Dans un parti, il n’y a pas de personnes faites pour diriger et d’autres pour obéir !
Mohand pour « Algérie Politique »
Je voudrai participer à ces échanges encore une fois, car je suis en quelque sorte interpellé, non que je veuille donner un blanc seing aux uns et critiquer les autres mais je veux exprimer mon opinion dans l’absolu. Si j’ai tort veuillez m’en excuser de le faire. Je me mêle peut-être que situation dont je suis étranger.
En effet j’ai toujours pensé que rentrer dans un parti politique c’est comme un sacerdoce et que c’est parce qu’en réfléchissant bien et seul on aboutit à la conclusion que le programme politique de développement social et économique à long terme nous convient. Il renferme nos propres aspirations et ce que nous aurions aimé pouvoir faire si nous avions le pouvoir de le faire. Nous faisons donc abstraction des hommes.
Lorsque ce programme plaît à beaucoup de personnes il devient fort. On ne s’arrête pas cependant à la constitution de cette force organique, il faut pouvoir intéresser les citoyens à ce que l’on veut faire. Et enfin le faire quand certains militants obtiennent le pouvoir. Je simplifie un peu les choses je l’avoue, mais je tenais à parler de ça pour sortir de la spirale que prennent les choses en lisant les commentaires.
Ne faut-il pas transformer les “vents” qui soufflent dans plusieurs sens en une tornade qui permet de s’élever et de se renforcer. Elle deviendrait une force qui a ses inconvénients mais qui force l’admiration de ceux qui ont participé à sa formation.
Les ambitions des uns et des autres, les souhaits des uns et des autres doivent évidemment s’exprimer mais la critique systématique telle qu’elle est formulée et je suppose que c’est aussi ainsi qu’elle s’exprime lors des réunions des différentes structures du parti. Tout le monde sait qu’une telle ambiance est néfaste, elle entretient les malentendus et passe au second plan les vraies raisons qui réunissent. Quand il n’y a pas une bonne ambiance même une équipe de football échoue. Que dire alors de la Politique ou en principe il n’y a ni prime ni gain faramineux à attendre comme récompense. C’est seulement de l”‘autosatisfaction d’avoir accompli des actions positives comme on le fait pour le bien de nos enfants et ou de notre famille.
En politique il y a les mots, les ambitions, les passions, les souhaits, mais il y a surtout la vie de tous les jours. Dans tout cela, à moins, d’être un parti de despotes où seul la voix du chef est considérée comme la meilleure, il faut reconnaitre la difficulté de maintenir la cohésion si chacun tire vers une direction. Et c’est dans la vie de tous les jours que l’on voit les meilleurs de nous tous. Ils se distinguent dans le quotidien, ils montrent leur savoir faire et expliquent que pour réussir il faut travailler. Ne faut-il donc pas s’accepter et avancer avec nos insuffisances et nos faiblesses.
Les sujets les plus importants à mon avis qui pourraient susciter les débats et aboutir à la compréhension des citoyens, c’est d’entendre chaque élu, de les voir s’exprimer, de rendre des comptes, qu’ils disent toute la complexité d’agir, dans un environnement tel que celui des collectivités locales par exemple. J’aurai voulu qu’ils vulgarisent les difficultés pour informer ceux qui les ont élus et ceux qui les regardent agir.
Chaque cellule du parti devrait se forger en organisation locale de gouvernance de la localité avec son programme, les moyens mis en oeuvre, les blocages et les contraintes réelles ou pas, tenir un tableau de bord des erreurs et des actions des autres partis, tenir éveillée la conscience des militants en les responsabilisant sur leur part du travail. Chaque localité et chaque cellule ne devrait-elle pas être vue comme une entité avec son Gouvernement ? Ce n’est qu’ainsi, en commençant à la base que les choses pourraient s’améliorer.
