- Accueil
- > Archives pour janvier 2010
Archive pour janvier, 2010
Bouteflika: « L’Algérie a perdu un enfant dévouvé »
Le président Abdelaziz Bouteflika, a souligné jeudi que l’Algérie avait perdu avec la disparition du moudjahid Larbi Belkheir un « enfant dévoué et un militant qui a toujours servi son pays avec abnégation et engagement ». L’Algérie vient de perdre, avec la disparition de Si Larbi, « un de ses enfants dévoués et un militant qui a toujours servi son pays avec abnégation et engagement, d’abord en prenant les armes face au colonisateur et en accomplissant son devoir avec les moudjahidine pendant la guerre de libération jusqu’à l’avènement de la liberté, puis dans les rangs de l’armée nationale populaire (ANP) avant d’occuper de hautes fonctions », lit-on dans le message de condoléances du président Bouteflika à la famille du défunt. « Je perds aujourd’hui un frère qui appartenait à cette famille de moudjahidine que j’ai connue pendant la guerre de libération. Un frère que j’ai côtoyé dans les rangs de l’armée de libération nationale (ALN) et auquel j’ai accordé ma confiance dans une période difficile et sombre pour le pays au cours de laquelle il assuma ses fonctions avec sagesse et sérénité », a ajouté le président de la République, soulignant que le défunt « était toujours enclin à apporter son aide et à donner des conseils et des orientations ». Feu Larbi Belkheir était connu pour « ses bonnes oeuvres et était une référence en matière de travail bien accompli et de justesse d’esprit », a rappelé le Chef de l’Etat.
Bensalah: l’Algérie perd Belkheir qui « s’est engagé dès son jeune âge au service de sa patrie »
Le président du conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah a souligné, jeudi à Alger, que l’Algérie perd aujourd’hui Larbi Belkheir « ce grand homme qui s’est engagé dès son jeune âge au service de sa patrie, en tant que moudjahid, officier et commandant au sein de l’Armée nationale populaire (ANP), puis en tant que responsable ayant occupé de hautes fonctions et assumé de lourdes responsabilités. Dans un message de condoléances adressé à la famille du défunt, Bensalah a précisé que le défunt « a eu le mérite d’avoir mené à bien les missions et les responsabilités dont il a été investies, qui témoignent, a-t-il dit, de sa fidélité envers l’Algérie et les principes de sa glorieuse Révolution ». Le défunt « s’est engagé à servir son pays et son peuple, des années durant y compris pendant la tragédie nationale, confirmant ses qualités de responsable digne de ce nom ». Le président du conseil de la nation a prié Dieu Tout puissant « d’accorder au défunt sa sainte miséricorde, de l’accueillir dans Son vaste paradis et d’assister les siens en cette pénible épreuve ».
Ziari: « L’Algérie a perdu un homme d’Etat d’exception » !!!!!
Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, a souligné jeudi que l’Algérie a perdu avec le décès du moudjahid Larbi Belkheir « un homme d’Etat d’exception ». « L’Algérie a perdu avec le décès du moudjahid Larbi Belkheir un homme d’Etat d’exception qui a consacré sa vie toute entière au service de l’Etat algérien, au sein duquel il a assuré les plus hautes fonctions et a consenti de grands efforts qui ont démontré une sagesse exceptionnelle et un dévouement hors pair au service de la nation », a précisé Ziari dans un message de condoléances. « Le défunt a contribué avec clairvoyance, aux côtés des fidèles enfants de notre patrie à la recherche de solutions idoines aux problèmes auxquels fut confronté notre pays », a ajouté le président de l’APN. « Il était aussi connu pour sa modestie, sa loyauté et son dévouement au service de son pays au moment où il occupait des hautes fonctions au sein de l’Etat », a-t-il indiqué. Le moudjahid Larbi Belkheir faisait partie de ces hommes qui ont oeuvré pour la stabilité et le développement de l’Algérie », a conclu Ziari.
Larbi Belkheir, Moudjahid ? Quelle blague !
28 janvier, 2010
Le général Larbi Belkheir est décédé !
L’ambassadeur d’Algérie au Maroc, le général à la retraite Larbi Belkheir s’est éteint jeudi à l’âge de 72 ans des suites d’une maladie, rapporte l’APS. Le défunt a occupé de nombreuses hautes responsabilités. Il a été notamment sécrétaire général puis directeur de cabinet de la présidence de la République et ministre de l’Intérieur. Il était impliqué dans l’assassinat de Boudiaf et Ali Mecili.
