Suite à un redressement fiscal dont a fait objet le général Mohamed Ataïlia en France, dans les années 1997-1998, son fils C. lui présente Mouhib Khatir, actuel P/APC de Zeralda, qui lui prend un conseiller. Par la suite surgit l’histoire de la boucherie qui s’est soldée parait-il par une liquidation.
Khatir n’ayant rien obtenu comme bakchich, suggère au général de l’employer dans une de ses SARL comme CLAMART DECO OU NOUVELLES CONSTRUCTIONS afin qu’il bénéficie des avantages de
la Caisse de sécurité sociale et pouvoir faire des déclarations de revenus aux impôts à condition qu’il s’acquitte lui-même des charges de l’URSSAF estimées à plus de 5000FF par mois et ce pendant 24 mois, pour qu’au bout du compte, il bénéficiera de l’allocation chômage.
L’arrivée de Abdelaziz Bouteflika au pouvoir en avril 1999 a tout chamboulé. En effet, Khatir a dissuadé le général Ataïlia de s’inscrire aux Assedic, car cela risque de nuire à sa notoriété surtout qu’il soit revenu au devant de la scène politique. Khatir s’est proposé d’employer l’épouse du général pour 3 trimestres. A 60 ans depuis le 1 septembre, elle perçoit 189 euros par mois de retraite. Son ex-épouse est entrain de se battre pour obtenir une aide vu que
la France a supprimé le RMI et instauré le RSA pour ceux qui travaillent avec un faible salaire.
Elle a bénéficié de 2 ans d’allocations d’adules handicapés la somme de 657 euros par mois qu’ils lui ont supprimée le 1 septembre. Elle a reformulé une nouvelle demande aux services des handicapés, car atteinte d’une maladie d’une longue durée que son organisme a développé (la maladie de Horton) sous une forte dose de corticoïde quotidienne. Khatir a bénéficié de plusieurs marchés pour équiper des hôtels, des entreprises, des terrains, des appartements en moquettes.