Il est plus important à mon sens de bien s’organiser au niveau de la base, de se doter de moyens et d’informations tant est si bien que le pouvoir se prend d’abord à ce niveau avant de sortir de ce cadre pour devenir une nécessité au plan régional et national.
La structuration du Parti n’est à mon sens qu’un schéma qui permet de partager l’information laquelle est plus que jamais un pouvoir.
Si au plan local les militants ne sont pas convaincus de leur rôle et de l’importance de leurs actions, il y a fort à parier qu’au plan national il serait difficile de dresser ni une synthèse ni une politique globale qui prenne en compte les souhaits basiques.
J’avoue enfin qu’il est difficile de parler d’une Organisation si on ne la connaît pas suffisamment c’est mon cas dans ce commentaire.
J’ignore donc s’il existe des programmes, une programmation et un suivi ponctuel et précis d’abord au plan local, puis régional et national. Le FFS a-t-il un programme suffisamment précis qui pourrait constituer le document qui fédère ses membres et qui d’année en année est enrichi pour refléter les aspirations des citoyens ? J’ignore donc beaucoup de choses pour pouvoir juger.
D’ailleurs dans ce commentaire je ne juge pas, je donne un simple avis et mon souhait est de voir porter le fardeau du renouveau par tous et non pas l’équipe dirigeante seulement. Je pense également modestement que l’équipe du noyau central n’aspire qu’à cette transformation des esprits et des attitudes.
Je dois dire enfin qu’il n’y a pas de personnes faites pour diriger et les autres pour obéir. Tous les humains doivent invariablement être responsable et ou exécutant, il doit y avoir une certaine sérénité et abnégation pour accepter ce fait. Malheureusement on constate des situations ambiguës ou certains hommes ayant dirigés les structures du Parti aussitôt déchargés fuient le parti comme la peste ou alors fomentent et cultivent des incompréhensions pour mettre en périls le pouvoir de ceux les ayant remplacer. Il y a aussi une autre catégorie, ceux qui aspirent à quelque pouvoir et qui pour diverses raisons ne l’ont pas; ceux là aussi, alimentent les subterfuges et oublient le fond de leur conviction. Servir le Parti et les citoyens dans n’importe quel poste ou niveau. N’est-ce pas la raison essentielle de leur présence dans les structures du Parti ?
le sort de l’algerie est-il scellé?
priere de lire cette intervention, qu’en dites-vous?
Le FLN, apres 1962 mais surtout le 19 juin 1965, englobe les forces du mal de l’algerie et de l’humanité.
Apres 1988, il avait pondu des differents groupes terroristes, des « macros » partis et organisations diables entre autre, le RND, le MSP, le RCD et le PT.
Le sort de l’algerie « se trame » ailleurs en dehors de l’algerie. Le gouvernement ILLEGITIME (jamais elu par le peuple) execute les ordres de ses maitres etrangers SINON leur compte bancaire sera devoilé. Le pouvoir algerien dictateur s’est adjugé une corde dans son propre coup.
Oú sont les plus de 500 milliards de dollars us du petrole du peuple algerien qui creve la dalle en 2010?
Le pays est si riche mais le peuple est si pauvre.
Les pays qui soutiennent, á cours terme surtout la france OFF-icielle, ce regime dictateur dangereux non seulement contre le peuple algerien mais á long terme ce regime sanguinaire sera un danger pour toute l’humanité, peut-etre c’est le plan de certains OFF-iciels etrangers afin de creer des excuses pour intervenir soit disant liberer le peuple algerien de ses diables comme un certain Saddam Hussein, …
Amicalement votre.
A.M. mohand dans votre commentaire,c’est dejas un programme politique,c’est un bonheur de vous lire si seulement nos partis politique s’inspirer pour servir le citoyen,le locale;la commune; les villages les regions un progamme precit,des bases solides.on est prés à adheré et les suivre.
Contrôle de l’internet en Algérie, le gouvernement passe à l’acte.
