Algérie: Les vancances du SG d’un ministère coûte 40.000 euros !
El Mouhtarem « Algérie Politique »
Le secrétaire général d’un ministère algérien a passé ses vancances annuelles dans un luxueux hôtel à Genève. Selon le quotidien El Khabar qui a rapporté l’information, le séjour helvétique a coûté une somme de 40.000 euros à notre SG et son épouse.
ya si el mouhtarem avec tt mes respects pour tes sacrifices et la lutte pour denoncer ce regime mafieux ,cela n est k un detail parmi les details tt le monde sait ke notre pauvre algerie n est k un vulgaire bordel ou tt est permis cela est pour le dignostic , ce ke je cherche comme le reste des algeriens c le remede ou est la solution
Si des preuves existent, il faut les montrer et denoncer en citant des noms
Je voudrai partager cet article d’un journaliste algérien au Monde, il est révélateur de l’ambiance en Europe. A ceux simples citoyens (mais pas les SG qui passent des vacances à 40.000 €) réflechissent bien avant de prendre le large. Il est trop long mais agréable à lire. Bonne lecture. Mohand.
« Moi, Mustapha Kessous, journaliste au « Monde » et victime du racisme
Brice Hortefeux a trop d’humour. Je le sais, il m’a fait une blague un jour. Jeudi 24 avril 2008. Le ministre de l’immigration et de l’identité nationale doit me recevoir dans son majestueux bureau. Un rendez-vous pour parler des grèves de sans-papiers dans des entreprises. Je ne l’avais jamais rencontré. Je patiente avec ma collègue Laetitia Van Eeckhout dans cet hôtel particulier de la République. Brice Hortefeux arrive, me tend la main, sourit et lâche : « Vous avez vos papiers ? »
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Trois mois plus tard, lundi 7 juillet, jour de mes 29 ans. Je couvre le Tour de France. Je prépare un article sur ces gens qui peuplent le bord des routes. Sur le bitume mouillé près de Blain (Loire-Atlantique), je m’approche d’une famille surexcitée par le passage de la caravane, pour bavarder. « Je te parle pas, à toi », me jette un jeune homme, la vingtaine. A côté de moi, mon collègue Benoît Hopquin n’a aucun souci à discuter avec cette « France profonde ». Il m’avouera plus tard que, lorsque nous nous sommes accrédités, une employée de l’organisation l’a appelé pour savoir si j’étais bien son… chauffeur.
Je pensais que ma « qualité » de journaliste au Monde allait enfin me préserver de mes principaux « défauts » : être un Arabe, avoir la peau trop basanée, être un musulman. Je croyais que ma carte de presse allait me protéger des « crochets » balancés par des gens obsédés par les origines et les apparences. Mais quels que soient le sujet, l’endroit, la population, les préjugés sont poisseux.
J’en parle souvent à mes collègues : ils peinent à me croire lorsque je leur décris cet « apartheid mental », lorsque je leur détaille les petites humiliations éprouvées quand je suis en reportage, ou dans la vie ordinaire. A quoi bon me présenter comme journaliste au Monde, on ne me croit pas. Certains n’hésitent pas à appeler le siège pour signaler qu’ »un Mustapha se fait passer pour un journaliste du Monde ! »
Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom lorsque je me présente au téléphone : c’est toujours « M. Kessous ». Depuis 2001, depuis que je suis journaliste, à la rédaction de Lyon Capitale puis à celle du Monde, « M. Kessous », ça passe mieux : on n’imagine pas que le reporter est « rebeu ». Le grand rabbin de Lyon, Richard Wertenschlag, m’avait avoué, en souriant : « Je croyais que vous étiez de notre communauté. »
J’ai dû amputer une partie de mon identité, j’ai dû effacer ce prénom arabe de mes conversations. Dire Mustapha, c’est prendre le risque de voir votre interlocuteur refuser de vous parler. Je me dis parfois que je suis parano, que je me trompe. Mais ça s’est si souvent produit…
A mon arrivée au journal, en juillet 2004, je pars pour l’île de la Barthelasse, près d’Avignon, couvrir un fait divers. Un gamin a été assassiné à la hachette par un Marocain. Je me retrouve devant la maison où s’est déroulé le drame, je frappe à la porte, et le cousin, la cinquantaine, qui a tenté de réanimer l’enfant en sang, me regarde froidement en me lançant : « J’aime pas les Arabes. » Finalement, il me reçoit chez lui.
