3 décembre, 2009
La République de Nassim Lakfel s’effondre !
Quelques jours seulement après le scellage du siège du journal « Siri Lilghaya » (Top secret) appartenant à « l’homme d’affaires » Nassim Lakfel, la police a procédé aujourd’hui au scellage du fast-food «Fatim». Pour rappel, Nassim Lakfel vend de la Chawarma, des crêpes et des glaces…en plein trottoir. Pis, il a transformé le trottoir en terrasse avec 10 tables et des chaises…sans autorisation préalable des services municipaux. En dépit de l’opposition des voisins et l’absence d’une enquête commodo-incommodo, Nassim Lakfel continue d’exercer son activité. L’APC d’Alger-centre et les services de sécurité, par voie d’un huissier de justice, lui intiment l’ordre de fermer la boutique, mais en vain. Défiant toutes les lois de la république, Lakfel transforme la cave de l’immeuble (espace commun) en cuisine ! El Mouhtarem http://ffs1963.unblog.fr/2009/11/06/la-republique-clandestine-de-nassim-lakfel/
Commentaires(4)
Dans une lettre adressée aux députés de l’APN et au SG de l’UGTA, les travailleurs de l’Entreprise publique pour l’insertion des personnes handicapées (EPIH) indiquent que 10 unités réclament 67 mois de salaires impayés sans compter l’exercice 2009. «Nous avons passé le Ramadhan, la rentrée sociale, les deux fêtes de l’Aïd sans percevoir de salaire», explique Merabti Slimane, membre du conseil national du syndicat de l’EPIH. Source El Watan/ Synthèse
L’Enaditex a été dissoute jeudi dernier, la veille de l’Aid. Refusant le fait accompli, les travailleurs sortent dans la rue pour protester haut et fort contre cette mesure. «Deux sit-in ont été tenus à Alger ces deux derniers jours », souligne Benyoucef Zenati, membre du syndicat d’entreprise. «Et ce n’est qu’un début», prévient-i. Un grand rassemblement sera organisé dimanche prochain devant le siège de l’entreprise à Alger. Selon les syndicalistes, la dissolution ne s’est pas faite conformément aux dispositions contenues dans le code de commerce, notamment son article 715 bis 20 (1) qui exige que toute décision de dissolution d’une entreprise doit être prise dans une assemblée générale extraordinaire. Ce qui n’est pas le cas pour l’Enaditex, dont la décision a été prise par le conseil d’administration. L’Enaditex possède 256 infrastructures dont 160 magasins répartis sur l’ensemble du territoire national. Source El Watan/ Synthèse d’El Mouhtarem 