Poste par faycal jan 8th, 2010 categorie Actu du jour. Vous pouvez suivre les reponses via RSS 2.0. Vous pouvez commenter et trackbacker cet article Imprimer
Un projet de loi portant sur la cybercriminalité a été adopté par l’assemblée algérienne en juin 2009, et ce en l’absence d’un débat public sur cette problématique qui concerne pourtant au premier plan les usagers algériens de l’Internet.
Selon ses promoteurs, dont le ministre de la Poste et des Informations et des Technologies de Communication, Hamid Bessalah, ce texte de loi permettra à l’Algérie de se prémunir contre les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication qui sont : le terrorisme, la pédophilie et les autres actes de criminalité liés à l’usage d’Internet.
Mais, comme beaucoup le redoutait en Algérie, (lire notre dossier sur l’internet algérien) notamment à cause du flou qui entoure certains articles de la loi, le gouvernement par le truchement de ce dispositif juridique se doterait en fait d’un moyen « légal » pour contrôler l’Internet algérien, en « filtrant » les sites et les contenus et en définitive bannir ceux qui le dérangent.
D’ailleurs, sans l’avouer ouvertement, le gouvernement a fait savoir dernièrement par le biais du ministre Hamid Bessalah, que le flux d’informations émises et reçues par les internautes algériens passera par un filtrage centralisé. En termes plus clairs, cela veut dire que le gouvernement va recourir à la censure de l’internet algérien, selon des critères prédéterminés par ses soins.
Les derniers évènements footballistiques et l’incroyable mobilisation des algériens sur la toile a vraisemblablement mis la puce à l’oreille du pouvoir. Peut-on faire confiance à un média incontrôlable comme internet ? La question ne se pose pas en Chine. Et bientôt plus en Algérie.
Le 1er janvier 2010, date du passage à l’acte.
Les craintes se confirment : dès le premier jour de la nouvelle année 2010, le site internet du mouvement d’opposition algérien Rachad (www.rachad.org) et sa chaîne de télévision en ligne (tv.rachad.org), ne sont plus accessibles en Algérie, ils sont « filtrés ». Rachad publie alors un communiqué, dans lequel il proteste contre « les affres de la censure par le pouvoir algérien ».
Open Net initiative, un site citoyen de surveillance de la censure de l’internet dans le monde, relaye l’information dans les termes suivant : « l’Algérie a rejoint la liste de plus en plus étendue des gouvernements censeurs d’Internet dans le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord ». Le mot est désormais lâché : censure.
Inquiétude et angoisse des internautes algériens.
La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges angoissés entre algériens sur les sites de réseaux sociaux comme Facebook et Youtube.
Est-ce qu’on a réellement censuré les sites de Rachad ? Si oui, qui sera le prochain ? Pourquoi l’Eepad va disparaître ? Comment expliquer la baisse du débit et la saturation du réseau depuis qu’Algérie Télecom est seule et unique fournisseur d’accès à internet en Algérie? etc.
Autant de questions qui demeurent pour la plupart sans réponses convaincantes, montant d’un cran l’angoisse des algériens locaux qui ont peur depuis l’affaire de L’Eepad de se voir un jour privés d’une source d’évasion et d’informations aussi importante qu’Internet et ainsi se retrouvés au final mis à l’écart encore plus du reste du (cyber)monde. En réaction, un groupe contre la censure de l’internet en Algérie est crée sur Facbook et une pétition circule pour protester contre cet abus.
