Scandale de la Pairie Générale: témoignage d’une victime d’une machination

belkher.jpgchadli.jpgPar KADIRI  Jilani

A Monsieur Ghazi Hidouci 

Je suis un ancien cadre des Finances, victime d’une machination fomentée contre moi, dans le but de m’écarter de mes fonction par de fallacieux prétextes et suite au scandales de la Pairie Générale, le Ministre des Finances, Khalef,  de l’époque, pour masquer la mauvaise gestion de cette institution financière qui ne porte que son nom, en réalité, la Paierie Générale, était placée auprès de l’Ambassade d’Algérie à Paris, sa mission était occulte et c’est la Présidence de la République qui avait la tutelle directe de sa gestion occulte. Ce n’était qu’une caisse pour enrichir les Barons du régime de Chadli.

Avant de vous situer ma démarche, je souhaite vous donner un aperçu de ma situation antérieure au scandale de la Paierie Générale. Si j’interviens aujourd’hui, auprès de vous, je ne peux pas à mon corps défendant laisser passer une telle opportunité  sans vous poser quelques questions, d’une part, et d’autre part pour que l’opinion sache comment les fonctionnaires incorruptibles, intègres, honnêtes et d’une conduite irréprochables se sont trouvés impliqués et accusés à
tort par le pouvoir corrompu et révoqué arbitrairement et sans la moindre preuve.

Sachez M. Ghazi  Hidouci, que si vous n’étiez pas un brave Monsieur respectable, honnête, compétent et brave, je ne suis pas le genre à m’adresser aux malfaiteurs,  indignes mais, les gens estiment que vous êtes un homme digne de confiance et c’est à ce titre, que je me permets de m’adresser à vous, bien que je possèdetoute la vérité sur ce scandale de la Paierie et aussi longtemps que je vivrai, je dénoncerai les coupables corrompus qui ont ruiné notre pays; qui ont détourné des milliards, et malheureusement, les meilleurs cadres de la nation ont été  victime de la hogra, révoqués de leurs postes sur la base de simple accusation sans preuve et sans justification.

Le régime actuel a donc décidé; de réintégrer, de réhabiliter et d’indemniser et de protéger, les assassins, les criminels, les  coupables de tous les crimes et délits, alors que les fonctionnaires révoqués par la fonction publique, ne sont pas inclus dans la liste de la réconciliation nationale. C’est à croire, qu’il faut avoir la preuve tangible d’avoir assassiné, femmes, enfants, bébés, vieillards et handicapés, pour mériter la grâce de Bouteflika et sa bande de malfaiteurs. Je ne pardonnerai jamais à Bouteflika, d’avoir mis à l’écart des milliers de braves fonctionnaires licenciés abusivement et qui vivent, soit en exil dans des conditions sociales tragiques, soit qu’ils vivent au pays en rasant les murs pour ne pas perdre de dignité.

1°-)  Sachez, que le brave si Boualem Benhamouda, ancien Ministre des Finances (1982-1986), avait décidé de me nommer au Poste de Trésorier Payeur Général, à Paris, pour remplacer le corrompu S.H. Les Ministres de cette République bananière n’avaient pas la faculté  et le pouvoir de nommer les cadres qu’ils jugent aptes  à assumer telle ou telle fonction, sans au préalable adresser une proposition à la Présidence de la République, laquelle doit à son tour faire une diffusion de la proposition aux trois services de sécurité, pour enquête d’habilitation et de mérite,  à savoir la S.M., la Gendarmerie et la Police. Comme si les trois organismes étaient incorruptibles et dignes de respects pour leur confier cette mission de sélectionner les cadres aptes et dociles et les cadres  suspects.

Généralement la corruption s’est propagée et a pris de l’ampleur, par ces trois services publics qui monnayaient toute candidature par une contribution financière en devise afin de mériter un avis favorable et les fonctionnaires compétents et qui refusent toute caution de piston, par des interventions occultes, leurs candidatures sont systématiquement rejetées. Ainsi, ma candidature fut rejetée sans aucune explication. Plus tard, j’ai appris, que le Général Cheloufi, était un parent de H. S, et  son protecteur et sans l’avis de ce général, qui exerçait à l’époque la fonction de Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale et qui a été mis au courant de ma candidature, pour avoir fait stopper nette ma nomination à ce poste.

2°) Devant ce refus injustifié, le Ministre des Finances était furieux, car il savait que les services qui donnaient leurs avis, étaient impliqués dans la corruption et que cette procédure de soumettre les propositions d’un ministre à des services incompétents en matière de fonctionnement d’institutions financières, constituent une frustration intolérables. Pour me réparer ce préjudice, et malgré le conflit ouvert avec  Abdelhamid Brahimi (la Science). Souvenez-vous  de la mort de mon fils à Batna, il était la cause de sa mort et  à une époque vous étiez son directeur de Cabinet. Vous êtes parfaitement au courant puisque vous avez téléphoné  à mon épouse pour me faire savoir qu’il avait des regrets et des remords sur cet incident impardonnable. Quand il est devenu Premier Ministre, il avait été à l’origine de plusieurs centaines de licenciements de fonctionnaires, le destructeur des entreprises nationales et de la fonction publique.

Lors du conflit de la C.A.A.R. avec la CAAT, le DG de la CAAR, (qui était le protégé de Ali Bouzar, ami de Brahimi, ) avait adressé au  Ministre des Finances si Boualem Benhamouda, un faux rapprot de bilan sur la CAAR. En ma qualité de DG-Adjoint de la CAAR et unique responsable de cette compagnie d’assurance en novembre 1985, j’ai dénoncé  la gestion  de la CAAR, au moyen d’un  rapport avec des arguments probants et irréfutables.  Au vu de mon rapport, le Ministre a donc décide de mettre fin aux fonctions du  DG de la CAAR, et cette décision n’a pas été du gout de Brahimi Abdelhamid. La vérité triomphe toujours sur les mensonges.

Devant les intimidations de l’ancien Premier Ministre, si Boualem Benhamouda m’a proposé de m’affecter à la Paierie Générale à Paris, non pas comme Trésorier Payeur Général, mais comme Administrateur, c’est mon grade de la fonction publique et cette affectation échappe à tous les avis des services soi-disant chargés de confirmer les nominations des cadres. Je témoigne, que si Boualem Benhamouda est un homme intègre et honnête, un vrai Moudjahid digne de respect et de confiance.

