Scandale à Sonatrach: 1600 marchés de gré à gré depuis 10 ans !
Pas moins de 1600 marchés ont été attribués de gré à gré, ces dix dernières années, par la compagnie nationale Sonatrach, a révélé une enquête menée par le Département de renseignements et de sécurité (DRS). Les enquêteurs ont découvert l’implication de plusieurs hauts responsables de la compagnie dans des malversations. Ces enquêtes font suite à celle déclenchée autour du projet de l’autouroute Est-Ouest qui a conduit à la mise sous mandat de dépôt de hauts responsables du ministère des Travaux publics parmi lesquels le secrétaire général, Mohamed Bouchama. Par ailleurs, nous apprenons d’une source sûre qu’un dossier impliquant l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, dans l’attribution « illégale » du projet de l’autoroute à une société chinoise est entre les mains des services de sécurité.
Dans sa stratégie, le DRS envoie ses éléments mettre en place des réseaux de cooruption pour mouiller des gens, puis on organise un procès, puis les leurs sont blanchis pour manque de preuve et les autres sont la disgrâce en sachant que certains hauts responsables ne peuvent pas dire non aux affaires qu’on leur propose par crainte de voies de garage. L’affaire Khalifa a démontré combien ils sont capables de reconstituer et de traîner dans la boue toute l’arborescence des corruptions. El Mouhtarem
des voleurs qui enquetent sur des voleurs…
on a vraiment atteint le paroxysme de la comedie tragique ,de la debilité que seul les nanties du pouvoir savent le faire…
tout le mmonde sait que la corruption est partout meme dans le simple achat de journaux pour les etablissement publique !!!
y a Elmouhatrem, tu as tout à fait raison de dire ce que tu dis .Toutes déclarations à savoir des enquêtes par ci et par là ,c’est des tactiques d’une stratégie concertée. Si le DRS bouge c’est simplement qu’il y a des saubressauts dans la maison, ils craignent un séisme , le combat contre la corruption ils avaient tout le temps de faire … c’est ce qu’on leur reproche justement c’est de ne rien faire et de continuer à noyauter et à organiser des actions pontuelles dont ils ont le sécret. Tant que tous les organes font semblant seulement soyons vigilants.
« Pas moins de 1600 marchés ont été attribués de gré à gré, ces dix dernières années, par la compagnie nationale Sonatrach, a révélé une enquête menée par le Département de renseignements et de sécurité (DRS). »Si,1600 marchés de gré à gré ont eté signés durant cette periode de 10 ans,cette, soit disant enquete,n’en est pas une.cela doit etre qu’une operation visant un reglement de compte au sommet.Effet,comment un nombre aussi impressionnant de marchés soient passés de maniere illegale ait besoin d’une enquete.Tous les responsables de sonatrach jusqu’a tous les responsables au ministere de l’energie sont sensés le savoir.On a vraiment pas besoin du DRS pour connaitre la verité sur ce genre d’affaires,surtout qu’un marché a besoin de plusieurs commissions, a savoir la commission d’ouverture des plis,puis une commission de jugement des offres,eventuellement une commission nationale au cas ou le montant du marché depasse un certain montant.Supposons qu’aucune commission ne s’est reunie,mais les contactants, avec sonatrach, agiront sur le terrain à « ciel ouvert » si c’est des travaux, ou passeront par la douane si c’est l’acquisition d’equipements, apres la signature.Donc a mon avis ,on a vraiment pas besoin d’enquete pour connaitre ces operations frauduleuses au detriment du citoyen algerien qu’on continue à piller sans scrupules.
Par consequent,si il y a enquete c’est pour beaucoup plus pour mediatiser l’affaire afin des regler des comptes ou bien un trompe oeil pour dire au peuple qu’on defend ses interets.On reste encore des pratiques eculées dans un systeme depassé par le temps et le peuple.
oui mon frere un pzys de voleur
sans tous mouillee z modire ce peuple
POUR VICRE DES CAS QUE ;A SONATRACH EST UNE COMPAGNI DE 1ER ORD EN AFRIC DE BEC
DEPUIT BPLUS DE 6MOIS EN ESSEY DE RETIRER DES CAHIER DE CHARGE, DIFFICILE ET LES RAISONS S DIFFERENTES POUR QUE SA PASSE GRE A GRE LA POLITIQUE DEVRA CHANGER
Ouf! j’en reste sans voix…
Dix ans, tout de même! C’est fou, totalement fou.
Il est vrai que la sonatrach c’est l’Etat dans l’Etat.
