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Archive pour le 3 octobre, 2009

Algeria: Brutte notizie per i blogger

intern.jpgUn article de  »Internazionale » (24 septembre 2009)

http://www.internazionale.it/home/?p=6857

“Passa le sue giornate a scrivere per un quotidiano filogovernativo. Quando finisce di lavorare e torna a casa, però, diventa El Mouhtarem, autore di uno dei blog di commento politico più popolari in Algeria. Fino a oggi El Mouhtarem, che nascone il suo vero nome per evitare di essere riconosciuto dalle autorità, è stato libero di scrivere i suoi post, e i suoi lettori liberi di commentarli. Anche se ha ricevuto delle minacce di morte anonime, non ci sono mai stati tentativi da parte del governo di censurare il suo blog, Algérie-politique”.

Le cose però, racconta il New York Times, potrebbero presto cambiare. “Sta per essere approvata una legge che mette la rete sotto un ristretto controllo, e i blogger come El Mouhtarem sono nervosi. Per quanto la misura sia ufficialmente rivolta a combattere il ciberterrorismo e i crimini telematici, molti sostengono che il linguaggio vago della legge possa essere usato per mettere in discussione la libertà di parola in rete”.

Fino a questo momento i blogger non sono mai stati percepiti come una minaccia dal governo algerino, anche perché solo una piccola minoranza di cittadini usa internet. “La blogosfera algerina è molto meno dinamica e critica di quella marocchina, tunisina o egiziana: niente di lontanamente comparabile all’utilizzo e alla diffusione della rete tra i giovani iraniani, per esempio”.

La nuova legge sulla rete rischia di colpire un settore, quello dell’informazione, che non gode di ottima salute. “L’Algeria ha alcuni quotidiani privati che forniscono diversi punti di vista, ma la maggior parte di loro dipende dal governo per la stampa, la distribuzione e la pubblicità. Le autorità puniscono con gran severità la diffamazione e i giornalisti rischiano spesso di essere denunciati. Le tv e la radio, poi, rimangono interamente sotto il controllo del governo”.

Ataïlia, Khalifa Bank et les 3000 milliards !

atailia.jpgPar Toufik 

A un mois du scandale de Khalifa Bank, le général à la retraite Mohamed Ataïlia, qui possède au moins 3000 milliards de centimes, et ses deux fils ont retiré tout leur argent de cette banque. Même son beau-frère qui était leur partenaire dans la commercialisation de la bière en a fait de même. Comment ont-ils pu sauver leur argent sale, je donnerais la réponse la prochaine fois. Alors tant pis pour les pauvres épargnants qui ne sont pas proches du cercle présidentiel.

Quand on a des milliards en banque on n’habille pas ses enfants avec du rebut !

fripe.jpgMohand pour « Algérie Politique » 

Si la friperie a pris de l’importance c’est aussi un signe de pauvreté. On oublie de dire AUSSI que ce genre de produits peuvent véhiculer des maladies de tout genre. Les sociétés de récupération ne font aucune désinfection, elles ne font que la collecte et le tri des articles que les citoyens européens leur donnent gratuitement. Ainsi une multitude de sociétés sont nées, elles sont spécialisées dans l’exportation. Certaines font du reconditionnement d’autres ne font que des balles et chargent les conteneurs pour l’export…
Voici une fourchette des prix :
. Non triés: 0.60 à 0.80 € le kg
. Triés : 1 à 2 € le kg
. Produits de marque: 4 à 5 € le kg.

Si l’Algérie a importé pour 13 millions de dollars c’est-à-dire 9.100.000 € si on fait un petit calcul en prenant en compte seulement les produits non triés, nous aurons 2166 conteneurs de 20 pieds. C’est beaucoup d’invisibles-assurance et transport- sans parler des sur-facturations jeu favori des trabendistes qui blanchissent l’argent en faisant de fausses déclarations. A mon avis ces produits sont à mettre sur le même pied d’égalité que les produits chinois (nocifs et dangereux pour certains).

Que deviennent la Sncotec, Sonitex, l’usine de DRAA BEN KHEDA, les confectionneurs privés et publics réputés qui ont fait la joie des Algériens ?
Quand on a des milliards en banque on n’habille pas ses enfants avec du rebut, c’est pourtant ce que semble approuver le ministre du Commerce, Hachemi Djaaboub.
Le député qui a soulevé le problème a pourtant tout à fait raison c’est une question de santé publique et d’honneur.

Maroc: manifestation de solidarité avec le quotidien Akhbar Al Youm

akhbaralyoumsaisie.jpgQuelque 200 manifestants ont exprimé vendredi à Casablanca leur soutien au quotidien arabophone indépendant Akhbar Al Youm après la décision des autorités marocaines de le poursuivre pour « offense au drapeau national ». Le ministère marocain de l’Intérieur a posé en début de semaine des scellés au siège du journal, interdisant aux journalistes l’accès à leurs bureaux.

Réunis à l’appel du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), les manifestants ont qualifié d’ »illégale » la fermeture par les autorités des bureaux du quotidien, alors que la « justice vient juste d’être saisie ».   »Nous dénonçons la fermeture illégale des bureaux de ce journal. Le   ministère de l’Intérieur peut se permettre de saisir n’importe quel journal mais n’a aucune autorité légale pour ordonner la fermeture de ses bureaux », a déclaré à l’AFP Younès Moujahid, président du SNPM. 