Né à frenda (Tiaret) en 1938, fils de caïd, sous lieutenant de l’armée française jusqu’en 1960, Larbi Belkheir s’occupa de l’instruction des militaires algériens en Tunisie et ne porta jamais les armes contre la France coloniale. En 1962, capitaine et chef de sous-groupement stationné à Constantine ( région militaire commandée par Chadli Bendjedid), on l’envoie s’instruire chez les tavarichs et il fait l’Ecole d’état-major en URSS et devient directeur de l’infanterie; 1965 chef d’état- major à Ouargla et enfin chef d’état-major à la 2e région militaire; 1975 Commandant, il dirige l’ENITA et se prend une magnifique villa à la peyrouse; 1978 il devient le bras droit de chadli; 1992 il préside le fameux HCS qui instaure l’état d’urgence et d’exception.
Belkheir était l’homme de la France par excellence, il a appuyé la France sur maintes et un dossier délicat. Il était le serviteur attentionné de la famille présidentielle. Il se rapproche de la seconde épouse de Chadli, Hlima Bendjedid, et devient ainsi un intermédiaire influent. Un servile laudateur par excellence, il a été le point nodale des familles chadli/bourekba/lahouel .
Il nomme et il gomme les gens qui font partie du système. Avec Hlima, il forme un duo terrible. Belkheir à toujours su profiter des occasions qui se présentaient, c’est lui qui a repêché Smain lamari quand Betchine l’avait viré. Juste après l’assassinat du président Boudiaf Mohamed, Belkheir s’est retiré discrètement de la scène politico-financière algérienne, pour s’occuper de ses affaires entre Alger et les grandes capitales occidentales. Pendant cette période, il a su se faire petit et faire oublier les doutes qui entaché ses mains sur l’assassinat de Boudiaf.
Son retour en force avec son poulain Bouteflika, prouve que sa retraite fut intentionnelle et rentre dans le cadre d’une stratégie élaborée par un cabinet noir qui préside aux destinées du pays. Tout le monde sait à Alger, que c’est lui le principal ciment et jointure entre Bouteflika et les militaires algériens.
افضحوا معنا اسماء كل الشركات والافراد المشاركين ببناء سور مبارك
كشفت مصادر مطلعة بعض التفاصيل التي تذكر لأول مره عن الجدار الفولاذي التي بدأت مصر بتشييده وقالت المصادر أن من يقف على رأس هذه الفكرة هو أحمد عز وهو أمين التنظيم وعضو لجنة السياسات في الحزب الوطني الديمقراطي قبل دخول عز في عالم السياسة المصرية كان مجرد رجل أعمال عادي ثم تغيرت ظروفه كلياً بعد علاقة صداقة مع السفارة الإسرائيلية في مصر وأصبح من أهم رجال الأعمال في مصر ولأن السفارة الإسرائيلية تعرف أن أقصر الطرق لرأس النظام في مصر هو المال والأعمال تمت تهيئة أحمد عز لهذه المهمة والزج به في طريق نجليّ الرئيس مبارك ثم إلى الرئيس شخصياً
http://www.alfikralarabi.org/modules.php?name=News&file=article&sid=6925
27 janvier, 2010
Opposition en Algérie: Ces questions qui dérangent
Karim Aimeur pour « Algérie Politique »
Quel rôle pour l’opposition dans la construction démocratique quand au lendemain de la reconnaissance du multipartisme, tout le pays a été noyé dans un cycle de violence sans nom ? Quel rôle pour l’opposition quand la liberté de la presse et d’expression est bâillonnée et quand les syndicats autonomes sont muselés ? Quel rôle pour l’opposition dans ce processus quand le délit de presse est pénalisé ? Quel rôle pour l’opposition quand elle n’a pas accès aux moyens lourds de la communication ? Quel rôle pour l’opposition quand toutes les échéances électorales sont entachées d’irrégularités ? Quel rôle joue l’opposition dans la consécration de la démocratie quand aucun parti politique n’est agrée depuis plus de 11 ans ? Quel rôle de l’opposition dans tout ça quand l’état d’urgence est observé et maintenu plus de 20 ans après son instauration ?