RAF
Le camarade Mohand,dont le commentaire est tout à fait splendide sur le plan de la thése et aussi rédactionnel,semble ignorer tout de meme que le parti a un programme de travail qu’il tire de la profondeur des textes adoptés lors du 4 eme congrés tenu en septembre de l’année 2007.La direction nationale,nonobstant les différentes difficultés qu’elle affronte quotidiennement s’emploie tant bien que mal à mener à terme toutes les résolutions issues de ce congrés.Il faut noter,que quelques entraves émanant d’anciens cadres du parti non reconduits dans leurs fonctions ou non réélus au conseil national,constituent un frein à la totale restructuration de la base militante.Cependant,je voudrais signaler ici à notre camarade Mohand et ainsi qu’à tous les militans désireux de le savoir,que la direction nationale reste ouverte à tout un chacun pour participer à l’amélioration de toutes les démarches établies . Nul ne peut oser dire le contraire,s’il ne s’est jamais rapproché des structures centrales du parti!
A titre d’exemple,je peux vous dire que personnellement,je n’occupe aucun poste de responsabilité dans cette direction,mais que par ailleurs je me sens responsable de mes actions militantes au service exclusivement de notre formation politique!Je peux assurer tous les camarades,qu’à aucun moment je n’ai été stoppé par la direction nationale ,dans mes actions militantes et mes idées ont toujours été prises en considération!
Comme l’a souligné le camarade Mohand,il ne faut pas oublier ses convictions politiques pour aller chercher un quelconque pouvoir au sein du parti!Le pouvoir nous l’avons tous de facto à partir du moment où nous sommes des militants convaincus!
On arrive pas en politique du jour au lendemain sans convictions
Salutations militantes!
Merci Amghar, je vous promets que je consulterai le site internet du FFS, pour m’informer et completer ma connaissance de votre Programme. Comme je l’ai dit , je ne critique pas , j’apporte ma modeste contribution pour sortir de la querelle qui avait pris le pas sur les idées. Votre mérite est d’autant plus grand que vous êtes comme vous dites un militant BI MAAN EL KALIMA, le titre ne prend pas le pas sur la convition pour les gens bien nées.
A Amenaach , je suis content que mon commentaire vous plaise, nous sommes dans le coeur des militants des causes justes. Soyez assuré que vous serez accueilli à bras ouverts si vous décidez de faire le pas utile …
Vous avez des opinions et des avis à donner, c’est un gachis de ne pas les partager.
Mohand
on a jamais vu dans les medias televisés ou dans la presse ,ces partis politiques de tout bord faire des metings auprés des cityoens qui sont leurs adherants ,sauf à l’approche d’une election afin de se faire elire.alors que etre a proxemité des citoyens est primondiale et indispensable.
aucun parti politique n’a denoncer tous ces sitings,ces greves,ces licenciments abusifs,au lieu de denoncer ,critiquer le mal qui touche les Algeriens.aucun parti politique n’à songé a une manifestation pacifique pour briser cette chape de plomb qui s’est abattu sur nous afin de crier au grand jour notre malvie et surtout briser l’etat-d’urgence qui n,a pas lieu d’etre qui nous emprisonent.Ailleurs se sont des leaders politiques,des intellectueles,des scientifiques et toutes l’intelligencias qui passe devant et le peuple derriere ou sont les notres?
c’est dangereux le fait que vous n’avez jamais été stoppé par la direction nationale dans vos actions et surtout à cause de vos convictions.
apres les defis que nous nous sommes lancés amghar azzamni(je ne sais lequel apparement il y a un vrai et donc un faux) et moi,j’aimerai que tu lui transmettes mon adresse email et m’envoyer aussi le sien avec evidement sa permission pour un debat face à face.
La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges La nouvelle de la censure du site du mouvement Rachad en Algérie a provoqué des échanges
Malgré un froid glacial qui a servi ce jour du 9 Janvier 2010 sur la ville de Sétif et ses environs,le congrés fédéral de cette wilaya s’est tenu en présence de plusieurs militants délégués par leurs sections respectives.
Ce congrés fédéral mis sous le signe de la commémoration de la disparition d’un des premiers militants de la démocratie que l’Algérie aie connu en l’Occurence Ferhat Abbas,a rassemblé quelques cadres de la Direction Nationale du FFS ainsi que le Professeur Mohand Amar BIBI de l’Université de BEJAIA ,venu relater longuement l’inclassable parcours militant de ce gigantesque homme de la politique algérienne.