On pensait que le meurtrier s’était enfui de l’hôpital psychiatrique de l’endroit : j’appelle la direction, j’ai en ligne la responsable : « Bonjour, je suis M. Kessous du journal Le Monde… » Elle me dit être contente de me recevoir. Une fois sur place, la secrétaire lui signale ma présence. Une femme avec des béquilles me passe devant, je lui ouvre la porte, elle me dévisage sans me dire bonjour ni merci. « Il est où le journaliste du Monde ? », lance-t-elle. Juste derrière vous, Madame : je me présente. J’ai alors cru que cette directrice allait s’évanouir. Toujours pas de bonjour. « Vous avez votre carte de presse ?, me demande-t-elle. Vous avez une carte d’identité ? » « La prochaine fois, Madame, demandez qu’on vous faxe l’état civil, on gagnera du temps », riposté-je. Je suis parti, évidemment énervé, forcément désarmé, avant de me faire arrêter plus loin par la police qui croyait avoir… trouvé le suspect.
Quand le journal me demande de couvrir la révolte des banlieues en 2005, un membre du club Averroès, censé promouvoir la diversité, accuse Le Monde d’embaucher des fixeurs, ces guides que les journalistes paient dans les zones de guerre. Je suis seulement l’alibi d’un titre « donneur de leçons ». L’Arabe de service, comme je l’ai si souvent entendu dire. Sur la Toile, des sites d’extrême droite pestent contre « l’immonde » quotidien de référence qui a recruté un « bougnoule » pour parler des cités.
Et pourtant, s’ils savaient à quel point la banlieue m’était étrangère. J’ai grandi dans un vétuste appartement au coeur des beaux quartiers de Lyon. En 1977, débarquant d’Algérie, ma mère avait eu l’intuition qu’il fallait vivre au centre-ville et non pas à l’extérieur pour espérer s’en sortir : nous étions parmi les rares Maghrébins du quartier Ainay. Pour que la réussite soit de mon côté, j’ai demandé à être éduqué dans une école catholique : j’ai vécu l’enfer ! « Retourne dans ton pays », « T’es pas chez toi ici », étaient les phrases chéries de certains professeurs et élèves.
Le 21 décembre 2007, je termine une session de perfectionnement dans une école de journalisme. Lors de l’oral qui clôt cette formation, le jury, composé de professionnels, me pose de drôles de questions : « Etes-vous musulman ? Que pensez-vous de la nomination d’Harry Roselmack ? Si vous êtes au Monde, c’est parce qu’il leur fallait un Arabe ? »
A plusieurs reprises, arrivant pour suivre un procès pour le journal, je me suis vu demander : « Vous êtes le prévenu ? » par l’huissier ou le gendarme en faction devant la porte du tribunal.
Le quotidien du journaliste ressemble tant à celui du citoyen. Depuis plusieurs mois, je cherche un appartement. Ces jours derniers, je contacte un propriétaire et tombe sur une dame à la voix pétillante : « Je m’appelle Françoise et vous ? » « Je suis M. Kessous « , lui répondis-je en usant de mon esquive habituelle. « Et votre prénom ? », enchaîne-t-elle. Je crois qu’elle n’a pas dû faire attention à mon silence. Je n’ai pas osé le lui fournir. Je me suis dit que, si je le lui donnais, ça serait foutu, qu’elle me dirait que l’appartement avait déjà été pris. C’est arrivé si souvent. Je n’ai pas le choix. J’hésite, je bégaye : « Euhhhhh… Mus… Mustapha. »
Au départ, je me rendais seul dans les agences immobilières. Et pour moi – comme par hasard – il n’y avait pas grand-chose de disponible. Quand des propriétaires me donnent un rendez-vous pour visiter leur appartement, quelle surprise en voyant « M. Kessous » ! Certains m’ont à peine fait visiter les lieux, arguant qu’ils étaient soudainement pressés. J’ai demandé de l’aide à une amie, une grande et belle blonde. Claire se présente comme ma compagne depuis cet été et fait les visites avec moi : nous racontons que nous allons prendre l’appartement à deux. Visiblement, ça rassure.
