Algérie-Politique

جرت يوم أمس الخميس 17 ديسمبر 2009 في مجلس قضاء غرداية إعادة محاكمة  17من المتهمين في أحداث غرداية 2004  وعلى رأسهم المناضل من أجل الدفاع عن حقوق الإنسان والديمقراطية « الدكتور كمال الدين فخار » وقد حضر هذه المحاكمة محامين و ناشطين حقوقيين وإعلاميين وطنيين ودوليين
وصدر الحكم في وقت متأخر من اليل بعد  أربع ساعات من المداولة بـ ستة أشهر غير نافذ لمتهم واحد أما باقي المتهمين وعلى رأسهم الدكتور فخار كمال الدين  حكمهم البراءة
هذه بعض الصور لمسيرة التضامن مع المتهمين و صور لدورة المجلس الوطني لحزب جبهة القوى الإشتراكية بولاية غرداية

دمتم اوفياء للديمقراطية
 

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Louhibi pour « Algérie Politique »

Je viens par la présente répondre à ce flot de haine du certainement a beaucoup de frustrations. Probablement qu’il y a un grand nombre de responsables malhonnêtes mais un bon conseil: ne parlez pas de choses que vous ne connaissez pas. Le Belkheir dont vous parlez, connaissez-vous réellement son parcours ? Ses origines ? Sachez que c’est un fils de notable connu dans la région de Tiaret pour sa générosité et son histoire.
Savez-vous qu’il a été un brillant élève de l’école Saint Louis d’Oran avant 1954 ? Avez-vous une idée sur sa formation d’officier de l’armée française (d’où il a déserté juste avant la remise du diplôme et du grade), chose qui lui a servi pour former les Moudjahidine Algériens afin d’organiser des attaques à partir de la frontière tunisienne,  ce qui lui avait valu les félicitations et la confiance du colonel Houari Boumediene à l’époque ?

Etes-vous au courant qu’en 1991 il a fait front contre le Front islamique du salut (FIS) au moment où beaucoup s’enfuyaient à l’étranger car sans lui et certains autres personnalités l’Algérie aurait éclatée au grand dam de nos ennemis et qu‘on serait aujourd’hui divisés en plusieurs petits pays entrain de nous déchirer beaucoup plus que nous le faisons maintenan.

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A Saint-Etienne, un Algérien se bat contre l’administration pour pouvoir être pris en charge. Le CHU reconnaît les difficultés pour financer son hospitalisation, mais assure qu’il sera soigné.

Cherif Bezzih ne s’attendait pas à ça en arrivant en France, le 11 octobre. Cet Algérien de 61 ans est venu rendre visite à son fils, qui demeure dans le quartier de Montreynaud à Saint-Etienne. Dans les jours qui suivent, il se rend à l’hôpital Nord pour passer des examens. On lui diagnostique un cancer et une hospitalisation est nécessaire.

C’est là que les choses se compliquent. «On nous a expliqué qu’on ne pouvait pas le garder à l’hôpital» déclare son fils Zahir. Car il découvre que, bien que son père ait travaillé treize ans en France durant sa jeunesse, cela ne suffit pas à lui offrir une couverture médicale. http://leprogres.fr/fr/region/la-loire/loire/article/2483381,182/La-galere-d-un-etranger-pour-faire-soigner-son-cancer.html

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Un peu plus d’un mois après avoir entamé une grève de la faim et un véritable bras de fer avec les autorités  marocaines, la militante sahraouie Aminatou Haidar est revenue dans la nuit de jeudi à vendredi à Laâyoune (Sahara occidental) dans un avion en provenance des Canaries (Espagne). L’avion médicalisé dans lequel elle avait embarqué s’est posé à Laâyoune   vendredi vers 00H15 locales (et GMT). Il avait quitté Lanzarote deux heures plus tôt.  Selon une source policière, Mme Haidar a accompli normalement les formalités d’entrée à l’aéroport en marquant sur la fiche d’arrivée qu’elle « arrivait au Maroc ».

Vendredi, le ministère marocain des Affaires étrangères a confirmé que le Maroc avait accédé à la demande de « pays amis et partenaires » en faveur d’un retour d’Aminatou Haidar à Laâyoune, mais qu’il restait ferme sur « le respect total de la loi marocaine, par tous, sans exception et sur l’intégralité du territoire national ». Et selon Rabat, les « agissements » de Mme Haidar « ne sont pas liés à la promotion des droits de l’Homme ». « Elle a, bel et bien, agi pour le compte du Polisario, qui demeure un mouvement militaire et totalitaire, à la solde de  l’Algérie qui l’abrite, le finance et le soutient ».  AFP

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http://cms.iuf.org/?q=node/151

À Hassi Messaoud, Algérie, à 850 kilomètres au sud est d’Alger, Eurest Support Services, une filiale de Compass Group, assure le service restauration à une vingtaine de multinationales comme Schlumberger, Halliburton, Repsol, BP, Ciepsa et Burlington

Des centaines d’employés vivent dans des tentes, sous des températures du désert, et souffrent du problème d’hygiène et des conditions de vie difficiles. Six semaines de travail sans un jour de congé. Salaire mensuel d’une moyenne de 18.000 dinars (185 euros). En décembre 2006, les agents de sécurité ont décidé de créer un syndicat pour défendre leur dignité et améliorer leurs conditions de travail. Mais la direction est intervenue pour les empêcher de le faire, en procédant à la suspension du secrétaire général et au licenciement d’au moins 10 autres militants syndicaux.

Yacine, qui avait un dossier de travail exemplaire avec Compass, a commencé à avoir des problèmes avec la direction après avoir été élu secrétaire général du syndicat. Après avoir été suspendu de ses fonctions, l’entreprise a décidé de le poursuivre en justice. Il a fait face à des allégations identiques dans de nombreux cas différents, représentant quelque 22 audiences en trois ans.

L’UITA a présenté une plainte auprès de la UK National Contact Point de l’OCDE relatifs à l’affaire de Yacine Zaid et ses co-travailleurs et fait appel à Compass de réintégrer Yacine, et permettre à ces travailleurs Eurest d’accéder à leur droit de former et de s’affilier à un syndicat.

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