3°)-  Moi et mon collègue, nous avons passé le mois de janvier 1986, sans aucune affectation, le Trésorier Saibi, ne voulait pas de notre présence, et tout le monde reprochait au Ministre si Boualem Benhamouda son geste à mon égard. Certains l’ont accusé de provocateur  pour  faire passer un message fort au pouvoir qu’un ministre à la droit de nommer les cadres de son département sans passer par de différents services de sécurité (l’équivalent   du  triste du K.G.B.). En tout cas, il a payé le prix fort de son geste et de son mécontentement  au régime. Au mois de février de la même année, le régime décide un remaniement ministériel et si Boualem Benhamouda disparaît de la liste des membres du Gouvernement. Il a été remplacé par Khalef Abdelaziz, un corrompu notoire, qui léchait les botes de M. Mehri Djilali.

Vers le fin du mois de février, le Trésorier a fini par nous mettre dans un bureau réservé à la Sonatrach, il a été mis à notre
disposition une table et deux chaises, sans aucune fourniture de bureau, ni stylos, ni machines, ni aucun instruments digne d’un bureau. Ordre fut donné de nous isoler, car nous étions précédés d’une rumeur diabolique, que nous étions des incorruptibles et des méchants, envoyés  par le ministre pour fouiller et trouver les  pièces  et les documents compromettants les hauts responsables. Nous avons été  mis en  place dans une situation de suspicion  et de méfiance absolue, il nous était interdit de pénétrer dans les autres services, ni de consulter de documents, c’est la mise en quarantaine, pour nous priver de tout contacts  avec les agents.

Vers la  mi-avril, moi et mon collègue avions  envoyer un rapport à la Présidence de la République, au Ministère des Finances et  à la Cour des Comptes, pour leur signaler la mauvaise gestion de cette boite (caisse noire du régime). Ce rapport fit un un scandale et le Ministre des Finances ne voulait plus de notre présence. Nous n’avons mis en cause aucune personne et nous n’avons jamais cité le nom d’un haut responsable. Les corrompus en été mis en courant de notre rapport et aussitôt l’affaire fut confirmée, le Général Cheloufi intervient en faveur de son parent  H. SAIBI, pour lui donner feu vert et  trouver le moyen de nous provoquer par un alibi pour nous  liquider de la paierie. 

Le trésorier Payeur Général, avait donné l’ordre à l’agent chargé de distribuer le courrier, que mon courrier lui soit remis en main propre. De son propre chef, il ouvrait mon courrier puis faisait déchirer mes lettres et l’agent m’a averti qu’il avait remis plusieurs lettres à Saibi et au moment de notre rencontre dans le couloir, je lui ai aimablement dit pour quelle raison il fait intercepter mon courrier et  j’ai exigé qu’il me donne immédiatement mes lettres. Il n’attendait que cette occasion, pour commencer à crier haut et fort, afin de faire en sorte qu’il vient d’être brutalement agressé par moi. Saibi et a fomenté une mise en scène contre moi, sous prétexte que je voulais le frapper et aussitôt il a commencé  à pleurer comme une femme battue  pour attirer les témoins et m’accabler de graves accusations. J’étais loin d’imaginer un seul instant, que je faisais l’objet d’une conjuration orchestrée pour nous liquider définitivement de cette institution financière.

Le Trésorier Payeur Général, et son Fondée de Pouvoir avaient peur de nous, notre présence constituait une véritable menace et  surtout une vraie menace pour les corrompus qui ont bénéficié de virements suspects dans leurs comptes numérotés.

4°)- En moins de quarante huit heures, le Ministre, avec son excès de zèle, la marionnette, nous a fait parvenir un message officiel mettant fin à nos fonctions, il fallait juste une toute petite étincelle pour justifier notre rappel. Et  le message notifié précise qu’il faut rejoindre immédiatement Alger. Ce fut un soulagement pour Mehri Abdelhamid, qui était Ambassadeur d’Algérie, (le caméléon versatile), Ali Ammar, le magouilleur et l’affairiste notoire, qui était le Président de l’Amicale des Algériens en Europe, et bien entendu, le fameux, Tedjini, le Directeur à la Présidence de la République, qui était le  vrai ordonnateur de la Paierie Générale. Il a fini par passer plusieurs années en Prison pour détournement de deniers publics, il fallait bien trouver un bouc émissaire, pour sauver les corrompus impliqués dans ce scandale, notamment, Larbi BELKHEIR et le  Mustapha Chelloufi et  autres gangsters, voyous qui ont vidé les caisses de l’Etat.

5°)- Ne voulant pas rejoindre Alger, de peur d’être liquidé physiquement, j’ai opté pour une autre solution, rejoindre les rangs de l’opposition à l’étranger et je fus pris en charge par le Parti du M.D.A. de Ben Bella. En mois de janvier 1987, le Canard enchaîné a fait publier deux articles explosifs sur le scandale de la Paierie Générale à Paris, financement des Partis politiques Français, virements suspects au profit du Général Cheloufi et général  Larbi Belkheir et autres, la liste est longue. Dès cette publication, les lèches-bottes, Ali Ammar et Abdelhamid Brahimi, ont fait circuler une rumeur, selon laquelle, j’étais le responsable des fuites de documents administratifs ayant servi au Canard  la publication d’extraits des virements  auprès des banques étrangères ( Américaines et européennes). Là aussi, la liste est longue des banques mentionnées.

6°)- Ce fut la panique dans toutes les chancelleries et dans les états-majors des partis politiques, les pays comme Israël, le Maroc et autres  étaient  inquiets  de cette affaire, et l’article du Canard Enchainé avait fait l’effet d’une bombe atomique, toute la presse européenne, africaine et internationale a repris la suite pour s’étonner comment  se fait-il que l’Algérie finance-t-elle, les partis politiques français. A l’époque, l’Algérie soutenait l’Iran dans sa guerre contre l’Irak, et les Irakiens étaient mécontents de cette  alliance contre nature. Les  Fonctionnaires et les employés de la Paierie Générale, étaient les premiers à réfuter toute cette rumeur de fuite de documents de la Paierie. La Police algérienne et la S.M. sont venues immédiatement pour interroger les agents pour savoir dans quel service les coupables ont pu voler les documents incriminés.

