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Archive pour octobre, 2009

Akila Klaï, un combat pour la dignité

akila.jpgVictime d’un grave accident de la circulation survenu en 2007 lors de la visite de Abdelaziz Bouteflika à Annaba, la journaliste Akila Klaï se retrouve aujourd’hui dans une situation déplorable.

Tarek Hafid – Alger (Le Soir) – C’est une jeune femme blessée au plus profond de sa chair et de son honneur qui s’est présentée hier à notre rédaction. Akila Klaï, correspondante du journal Echaâb à Annaba, a vu sa vie basculer le 15 mai 2007 à l’occasion d’une visite présidentiel. Le bus qui la transportait, elle et ses confrères, se renverse au détour d’un virage. Bilan: fracture de la colonne vertébrale. Le président de la République se rend à son chevet et ordonne son évacuation vers l’hôpital militaire de Aïn- Nâadja. Sur place, Akila bénéficie d’un suivi médical.

Plusieurs personnalités viennent lui présenter leur soutien. Mais plus dure sera la chute. La jeune dame finit par découvrir que son employeur — un des «piliers» de la presse publique— ne l’avait pas assurée depuis plusieurs années ! Pour elle, l’enfer ne fait que commencer. «Je me suis présentée plusieurs fois devant le directeur d’ Echaâb pour tenter de trouver une solution à ma situation. En vain. Azzedine Boukerdous, le responsable d’ Echaâb, s’est contenté de me dire d’aller voir Bouteflika», regrette Akila. Et c’est encore le chef de l’Etat qui vient à son secours au cours d’un passage à Annaba pour les besoins de sa campagne électorale. Une seconde intervention qui lui a permis de décrocher une prise en charge dans un hôpital parisien. «Mon séjour à Paris s’est avéré quasiment inutile en l’absence d’un dossier médical en bonne et due forme.

Depuis mon accident, je n’ai bénéficié d’aucun suivi sérieux et de rééducation. Aucune intervention chirurgicale ne peut être pratiquée sans un dossier de fond», note-t-elle, dépitée. Aujourd’hui Akila souhaite avant tout d’être réhabilitée dans ses droits, notamment sur le plan socioprofessionnel. Sur le plan médical, son cas nécessite une prise en charge sérieuse. Handicapée à 59 %, son état risque de se détériorer du fait des nombreux déplacements à Alger. «Je garde espoir et je continue de me battre pour ma dignité. Je ne lâcherai pas, quoi qu’il arrive.»

Malaise à l’ILE de Bouzaréah: Les étudiants menacent d’une année blanche

universitealgerienne.jpgYoucef Aouchiche pour « Algérie Politique » 
 
Les étudiants de l’Institut des langues étrangères (ILE) de Bouzaréah, notamment ceux des langues française et anglaise sont dans la tourmente. A l’origine, un  bras de fer les opposant à l’administration qui avait annoncé des mesures restrictives  pour le passage et l’admission aux années supérieures. Signe de malaise, ces derniers sont en grève ouverte depuis mercredi passé. En effet, juste après l’annonce des résultats des examens finaux, les étudiants des deux départements concernés ont appris dans la stupéfaction la plus totale que plus de 80% des examinés n’ont pas été admis au palier supérieur. Pis encore, la problématique des réorientations pèse lourd sur les étudiants ayant opté pour la spécialisation dans les langues étrangères.

Ils sont confrontés à ce problème en cas où ils refont  deux fois une année de leur cursus universitaire. Ainsi, 4 étudiantes en fin de cycle ont été exclues et se sont retrouvées contraintes de quitter l’institut après avoir fourni plusieurs années d’effort. Des dizaines d’autres, issues des années inférieures ont subi le même sort. La colère ne date pas d’aujourd’hui. Elle remonte, selon des étudiants interrogés sur  place,  à la première année où fut instauré ce système  «anti-pédagogique ». Pour faire face à cette situation, les étudiants de ces deux filières, joints par leurs collègues des autres départements, se sont organisés autour d’un comité autonome provisoire de l’ILE.