Ce ministre QUI a donne le coup de grasse a SH . (1) il a concott la loi des hydraucrbures pour privatser SH en douceur. (2) Un breanstorming qui a reuni tous les cadres de SH pour detecter ceux qui sont contre cette lois. (3)Une fois tous ces Cadres reperés et desintegre soit par des mutations soit la prison soit departs forcés soit par eloignes de la gestion du secteur qu ils MAITRISENT .(4)Il n a laissé place qu aux Directeurs sans experiences ou facilent à debouter à tout moment.(5)Une fois le terrain nettoyer de tous ces Anciens cadres, commence le charcutage avec des projets tous azimuts et sans interets economique pour beaucoup des installations afin de brouiller toutes les pistes et laisszer champ libre aux grands contrats du sous sol petrolifere ou les concessions des ces terres riches et en plus repertorier geologiquement par la france et c est a partir de ce moment là que commence le gros et incontrolable busness . Voila le projet macaevilique tracé du fleuron de notre pays qui bat de l aile sans issues de secours malgres ses richesses .Une fois mission accompli il va demandé au President qu il est fatigué il veut rentrer chez lui pour s occupper de son busness et laissant derrier lui un noeud inextricable de cntrats de riche terres aux etranger .
ce qui m’étonne c’est que ce soit une enquête menée par la DRS. pourquoi? est ce que le pouvoir politique n’a pas confiance en la police? ou est ce la preuve qu’il s’agit d’une affaire politico financière doublée d’une stratégie maffieuse et de plans macchiavélique. cessez de nous prendre pour des idiots. les plus grands pourris ce sont les ministres, premiers ordonnateurs et donneurs d’ordre, les hauts fonctionnaires qui font tourner la baraque pendant que les ministres se promènent de pays en pays sous couvert de missions bidons puisqu’on n’a rien vu de vraiment concluant.
personnellement je pencherai vers une stratégie visant une amnistie générale pour mettre à l’abri,définitivement, et de manière légale,les vrais pourris.
depuis dix ans dites vous?
wah khayi? safi?
Concernant Mr MEGHAOUI EL HACHEMI EX PDG DU CPA ILK FAUT ALLER AU FONDS POUR VOIR D OU VIENT SA FORTUNE REPONSE/
dossiers CPA du Groupe Dahmani ( la belle )
Hayat regency hotel à Oran
tout doit changer mm les hautes instances du pays sont au courant.
Tout simplement ces personnes savent qu’ils n’ont rien a craindre on qu’a voir le cas KHALIFA zt les gens qui disent j’en assume.
les depenses pour les festivites ,les colloques les……
lES Origines du scandale
Y.Mérabet un cadre courageux
Chakib Khalil nargue le nucléaire civil algérien « Vers 2020, l’Algérie aura sa première centrale nucléaire et nous aurons une centrale tous les cinq ans après», avait déclaré le ministre algérien de l’Energie et des Mines, à la radio algérienne, le 24 février dernier 2009. Le 14 juillet 2009 met fin au rêve algérien du nucléaire en déclarant « l’énergie nucléaire n’est plus une priorité pour l’Algérie. La création d’institut de l’engineering atomique à Ghardaïa, ne signifie pas pour autant que l’Algérie a décidé de se doter d’une centrale nucléaire ».
Une part de singe chien pour l’Algérie, le plus grand dsert du monde et le plus le plus ensoleillé.
L’Algérie de tout le monde
L’Algérie a besoin plus que jamais de diversifier ses sources d’énergie pour faire face à l’après-pétrole, l’énergie nucléaire est la seule source énergétique qui pourrait remplacer le pétrole et le gaz, sa matière première est abondante dans notre pays, il suffirait seulement de la valoriser. Depuis de longues années, l’Algérie a beaucoup investi dans le nucléaire. L’ambition des dirigeants algériens de l’époque était de doter le pays d’un parc de centrales électronucléaires nucléaires, remonte aux années 1970. Il était alors question de construire plusieurs centrales de 600 à 900 MW qui devaient assurer l’alimentation en énergie électrique et se substituer au gaz et au pétrole plus facilement exportables.
Un effort considérable dans la formation du potentiel scientifique et technique a été déployé avec l’assistance de l’AIEA qui a financé, dans les années 1980, l’acquisition d’équipements et la formation de plusieurs centaines de chercheurs et techniciens dans ce domaine. Cette coopération s’est développée encore plus après la création en 1982 du Haut commissariat aux énergies nouvelles. Aujourd’hui, l’Algérie se voit sa filière nucléaire détruite et son parc ne compte seulement que deux réacteurs de recherche et d’application, lui servant de pièce de musée scientifique, l’un d’une capacité insignifiante exposé à Draria pour les étudiants, l’autre d’une ancienne technologie péri dans les sables d’Ain-Oussera en attendant le retour des enfants prodigues du pays.
Ces réacteurs furent programmés et construits sous le régime nationaliste fort, de l’avant dernière décennie, d’autres gens se sont emparé du pouvoir et détruisirent tout ce que les autres ont fait de bien en l’occurrence le secteur de l’industrie, de l’agriculture et de l’énergie. Quelques élites nationales rescapées de la répression dirigée l’équipe Chakib Khalil réussirent à convaincre le gouvernement algérien pour reprendre le dossier du nucléaire algérien, qui fut confié malheureusement là ou il ne fallait pas et là ou les secrets d’Etat se vendent (Le quotidien d’Oran Du 12/10/2005 « Notre énergie au futur » par Y.Mérabet de la AARI). On lisant les déclarations de nos responsables, on a le pressentiment que ces gens là n’ont rien à voir avec l’Algérie et qui ne sont pas concernés par son futur, écoutons ces phrases « La création d’institut à Ghardaïa, ne signifie pas pour autant que l’Algérie a décidé de se doter d’une centrale nucléaire », « La création d’une centrale nucléaire exige une analyse profonde avant la prise de décision politique, qui tient compte de ses avantages mais également de ses inconvénients tant sur le plan financier qu’environnemental » Quel est votre jugement ? Eh bien ! L’acquisition de moyens de dissuasion pour protéger notre souveraineté nationale valent plus que sa peur, car c’est une continuité de la révolution algérienne que nous devons tous assumer, c’est le rêve de tout algérien de voir son pays puissant. L’Algérie est signataire du traité de non prolifération (TNP) le 30 mars 1996.