Tous les agents ont affirmé qu’aucun document ne manque dans les archives et ils ont également affirmé, que les deux agents mis en cause KADIRI et Hamrouchi, n’avaient pas accès aux placards blindés et fermés avec des clés qui sont en permanence sous bonne garde de chaque chef de service. L’Enquête diligentée a prouvé qu’aucun document n’a été pris ou volé et que les documents publiés par le Canard enchainé, sont des imprimés, qui ont été fabriqués par des imprimeries, probablement en Irak. Les Adjoint de Ben Bella, étaient des Algériens de conviction à la doctrine du parti unique Irakien du  Baath..

7°)- Paradoxalement, aucune banque visée par ce scandale n’a  réagi par  un  démenti, ni  par aucune communication pour réfuter les virements au profit de leurs clients accusés par la publication de l’hebdo français ?

8°)- Quant moi, je n’ai jamais pris aucun document de la Paierie Générale, et   si j’avais la possibilité d’en avoir quelques documents de ce genre, je n’aurais certainement pas hésité un seul instant pour les envoyer  à la Presse, c’est de bonne guerre. Pourquoi voulez-vous qu’un citoyen algérien, incorruptible, qui refuse de cautionner la corruption  et les corrupteurs, se sentirait coupable de dénoncer les vrais coupables, les voleurs qui ne méritent aucun pardon et aucune indulgence.   Si j’avais un seul document, je l’aurai fait avec joie et plaisir pour mettre les magouilleurs dans une situation
inconfortable et déplorable. Hélas, je n’avais rien entre les mains et le Ministre Khalef, le  lèche-botte de chadli, a donc décidé de donner suite favorable aux ordres du Premier Ministre Abdelhamid Brahimi, pour prononcer ma révocation de la fonction publique.

Par une procédure hâtive et expéditive, Khalef  adressa à la fonction publique une décision  portant ma révocation. La fonction publique, ayant constaté que le dossier était vide, elle prononça ma révocation pour abandon de poste. J’ai eu la naïveté de croire qu’il suffit de saisir le Président de la République, le  Premier Ministre et autres hautes personnalités du régime, pour avoir un espoir d’une révision de mondossier, mais ce serait  impossible que des voleurs réhabilitent les incorruptibles.  Les fonctionnaires honnêtes sont obligés de vivre toute leur vie marginalisés tant que les voleurs sont au pouvoir. La présence de Bouteflika, ne fait que prolonger les souffrances du peuple algérien et en particulier, ceux qui sont victimes de la hogra.

9°)- Pour votre information, j’ai été reçu  au mois d’Avril 1991, à laPrésidence de la République, par le Général Larbi Belkheir, qui étaitle Secrétaire général de la Président et il m’a invité à prendre un café et nous avons longuement discuté de la Paierie Générale et lors de notre entretien, il m’a fait une confidence, qu’il n’était pas impliqué ni directement ni indirectement, mais  nous connaissons les vrais auteurs de ce complot. Si j’étais impliqué dans ce scandale, le général larbi Belkheir, homme fort, pouvait ne pas m’accorder une telle audience au cours de laquelle,  nous avons abordé d’autres questions  religieuses concernant les Confréries,  en particulier la Tarîqa Qadiria.

Conclusion : Quant à moi, je n’ai jamais pris une seule feuille, ni pièce, ni document de la Paierie Générale, et si j’avais été l’auteur de cette fuite, je ne regrette rien, mais je ne peux pas affirmer que je suis l’auteur de cette fuite. Ceux qui ont organisé cette cabale, étaient bien organisés, ils avaient un objectif et matériellement, ils disposaient de moyens de faire faire imprimer les imprimés de la Paierie Générale, qui provenait de l’imprimerie officielle, à moins que les auteurs aient des complices au niveau de l’imprimerie officielle. Ce n’est qu’une faible hypothèse. L’hypothèse la plus probable serait que les imprimés ont été  faits par l’imprimerie officielle en Irak. Ce pays avait toutes les raisons de créer des problèmes au régime de Chadli.

Après le scandale, cette affaire a fait couler beaucoup d’encre, certains, estiment, que les auteurs ont organisé un complot contre Chadli pour compromettre ses relations avec la France et de discréditer son entourage, notamment Le Général Larbi Belkheir ? D’autres estiment, que l’assassinat de l’Avocat Mécili Ali avait des liens avec les comptes bancaires des Barons en Suisse et pour l’empêcher de faire publier les noms, ils l’ont liquidé avec la complicité de Pasqua et Pandraud.

Sachez M. Hidouci, que je n’ai jamais pris un centime des caisses de l’Etat, je n’ai jamais été impliqué dans une malversation financière et je n’ai jamais cautionner les corrupteurs ni les corrompus. De plus, je suis plus propre que Bouteflika, que  ses ministres  et hauts dignitaires corrompus, qui ont ruiné le pays. Depuis 1986, à ce jour, je suis dans l’opposition et je reste jusqu’à la fin et chute du régime dictatorial de Bouteflika.

A)– Première question: En votre qualité d’ancien ministre des Finances, avez-vous pris connaissance du rapport des magistrats de la Cour des Comptes, de l’année 1984-1985, sur la gestion de la Paierie Générale. Un rapport accablant, mettant en cause directement la responsabilité de Hachemi Saibi, mais comme il était protégé par son parent le Général Cheloufi, il bénéficiait d’une impunité totale ?

B)  Que pensez-vous de la fermeture  définitive de la Paierie Générale; est-ce à cause de la publication des articles du Canard enchainé ou bien est-ce à cause de la corruption dévoilée par ce scandale ?

C)  La fermeture signifie faillite et banqueroute de cette institution financière, qui ne jouait pas son rôle conformément aux textes portant sa création. Pourquoi, les archives ont été détruites et ce sont les agents du Ministère des finances qui l’ont attesté !

D) Pensez-vous que des hauts responsables notamment les dignitaires aient pu  bénéficier de transferts et de virements à leurs comptes bancaires par l’intermédiaire de la Paierie Générale.