En tout cas plus que ces vigiles qui se sentent obligés de me suivre dès que je pose un pied dans une boutique ou que ce vendeur d’une grande marque qui ne m’a pas ouvert la porte du magasin. A Marseille, avec deux amis (un Blanc et un Arabe) – producteurs du groupe de rap IAM -, un employé d’un restaurant a refusé de nous servir…
La nuit, l’exclusion est encore plus humiliante et enrageante, surtout quand ce sont des Noirs et des Arabes qui vous refoulent à l’entrée d’une boîte ou d’un bar. Il y a quatre mois, j’ai voulu amener ma soeur fêter ses 40 ans dans un lieu parisien « tendance ». Le videur nous a interdit l’entrée : « Je te connais pas ! » Il aurait pourtant pu se souvenir de ma tête : j’étais déjà venu plusieurs fois ces dernières semaines, mais avec Dida Diafat, un acteur – dont je faisais le portrait pour Le Monde – et son ami, le chanteur Pascal Obispo.
Fin 2003, je porte plainte contre une discothèque lyonnaise pour discrimination. Je me présente avec une amie, une « Française ». Le portier nous assène le rituel « Désolé, y a trop de monde. » Deux minutes plus tard, un groupe de quinze personnes – que des Blancs – entre. Je veux des explications. « Dégage ! », m’expédie le videur. La plainte sera classée sans suite. J’appellerai Xavier Richaud, le procureur de la République de Lyon, qui me racontera qu’il n’y avait pas assez d’ »éléments suffisants ».
Que dire des taxis qui après minuit passent sans s’arrêter ? Que dire de la police ? Combien de fois m’a-t-elle contrôlé – y compris avec ma mère, qui a plus de 60 ans -, plaqué contre le capot de la voiture en plein centre-ville, fouillé jusque dans les chaussettes, ceinturé lors d’une vente aux enchères, menotté à une manifestation ? Je ne compte plus les fois où des agents ont exigé mes papiers, mais pas ceux de la fille qui m’accompagnait : elle était blonde.
En 2004, une nuit à Lyon avec une amie, deux policiers nous croisent : « T’as vu le cul qu’elle a ! », lance l’un d’eux. « C’est quoi votre problème ? » rétorqué-je. Un des agents sort sa matraque et me dit en la caressant : « Il veut quoi le garçon ? » Le lendemain, j’en ai parlé avec Yves Guillot, le préfet délégué à la police : il m’a demandé si j’avais noté la plaque de leur voiture. Non…
En 2007, la brigade anticriminalité, la BAC, m’arrête sur les quais du Rhône à Lyon : j’étais sur un Vélo’v. On me demande si j’ai le ticket, si je ne l’ai pas volé. L’autre jour, je me gare en scooter sur le trottoir devant Le Monde. Je vois débouler une voiture, phares allumés : des policiers, mains sur leurs armes, m’arrêtent. Je leur dis que je travaille là. Troublés, ils me demandent ma carte de presse, mais pas mon permis.
Des histoires comme celles-là, j’en aurais tant d’autres à raconter. On dit de moi que je suis d’origine étrangère, un beur, une racaille, un islamiste, un délinquant, un sauvageon, un « beurgeois », un enfant issu de l’immigration… Mais jamais un Français, Français tout court. »
des noms, please, des noms !!!!
Le remède? Dévaliser une pharmacie de toutes ses solutions liquides, se mettre au régime en faisant attention aux détails des notices d’emploi, et surtout éviter les alentours des bordels
salut j’ai déjà le nom de la personne il faut juste penser bien !!!!……????