En décembre de la même année, a été créé le Commissariat pour l’énergie atomique (Comena), principal instrument de la stratégie algérienne dans le domaine de l’énergie nucléaire. Une de ses missions est de promouvoir l’utilisation de cette énergie dans les secteurs de l’agriculture, l’hydraulique, l’industrie, la santé, l’aménagement du territoire ou les travaux publics. Le Comena a également pour mission d’assurer les conditions de stockage des déchets radioactifs et de veiller à leur gestion et contrôle. Deux accords de garantie ont été signés avec l’AIEA pour ces réacteurs, deux conventions sur la notification d’accident et sur l’assistance technique en cas d’accident et une convention sur la sûreté nucléaire. Depuis 2005, un décret fixe le cadre réglementaire de la gestion de ces déchets.
Le Comena envisageait l’emploi de l’énergie nucléaire pour la production d’électricité et ses responsables souhaitent utiliser l’énergie nucléaire dans le vaste programme de production d’eau dessalée lancée par Algerian Energy Company (AEC) sur le littoral algérien, tout cela s’est traduit par de cuisants échecs que nous fait subir ce ministre. Le développement du nucléaire en Algérie devrait faire partie d’un vaste programme mondial de reconversion de la source fossile en source fissile en grande partie, mais aussi pour l’industrie militaire et civil. Mais les autorités algériennes n’arrivent pas à franchir les barrières imposées par l’AIEA et les pays européens pour priver l’Algérie de l’acquisition de cette industrie très lucrative. Même si l’Algérie arrivera à construire ses propres centrales, elle ne pourra pas produire de l’électricité librement, car elle se heurtera à la monopolisation de la production et la commercialisation du combustible par les trois principale puissance nucléaire à savoir la France, les Etats-Unis et la Russie, mais cela ne devrait pas nous décourager, l’exemple de l’IRAN devant nos yeux.
De fortes pressions jusqu’à la menace d’intervention militaire ont été exercés sur la république islamique d’Iran par les Etats-Unis, leurs alliées européens, les monarchies arabes, Israël et même la Russie pour le priver de fabriquer son propre combustible. L’Algérie, à la tète d’un Chakib Khalil, n’arrivera jamais là ou les iraniens sont arrivés, c’est une question d’identitaire, de patriotisme et enfin d’hommes. Au manquement de tout ça, la question du nucléaire algérien doit se traiter dans le plus grand secret d’Etat, et non dans un Souk semblable à l’Immeuble Ahmed Gharmoul, lieu de la haute corruption ou tout se vend sur nos tètes.
Mon pays est déshabillé, il est nu.
L’avancée du Maroc et de la Tunisie le nucléaire civil
Plus discrètement, nos frères marocains avancent aussi à pas mesurés sur la voie du nucléaire. Avec une particularité de nature à intéresser les responsables tunisiens : le Maroc compte sur leurs ses gisements de phosphate et celui du Sahara Occidental. En 2007, lors du voyage de Nicolas Sarkozy au Maroc, la présidente du Directoire d’Areva a signé avec le directeur général de l’Office chérifien des phosphates (OCP) une déclaration d’intention qui porte sur l’extraction de l’uranium de l’acide phosphatique marocain, signé lundi 22 octobre, prévoit notamment de « lancer en commun une étude de faisabilité pour un site industriel de production d’uranium » à partir des phosphates.
Selon l’AIEA, la quantité d’uranium que l’on pourrait extraire l’extraction de l’uranium contenu dans l’acide phosphorique, fabriqué à partir des minerais de phosphates marocains des gisements de phosphates du Maroc avoisineraient les 6 millions de tonnes. Areva et l’OCP prévoient notamment de lancer en commun une étude de faisabilité pour un site industriel de production d’uranium à partir d’acide phosphorique. RIA Novosti. La Russie à son tour s’intéresse au nucléaire marocain, elle compte construire une centrale nucléaire fonctionnant au phosphate par la société russe Atomstroyexport, selon les officielles marocains. Les experts et dirigeants de la compagnie russe ont choisi le site de Sidi Boulbra, où pourrait être construite la première centrale nucléaire marocaine qui produira 1200 MW. Les russes envisagent de construire un institut d’engineering atomique sur le site même.
Des négociations sont notamment menées avec la Turquie, au niveau intergouvernemental et entre compagnies industrielles, pour la réalisation d’autres centrales. Atomstroyexport est la plus grande compagnie russe mettant en œuvre des accords intergouvernementaux sur la construction de sites nucléaires à l’étranger.