E)  Pensez-vous, que l’assassinat de Me Mécili  avait un lien avec le scandale de la Paierie Générale ?

F) Pensez-vous, que le fait de persécuter  de s’acharner et de museler les   fonctionnaires incorruptibles était la manière la plus efficace pour assurer une bonne gestion   de nos finances et pour garantir une bonne gestion transparente ?

G) Savez-vous qu’au sein de la Paierie Générale, il existait un bureau de la Sonatrach ? Quel était son rôle  dans  une paierie mise auprès de l’ambassade d’Algérie à Paris ?

H) Pouvez-vous nous dire, de qui recevait- elle la Paierie Générale, ses fonds, est-ce , en provenance des comptes ouverts au nom de la Sonatrach à l’étranger,  est-ce,  du Trésor Public ?  Car la Cour des Compte a relevé des anomalies et des lacunes injustifiées dans cette gestion occulte ?

I) Pensez-vous, que les fonctionnaires révoqués arbitrairement et fonctionnaires licenciés abusivement, méritent-ils de figurer dans la liste des bénéficiaires de la réhabilitation, de la réintégration dans le cadre de la réconciliation nationale ?

J) Pouvez-vous nous dire, si le Ministre des Finances,  a le pouvoir de vérifier les comptes bancaires ouverts au nom de la Sonatarch et qui est l’ordonnateur principal  et combien de comptes dispose-t-elle la Sonatrach à l’étranger, qui  échappe  au contrôle du Trésor Public ?

Je tiens à vous en remercier vivement et pardonnez  moi de vous avoir mis à charge un lourd fardeau de me lire, mais notre public a la soif de connaître ce qui se passe dans les milieux financiers dominés en ce moment par une mafia criminelle. 

Commentaires

  1. amghar azzamni dit :

    C’est là un véritable pamphlet contre les corrompus et corrupteurs de l’époque de BRAHIMI dit la Science,que nous écrit Mr KADIRI,de la paierie générale à l’embassade d’Algérie à PARIS.
    Les secrets des Dieux ont été pénétrés avec quelques bribes d’informations sur la gestion des affaires publiques.
    Nous,petit peuple d’en bas avions ,à l’époque mis beaucoup d’espoir et de confiance sur les hommes qui dirigeaient le pays.
    Hélas,au fur et à mesure que nous avançons dans le temps,nous apparaissent d’énormes anomalies qui ont entachées la gestion de nos richesses dans leur ensemble.
    Aujourd’hui l’avenir de la jeunesse algérienne est compromis à cause des comportements de quelques gestionnaires verreux,sans scrupules qui ont dilapidé les deniers publiques.
    L’on assiste également à des réglements de comptes entre tenants du pouvoir de l’époque mettant à l’isolement les interets supérieurs de la Nation Algérienne.
    Dommage pour notre pays dont le peuple ne demande qu’à vivre dans l’honneur et la dignité que nos vaillants chouhadas leurs ont promis en s’étant sacrifiés sur l’autel d’une révolution armée contre el’oppresseur français.
    Heureux les martyrs qui n’ont rien vu!

  2. Obama dit :

    Cette lettre va également être publiée sur plusieurs sites d’Algériens et en premier lieu sur ALGERIE POLITIQUE