Cher Mohand, j’ai moi aussi été interpellée, et fortement, par ce cri du coeur de ce journaliste algérien du quotidien le monde.
c’est fou ce que des personnes « typées » peuvent endurer. Un bon arabe, c’est comme celui décrit bêtement par cette dame qui pensant rassurer Brice Hortefeux s’était exclamé: c’est notre petit arabe. Il mange du cochon et il boit de la bière …
sauf que l’arabe en question ne l’était pas puisque kabyle …
alors quand on additionne tous ces amalgames scandaleux on est saisi par un profond écœurement. Près de 50 ans après notre indépendance, le regard ne semble pas avoir changé.
Alors, et même si comparaison n’est pas raison, quand on voit la soumission de leur « petit arabe » qui à aucun moment ne s’est senti insulté et l’a clamé urbi et orbi, quand on voit la débâcle arabe à l’Unesco ou le lobby que l’on sait a plus pesé que des regroupements géo-politiques conséquents, il est urgent de marquer un arrêt sur l’image et de se demander où et à quel niveau ça a foiré.
Imaginons un instant, un seul instant, que Hortefeux se soit essayé à ce genre d’humour gras avec un français de confession juive. mama mia, le tollé que ça aurait provoqué !!! et là, on n’aurait pas plaisanté avec la question de son départ du gouvernement.
Le – malheureux – candidat égyptien au poste de DG de l’UNESCO vous dira ce qu’il en coute de se frotter aux seuls sémites qui ont réussi à s’imposer au point de faire et de défaire des candidats pourtant adoubés par des pays souverains !!
Nous aussi sommes sémites, dans notre grande majorité, mais quand on nous agresse on n’appelle pas cela de l’antisémitisme, crime entre les crimes, mais seulement du racisme, qui, ma foi, quand il touche aux arabes,devient de l’humour, une simple maladresse et que sais-je encore !!
au fond, nous n’avons que ce que nous méritons.
Et si vous aviez des noms,qu’en feriez-vous?Ou bien est-ce juste une affaire de curiosité?Tqar3idj comme se plaisent à dire nos jeunes!!!
S.V.P cessez de plaisanter en réclamant des noms!
Cher Mohand,
histoire de rebondir après votre initiative louable sur le racisme dont est victime ce journaliste algérien du monde, ainsi que sur ma réaction à cela.
Incidents des plus édifiants. Je vous livre l’article du Post :
« Des gendarmes accusent leur hiérarchie de les avoir traités de « bougnoule » et « nègre »
Le Post
Ces six militaires accusent leur hiérarchie de racisme et de discrimination.
Ils font tous partie de la gendarmerie mobile de Versailles-Satory, dans les Yvelines.
Et tous les six, ont envoyé un courrier à la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde).
Dans ce courrier, les militaires demandent qu’une enquête soit diligentée.
Les six gendarmes sont parfaitement conscients que leur requête pourrait entrainer des « représailles », selon leur propre terme…
Que s’est-il passé ?
Selon eux, ils se feraient régulièrement traiter de «bougnoule» ou «nègre» et seraient l’objet d’humiliations répétées par certains supérieurs.
Mais encore ?
Selon Le Parisien, lors d’une cérémonie officielle, un capitaine a trempé dans la bière les galons de sous officiers qu’il devait remettre à deux gendarmes de confession musulmane puis leur a demandé d’ouvrir la bouche pour y accueillir les galons imbibés d’alcool.
Le service de communication de la gendarmerie confirmerait que « des propos totalement inappropriés » auraient été tenus par un capitaine.