Auparavant,le Premier Secrétaire National du Parti,le camarade Karim TABBOU,a encore une fois dénoncé l’attitude adopté par le pouvoir algérien face à toutes les difficultés auxquelles est soumis le peuple algérien.Dans sa flamboyante et lumineuse allocution,a rappelé à l’assistance la maniére dont gére le pouvoir les affaires concernant le quotidien des algeriennes et des algériennes.Il a notamment soulevé le probléme de la vaccination des populations contre la grippe H1n1 et, plus récemment les revendications des milliers de travailleurs de la SNVI interceptés par la matraque des policiers au service du pouvoir.Une fois de plus,le premier secrétaire national,a interpellé les citoyennes et les citoyens à prendre
conscience de ce qui se trame contre leur mére patrie l’Algérie.
Aprés avoir suivi avec beaucoup d’intéret la projection d’un film ,monté brillamment par le Dr Khodir Madani et relatant en substance une partie de la vie politique de feu Ferhat Abbas,le premier secrétaire national a tenu à lire devant l’assistance une contribution du Dr Hocine Ait Ahmed à travers laquelle il rend un vibrant hommage au premier président de gouvernement provisoire de la république algérienne qu’il considére en tant que premiere démocratie.
Pendant cette rencontre fédérale de Setif,la parole a été donnée à un grand monsieur de la révolution et également compagnon de feu Ferhat Abbas qui a apporté son témoignage vivant et avec beaucoup de mémoire , malgré son age avancé.
La deuxiéme partie des travaux de cette rencontre fut consacrée à l’élection du premier secrétaire fédéral en la personne de Mr MAHAR Rachid,lequel a prononcé auparavant, une allocution par laquelle il a énuméré les taches si nombreuses inscrites dans son programme électoral.
La séance de travail de ce congrés pris fin aux environs de 15 heures sous les applaudissements de tous les militants et invités du parti.
Voici donc relatés en ces modestes lignes,les travaux de ce congrés qui,à mon sens,se sont déroulés dans un esprit trés démocratique et convivial.
Je ne terminerai pas mon reportage sans rendre un grand hommage aux organisateurs de cette rencontre en particulier au Dr BOUAMAMA qui a tenu à sacrifier de son temps au détriment de ses obligations professionnelles,pour donner toutes les chances de réussite à ce congrés fédéral.
N’est-ce-pas là une grande leçon de démocratie et d’engagement politique encore une fois démontrée par les militants du FFS nonobstant le peu de moyens materiels dont ils disposent ?
Lettre à notre cher camarade Mohand,
Cher Mohand,depuis maintenant plus de deux années consécutives et réguliéres que je fréquente ce blog de Libre Débat,et lis avec beaucoup d’attention toutes tes contributions.
Permets-moi cher Mohand,qu’à travers toutes tes interventions,j’ai découvert en toi un homme d’une compétence particuliére,en ce sens que j’ai voulu poussé plus loin ma reflexion en te determinant un homme trés généreux,et pret à donner de son savoir pour la culture démocratique et l’engagement politique.Loin de tout égocentrisme,tu n’as jamais cessé de prodiguer des reflexions sur ce que doit etre la démocratie et tu arrives à discerner sans aucun parti pris.Je trouve ceci épatant et éblouissant et me demande trés souvent comment fais-tu pour trouver les mots justes pour pallier à notre manque en matiére de dénouement de sujets politiques quelquefois inextricables.
Ta maniére de rédiger ne souffre d’aucune contradiction ni de discrimination.
C’est à croire que la nature choisit ses hommes pour les investir de missions spéciales à executer dans toutes circonstances.