    LETTE OUVERTE
    AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

    Monsieur le Président,
    Vous venez de déclarer à l’occasion de l’ouverture de l’année judiciaire 2009/2010 : que la justice est le « Facteur d’attachement aux idéaux nationaux, la justice est ce moyen qui permet à la société de voir régner en son sein la stabilité et la sécurité. Elle est synonyme de vertu, tant elle englobe de hautes valeurs humaines et permet l’émergence de principes que sont la dignité, la fierté et l’amour de la patrie. »
    Vous avez ajouté que « Grâce à cet esprit de justice que se consolide la conscience qu’on a de l’intérêt national suprême du pays et c’est par son truchement que la société transcende les maux qui assombrissent le quotidien des citoyens, ces maux qui freinent son progrès et son développement tels l’égoïsme, le népotisme, la corruption, le pillage, l’agression et le viol. »
    « Grande est notre détermination à lutter contre la corruption sous toutes ses formes et ses manifestations. Nous avons élaboré des mécanismes législatifs et réglementaires qui seront bientôt renforcés par l’installation d’une commission nationale ad hoc. La justice et les lois de la République seront appliquées à toute personne rendue coupable de faits de corruption. »
    Nous voulons vous dire que nous serions fiers comme nous l’avions été quand en 1999 vous interveniez sur les chaines de radio et de télévision pour nous dire votre détermination et votre combat de ce mal de l’Algérie contemporaine. Si ce que vous dites sera effectivement concrétisé dans de brefs délais nous vous applaudissons encore aujourd’hui, 10 ans après votre premier engagement.
    Nous souhaitons cependant vous dire que la Commission ad hoc que vous avez décidé d’instituer ne serait qu’un outil de plus parmi la multitude d’autres existants. Ce n’est pas les cadres Algériens qui sont incompétents, ce n’est pas les textes qui sont confus, ce qu’il y a, c’est l’absence de contrôle rigoureux et sincère c’est ce qui aurait permis de combattre le mal. Les Algériens savent comment y procéder, ils savent comment mettre hors jeu la mafia qui sévit ouvertement dans les ministères, ils savent comment procéder pour combattre les corrupteurs étrangers. Ce qui leur manque c’est la volonté que vous venez d’affirmer solennellement et le feu vert qu’ils attendent de vous en tant que premier magistrat du pays.
    A l’instar des autres Gouvernements de beaucoup d’Etats arabes et étrangers, vous avez signé la convention onusienne en matière de lutte contre la corruption adoptée le 31/10/2003, ratifiée par l’Algérie et entrée en vigueur après la signature de plus de 120 pays.
    Dans le cadre l’Union africaine, vous a signé la convention sur la prévention et la lutte contre la corruption du 12/07/2003, entrée en vigueur le 05/08/2006.
    Vous avez promulgué et signé la loi N° 06/01 du 20/02/2006 contre la corruption. Quand bien même l’organe de gestion au niveau de la Présidence n’est pas encore désigné. Il n’en demeure pas moins que cette loi est un jalon indispensable, elle existe donc et elle s’impose à tous.
    Dans le prolongement de votre discours et des lois existantes, nous vous demandons de dynamiser la Cour des comptes, de libérer les organes administratifs et de sécurité qui agiraient comme une armée salutaire contre les indélicats et les fossoyeurs de l’économie et la morale algériennes. Vous savez très bien, et beaucoup d’observateurs locaux et étrangers le savent aussi, la situation de la corruption des fonctionnaires et des commis de l’Etat prend des proportions de plus en plus alarmantes. Les Algériens se demandent si tous les efforts consentis pouvaient ainsi se perdre dans le silence et dans l’oubli ?
    En tant que citoyens, informés, nous vous demandons le droit d’agir en catalyseur en tirant la sonnette d’alarme. Des mesures rapides, simples, d’éloignement par exemple sont des signes de bonne volonté et de bonne gouvernance. Les personnes dénoncées ça et là se doivent de recevoir le signal de sanctions éminentes afin qu’ils cessent leurs fourberies. Qu’ils soient à l’intérieur des administrations publiques ou en dehors des rouages de l’Etat. Vous le savez bien, ces commis de l’Etat sont censés le défendre ils doivent donc être au dessus de tout reproche. Vous en avez choisis quelques uns, vous leur avez donné une compétence, vous leur faites confiance, ils ont trahis votre confiance et celle du peuple ils doivent donc répondre et vite de tous leurs actes. Ne rien faire devant tant de dévoiements, c’est leur abandonner le pays et nous appréhendons des dérives tout aussi graves et impardonnables que les précédentes.
    Des cadres sincères, engagés font l’objet de pressions quotidiennes, délivrez les de leur position inconfortable ils sont entre le marteau et l’enclume. Encouragez les dans la voie juste, donnez leur les armes pour se défendre de ceux qui tirent les ficelles, qui ne travaillent de l’intérieur que pour accroitre leurs intérêts propres. Ces personnes sont connues des corrupteurs étrangers, ils symbolisent la face hideuse des rouages de l’Etat, qu’ils soient proches ou non du centre du pouvoir ils bénéficient parfois de la confiance des dirigeants et du peuple et ils en usent.
    Monsieur le Président tolérez que les citoyens participent au combat que vous déclarez vouloir mener contre les corrompus et les corrupteurs.
    Il est tout à fait certain que si comme dans bien des pays, les dénonciations, les critiques, les informations que véhiculent les personnes sont prises en charge avec intérêt, délicatesse et rigueur, des résultats auraient été enregistrés dans ce domaine, mais il n’en est rien. Chaque fait dénoncé dans la presse, dans les blogs, ou par courrier méritent d’être analysé et vérifié. C’est ainsi que les patriotes s’impliquent se sentent écoutées et les Etats, organisés, participent à la prise en charge de ce fléau qui rongent particulièrement les Etats de droit en gestation comme l’Algérie.
    Pourquoi cette note maintenant ? Le moment ne correspond nullement à quelle que stratégie ou une tactique, elle est opportune simplement du fait que la société a attendu pendant plusieurs mois que les structures de l’Etat compétentes prennent l’initiative. N’ayant rien vu se faire, nous prenons le parti de jeter ce pavé dans la marre, après votre discours dans lequel vous avez abordé la question.
    La situation est gravissime, nous n’avons pas la prétention de traiter de toute la problématique de la corruption, d’autres organes spécialisés devraient pouvoir le faire sans attendre.
    Nous nous sommes inquiétés de ce sujet sensible sur base de données récentes, réelles concernant un secteur en particulier. Il y en a d’autres encore davantage dépensiers, cependant il fallait bien le faire car, par inadvertance, des cadres algériens ont été témoins de scènes invraisemblables, où des chefs d’entreprises étrangères expliquaient comment ils sont devenus des fournisseurs incontournables moyennant de larges rétributions, à des Algériens, certains sont prestigieux et il est inconvenant dans le cadre de cette note de les citer, mais nos expertises des faits confirment l’existence de nids de malversations qu’il fallait mettre à nu.
    Ces avilissements de la chose publique, de l’Algérie, nous a poussé à nous y intéresser, c’est le moins que l’on puisse faire pour notre pays.
    Ces parasites « Algériens » procèdent d’une manière simple au courant des données, ils contactent les corrupteurs pour leur dire de « payer sinon ils auront rien », entendre par là ils auront aucun marché, leur langage est aussi brut, qu’inélégant et illégal. Les sociétés contactées certaines se taisent d’autres paient et ils obtiennent de manière déraisonnable des marchés qu’ils n’auraient pas pu obtenir si les lois algériennes sont respectées et les contrôles minutieusement opérés.
    Ces politiques maffieuses encouragées par le laxisme, de ceux dont la tache est de veiller à l’équité et au respect des procédures, coutent à l’Algérie des sommes importantes inutilement gaspillées.
    Si l’organe spécialisé de l’Etat, seul capable d’agir en la matière, appuyé par tous les autres moyens formels ou informels, est opérationnel, les sociétés étrangères ne profiteraient plus de nos lacunes et elles n’entretiendraient plus l’ambiance ainsi créée, pour enfreindre :
    -les règles de la concurrence,
    -les lois sur la corruption de fonctionnaires étrangers,
    -et les lois locales relatives aux marchés de l’opérateur public.
    Nous nous sommes livrés pour corroborer les faits, aux examens de dossiers d’actualité. Nous avons aussi examiné les cas semblables passés des derniers mois. Nous avons livrés nos conclusions nous pouvons dire, sans risque de nous tromper, que toutes les règles et les lois ainsi que la morale ont été bafouées de manière outrancière, et que l’Algérie paie cash les digressions des « parasites ». Par ailleurs ces mêmes corrupteurs gonflent imprudemment leurs prix en profitant encore davantage de la situation, de l’aubaine oserions nous dire. Ils sont également tout à fait lâches car ils n’hésitent pas à parler de l’Algérie en mal. Ils répandent malicieusement des rumeurs tendant à accréditer le fait que les appels d’offres en Algérie ne servent que de couvertures.
    Il faut avouer également que c’est une réalité malheureusement, comme l’attestent plusieurs cas soulevés. Nous vous demandons d’user de votre pouvoir auprès des organes compétents, non défaillants, de l’Etat pour corriger les grossières erreurs et diminuer la portée et les conséquences. Vous donnerez par cet acte de salut public, un signe et un avertissement à ces individus afin qu’ils cessent de voler l’Algérie.
    Cette note devait rester confidentielle, mais nous avons pris le parti de la rendre publique car nous ne faisons rien d’autre qu’appeler le nationalisme qui est en chacun de nous, pour donner la suite qu’il convient. La meilleure réponse étant d’ordonner la résiliation des marchés pour dol et incohérence, irrespect des lois locales, concussions et surfacturation. Les preuves sont accablantes, il suffit d’une simple comparaison pour que l’ignominie apparait dans toute son horreur. Nous ne souhaitons la prison à personne, mais nous estimons devoir demander que les étrangers soient sanctionnés pour avoir mis en place une organisation maffieuse qui leur procure des avantages exceptionnels en utilisant des Algériens avides de richesses.
    Dans les cas que nous avions examinés, ils ont instauré une situation de quasi monopole après avoir évincé pour des raisons obscures leurs concurrents. Il convient de préciser que la situation de monopole existe belle et bien. Ce constat facile à faire, est contraire aux dispositions de la réglementation. Cette situation monopolistique permet de facturer à des prix indus, que d’autres sources pourraient fournir à 40 ou 50% moins chers.
    Nous avons pris le parti de nous adresser à vous car au rythme où on va et à la manière dont nous agissons, du fait que les Algériens évitent de s’impliquer, nous pensons que le moment est venu de briser l’assujettissement qui laisse à penser, que les autorités sont d’un côté et les citoyens de l’autre. Une chose est sure nous n’avons pas une autre patrie, et forcément nous œuvrons, chacun avec ses moyens et là où il se situe, à établir et à renforcer l’Etat de droit, une manière populaire est simple de préserver l’intérêt général.
    Plusieurs voies mènent aux discrédits des institutions, et on ne peut se dire Algérien si on les laisse se répandre dans l’indifférence.
    Un blog est de notre point de vue un bon moyen de vulgarisation. Vous pouvez nous ignorer si cela vous dit, toutefois vous ne manquerez pas de conclure que nous véhiculons des éléments d’infractions établis ainsi que les circonstances factuelles objectives qui vous permettront de vous faire votre propre opinion.
    Lorsque la loi « Algérienne » a été promulguée le Ministre des Finances déclarait « L’Algérie a pris en charge la question des règles de l’éthique et de la déontologie en adoptant une loi contre la corruption. Il a ajouté que l’Algérie est l’un des rares pays dans le monde arabe et musulman qui dispose de mécanismes réglementaires de lutte contre le corruption ». Nous espérons que cette opinion et cet état d’esprit est encore d’actualité et qu’il est partagé par tous.
    Nous vous assurons que nous sommes mobilisés, et nous ne ménagerons aucun effort, chaque fois que possible, pour préserver l’intérêt national et nous continuerons à agir pour briser la loi du silence complice.
    Des Algériens, simples patriotes.
    (Obama)