Un capitaine aurait été «lourdement sanctionné », selon les autorités militaires. »
Taos, bonjour, très pertinent ton article concernant les Français d’Origine étrangère qui se révoltent, en pays de droit, ils ont une chance de se faire entendre. Mais revenons si tu veux bien au sujet de ce SG qui brade les fonds publics en villégiature helvitique. Je pense que citer des noms est une formule qui éveillera les consciences et l’opinion publique saura pour mieux se situer dans l’avenir … car le passé est pourri de ce genre de faits. Dans un pays où les dirigeants ne sont astreints à une aucune limite, à aucune morale, ni à aucune loi. On est mal venu de nous attaquer aux autres nations quand chez c’est la course aux délipations. Je pense que parler des voleurs c’est une methode qui permet de leur faire porter le vrai habit qu’ils doivent avoir celui de délinquant économique et d’escro de grands chemins.Je respecte les riches qui se sont fait riches par leur acharnement au travail, par leurs idées , je ne peux que vilipender les autres surtout lorsque l’Etat leur a tout donner. Un article dans périscoop du Soir d’Algérie, m’a fait sursauter , une dame d’un ancien président a mis en vente une villa mise à sa disposition par l’Etat, elle demanderait plus 60 milliards ! Elle fait ce que d’autres cadres ont fait avant elle. Ils volent les biens publics , puis les vendent aux tradendistes , pour aller s’établir en d’autres lieux. Il y a également maintenant des nouveaux riches qui font les nababs à l’étranger avec l’Algérie du peuple. C’est pourtant simple , on sait qui s’est puisqu’on l’a dénoncé sur le site. Il doit être mis au pilori et il doit rendre ce qu’ils soustrait aux finances publiques en empruntant des vois et en appliquant des methodes connues. Dans un pays de droit les faits signaler ici et ailleurs sont analyser, vérifier et les auteurs sanctionnés. En Algérie on fait rien, car les chefs eux mêmes se sont ceux qui volent encore plus.
Pour être moins généraliste je dirai cher taos , toi qui veut des noms, pour
moi et pour beaucoup d’observateurs c’est évident. Qui se soigne en Suisse, qui a plusieurs comptes numérotés en Suisse, qui part souvent se reposer en Suisse, qui a des amis en Suisse…Il y a plusieurs noms , mais un nom se distingue du lot. Ils sont 4, l’un des 4 est SG, à mon avis c’est lui. C’est donc Bouteflika Nasser.
Il aurait, selon le site transparence, réunis plusieurs millions d’Euro, de plusieurs de ses fournisseurs connus,(voir les commentaires publiés par ailleurs), 40.000€ c’est du pipi pour lui. Par ailleurs je mettrai ma main à couper que la facture est libellée au nom d’un de ses hommes de mains avec lequel il partage d’ailleurs, il s’appelle B.J , il est l’homonyme exact du bi national judoka (celebre) Bouras Jamal (fonctionnaire au Ministère)
Quand on donne des dizaines de millions de marchés , illégalement, en ne respectant pas le code des marchés qui prescrit de choisir le moins disant, il y a for à parier que les fournisseurs paient grassement leurs bienfaiteurs …
de toute manière , les étrangers sont gagnants, puisqu’en plus de leur marge normale dirais-je, ils facturent des produits beaucoup plus chers voici quelques exemples :
.Un photocopieur gestetner noir et blanc à plus de 16.000 €
.Un climatiseur monobloc 9.413,60 € son prix moins de 700 €
.Climatiseur bi-split 16.329,70 €
.Comptoir frigorifique 0 à 2° 17.613,10
.Deshumidificateur 11.598,50 € il coute 3000 au plus.
.Thermopompe 17.645,30 € elle coute au plus 2000 € etc.
Comme ils sont surs de leurs coups, car les encaisseurs algériens demandent le paiement sous forme d’avance, surtout pendant cet été , car ils étaient pressés, le reste à la concretaisation des opérations. De plus, les fournisseurs corrupteurs sont malins ils se réservent une partie de la commission en fraudant le fisc de leur pays, pour s’en convaincre il suffit de consulter leur comptabilité en ligne. Ils utilisent les sociétés off shore pour des factures et des contrats de complaisance. Les fournisseurs risquent 10 ans de prison en vertu de la loi Française par exemple et 150.000 euro d’amende, parfois également leur bannissement de certaines organisations étatiques et internationales.Leurs concurrents peuvent également se constituer partie civile et demander des dommages et intérêts. Les Algériens concernés ne risquent rien, c’est pourquoi ils continuent. Ils nous disent indirectement Rouhou atchatkiou à qui vous voulez. Personne ne les inquiétera, pour le moment! c’est là où le bas blesse. Je parie que les chaudrons sont bouillonnant, ils cherchent à nous atteindre pour empêcher quiconque de les suivre à la trace. J’espère que le El mouhtarem saura déjoué les inquisiteurs et les fouineurs. Bientôt une lettre ouverte sur ce sujet brulant. Tant que les voleurs sont aux commandes, rien ne nous arretera. Et nos dénonciations iront en augmentant, j’espère aussi que les citoyens ayant des cas à soumettre à la discussion ne reflechissent plus encore longtemps avant de se jeter à l’eau. Allah yahfadh houm, car ils feront du bien, c’est une forme de jihad pour le bien contre le mal.Il faut les mettre au pilori et les ridiculiser tous.
