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Archive pour le 16 octobre, 2009

Algérie: Plusieurs scandales et aucune démission !*

ghoul.jpgTaous pour « Algérie Politique » 

Non ammisaid, je ne suis pas d’accord avec vous: on est ce que l’on choisi d’être, et en cela je rejoins Mohand. Situons nous parmi les justes, les femmes et homme intègres qui appliquent leurs principes sur eux d’abord, quoi qu’il puisse leur en coûter. C’est cela la seule et vraie éthique et la ligne de conduite que nous devons avoir.

Car c’est ce sentiment de plénitude et de satisfaction, par rapport à la personne que l’on a choisi d’être, et cela contre vents et marées, qui fait notre force. Et je suis convaincue que nous sommes nombreuses et nombreux à avoir fait le choix de la rectitude morale. C’est sans doute cela la chance de notre pays car quand on évoque l’actualité, surtout celle de ces derniers temps, où l’opportunisme et la corruption semblent être érigés en comportement normal, l’exception qui devient la règle, alors là, rien ne va plus ! Qu’est-il arrivé aux Algériens ?

Je ne connais pas ce Secrétaire général du département de Amar Ghoul mais on m’a dit qu’il s’agissait d’un haut fonctionnaire diplômé, pas du MSP… alors, quoi ? L’appât du gain, la recherche éperdue de ce “taouil”  (se faire une situation) à tout prix ?

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Algérie: Toutes les sociétés qui effectuent des prestations pour le compte des sociétés étrangères sont des nids de malversations !

rechwa.jpgMohand pour « Algérie Politique » 

Pour donner de la lisibilité aux faits, il faut de la précision et des preuves… ne pas rester sur des généralités. Le retard dans la réalisation d’un projet peut s’expliquer par plusieurs raisons. Je suis désolé de le dire ainsi. Ce qu’il faut plutôt c’est avoir par exemple pour le cas soulevé le descriptif et le quantitatif initial établi généralement par le bureau d’étude,(maître d’oeuvre) et c’est ce qui sert à l’appel d’offres lancé par le maître d’ouvrage. Ces quantités ne peuvent être dépassées que si pour des raisons diverses (une étude bâclée, une erreur, un fait imprévu, ou la volonté de fractionner la réalisation en plusieurs parties…). On sait que tout avenant ne devant pas dépasser 20% des travaux initialement prévus pour chaque rubrique.

Si des fausse situations ont été établies et payées, cela suppose que le bureau d’études est complice, le contrôle technique (CTC) également, le chef de projet, le directeur général et le financier ou le trésorier quand il s’agit de l’administration… Tout ce monde doit avoir été complaisant pour qu’une telle situation illégale puisse être payée.
De plus, pour les investissements publics, le contrat porte le visa du trésorier (contrôleur financier de l’Etat) quand c’est un investissement public, La Bad également gère le contrat, et aucun paiement non engagé auprès de ces deux structures ne peut être réglé. Pour payer des travaux supplémentaires il faut donc aussi avoir engagé l’avenant qui détermine leur montant etc…

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Harcelé par une multinationale, Yacine Zaid sera entendu par la justice le 20 octobre

 

yacine.jpgContre l’arbitraire de la justice partiale et le harcellement du capital, pour la dignité et la liberté… faites passer le message: il sera entendu par la justice le 20 Octobre 2009 à Ouargla, soutenons Yacine Zaid, la voix de la liberté syndicale.

 

 

 Soutien total à Yacine Zaid contre une multinationale à Hassi Messaoud

 

A Hassi Messaoud, une forteresse pétrolière située dans les dunes à 850 kilomètres au sud est d’Alger, Eurest Support Services, filiale de Compass Group, sous-traite la restauration et l’hébergement des salariés des multinationales comme Schlumberger, Halliburton, Repsol, BP, Ciepsa, Burlington… au total, une vingtaine de compagnies. Dans les camps de prospection éloignés, leurs salariés vivent dans des baraquements en dur, climatisés, avec téléphone et distractions du soir. Les employés d’Eurest vivent sous la tente, subissent les conditions météorologiques du désert, dans des conditions de vie et d’hygiène difficiles… Des « shifts » de 6 semaines d’affiler sans repos. Tout cela pour un salaire mensuel de 18 000 dinars (185 €). Lire la suite: http://www.labourstart.org/cgi-bin/solidarityforever/show_campaign.cgi%3fc=526

Le premier Novembre autrement.

algerie.jpgSaid Radjef pour « Algérie Politique »
  
Nous allons célébrer dans quelques jours la date du 1er Novembre, symbole de la révolution algérienne. Plus d’un demi siècle après son avènement, que connaissons-nous réellement de cette date ? Le premier novembre a t-il été une décision souveraine ou bien a-t-il été une action inspirée d’ailleurs ? Mohammed Boudiaf considéré à tort ou à raison comme le père du CRUA, a-t-il rejoint de son propre chef le 28 octobre le Caire ou bien lui a-t-on ordonné de le faire ? Dans ce cas qui lui a ordonné de le faire ? Que fut véritablement ce premier novembre au nom duquel des minorités archaïques, auréolées de la légitimité révolutionnaire, ont provoqué le désarroi en 1962 en expropriant, en excommuniant et en assassinant des centaines de milliers d’Algériennes et d’Algériens ?  
 