  3. Mohamed dit :

    Je rejoins M. KADIRI, car étant dans le même cas que lui. J’ai été radié d’un Ministére pour avoir refusé de « rentrer dans le jeu »…de la corruption. Vous remarquerez que je n’ose même pas citer ce Ministére non par peur pour moi même mais par peur de laisser mes enfants orphelin. L’élimination physique des citoyens honnêtes en Algérie est la régle. Ce sont des milliards qui pouvaient être sauvés pour le Trésor public si mon rapport d’attribution d’un marché n’avait pas été détourné. N’ayant ni un général, ni une quelconque personnalité comme soutien, j’ai été rayé de la liste de la fonction publique sans raison aucune! Si notre Président avait le temps de recevoir les radiés de la Fonction publique et de les écouter, il comprendrait pourquoi les enfants de l’Algérie ont fuit leur pays. Personnellement, si l’occasion m’était donnée en toute sécurité, j’affronterai, avec preuves à l’appui, les minables qui ont brisé ma vie et celle de ma famille. J’affronterai ces voleurs qui ont ruiné l’Algérie et qui continuent à le faire.

  4. zaki dit :

    salam,
    le ministre des finances de l’epoque etait khellaf abdelaziz ,qui n’a rien a voir avec khalef(kasdi merbah),de grace ne melangez pas les serviettes et les torchons.salam

  5. Obama dit :

    A mohamed, vous devriez commencer par donner de la visibilité à votre cas, en publiant le rapport tel quel et s’il est long le scinder en plusieurs parties. C’est un premier pas vers votre réabilitation. Nous voulons et nous en sommes certains que c’est par cette voie que l’on peut défricher la situation grave de la majorité des secteurs. Ce sont parfois des faits simples qui dévoilent de gros ensembles et de grosses lacunes. Clarifier ce qui peut l’être en appellant un chat un chat. Parler clairement de faits avec des preuves.
    Et si on a pas les faits, commençons par parler des patrimoines que les escros se sont constitués illégalement en Algérie, c’est des fils directeurs pertinents et si un fonctionnaire, un douanier, un flic, un directeur de sociétés, un directeur de ministère , un militaire ou un ministre ne peut pas justifier ces avoirs et son patrimoine par son travail c’est donc un voleur et il doit rendre des comptes ne serait ce qu’au fisc algérien. Les voies sont toutes balisées il faut avoir la volonté de les emprunter …
    Obama

  6. dic dit :

    Monsieur Djilani,
    dites nous plutôt comment êtes vous arrivé à Paris?
    Comment êtes vous passé de simple gendarme à chef de daira?
    Qui vous a recruté comme gendarme en 1963 à Tiaret?
    Dans quelle « administration » française travailliez vous avant 1962?
    Quel est votre niveau scolaire?
    Puisque Il suffit de citer quelques noms qui vous sont proches matrimonialement pour le comprendre:
    Bench……..(djelfa)
    Sfard……..(Tlemcen)
    Lak…….Ham………(m’sila)
    N’est ce pas ces gens qui ont jalonné votre pseudo carrière de petit administrateur.
    Autre question plus intime:
    Où sont vos enfants et en particulier vos filles?