Sans vouloir faire ton apologie et loin de moi un esprit de démagogie particuliére,je pense sincerement que tu en es un de ces hommes que j’ai eu vraiment le plaisir à connaitre et à cotoyer meme virtuellement.
Je termine ma lettre en t’adressant pariculierement mes meilleures salutations fraternelles et en avouant par la meme occasion que personnellement j’ai beaucoup à apprendre de ta plume que tu manies avec beaucoup de dexterité et de discernement!
Encore une fois merci da MOHAND et au plaisir de te lire sans lassitude aucune.
letre au camarade Warissem,
Ce serait avec un énorme plaisir et un coeur débordé de joie,que j’entamerais avec toi un débat sur tous les sujets politiques que tu désirerais.
Aprés tout,nous sommes tous fréres algériens,et nous nous devons la vérité sur tout ce qui nous entoure.
Recevoir ton E-Mail,serait pour moi un honneur afin que l’on puisse débattre en toute sérenité.Tu sais aussi bien que moi,cher camarade,que le virtuel fausse la vérité .Le face est indiqué pour lever toutes les équivoques!
Donc,bienvenu chez moi et luttons ensemble à travers des débats sur toutes les questions qui nous concernent.
Aprés tout comme le dit un jargon populaire:Yiwan Ou3akaz Igh Yawthane!
3assa Wahad li adhrabna koulouna!
Salutations fraternelles cher Warissem!Au plaisir de te lire et bon combat pour que réussisse la véritable démocratie!
Cher Ami, j’ai bu tes paroles et je suis sans voix, de joie. J’étais loin de penser que tant d’éloges,puissent être dites sur mon action. Tu me fais plaisir d’autant plus qu’elles proviennent d’une personne que j’ai depuis longtemps, apprécié, pour sa constance, sa générosité,sa culture, son abnégation, sa disponibilité, sa modestie et sa volonté.Je l’ai pas écrit je l’ai gardé pour moi, j’ai continué en silence à lire vos commentaires. Mais vous en me gratifiant de ce bouquet de fleurs embaumé d’une odeur de jasmin qu’on apprécie beaucoup, vous me rappelez que lorsqu’on a des amis, il faut le leur dire.
Si je suis visible sur le chemin que vous avez pris vous et vos compagnons (les militants du Parti du FFS) je suis honoré et je rougis de plaisir d’être d’une quelconque utilité.
Ce que vous faites mérite plus de considération, de soutien que ma modeste participation. J’avoue que je n’ai que ma reflexion, mon expérience, mes connaissances et mon temps à offrir aux combattants que vous êtes et à mon pays.
Comme vous tous, on est né sans le demander, on a été éduqué sans rechigner ni nous révolter contre nos ainés, malgré quelques expressions de la fougue de jeunesse,on a bénéficié du meilleur de l’humain : le respect, la sincérité et l’effort. On fait donc que véhiculer ces qualités héritées de nos aieux pour qu’elles restent et qu’elles redeviennent importantes aux yeux de tous. Même si parfois on se surprend à être vindicatif et accusateur la raison l’emporte toujours sur la passion.
Toi aussi tu nous donnes des joies et l’assurance que nos valeurs sont défendues de la plus belle des façons.
Le chemin est plein d’embuches,l’histoire est aussi certes un éternel recommencement, et ceux qui en ont vecu les péripities savent s’y prendre mieux que les novices helas, il en faut cependant pour que l’oeuvre perdure et garde ses valeurs. M.Hocine Ait Ahmed ,Da el hocine pour les intimes , a appliqué cette règle, il sait lui mieux que quiconque que c’est une solution empirique , mais c’est aussi une emplanture vertueuse d’un visionnaire.
Encore une fois merci beaucoup cher Amghar tout en souhaitant que tu n’es pas si Amghar que ça , pour que tu continues longtemps à porter le flambeau avec l’équipe d’avant garde. Bon courage.
Mohand
Si notre ami Bendrouiche posséde l’ E-Mail de notre ami WARISSEM,qu’il me communique pour que je puisse discuter avec lui!