A l’heure actuelle, elle est la seule à construire parallèlement sept réacteurs en Chine, en Inde, en Iran et en Bulgarie. Soit «deux fois plus que les ressources mondiales connues des gisements d’uranium». Mêmes soucis du côté de la Jordanie. Le Royaume Hachémite importe actuellement à hauteur de 96% pour faire face à ses besoins en énergie Près de 20% de son PIB est ainsi dépensé en énergie. Or voici qu’aux dernières nouvelles, les quelques 1,2 milliard de tonnes de phosphate qu’il a en réserve pourraient receler 130.000 tonnes d’uranium. Le géant minier anglo-australien Rio Tinto a été chargé de son extraction. Un contrat a été signé en ce sens, le 23 février. Soit quelques mois à peine après la signature d’un protocole d’accord entre la Commission jordanienne de l’énergie atomique (JAEC), l’Atomic Energy of Canada Limited (AECL) et la SNC-Lavalin International, l’un des tout premiers spécialistes du nucléaire mondial et qui… maîtrise (réellement) l’extraction de l’uranium à partir du phosphate.
La SNC-Lavalin était d’ailleurs bien présente dans notre pays en février dernier pour faire la promotion de sa solution. Faut-il rappeler encore une fois que la Tunisie produit 8 millions de tonnes de phosphate marchand, ce qui la place au 5ème rang mondial des pays producteurs. La Tunisie est en deuxième position parmi les Etats qui valorisent le plus ce précieux minerai. 85% de sa production sont ainsi valorisés. Rien qu’à l’usine de la Skhira, on produit ainsi plus de 375.000 tonnes d’acide phosphorique par an. Tout dernièrement, le Groupe chimique tunisien (GCT) de Gabès a annoncé la mise en chantier de plusieurs projets d’ici 2011. Dont un projet d’unité de production d’acide phosphorique d’une capacité de 400 tonnes par jour. Or l’uranium peut aussi être récupéré à partir de l’acide phosphorique. Les phosphates tunisiens et marocains marquent le pas. (le Quotidien d’Oran du 21/04/2009 «phosphates pour le Maroc et uranium pour la France » par Y.Mérabet et du FINANCIER du 23/04/2009 « Les phosphates au Maghreb: enjeu politique, enjeu d’avenir » par Y.Mérabet).
L’Algérie opte pour le projet ‘Desertec’, un projet énigmatique
Produire de l’électricité à partir du soleil est un rêve d’enfant que les européens veulent réaliser à l’échelle planétaire. Le projet Desertec est née de l’idée qu’une pénurie d’énergie fossile et fissile se dessine à l’horizon proche, la baisse et la hausse des prix du pétrole sont devenus propriété des charlatans, la facteur énergétique de certains pays européens devient impayés, les guerres du pétrole s’annoncent un peu partout etc. L’idée de reprendre ce rêve d’enfant a prit naissance chez un groupe de responsables et d’entreprises allemandes qui pensent que le soleil appartient à toute l’humanité et chaque personne doit bénéficier gratuitement de cette énergie, sans payer un sous.
Le Centre allemand de recherche aérospatiale (DLR) a mené de menus études techniques, financées par le Ministère allemand fédéral de l’Environnement. L’étude a permis de conclure qu’en moins de 6 heures, les zones désertiques du globe reçoivent du soleil la quantité d’énergie que l’humanité consomme en une année. La fondation Désertec s’est ainsi lancé le défi d’exploiter cette énergie inépuisable à un coût raisonnable et prendre en charge ce vaste projet par des fonds récoltés chez les plus riches de la planète. Le projet prévoit la construction de vastes centrales solaires thermiques à concentration (CSP, en divers points d’Afrique du Nord et du monde arabe). Les études ont montré qu’il suffirait d’installer des champs de collecteurs solaires sur environ 0,3% des surfaces désertiques du globe pour couvrir l’ensemble des besoins mondiaux en énergie.
En complément, il est prévu d’exploiter l’énergie éolienne le long de la côte marocaine et en Mer Rouge, et d’utiliser d’autres techniques solaires telles que le photovoltaïque concentré. Douze grandes entreprises européennes, en majorité allemandes, ont crée un consortorium de bureau d’études. Un bureau doté d’un budget de 1,8 million d’euros pour élaborer des plans d’investissement réalisables au cours des trois prochaines années sur l’énergie solaire en provenance du monde arabe et probablement d’Afrique (pour le moment les pays d’Afrique noire n’y figurent pas dans le programme ‘Desertec). Le consortium fondé est mené par le réassureur Munich Re et la fondation Desertec. Il rassemble les géants allemands de l’énergie E.ON et RWE, la Deutsche Bank, le conglomérat Siemens, des fabricants de solaire comme l’espagnol Abengoa Solar, et enfin le groupe agro alimentaire algérien Cevital.