  7. Arguez dit :

    Cela me rappelle etrangement l’histoire de ce sous prefet du meme nom et originaire d’el bayadh en poste à Batna dans les années 80 et il me semble qu’il s’agit de la meme personne.
    Chargé de l’organisation du festival de Timgad, il avait dilapidé les fonds en programmant une mission à l’etranger pour recruter des troupes culturelles dans toute l’europe accompagné de son épouse( soeur d’un celebre realisateur de cinema)qu’il avait inscrite dans son ordre de mission comme attachée culturelle.
    Cela a fait scandale à batna et cette personne a été relevé, mais la rumeur a couru qu’il avait été recupéré au ministére des finances grace à son beau frere.

    QUI CROIRE??????

  8. amghar azzamni dit :

    lire les quelques commentaires ci-dessus,il nous apparait que tout le monde s’est joué de nous pauvre petit peuple.Les uns connaissent parfaitement les traçabilités des autres et commencent à se dénoncer ouvertement à partir du moment où il ne reste plus rien qui les lie solidement!
    Mais s’il vous plait ,épargnez-nous de vos querelles intestines,car cela nous fait trés mal et fait réveiller en nous une grosse amertume en apprenant que vous nous avez mené en bateau pendant longtemps en nous faisant croire que vous nous gouvernez bien!Vous vous etes bien moqué de nous en vous faisant tous passer pour des saints alors qu’à ce moment vous vous occupiez tout simplement de vos affaires scabreuses sans vous soucier du petit peuple que nous sommes!
    Rira bien qui rira le dernier!Qui a dit que les loups ne se mangent pas entre eux?Erreur car en fait,tous les loups sont prédateurs!

  9. ali dit :

    Vous savez bien ce que vous avez fait et les malversations pour lesquelles vous avez été éjecté

  10. titou dit :

    En fin de compte on est que des cons qui se sont fait prendre par des grands cons pauvre de nous .

  11. KADIRI dit :

    Droit de réponse @Arguez.
    Les gens comme vous, doivent se taire, ils n’ont pas le droit d’évoquer des situations qu’ils ne connaissent pas et d’autant, sont fausses et non fondées. Vous avez évoqué dans votre post, qu’un certain Sous-Préfet de Batna, s’est rendu coupable de dilapidation des deniers publics au détriment du budget du Festival de Batna. A ces accusations colportées et allégations mensongères, je dois vous dire que vous qu’un lâche, qui se cache derrière un pseudo, et si vous étiez un homme digne de respect, il fallait avoir aum moins par respect au public qui suit toutesd les informations et qui mérite que ces informations soient vérifiables, fiables et authentiques, mais aussi véridiques. Dans votre intervention, vous n’êtes pas même certain des faits, une sorte de spéculation maladroite digne des égouts de rats et de basse cour! J’ai effectivement exercé les fonction de Président de la commission du Fesdtival de Timgad, et dans cette commission, lesmembres n’avaient aucun droit de s’immiscer dans la gestion des gestionnaires et en particulier, dans celle du Trésorier. Vous ignorez totalement le fonctionnement de ce festival international. Le Président de la Commission, ne gère pas les fonds, ils relèvent de la compétence exclusive du trésorier qui étyait le seul ordon,nateur du budget, personne, n’avait le droit de retirer l’argent ni d’effectuer des opértions sans l’autorisation et l’avis du trésorier. Ceci, vous donne un aperçu, que vous êtes un ignorant qui raco,nte n’importe quoi. De plus, parmi les membres permanents, de notre commission, étaient aussi, M. Ali Benflis, M.Zerrouki Avocat, M. Ayachi kemal,M.Chikhi, M.Radjem et autres notables respectables, il suffit de poser à si Ali Benflis, ancien Premier Ministre, si un membre de la Commission ou le Président pouvait se servir deu compte bancaire du Festival de Timgad sans l’accord du Trésorier.? Il suffit de poser la même question, à l’actuel Trésorier du Festival de Timgad, est-il possible pour un Président de prélever des sommes sans l’avis du Trésorier. De plus, les comptes, étaient sous tutelle de la Wilaya, personne ne pouvait y opérer une quelconque opération financière sans la caution du Trésorier et la banque elle même ne reconnait que le trésorier comme ordonateurt principal et unique. Alger, de grâzce cessez vos salades pourries , le peuple mérite un peu restpect. L’affaire que vous évoqué,a commencé par mon appartement d’Alger qui m’a été pris par la force par un gangster, nommé Mohamed Moggadem, qui était à l’époque chargé de mission auprès du Ministère de l’Intérieur, et grace à ses relations intimes avec le beau frère de l’ancien Président Chadli, lamine Bourokba, ce sinistrfe individu,faisait la pluie et le beau temps, il usait de cette relation pour nommer les Walis et suspendre Walis et Chefs de Daira. un cynique individu, sans instructions et sans capacité morale, de nature abjecte, il s’est accaparé de mon appartement et avec la complicité de son ami, le sommissaire Abdessamed, origine de Batna,cette affaire fit scandale dans tout Alger. J’ai chassé le gardien qui a été placé par Moggadem, et aussitot, le commissaire Abdessamed, ordonne à ses policiers de me ramener menottes aux mains au Commissariat de Police. En arrvivant devant la porte de mon appartement, les policiers pensaient qu’ils avaie,nt affaire à un chef de Daira du type docile et qui ne manifeste aucune résistance. J’ai imlmédiatement avisé, les Policiers, que si jamais l’un tenterait de franchir la porte de mon appartement, je ferai usaghe de mon arme et les policiers avaient pris conscience de la gravité du problème. ils sont revenus bredouille et ils ont placé deux policier devant ma porte. J’ai prévenu mes parents, les Kerkeb et les Alahoum, et l’affaire à fait l’effet d’une bombe, comment se fait-il qu’un chef de Daira,se fait-il séquestré par les policier et qu’a-t-il fait pour que la police se mobilise et boucle tout le quarftier. Finalement, Khidiri, qui était le DG de la Police, avait fait arrêter cette spirale de provocations et le lendemain matin, j’ai été invité par le Commissaire Central de l’poque ( novembre 1979. ( M’hamed Tolba) Au cours de notre entretien, en présence de mon beau frère Larbi Alahoum,M.Tolba nous a fait savoir que toute cette affairte fut montée de toute pièce par Moggadem, avec la complicité du Commissaire Abdessamed.Ce dernier peut aussi juger mon comportement d’un homme courageux et que j’étais digne d’être un Chef de Daira, qui ne s’est pas plié comme n’importe quel individu devant un commissaire, qui était aussi dévoué au sinistre Moggadem. A la suite de cet incident,Abdelghani, qui était Ministre de l’intérieur n’était pas au courant de cette affaire, et Moggadem, gràace à son influence, avait demande à Daho Ould Kablia de prendre un Arraêté mettant fin à mes fonctions de Chef de Daira, au motif, que j’ai provoqué la Police. Daho ould Kablia, avait pris un arrête ministériel, sans tenir compte du decret portant ma nomination. Si ce type était compétent, il aurait refusé, car dans aucun pays, un arrêté n’a autant de force juridique pour abroger un décret. IL fallait un décret et comme Abdelghani, a fait le macquis avec mon cousin et beau frère le chahid KADIRI Khaled, ( né à Souggueur Tiaret) et il est mort dans ses bras et lorsqu’il a appris, qu’un arrêté avait été pris pour abroger un décret, il a fait venir, un homme digne de respect et de considération et qui avait assisté à notre entretien, et qui avait reçu l’ordre d’annujler l’arrêté et de me rétablir dans mes fonctions. Mais depuis cet incident, les adversaires puissants n’ont pas digérés cette défaite, ils ont décidé de poursuivre leur acharnement contre moi. Finalement, j’ai demandé ma réintégration dans mon Ministère d’origine, le Ministère des Finances et en 1982, j’ai assumé les fonctions de Sous-Directeur des Personnels du Ministère des Finances et en 1985, j’ai exercé les fonctions de Directeur Général Adkjoint de la C.A.A.T. je fus le fondateur de cette compagnie d’assurance.Lorsque j’ai quitté, la ville de Batna, je n’avais pas même de véhicule personnel.Mon ami le Capitaine de l’époque, Fihi Abdelwahab, m’a proposé de me procurer une voirture mais, je n’avais pas les moyens et j’ai toujours été modeste dans ma vie et à mon arrivée au Ministère des Finances, le Directeur de l’Administration Générale, El-hadj GADIRI, m’a accorde l’achat d’un véhicule d’occasion auprès de l’Administration des domaines.je me souviens, qu’un certain SG de la Wilaya de Batna,un lèche-botte, avait accepté d’adresser de faux rapports sur moi, mais avec le temps, cette même personne est propulsée à haut n iveau pour occuper le poste de ministre, mais il fut rattraper par l’affaire de Khalifa, il est trompé jusqu’au cou. Toutes les mauvaise actions sont payantes ici dans ce monde et certains pensent, que mle fait de participer aux dénigrements ne constitue nullement un grave péché. Alors, Arguez, qui que vous soyez, sachez, que je suis incorruptible, je n’ai jamais pris un centime des caises du Festival de Timgad, et encore moins dans les autres secteurs. Mais durant ma carrière, j’ai affronté des prédateurs et des monstres, une vraie machine impitoyable, broyeuse de toute résistante, quelqu’un qui se trouve sur le chemin de la sécurité militaire, sur le chemin de la police, ne sortira jamais indemne, ils fabriquent des dossiers artificiels, des situations pour salir le fonctionnaire et le détruire devant l’opinion. Q’Alolah, nous accorde sa protection divine et qu’il Nous protège contre ces requins dévoreurs d’hommes intègres.je vous informe par ailleurs, que j’ai décidé d’écrire au térsorier du Festival de Timgad, pour l’informer sur cette absurde accusation mensongère.Pauvre type, colpoteur, mesquin et menteur.Indigne de mériter l’hospitalité de ce blog qui mérite des gens mieux,que cette pire espèce de paraistes, nuisibles, les déchets de la société, les chiens qui aboient, mais la caravene passe. A bon entendeur salut. KADIRI.