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Affaire Ben Barka: colère du fils après la suspension des mandats d’arrêt

benbarka.jpgLa suspension de la diffusion de mandats d’arrêt visant quatre Marocains, dont deux généraux, dans l’enquête sur la disparition, en 1965, de l’opposant marocain Mehdi Ben Barka a provoqué samedi la colère de son fils qui évoque la « raison d’Etat ».  « C’est une mascarade. Un même ministère qui se déjuge en 24 heures, c’est une manifestation flagrante et cynique de la raison d’Etat », a déclaré Bechir Ben Barka à l’AFP.  (…) « On ne sait pas ce que cache ce revirement. La ministre de la Justice a-t-elle été déjugée par l’Elysée (la présidence de la République, ndlr) ?  Y-a-t-il une volonté de ne pas chercher la vérité ? Si c’est le cas, cela doit   être dit », a ajouté le fils de l’ancien opposant marocain. 

Mehdi Ben Barka, chef de file de l’opposition marocaine en exil et figure emblématique du tiers-mondisme, a disparu le 29 octobre 1965 devant la brasserie Lipp à Paris, lors d’une opération menée par les services marocains du roi Hassan II avec la complicité de policiers et de truands français. Cette affaire n’a jamais été totalement élucidée malgré deux instructions judiciaires: le corps de Ben Barka n’a toujours pas été retrouvé et les  conditions de sa mort n’ont pas été établies. AFP

L’Algérie a importé pour 13 millions de dollars de friperie en 2008

friperie.jpgLe ministre du Commerce, El Hachemi Djaâboub, a déclaré, avant-hier à Alger, que le gouvernement «ne va pas interdire l’importation et le commerce des vêtements d’occasion (friperie, NDLR)», arguant que ce créneau «crée de l’emploi pour 25 000 personnes à travers le pays», dont 6 700 emplois directs.  Le ministre répondait en séance plénière de l’APN, consacrée aux question orales, à une députée du FLN qui proposait d’interdire ce commerce estimant qu’il est «une atteinte à la dignité des Algériens». Le ministre a rétorqué que «ce commerce n’est pas propre à l’Algérie et est pratiqué dans tous les pays», précisant que même l’OMC considère ce phénomène comme étant commercial. Synthèse d’El Mouhtarem d’après  Le Jeune indépendant

Un mineur harrag ne jure que par la récidive

 

haraga.jpg«Certes, je n’ai pas réussi mon coup cette fois-ci, mais cela ne me dissuadera nullement à retenter ma chance!» Cette phrase, résumant on ne peut plus tragiquement le ras-le-bol de la jeunesse, est d’un harrag, Nabil, sauvé hier d’une mort certaine, alors que son âge ne dépasse pas la quinzaine. Il ne jure que par la récidive, lui qui a préféré abandonner ses études au lycée Ibn Badis d’Oran pour la plus hasardeuse des aventures…

 

Nabil, âgé de 15 ans, dira: «Je pensais avoir plus de chance que les autres dans cette aventure. Je me disais que les autorités espagnoles accorderaient un traitement spécial aux mineurs. Ceux-là, m’a-t-on dit, sont pris en charge jusqu’à ce qu’ils atteignent leur majorité. Je dois dire aussi que cela fait plus d’une année que j’ai commencé à planifier ce départ. Dommage que ça ait foiré. Certes, je n’ai pas réussi mon coup cette fois-ci, mais cela ne me dissuadera nullement de retenter ma chance.» Synthèse d’El Mouhtarem. Article complet dans La Voix de l’Oranie

El Mouhtarem à El Watan Week-end: « Le pouvoir veut verouiller la toile »

censure.jpg  En tête des quelques 2000 blogs politiques hébergés par la plate-forme unblo.fr, Algérie Politique (www.ffs1963.unblog.fr), ouvert en mai 2007, enregistre entre 4000 et 5000 visites par jour et plus de 23000 commentaires.  Son créateur El Mouhtarem, qui souhaite conserver l’anonymat, s’exprime sur la nouvelle loi sur la cybercriminalité. 

L’Assemblée populaire nationale a adopté, en juin dernier, à l’unanimité, une loi contre la cybercriminalité. Elle sera bientôt proposée au vote du Sénat. Que fait-elle craindre pour les bloggeurs algériens ? 

Après avoir verrouillé les champs politique et médiatique en usant des dispositifs de l’état d’urgence, le pouvoir veut maintenant verrouiller la Toile- le seul espace d’expression libre qui reste aux Algériens- au nom de la lutte antiterroriste. 

Si pour l’heure le pouvoir algérien laisse les gens s’exprimer via Internet, c’est parce qu’il est conscient que les internautes ne constituent pas une menace à son existence. Par contre, le jour où nos internautes feront de cette technologie un moyen de mobilisation citoyenne, le pouvoir mettra en place, en toute urgence, ses logiciels de «lutte contre la cybercriminalité».

En avril dernier, un jeune Algérois a été condamné à 18 mois de prison ferme pour avoir publié un commentaire dans le forum d’un site internet d’obédience islamiste. Son avocat s’est interrogé lors de l’audience: «Si les services de sécurité sont capables d’identifier l’auteur du commentaire, pourquoi sont-ils incapables de fermer les sites des groupes terroristes». C’est un fait que j’ai porté à la connaissance de RSF. 

Un rapide état de lieux du blogging en Algérie ? 

Avec un blog, un citoyen peut donner son avis sur toutes les questions d’actualité. Un bloggeur est, avant tout, un journaliste citoyen. Contrairement au journaliste professionnel qui est soumis à une ligne éditoriale «imposée» par son patron, le journaliste citoyen n’est soumis qu’aux règles de l’éthique et de la déontologie. Il peut commenter un événement en toute liberté et diffuser des informations que la presse ne «peut» pas publier pour des raisons d’autocensure ou des raisons commerciales. 

La blogosphère algérienne n’est pas encore dynamique en l’absence de la culture de débat contradictoire, résultat du musellement de la société depuis l’indépendance nationale. La faiblesse de la blogosphère s’explique également par la médiodcrité du résau internet.

Par Sarah Ben

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