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Caricature de notre ami R.Z

tunisie1.jpg

Bouteflika, la date de péremption sonne le glas ?

gremibouteflika.jpgHouari BENSAFI pour « Algérie Politique »
 
«L’Anesthésie administrée aux Algériens en 1999 était périmée, tout comme l’était Bouteflika!», s’est écrié un jeune chômeur du quartier de Diar Echems, à Alger. Ces émeutes ne sont que l’hors d’œuvre puisque le plat principal mijote, et il mijote depuis 1999, depuis qu’on a fait revenir au pouvoir, une famille appâtée par l’argent, une famille chargée à bloc de rancœur, une famille avide de haine et de mépris…

Si Bouteflika était visiblement déjà périmé depuis décembre 1978,  son retour, fut et reste selon les experts en la matière,  la plus grave erreur commise par ce qui est convenu d’appeler «le cabinet noir». En effet, en 1999, le cabinet manquait de recul, les généraux n’avaient  pas trop le temps de choisir leur  »homme »,  mais lui, le pseudo ami de Boumediene, avait du temps et de la visibilité car fin connaisseur de la junte, grâce aux conseils de ses amis de l’armée française à qui il n’avait d’ailleurs pas tardé à témoigner sa gratitude par la signature de juteux contrats d’armes.

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El Mouhtarem est fatigué !

Depuis la création du blog en mai 2007, j’ai veillé à son actualisation de façon permanente. Aujourd’hui, j’ai décidé de me reposer. Je subi des pressions. Je suis harcelé par des minables. A demain chers ami (e) s.

Kameleddine Fekhar condamné ! La montagne qui a accouché d’une souris !!

fekhar.jpgPar Kameleddine FEKHAR

L’appareil judiciaire a encore une fois prouvé à Ghardaïa qu’il n’était qu’un outil docile entre les mains du pouvoir exécutif et qu’il ne lui reste pas une seule trace d’indépendance, pour au moins sauver la face. Le pouvoir a également prouvé qu’il était dans une phase avancée de déliquescence et de pourrissement. Lorsque ce même pouvoir était à l’acmé de sa force, il utilisait directement son appareil judiciaire pour étouffer les libertés et faire taire les voix qui refusaient la politique du fait accompli et pour menotter ceux qui revendiquaient leurs droits et la démocratie, comme cela s’était déroulé à Ghardaïa en 2004, suite à la grève légitime des commerçants. A l’époque, des mandats d’arrêt avaient été lancés sur ordre du wali, sans aucun respect des procédures légales, contre des militants des droits de l’homme et des opposants politiques qui ont été condamnés à des peines de prison ferme et parmi eux figurait Kameleddine Fekhar. C’est le cas aussi du syndicaliste Hamoudi Fekhar. Le wali de Ghardaïa avait, à son sujet, adressé directement une lettre au procureur de la République, lui ordonnant de poursuivre le syndicaliste, après la grève réussie des commerçants de mai 2007 et c’est ce même wali qui avait décidé du type d’accusation, en lieu et place de la justice.

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A Sétif, on refuse de baptiser le lycée au nom de Kateb Yacine

yacine1.jpgA Sétif, en 2001, lorsque le président Bouteflika inaugura un lycée à la cité 1014 logements, il ordonna de le baptiser au nom de Kateb Yacine. Au fil des années, le lycée fut désigné provisoirement au nom de la cité où il est érigé, mais au cours de l’année scolaire 2008-2009, un panneau fut fixé définitivement à l’entrée du lycée au nom de la cité 1014 Logements. Pour le cas du nouveau lycée de Sétif, malgré la dénomination officielle désignée à l’établissement scolaire, les élèves appellent désormais couramment leur lycée Kateb Yacine. Source Le Temps

Algérie: Ceux qui n’avaient pas fait la guerre, avaient pris la place de ceux qui nous avaient fait la guerre

nezzar.jpgAmmi Said pour « Algérie Politique » 