  12. slimani said dit :

    A vous lire, vous avez cotoyé sinon rencontré toute la nomenklatura de notre pays et vous vous plaignez d’être une victime.je rejoins les commentaires des autres lecteurs en disant que vous prenez le peuple en otage avec vos querelles futiles et matérialistes d’appartement et de postes de responsabilité.
    Vous citez une série de noms et de personnalités du sérail politique pour nous impressionner ou pour vous donner une importance que vous ne devez surement ne pas avoir!!
    Vous avez raté le coche dans le boulevard des grands voyous parceque vous ne deviez en être qu’un petit qui voulait s’asseoir à leur table.
    Laissez tranquille les algériens qui n’ont ni beaux fréres ou cousins célébres pour construire leur démocratie.

  13. Houari dit :

    Drole d’individu bizzare !
    Que vient il faire dans ce blog des damnés de la terre?
    Qu’a t’il dénoncé?
    Ses déboires avec ses maitres!
    Un privilégié d’une époque qui a perdu ses avantages d’apparatchik.
    Un sacrifié du systéme qu’il a contribué à entretenir, mais qui a quand même réussi à se placer en Europe.
    C’est plutot lui qui devrait etre exclu de ce forum fédérateur contre le despotisme dont il a été l’outil avec toutes ses relations.
    Qu’il aille revendre son ame à d’autres diables.
    Houari de Tiaret

  14. Arguez dit :

    Triste Sieur,
    je n’ai fait que rapporter ce qui se disait à Batna concernant votre renvoi.
    Puisque la virulence de votre réponse complétement hors sujet m’a été adressée.
    Je répliquerais que si la caravane des rapaces dont vous faites partie passe, il restera toujours des dogues pour vous mordre.
    A ce propos, je me suis interessé à votre histoire rocambolesque et schizophrénique d’appartement que vous avez développé et j’ai appris que cet appartement que vous aviez mis au nom de votre maitresse qui vous avez laissé tomber pour un autre gratte-papier plus haut placé que vous.
    Tout comme le fameux MDA, s’étant aperçu de vos bassesses, vous a foutu dehors.
    Arguez de Batna

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