Sce transparence.
@ MUSTAPHA KESSOUS,
« ARBI ARBI OUA LOU KAN LE COLONEL LAABI BEN DAOUD »
Cela me rappelle une anecdote qu’un de mes oncles qui a vecu depuis les années 40 en france jusqu’à les années 70 en rentrant au pays ,à l’époque j’étais au primaire, il m’a raconté l’histoire suivante:
« Un algerien qui a été marié à une francaise a eu le grade de colonel dans l’armée francaise et a fait une féte pour marquer l’évenement,le moment de la féte la réaction de sa femme était la suivante » TU ES UN ARABE POURQOI TU AS FAIT LA FETE » et lui en tant que vrais arabe il s’est retiré dans sa chambre il a pris le stylo et il a écrit: »ARBI ARBI OUA LOU YAKOUN LE COLONEL LAARBI BEN DAOUD », puis il a pris le pistolet et il s’est tiré deux balles dans la tete »
M.MUSTAPHA je ne vous encourage pas de faire la meme chose que lui mais UN HOMME AVERTI EN VAUT DEUX !
Salut,
« Limachilik i3ayik »= « Ce qui n’est pas tient, ne te fera pas de bien ». Je ne comprends pas pourquoi vous vous pliez à quatre juste pour passer de l’autre côté de la barrière. le jour où vous vous annoncez comme étant Français musulman, arabe ou kabyle et fier de l’être et que vous arrêtez de vous justifier auprès de ceux qui ne savent même pas se laver le cul..ce jour là, le mal ne vous atteindra pas. Vous tenez à être reconnu comme étant français alors que vous ne l’êtes que par les papiers tel que celui qui tient à la vie. Apprenez un peut ce que c’est « El Iza » La fierté d’être ce que vous êtes!!! Enfin, certains rejettent leurs origines à tel point où les autres les rejettent car leur auto mépris les rattrape par tout où il se trouvent..sans rancune, soyez juste fier de vos origines..c là même le début du respect des autres envers vous…
Rabah , je suis à 100% d’accord avec vous. Nous vivons tous les jours des situations abracadabrantes et cette non reconnaissance découle en partie de notre attitude mais il y a sans doute aussi du racisme prononcé de certains !!!
C’est aussi le propre de l’homme en général qui veut être mieux que ces semblables et alors on constate des inepties tout à fait ignobles et invraissemblables.
Sur un plan plus général comment donc peut on se renier, au plan humain, intrinsquement puis au milieu de communautés qui te le rappellent tous les instants. On est marqué au fer en quelque sorte, nous avons aussi nos gènes et cela personne ne peut nous changer. Certaine decisions intéressées pour se fondre dans la masse, se retournent contre nous comme un boomrang et ça fait mal au coeur.
Algérie : soupçons de corruption autour du suédois Ericsson
Les autorités algériennes enquêteraient actuellement sur les conditions ayant permis à l’équipementier suédois de télécommunications Ericcson de remporter ces dernières années une série de contrats avec l’opérateur mobile Mobilis, filiale d’Algérie Télécom.
Selon une source proche du ministère de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, ces contrats auraient été conclus de gré à gré, contrairement à la procédure qui prévoit des appels d’offres.
Selon un audit externe d’Ernst & Young, Mobilis aurait agi de la même manière que les autres opérateurs mobiles à travers le monde, en choisissant un fournisseur unique pour son réseau, sans passer par la procédure de l’appel d’offres.
Ericsson est déjà soupçonné en Algérie d’avoir embauché l’homme d’affaires et ancien député proche du mouvement islamiste Hamas, Djilali Mehri, pour pouvoir négocier et obtenir des contrats dans le pays.
L’enquête est toujours en cours d’instruction.
les initiales du sg,c’est pas N B par hasard?