Merci d’avance!
Au camarade Dr Amina & Amin
Aprés avoir pris connaissance de ton commentaire relatif au sort de l’Algérie,je te dirai que je me suis senti presque allégé dans mon corps,ma mémoire et ma pensée.En effet,l’historique ,meme succinct,que tu viens de dresser sur ce la traçabilité de toutes les politiques du pouvoir algérien,m’effraie de prime abord tellement que celle-ci est si exacte dans sa majeure partie.
Seulement,je voudrais juste essayer de rasséréner nos compatriotes en leur disant que rien est encore perdu , pour le peu qu’un sursaut des masses populaires se fasse rapidement et mettre ainsi fin à cette dictature organisée.
Seulement,ce sursaut tant espéré,ne pourrait se produire sans une population organisée,rassemblée autour d’un projet de société démocratique et libérateur.De gros efforts doivent etre consentis par des démocrates en participant activement à des campagnes d’explications de l’amour de la patrie.Un combat juste et loyal ne peut qu’aboutir malgré bien sur une opposition dictatoriale aidée par les pays occidentaux qui n’ont de souci que de s’accaparer de nos richesses.
Les forces vives de la nation n’ont pas le droit de laisser se brader notre pays sans réagir!
Je remets cette réponse faite à Amghar, car elle n’a pas paru, elle s’est aussi perdue dans les méandres d’internet.
Bien cordialement. Mohand
Cher Ami, j’ai bu tes paroles et je suis sans voix, de joie. J’étais loin de penser que tant d’éloges,puissent être dites sur mon action. Tu me fais plaisir d’autant plus qu’elles proviennent d’une personne que j’ai depuis longtemps, apprécié, pour sa constance, sa générosité,sa culture, son abnégation, sa disponibilité, sa modestie et sa volonté.Je l’ai pas écrit je l’ai gardé pour moi, j’ai continué en silence à lire vos commentaires. Mais vous en me gratifiant de ce bouquet de fleurs embaumé d’une odeur de jasmin qu’on apprécie beaucoup, vous me rappelez que lorsqu’on a des amis, il faut le leur dire.
Si je suis visible sur le chemin que vous avez pris vous et vos compagnons (les militants du Parti du FFS) je suis honoré et je rougis de plaisir d’être d’une quelconque utilité.
Ce que vous faites mérite plus de considération, de soutien que ma modeste participation. J’avoue que je n’ai que ma reflexion, mon expérience, mes connaissances et mon temps à offrir aux combattants que vous êtes et à mon pays.
Comme vous tous, on est né sans le demander, on a été éduqué sans rechigner ni nous révolter contre nos ainés, malgré quelques expressions de la fougue de jeunesse,on a bénéficié du meilleur de l’humain : le respect, la sincérité et l’effort. On fait donc que véhiculer ces qualités héritées de nos aieux pour qu’elles restent et qu’elles redeviennent importantes aux yeux de tous. Même si parfois on se surprend à être vindicatif et accusateur la raison l’emporte toujours sur la passion.
Toi aussi tu nous donnes des joies et l’assurance que nos valeurs sont défendues de la plus belle des façons.
Le chemin est plein d’embuches,l’histoire est aussi certes un éternel recommencement, et ceux qui en ont vecu les péripities savent s’y prendre mieux que les novices helas, il en faut cependant pour que l’oeuvre perdure et garde ses valeurs. M.Hocine Ait Ahmed ,Da el hocine pour les intimes , a appliqué cette règle, il sait lui mieux que quiconque que c’est une solution empirique , mais c’est aussi une emplature vertueuse d’un visionnaire.
Encore une fois merci beaucoup cher Amghar tout en souhaitant que tu n’es pas si Amghar que ça , pour que tu continues longtemps à porter le flambeau avec l’équipe d’avant garde. Bon courage.
Mohand