Le projet, devisé à 400 milliards d’euros (environ 600 milliards de francs), doit permettre à l’Europe d’obtenir une importante source d’énergie non polluante et lui permettre donc de diminuer ses émissions de gaz à effet de serre et aussi sa facture. Reste que ce projet porteur d’avenir pose encore de nombreuses questions, comme les lieux d’implantation de ces installations, le coût du courant produit, le bénéfice qu’en tireront les pays arabes, le manque de stabilité politique dans presque toutes les régions productrices et, même, le financement de ce projet. Reste aussi à connaître l’implication des Etats et ce même si la chancelière allemande Angela Merkel et le président de la Commission européenne José Manuel Barroso ont chaudement salué l’initiative. Car Angela Merkel a aussi exprimé ses doutes quant à la participation d’autres pays européens que l’Allemagne, car à présent les opinions des 27 divergent sur l’adoption d’une politique énergétique globale de l’union.
A savoir que le projet «Desertec», d’un coût global de 400 milliards d’euros, vise à fournir, d’une manière durable aux pays de ‘zone d’ombre’ de l’énergie solaire gratuitement à partir d’un monde plus ensoleillé, mais mal éclairé. Le procédé industriel de ce moyen de se procurer de l’énergie ‘facile’ porte sur la production d’énergie électrique par des centrales thermiques solaires. Soustraire massivement de l’énergie à la nature sans penser aux conséquences écologiques qui peuvent être dramatiques pour les pays qui habiteront ces champs de verre. Le projet Desertec prévoit aussi des parcs éoliens au large de cette région d’Afrique et du nord, notamment sur les cotes pour diminuer de peu la vitesse du vent. alors que l’énergie soustraite à la nature devrait être transportée aux centres de recharges européens par des lignes de transport de travées de haute tension et de courant direct (HVDC).Le projet prévoit aussi la construction de plusieurs centrales solaires de taille moyenne entre 50 et 200 MW sur une vingtaine de sites s’étendant du royaume du Maroc au royaume d’l’Arabie saoudite, les européens veulent diversifier leurs points d’approvisionnement dans des lieux amis.
Le coût de cet investissement a été estimé à 400 milliards d’euros jusqu’en 2050, dont 350 milliards d’euros pour la construction des centrales et 50 milliards pour les lignes de transmission nécessaires, selon Siemens. Mais cela mettra des années pour convertir totalement leur mode énergétique, passer du fossile au solaire ce n’est pas tache facile, alors que la pénurie de l’énergie conventionnel s’annonce pour demain. Cela risque que ce chantier-fiction de reconversion des énergies risque de ne pas être achevé à temps. Alors à cet effet, nous interpellant les responsables de tenir bon aux tentatives européennes qui cherchent à détruire notre développement certaine par l’énergie conventionnelle (fossiles et fissile) que nous possédons en abondance. Développé pour la première fois dans les années 1970, le concept «Desertec » a été relancé à partir de 2000 et fait actuellement l’objet «d’intenses débats», au niveau européen. Les premiers essais complets du projet Desertec, ça se passe ici chez nous en Algérie à la centrale hybride de Hassi-R’mel, alors nous devions être les premiers à bénéficier de la plus grande cote part du projet Desertec. Le Maroc enfant gâté de l’union européenne vient de bénéficier trois (3) fois plus de centrales de concentration que l’Algérie qui possède une surface fortement ensoleillée six (6) fois plus grande que celle du Maroc. C’est une manière de l’impérialisme européen d’investir dans les conflits entre pays frères ? Dans le même sens que le premier, une nouvelle initiative de complémentarité «Desertec II», qui comprendra un nombre d’entreprises de renom, a été mise en place avec pour objectif de développer, à moyen terme, «un concept technique et économique pour l’énergie solaire de l’Afrique», a-t-on expliqué.
D’après des données contenues dans l’étude, la production mondiale d’électricité devrait passer de 21.000 Térawatt/heure (TWH) en 2008 à 37.000 TWH en 2030. Le transport de l’électricité jusqu’à l’Europe en serait notamment la raison, compte tenu qu’acheminer 1 GW coûte environ 250 millions d’euros sur 1000 km. Pour l’instant, le projet ne serait donc pas rentable, mais les experts misent sur la raréfaction annoncée des énergies fossiles ou le prix du baril de pétrole dépassera les de 400 dollars, le baril pour s’assurer que ‘Desertec’ sera rentabilité. Dans pas moins de 20 ans, peut être l’idée se murira et l’électricité solaire pourrait ainsi être l’une des plus intéressantes pour l’occident industrialisé. Quant à la technologie utilisée, il s’agirait de l’énergie solaire thermique : des miroirs paraboliques produisent de la vapeur d’eau à très haute température et sous forte pression, ce qui va actionner une turbine à vapeur attelée à un générateur pour produire de l’électricité.
Le projet Désertec, ne pourrait être réalisé avant la mise en marche de l’Union pour la Méditerranée et l’effacement de tous les litiges politiques qui oppose les européens au reste du monde ensoleillé ; le Sahara occidental, la reconnaissance d’Israël par l’entité arabe, la reconnaissance de la souveraineté des pays africains etc. En effet dans ce projet, les contraintes ne sont pas seulement techniques, elles le sont aussi politiques: l’Europe devrait prendre une position claire envers le monde arabe et africain et traiter les problèmes communs avec équité, s’abstenir de soutenir les agressions israéliennes contre l’Etat Palestinien, l’Iran, la Syrie et le Liban.
