IFRI: 45 ouvriers dont 3 syndicalistes licenciés !
Trois syndicalistes sur les cinq que compte la section syndicale de l’unité de mise en bouteille d’eau minérale d’Ouzellaguene (Béjaïa) appartenant au groupe IFRI ont, à la fin du mois d’août dernier, fait l’objet d’une décision de licenciement signée par le gérant de l’entreprise tandis qu’un quatrième syndicaliste a été pour sa part suspendu jusqu’à nouvel ordre.
Les griefs retenus et signifiés sur les décisions de fin de contrat dont nous détenons une copie est lié à la «participation» des travailleurs syndicalistes à «un arrêt de travail en violation des dispositions légales» en rapport au mouvement de grève qui a ébranlé l’entreprise Ifri du 1er au 4 août 2009. Aït-Saâdi Khellaf, le SG de la section syndicale qui fait partie des syndicalistes licenciés a estimé que «la décision de fin de fonction est en violation de la loi 90/11 du 2 avril 1990 dans son article 113 , ainsi que de la loi 90/14 du 2 juin 1990». «Il s’agit tout simplement d’un acte de représailles. Pour preuve mon fils qui travaillait au sein de cette entreprise en tant que manutentionnaire a fait l’objet, par la même occasion d’une décision de fin de contrat au même moment où l’entreprise fait appel aux saisonniers», indique til. Par ailleurs, 45 autres travailleurs qui avaient fait l’objet d’une mesure de suspension de travail jusqu’à nouvel ordre pour «les mêmes motifs» au lendemain du mouvement de protestation initié «spontanément» du 1er au 4 août 2009 ont été eux aussi destinataires d’une décision de confirmation de fin de contrat, rapporte Le Soir.
bonjour.
je veux dire une toute petite chose à ces travailleurs qui ont fait grève:
- la grève a été faite non pas pour manifester des revendications quelconques mais pour faire mal .. trés mal à l’entreprise .
En pleine haute saison où l’entreprise réalise l’essentiel de son chiffre d’affaire, ces gens là se sont permis de tenter de saboter!!!.
- le syndicaliste pleurnichard, avoue que lui et son fils travaillent finalement dans cette entreprise, ce qui n’est pas donné à n’importe quel autre employé !!!.
- Que ces syndicalistes et travailleurs sachent que MR IBRAHIM ( DDA MOHAND) a donné sa priorité en matière de recrutement aux gens d’OUZELAGUEN. Plusieurs familles, y trouvent leurs comptes. Pourquoi cherchent – ils à lui nuire ???.
Mais enfin! Ces syndicalistes veulent – ils se substituer à la famille IBRAHIM qui a mis tant d’années à bâtir ce qu’ils ont fait???.
La famille IBRAHIM a pris énormément de risques dans cet investissement, tout compte fait. Leur argent étant engagé et des crédits bancaire sont contractés.
Dans le cas où ça foire, ce ne sont certainement pas les travailleurs qui perdront grand chose ( à part leurs emplois) , mais bel et bien les propriétaires !!!.
c’est bon de recruter les siens,bien que je ne suis pas de leur région,j’active dans leur boite!…avoir vue de toutes les couleurs,de la maniere qu’ils ne sont jamais redevables (les travailleurs ouzellaguen) c’est vraiment pas marrons!…et aussi j’ai un message aux gérants…ouvrer bien vos yeux,les simples travailleurs comme il sont a l’usine vous adorent franchement on se disant entre eux (dharrache l’aali,tshwarebane dommage nos responsable ne passe pas vraiment le message aux gérants comme il se doigt) amicalement a la famille IBRAHIM.