A la veille de l’insurrection, hormis Hocine Aït-Ahmed et Ahmed Benbella  qui étaient connus pour avoir assurer de hautes responsabilités au sein du mouvement nationaliste, les autres membres du CRUA ainsi que les six chargés de rédiger la déclaration de guerre, étaient tous ou presque tous d’illustres inconnus.
 
Lorsque à travers son appel du 27 décembre 1953-qui deviendra historique par la force des choses- à la base militante du MTLD contre son comité central auquel il retira sa confiance, Messali était certain de neutraliser ses adversaires qui lui contestaient le leadership, mais il était loin de se douter que son appel allait modifier l’ordre des choses et entraîner de nouveaux rapports de force. En effet, il venait, sans le savoir, d’enclencher un processus qui allait embraser  l’Algérie durant huit années consécutives et, par-delà les frontières de ce pays, sonner le glas de l’ère de la colonisation directe et influer du coup sur le destin de centaines de millions de femmes et d’hommes.

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Journalistes: Une espèce en voie d’extinction ?

cari.jpgPar Mohand Aziri El Watan

Lire le dossier complet: http://www.elwatan.com/Dossier

De l’humour corrosif comme arme de dérision massive. «L’espérance de vie d’un journaliste algérien équivaut à celle d’un castor», le chroniqueur d’El Watan, Chawki Amari, ne croit pas si bien délirer.

«Le journaliste mène une vie dissolue. Il n’a pas ses médicaments parce que non déclaré à la sécurité sociale, il fume, boit beaucoup alors qu’il ne fait jamais de jogging à Bouchaoui. Le journaliste n’est pas comme un policier ou un chirurgien, il ne se réveille pas tôt alors qu’il meurt jeune, etc.» De la dérision comme traitement palliatif, comme cache-misère, il en faudrait certainement beaucoup pour arrondir les angles d’une profession mise sous surveillance étroite, vouée à la précarité socioprofessionnelle, à la misère intellectuelle. Mourir «jeune» dans la profession, une sacro-sainte règle ? Un désir enfoui ? Atteindre la barre des 55 ans – espérance de vie d’un journaliste dans le monde, d’après un rapport du Bureau international du travail – est déjà une «prouesse» en soi, un «bon score», un «cadeau du ciel», ironise un journaliste. «Heureusement d’ailleurs. Car je m’imagine mal supporter plus de 55 ans dans de telles conditions de travail.» Vivre comme la moyenne des Algériens, 72,5 ans (rapport du Cnes, 2008) ne lui paraît pas une «chose intéressante» ! Du cynisme ? il en faudrait certainement aussi pour pouvoir «tenir le coup».

Du moins, jusqu’au prochain «papier» ! Le comble pour un journaliste, dit-on, c’est d’être à l’article de sa mort, victime de «tueurs silencieux»: de diabète, d’hypertension – plus d’un tiers des journalistes algériens sont hypertendus, selon une enquête de la Forem –, de stress, de pression en tous genres… et même des suites du 144 bis du code pénal ! «Les journalistes meurent de tout, sauf de vieillesse et de mort naturelle », dixit Farid Allilat, ancien rédacteur en chef de Liberté, reporter chez Jeune Afrique. Précarisation, clochardisation, aliénation, humiliation, les professionnels des médias dissertent rarement sur leurs conditions de vie, se cachent souvent pour mourir !

Les conditions de vie, de travail des journalistes, qu’ils soient du secteur public ou privé, ne sont guère reluisantes. «Un bon journaliste est celui qui ferme sa gueule ou qui démissionne», souligne Samir, jeune reporter à la Radio nationale. «Cela fait six ans que je travaille au cachet. Plus de 12 heures de travail par jour pour un salaire qui ne dépasse pas les 22 000 DA. Plus de 60% des journalistes de la rédaction sont recrutés au cachet. Des postes précaires… C’est comme ça, l’Etat est le premier à enfreindre ses propres lois… Les mécontents n’ont qu’à bien se tenir ou se casser… » Ancien président de l’Association des éditeurs, également président du défunt conseil de l’éthique et de la déontologie, Zoubir Souissi déplore l’absence de système de protection sociale pour les journalistes. La pratique du journalisme est devenue de plus en plus difficile, constate-t-il. Qui en est responsable ? « La responsabilité est partagée entre éditeurs et pouvoirs publics. La responsabilité est collective dès lors que les entreprises de presse s’engagent très peu alors qu’elles devraient être plus regardantes sur les conditions de vie de leur personnel, notamment les journalistes. L’Etat se doit aussi de prendre en charge les revendications des travailleurs de la presse, surtout en matière de logement, de salaire, etc. »

Septembre 2009. Le Syndicat national des journalistes (SNJ) lance son opération « trousseaux scolaires » au profit des journalistes et assimilés, et ce en partenariat avec le ministère de la Solidarité nationale. Les journalistes sont-ils tombés si bas (dans l’échelle sociale) au point de prétendre désormais à la charité publique ? Pour Chafaâ Bouaiche, journaliste dans Le Temps d’Algérie, ancien porte-parole du FFS, cette opération est une «énième humiliation» pour les professionnels des médias, un «camouflet pour les éditeurs». L’initiateur de la «Pétition contre l’humiliation de la presse» considère que si «les patrons de presse, qui profitent d’une manne publicitaire considérable, avaient fait bénéficier leurs personnels, on n’en serait pas amener à profiter de la générosité de l’Etat».

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