Du point technique des entraves suivantes devront être levées ; d’une part, les centrales doivent être installées dans des pays stables politiquement pour garantir la sécurité de l’approvisionnement européen en électricité; d’autre part, il faut trouver les moyens de financer des investissements colossaux, d’autant que le projet est supposé pouvoir s’autofinancer à long terme. Au départ, il aura bien entendu besoin d’une sécurité d’investissements, par exemple une garantie d’achat à un prix fixé, sachant que l’électricité ne doit pas être subventionnée pendant toute la durée. Desertec doit remplacer l’utilisation de l’énergie fossile et fissile évaluée à environ 18 000 TWh/an) par le solaire en si peu de temps? Mais Desertec ne se limitera pas à la production d’énergie : il participera aussi au développement des pays d’accueil grâce à la création de milliers d’emplois grâce à la construction d’usines de dessalement d’eau de mer pour les populations. En complément, il est prévu d’exploiter l’énergie éolienne le long de la côte marocaine et en Mer Rouge, et d’utiliser d’autres techniques solaires telles que le photovoltaïque concentré.
Conclusion
Les gisements d’énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) et fissiles (uranium), même les plus extrêmes, ne représentent quant à eux que quelques dizaines d’années au rythme de leur consommation actuelle, et comme cette consommation ne cesse d’augmenter avec notamment la soif des « économies émergentes » des pays les plus peuplés de la planète (Chine, Inde, Brésil) à imiter nos propres comportements, l’échéance de leur épuisement ne cesse de se rapprocher. L’énigmatique projet ‘Désertec’ sur lequel l’Algérie pense bâtir son futur énergétique est à écarter pour le moment, l’énergie nucléaire reste la seule solution durable pour la continuité de notre développement de l’après-pétrole.
Y.Mérabet, Expert en énergie
Algerian Society For International Relations
algerie-focus.com
les mis en cause sur l’affaire de Sougueur ont été relaxés, malgré les lourdes charges qui ont été retenues contre eux. Savez-vous que les cadres de Sonatrach ne franchiront jamais le seuil du géole, car ils jouissent depuis toujours de l’uminté politique. Sonatrach/trc est le ratelier de nomenklatura nationale des affaires dirigé par un marocain.ça vous dit quelque chose sur la ramification?
Courriel piratée!!!!
Signé: Un nationaliste
verifier a la banque les dossiers de meghaoui
Attention! Boite d’émail de Y.Mérabet piratée
franchement arreté de croire ce qu’on vous dit sur la presse,faite fonctionner vos cervaux.
dés qu’on ecrit le mot corruption c bon on pense vite que c des voleurS ,revenait a la raison c un pays de reglemnt de compte,D’injustice de voelurs certes mais les voleurs sont protégé il ne vont jamais en prison.par contre si on é contre ces gens la et on leurs donne pas a boufer oui on va en prsion.monsieur meziane a tt donner pour son pays.on lui reproche de faire travailler ces fils mais quels pere ne laissera pas ces fils travailler ?quels pere ne donnerais pas un coup de pousse a ses enfants dans la legalité des choses
.
oui je suis tt a fait d’accord avec vous
les vrai voyoux sont a l’exterieur et jamais en prison.
une nationaliste qui on a marre de l’injustice dans son pays
j’espere vraiment que y’a une justice dans ce pays et que les bons ne payeron pas pour les mauvais
au pays des scandales et des enquétes,
l’impunité régne en gouverneur
1-le mufti (défonceur)des travailleurs algeriens dilapident 1200 milliards de la CNR:on ouvre une enquéte.le patron de la centrale au pieds d’argile sous sérum reste impuni.
2-le scandale de khalifa qui dilapide des milliards de l’argent du peuple:on ouvre une enquéte et on instruit judiciérement l’affaire pour inculper les petits bonnets.les gros restent impunis.
3-le scandale de l’argent del’a
3- l’affaire de la banque du commerce exterieure:on ouvre l’enquéte.les impliqués restent impunis.
4-l’affaire de l’autoroute est-ouet
4-voila encore le scandale sonatrach
au pays des scandales et des enquétes,
l’impunité régne en gouverneur
1-le mufti (défonceur)des travailleurs algeriens dilapident 1200 milliards de la CNR:on ouvre une enquéte.le patron de la centrale au pieds d’argile sous sérum reste impuni.
2-le scandale de khalifa qui dilapide des milliards de l’argent du peuple:on ouvre une enquéte et on instruit judiciérement l’affaire pour inculper les petits bonnets.les gros restent impunis.
3-le scandale de l’argent de soutien à l’agriculture,où l’ancien président de l’APN est impliqué:on ouvre l’enquete et les impliqués restent impunis.
4- l’affaire de la banque du commerce exterieure:on ouvre l’enquéte.les impliqués restent impunis.
5-l’affaire de l’autoroute est-ouet,on ouvre l’enquete:les impliqués restent impunis.
