des personnes sans foi, ni loi. Des hommes sans principes, sans élan patriotique, sans honte, sans morale, sans raison, sans amour pour leur prochain (c’est à dire l’humain : notre coeur est fait de la même chair, les mêmes émotions, les mêmes désirs, les mêmes rêves, en somme nos différences sont multiples mais notre coeur est le même) et sans
capacité de se remettre en question, de changer et de devenir honnête, juste et sincère avant que la mort ne vienne reprendre ce qui lui revient (l’âme, le souffle de dieu, ce qui fait mouvoir et ce qui fait vivre, l’énergie psychique, spirituelle, intellectuelle…qui fait qu’une sculpture à la forme humaine se met à bouger, à penser, à faire, à décider, à créer, à inventer, à aimer et à haïr, à construire et à détruire…).
Le degré de responsabilité dans le mal que nous faisons subir(en tant que Algérien et Algérienne), est différent. Il y a les commanditaires, les commanditaires des commanditaires, les acteurs: les tueurs, les voleurs, les menteurs, les flatteurs, les fraudeurs, les tortionnaires, les destructeurs, les manipulateurs, les falsificateurs, les souteneurs, les protecteurs, les hypocrites, les trafiquants, les parasites et les complices (par omission, par soumission, par oubli, par désintérêt, par le silence, par la peur, par la fuite, par la non dénonciation, par la non révolte, la non opposition…). Nous sommes tous et toutes quelque part responsable de notre situation actuelle. Nous devons tous et toutes réagir et se mettre au travail.
Nous devons toutes et tous refuser de les servir, de continuer à les croire et de les suivre dans leurs délires et leurs folies. Quelque soit le rôle et la place que nous occupons (militaires, policiers, gendarmes,cadres, journalistes, ouvrier, menuisier, universitaires, instituteur, imam, historien, juge, citoyen…).
Une race d’hommes honnêtes, justes, patriotes et désireux de servir le peuple et le pays doit émerger pour prendre en main les destinées de notre pays et enfin l’orienter vers la liberté, la justice, la liberté, le mérite, la solidarité, la fraternité, la paix, la modernité, la véritable démocratie, la dignité de tous et de toutes et la prospérité. Et, ensuite, l’histoire jugera avec justice saine et indépendante, la responsabilité des uns et des autres et je suis sur et certain que le peuple Algérien peut pardonner plus que nous pouvons l’imaginer. Surtout s’il est certain que la violence, le crime, la haine, la hogra, le mépris, la terreur…ne seront plus admis dans notre pays.
Merci, pour toutes les informations et les analyses que tu nous offres car elles sont d’une qualité humaine élevée et elles ne permettent de voir plus clair dans la maladie qu’ils nous ont inoculés.
Aïd mabrouk à toi, ta famille, tes amis et tes proches wa antouma koul 3am bilkhir.
AID MABROUK à toutes et à tous
Fraternellement
Cher frère Mohand,
Des centaines D’Algériens et d’Algériennes, compétents, honnêtes et patriotes, d’ici et d’ailleurs et prêts à prendre la voie de la clarté, de la justice, du mérite et du courage existent. Ils(elles)sont réels et ils ne demandent qu’à se mettre au travail pour commencer à construire un état respecté et respectable. Un état respecté par ses enfants et par les pays étrangers. Je t’avoue avoir failli être désespéré pour mon pays durant la période où nos élites, nos cadres et nos frères et soeurs qui étaient un exemple pour les citoyens du fait de leur amour pour la vérité, notre pays et son peuple et qui étaient les éveilleurs de conscience et les formateurs des générations qui seraient appeler à continuer sur la voie qu’ils avaient tracé. Mais, maintenant, je suis rassuré car je vois que d’autres qui sont de leurs vaines et qui ont l’Algérie dans leur coeur commencent, petit à petit, à apparaître, à se parler, à se rapprocher, à s’unir et à devenir de plus en plus nombreux. Tout ça pour dire que l’espoir renaît, grandit, se fortifie, se solidifie et si diffuse dans les consciences et les esprits. Si les usurpateurs de notre pays, de notre histoire, de nos richesses et de nos valeurs ont agit comme ils l’avaient fait, notamment, ces derniers années, c’est à dire, avec une violence extrême, une barbarie impitoyable et une inconscience, jamais égalée, dans l’histoire de l’humanité, c’est parce qu’ils avaient peur de perdre leurs privilèges bassement matériels et ainsi gagner la place qu’ils méritent. Celle de rien, celle de la traîtrise et du mensonge et celle qu’une justice libre et indépendante doit, normalement, leur réservée pour tout les crimes qu’ils avaient commis, sciemment et pour rester les maîtres d’un pays auquel ils n’avaient rien offert quand il fallait s’engager. Comme, tu le dit si bien, maintenant, ils sont dévoilés, ils agissent à visage découvert, ils se dénoncent eux mêmes, ils ne trouvent plus où se cacher, ils savent plus quoi dire. Personne les croit, personne ne leur fait fait confiance, ils n’ont pour soutien que la force, l’intrigue, la fuite en avant et ceux qu’ils payent, encore, gracieusement, pour continuer à respirer. La messe est dite pour eux, ce n’est qu’une question de temps. Cela chose que j’espère, c’est l’unité de toutes les bonnes volontés, un combat pacifique et un agenda de travail qui ne dependra plus du leur. Laissons les dans leur bulle et avançons vers la délivrance, la dignité, la liberté et vers le serment de ceux qui s’étaient sacrifié pour l’indépendance de notre pays. L’heure de la vérité s’approche, j’espère qu’elle terrassera tout les menteurs, les voleurs, les hypocrites, les parasites, les criminels, les pervers…qui ont profité, au maximum, de notre pays et de son peuple.
Fraternellement à toutes et à tous