Prix Alkarama des droits de l’Homme pour Ali Yahia Abdenour
La Fondation Alkarama pour les droits de l’homme a organisé Vendredi 11 décembre 2009, à 18 heures, au Centre International de Conférences de Genève, une cérémonie à l’honneur de Maître Abdennour Ali-Yahia qui a reçu le prix «Alkarama Award 2009 » pour les défenseurs des droits de l’homme pour l’ensemble de son œuvre en matière de défense et promotion des droits de l’homme en Algérie. Ce prix est décerné chaque année à l’occasion de la journée mondiale des droits de l’homme, le 10 décembre, à une personnalité ou à une organisation ayant contribué de manière significative à la protection et à la promotion des droits de l’homme dans le monde arabe.
Avocat de formation, Maître Abdennour Ali-Yahia a milité au sein du mouvement national algérien et a été emprisonné durant la guerre de libération nationale. A l’indépendance en 1962, il a été membre de l’Assemblée constituante puis membre du gouvernement, avant de démissionner de son poste ministériel en 1967. Par la suite, il s’est consacré à l’exercice de son métier d’avocat et à la défense des droits de l’homme, ce qui lui a valu détention et déportation. Maître Abdennour Ali-Yahia est le fondateur en 1985 de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, reconnue officiellement par les autorités algériennes en 1989 ; il en est aujourd’hui le président d’honneur. Né le 18 janvier 1921, Maître Abdenour Ali-Yahia est le doyen des défenseurs arabes des droits de l’homme. Il est l’auteur de « Algérie : Raisons et déraison d’une guerre » (Editions L’Harmattan, Paris 1996) et « La dignité humaine » (Editions INAS, Alger, 2007).
Un grand nombre de représentants d’ONG et des mécanismes onusiens des droits de l’homme et de missions diplomatiques ainsi que des membres de la communauté arabe, et notamment algérienne, ont assisté à la cérémonie. Après le discours du représentant de la Fondation Alkarama (voir Annexe), des messages de félicitations envoyés par des amis et collègues défenseurs des droits de l’homme ont été lus, comme le message de M. Ahmed Mannai, défenseur tunisien des droits de l’homme, et Prof. Mario Giro de la Communauté Sant’Egidio (voir Annexe). Toutes les interventions ont salué le long parcours du militant pour la liberté et du fervent défenseur des droits de l’homme et de la dignité humaine. Au cours de la cérémonie, un court-métrage documentaire retraçant les principales étapes du parcours de Me Abdennour Ali-Yahia a été projeté. A l’issue de la remise du prix, Me Abdennour Ali-Yahia prononcé un discours pour remercier la Fondation Alkarama au cours duquel il a exposé la situation des droits de l’homme en Algérie (voir Annexe).
Fondation Alkarama
Genève, 12 décembre 2009
je respecte tres bien ali yahia abdenour et je respecte aussi son grand combat pour les droit de l homme ,il merite tout les prix de toute les ong mais de cette ong al karama pourqoi?parce que cette ong elle decerne ce prixx aux arabes dans les payés dite arabe
tt respectueux doivent respecter cet grand homme , grand defenseur des droits de l hommes , et parmi les principes des droits de l homme l anti racisme
j espere k le commentateur n en fait partie
car ce probleme en algerie sert le pouvoir , car a la fin de compte , est ce qu on veut et on peut vivre ensemble ou pas ?tu dois combattre et militer pacifiquement et scientiquement pour convaincre les autres de tes avis ,mais si tu utilise des propos racistes et les insulte, tu ne pourra jamaais convaincre qqun ?juste observation esperons k elle soit accepte d un arabophone mais pas d un arabe et j nai rien contre les arabes ?pose la question si un jour tu aura vraiement besoin dune aide , qui va t’aider : arabe et non arbes seront present et n attendent rien en contre partie mais les occidentaux quand ils aident ,ils attendent de toi une recompense
Toutes mes félicitations,Maitre Ali Yahia Abdennour, et bonne continuation dans vos activités de combatant des droits de l’homme.
Toutes mes félicitations à mon frère Dda Abdenour. La jalousie viendra des nervis du pouvoir Rezzag Bara et Farouk Ksentini.
abdenour fini la mystification