6-voila encore le scandale sonatrach:on ouvrera l’enquete et les auteurs resteront impunis.
la liste est longue….voir trés longue.
des citoyens,des journalistes,des syndicalistes se retrouvent en prison pour diffamation aux chefs sans foi ni loi, et complot pour sécurité del’état avoir dénoncé la corruption et l’impunité.
attention un scandale peut en cacher un autre et une enquéte peut en cacher une autre et une impunité peut en cacher des autres.
dans les pays qui se respectent, le gouvernement,les ministres,les responsables d’institutions démissionnent.chez nous on grimpe dans les échelles de dévalorisation.
ça se passe bien dans un pays des miracles, l’algerie.
Corruption et justice en Algerie…!!!!
Je demanderai au Ministre de la Justice en Algerie et au President de la republique Abdelaziz Boutefika de nommer Mr Meziane ancien President de Sonatrach Ambassadeur en Suisse et ses cadres sous mandat de les nommer au departement des Affaires economiques dans le corps diplomatique Algerien aux Nations Unies . Ils ont acqui une tres grande experiencedes dans la haute finance en Algerie. Vu que l Algerie est tres appreciee par Le Departement d Etat Americain tant bien que ce dernier a donne une place de choix dans la liste des pays terroristes dont les ressortissants devront etre controles aux frontieres americaines et Francaises. Donc des algeriens terroristes et exprts de la haute finance…vous vous rendex compte comment notre reputation a l etranger sera honoree
Bouteflika est poursuivi parla cour des comptes en 1983. OU est l’argent? L’argent utilisé pour la campagne présidentielle de Bouteflika.Ou est l’argenr?et aujourdhui l’affaire Sonatrach et Chekib Khelil,l’autoroute Est-ouest et Ammar Ghoul…et le ministère de l’agriculture avec les appareils de la lutte antiacridienne…Tous des voleurs.L’avenir de l’Algérie est hypothéqué.Mon dieu pourquoi les forces du mal persistent dans la dilapidation de l’Algérie.Allez pauvre peuple vote encore pour Bouteflika.
quelque soit le temps le PDG et ces fils ET LES AUTRE CADRE DERIGEANT SOIT DISANT ET LE JUGE TOUS DES CORROMPUS DANS LE SENS PROPRE CAR C44EST FAUX PAYS MANQUE LE JUSTICE VOILA ILS SERENT EN PLEIN LIBERTE LE MALHEUR LE PAUVRE QUI PAIERA LE POCASSER ET LE CORP PRODUCTEUR QUI PRENDERA QUE LES MIETTES SONATRACH C4EST COMPAGNIER DES FEMMES VOILA OU VAS ALGERIE AVEC CES MEDIOCRES OU EST LE SONG DU UN MILLION ET DEMI OU EST LA DEGINITE DU PEUPLE ALGERIEN RIEN QUE LE BOBARD
que des vols que le mal avec ces cardes derigeant que la corruption les travailoleur dans le corp technique ils reçoit que des miettes sitous ayaya ou vas algerie avec ces vonpure les absorbeur le song de ces frere les sale juif tfou alikoume
on a se que l on merite on a voté pour un voleur tahya boutef
Les généreux de la drs, les seules qui peuvent sauver l’Algérie de cette maladie Contagieuse qu’affaiblie tous ls secteurs (a tschipa,Corruption),alors Pitie toufik et votre entourage faite vous intervenir,
7 cadres de GEM sous contrôle judiciaire pour passation de marchés douteux
Par : NEILA B.journal liberte
Sept cadres exerçant à l’unité Enrico Mattei de Sonatrach, à Bir El-Ater à Tébessa, et un entrepreneur ont été présentés devant le procureur de la République de Bir El-Ater.
Les mis en cause ont été mis sous contrôle judiciaire et, deux jours après, l’ex-directeur de l’unité s’est présenté devant le magistrat instructeur chargé du dossier, qui l’a placé lui aussi sous contrôle judiciaire. Le procureur a fait appel en demandant le placement sous mandat de dépôt de toutes les personnes impliquées dans ce scandale. Selon des sources judiciaires, les sept cadres exerçant au niveau de la direction des Gazoducs Enrico Mattei (GEM) à Oued Safsaf, anciennement appelée Transmed, avaient été présentés jeudi passé devant le juge d’instruction du tribunal de Bir El-Ater. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux dans des documents administratifs, passation de marchés douteux, violation de la législation et de la réglementation en vigueur.
Il s’agit de passation de marchés d’ouverture de pistes avec une entreprise privée ne possédant pas le certificat de qualification n°6 requis pour ce type de travaux, passation de marchés contrairement à la loi.
Les mis en cause sont l’ex-directeur de cette unité qui occupe actuellement le poste de directeur de la maintenance à Biskra, l’adjoint du directeur technique et également président d’évaluation des offres techniques, le chef du service des finances et affaires juridiques et le chef du service d’apprivoisement.
Les investigations entreprises par les enquêteurs de la section de recherches du groupement de gendarmerie de la wilaya de Tébessa, suite à des renseignements, font état de dépassements commis au niveau de l’unité Sonatrach de Bir El-Ater, lors de la passation d’un marché relatif à l’entretien d’une piste au profit d’une entreprise privée.