L’objectif de tous ceux qui détiennent le pouvoir (à tous les niveaux) est de faire repartir l’argent qui rentre en Algérie, chez ceux qui l’ont donné, pour payer la facture du pétrole et du gaz que notre pays leur a vendu.
Aucun dollar ne doit profiter à notre économie et à notre peuple. La gestion de nos ressources est simple. Un enfant peut le faire.
Il n’y a pas besoin de faire des audits, ni d’experts comptables, ni de cadres compétents et bien formés, ni de ministres qui sont capables de maîtriser leurs dossiers. Il n’y a pas besoin de projets qui, à moyen et puis à long terme, permettront à notre économie de devenir productive capable de satisfaire les besoins du pays et ensuite d’exporter autre choses que nos ressources énergétiques. Il n’y a pas besoin de faire le compte de tout l’argent qui a été gaspillé, dilapidé, volé et très mal utilisé.

Il n’y a pas besoin de prévoir les recettes à venir et les dépenses nécessaire pour moderniser notre pays, éradiquer le chômage, loger dignement les familles, améliorer la formation des universitaires, payer correctement les travailleurs, stopper le désespoir et la misère, rendre performante notre agriculture, rendre plus efficace notre système de santé et faire de telle sorte que l’homme Algérien et la femme algérienne soient responsables de la prospérité, de l’indépendance et de la sécurité et du respect de leur terre et de son peuple.

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Appel aux travailleurs des compagnies étrangères en Algérie

hassi.jpgL’injustice est le pire supplice que peut endurer un homme. A Hassi Messaoud, vous le subissez chaque jour. N’est-il pas temps de dire stop ? N’est-il pas temps de se conduire comme des hommes libres qui vivent dans une République démocratique et populaire ?

Oui, Messieurs ! Nous vivons dans un pays libre. Le temps de l’esclavagisme est loin derrière. Les bourreaux étrangers veulent pourtant le rétablir dans le sud Algérien. Et vous savez pourquoi ? Parce qu’ils ont trouvé le terrain préparé pour cela. Parce que vous, vous leur permettez de vous exploiter. Je ne vous juge ni vous condamne. Je vous appelle à réagir. Je l’ai fait avant vous. J’ai cassé les chaînes de la peur et j’ai dit non à la Hogra et l’exploitation. Ça m’a coûté deux années de ma vie. Deux années à courir entre les tribunaux. Dans 10 jours, je me présenterai pour la seizième fois devant un juge à Ouargla. Dans quelques jours, je serais appelé à payé une amande de 230 000 dinars. Je serais «saisi» corporellement, si je ne paye pas mon amende. Yacine Zaid SG de la section syndicale d’Eurest Support Service Algérie

Le SG du ministère de Travaux publics est innoncent !

ghoul.jpgDÉCLARATION DES AVOCATS
Rapportant une décision de la chambre d’accusation relative au «scandale de l’autoroute Est-Ouest», Le Soir d’Algérie du 20/10/2009 écrit que «l’ambassade de Chine a… protesté auprès des autorités algériennes, selon un proche du dossier», qui précise que «le groupement chinois aurait subi des pressions de la part de personnes proches du secrétaire général du ministère des Travaux publics… pour l’obliger à verser des pots-de-vin».

Au moment où M. Mohamed Bouchama, parfaitement connu pour sa rectitude et son dévouement à la chose publique, (dont la presse s’est fait l’écho), présumé innocent par la loi, et réellement innocent au regard des faits, subit une épreuve aussi douloureuse qu’imméritée, sa défense dénonce avec mépris cette grossière tentative de désinformation. Elle somme ce prétendu «proche du dossier» (lequel ?), de dénoncer aux autorités judiciaires ces «personnes proches du secrétaire général» coupables de si graves turpitudes. Faute de quoi, il apparaîtrait pour ce qu’il est très certainement manipulateur intéressé ou manipulé par les tristes sires qui s’agitent masqués pour détourner le cours de la justice. Signé Miloud Brahimi, Khaled Bourayou

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