Les premiers éléments ont fait ressortir qu’un marché de 14 milliards de centimes a été octroyé à cette entreprise privée, contrairement à l’instruction n°15 du 12 octobre 2004 signée par le P-DG de Sonatrach de l’époque, et cela par l’ex-directeur de l’unité et les membres de la commission d’évaluation des offres techniques. Ce marché a été publié par Sonatrach sur le site internet de la publication des concurrences du ministère de l’Énergie dont l’objet est l’aménagement et l’entretien des lignes G01 et G03.
Le marché contient trois tranches : la première relative à la l’aménagement et à l’entretien de la route d’Oued Sefsef-Aïn Naga (Biskra), la deuxième relative à l’aménagement de l’entretien de la route qui raccorde Aïn Naga et Hassi R’mel, la troisième relative à la matérialisation et à la signalisation de la route qui raccorde Oued Sefsef à Hassi R’mel. 16 entrepreneurs ont participé à l’appel d’offres et la commission de l’ouverture des plis a décidé, le 15 avril 2006, l’envoi de tous les dossiers à la commission d’appréciation des appels d’offres.
L’entreprise dont le dossier contient une attestation de capacité de 4e catégorie a bénéficié de la deuxième tranche du projet, alors que la commission d’appréciation des appels d’offres a demandé une attestation de capacité de 6e catégorie. 4 entreprises participantes possédaient une qualification de 6e catégorie.
Plus grave, l’enquête a relevé que le cahier des charges était dépourvu de la catégorie de qualification exigée par la loi ainsi que le délai de réception des appels d’offres qui n’a pas été respecté, d’autant que le dernier délai de dépôt des offres a été fixé pour 4 semaines seulement.
L’entreprise privée dont le dossier contient une attestation de qualification de 4e catégorie a bénéficié de la deuxième tranche du projet alors qu’il était en cours de négociation et la commission d’évaluation des offres techniques a demandé aux concurrents l’attestation de qualification de 6e catégorie, selon notre source.
Dans ce cadre, le cahier des charges a été modifié suite aux instructions de l’ex- directeur de l’unité, selon les révélations des membres de la commission aux enquêteurs, sans pour autant respecter la procédure réglementaire fixée par l’instruction citée plus haut.
Une commission technique a été désignée pour étudier la modification du cahier des charges, ce qui est illégal, et cela pour octroyer le projet à cette entreprise privilégiée. L’enquête effectuée a relevé l’infraction de la falsification de documents administratifs contre le frère de l’entrepreneur qui a signé sans procuration des documents relatifs à la gestion de l’entreprise. Les investigations ont fait ressortir aussi que ce dernier signait toutes les correspondances au nom de son frère.
Il ne faut pas en vouloir aux journalistes indépendants…..
La scène se passe à New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880. (çà ne date pas d’hier, n’est ce pas ?) Le célèbre journaliste John Swinton s’énerve quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse : « Quelle folie que de porter un toast à la Presse indépendante !
Vous le savez et je le sais. Il n’y en a pas un journaliste parmi nous qui oserait publier ses vraies opinions dans la presse algérienne, si vous le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Un journaliste est payé pour garder les vraies opinions en dehors du journal pour lequel il travaille. D’autres parmi nous sont payés pour un travail similaire. Si j’autorisais la publication d’une bonne opinion dans un simple numéro de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures et je risquerais la prison, me disait un directeur d’un grand journal ?. La fonction d’un journaliste est de détruire la vérité, de mentir radicalement, de pervertir le faits, d’avilir, et de se vendre lui-même, de vendre son pays pour son pain quotidien ou ce qui revient au même, son salaire. Et, nos confrères d’Al-Djaazira et d’Al-Arabya sont dans la marge. Nous sommes les outils et les vassaux d’hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes leurs marionnettes. Ils tirent sur les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Un journaliste de trop, qui parle de trop et trop vite, a des chances, soit d’être mis à la porte de son journal, soit d’être « trainé » en justice. Oserai-je encore dire que : « Le premier métier d’un journaliste est de se taire. Le deuxième est de mentir » Nous sommes des « prostitués intellectuelles ».
Y.Mérabet journaliste indépendant (Algérian Society For International Relations)
Pour régler le problème de gestion de l’Algérie le projet de société s’impose malgré nous Algériens.Et pour cela tous les Algériens devront répondre aux deux questions suivantes:
1°)Comment vivre en bonheur de notre cher pays?
2°) Quel est l’objectif de notre existence dans ce monde-ci ?
Avec ces réponses un comité des sages élabore le projet de société qui sera soumis au référundum .Si ce pojet serait approuvé par la population .Son application deviendra une obligation par l’instauration d’une revolution culturelle durant 25 ans pour une éducation populaire formelle inspiréé du projet de société afin que ce peuple acquérira la discipline et l’assiduité dans sa vie quotidienne.Pour cela il faut mobiliser tous les moyens de communications à tous les niveaux à savoir la télévision, la radio, les journaux ,les écoles, les lycéens et les univeristés.Sans pour autant oublier le contrôle de sa mise en application on fat recours un régime d’autocontrôle populaire et étatique avec une rigueur militaire : celui qui faute paie les pots cassés avec une amende.