Autant de question qui doivent être posées pour répondre à la question du rôle de l’opposition dans l’émergence de la démocratie en Algérie. Mais la question la plus cruciale reste toujours posée: la démocratie a-t-elle émergé un jour en Algérie ? Aucune de ces questions n’a été posée lors de la journée parlementaire organisée par le Front nationale algérien (FNA), le 27 janvier 2010 sur le rôle de l’opposition dans l’émergence de la démocratie en Algérie.
Par ailleurs, aucun représentant des traditionnels partis de l’opposition (FFS, RCD, MDS, PLD…) n’a été invité à ce rendez-vous. C’est dire que toute est bricolage dans ce pays.
Algérie-Egypte: quatre vols programmés jeudi vers Benguela
La compagnie nationale Air Algérie a programmé jeudi quatre (4) vols à destination de Benguela, la ville angolaise qui abritera le match de la demi-finale de la CAN 2010 opposant (jeudi à 20H30) l’équipe nationale de football à son homologue d’Egypte. Le premier avion décollera de l’aéroport international Houari-Boumediene vers 6 heures du matin. Les autres vols seront espacés d’une demi-heure chacun. La compagnie nationale a prévu des vols supplémentaires à destination d’Angola, en cas où une forte demande de la part des supporteurs de l’équipe nationale de football est exprimée. Le coût commercial du billet d’avion, qui est de 135.000 DA, a été ramené à 60.000 DA.
Les inconditionnels des verts qui se déplaceront en Angola seront vaccinés contre la maladie de la fièvre jaune au niveau de l’aéroport Houari-Boumediene et les frais de cette vaccination sont à leur charge, a indiqué le P-dg d’Air Algérie, Abdelwahid Bouabdallah. En plus de la vaccination, chaque supporter bénéficiera d’un kit-santé qui lui sera remis avant l’embarquement, a-t-il ajouté. Les visas d’entrée seront délivrés aux supporteurs à leur arrivée en Angola, a encore précisé Bouabdallah, rapporte l’APS.
Algérie: Hausse de 25 % de la pension des moudjahidine
Le ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbas a annoncé mercredi à Alger, une hausse de 25 % de la pension des moudjahidine, à compter de janvier 2010. Le ministre a précisé que cette augmentation s’inscrit dans le cadre de l’amélioration du niveau de vie de cette catégorie, car « le secteur oeuvre toujours à augmenter cette pension, avec chaque revalorisation du salaire national minimum garanti (SNMG) », qui a été porté, en décembre dernier, à 15.000 DA. Le ministère des Moudjahidine examine actuellement, avec le ministère des finances, l’augmentation du reste des pensions ne dépendant pas du salaire de base, a indiqué le ministre.
Algérie-Egypte: Ne répondez pas à la provocation par la provocation
Djallel de Blida pour « Algérie Politique »
Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, simples citoyennes, citoyens et journalistes Algériens !
J’aurais aimé que notre équipe nationale de football, ne rencontre pas celle de l’Égypte. Non et non ! Pas par peur que les Égyptiens vont nous battre. Pas du tout et au contraire, j’ai souhaité et même prié, qu’ils soient éliminés pour qu’on rencontre une grande équipe comme celle du Cameroun dont le style de football est connu mondialement et très proche du notre, et ce, contrairement à celui de l’Égypte, une équipé limitée au monde Arabo-musulman et à l’Afrique. J’aurais aimé que notre équipe nationale de football, ne rencontrera plus jamais à jamais cette équipe égyptienne composée et dirigée par des racistes et qui passent leur temps à nous insulter et insulter notre pays et son peuple. J’aurais aimé que notre équipe ne rencontre pas les Égyptiens, ces pseudos champions d’Afrique pour les oublier à jamais et oublier leurs insultes, leur complexe de supériorité à notre égard et à l’égard de la nation arabo-musulmane.
Enfin, c’est peut-être le destin ou le hasard qui a fait qu’on doit les rencontrer. Ne dit-on pas que le hasard fait bien les choses ? Si tel est le cas, pourquoi il le fait uniquement avec nous ? Ou bien, est-ce que c’est pour se réconcilier à jamais comme le prétendent les Égyptiens ? Ou tout bonnement pour qu’ils se vengent de nous comme ils l’ont si bien dit hier lors d’une de leurs émissions télévisée de la Chaîne Dream II ?
En conséquence, pour ma part en tant citoyen Algérien, ayant certes des devoirs envers mon pays mais aussi, des droits, parmi lesquels, le droit de donner mon opinion, n’est-ce pas ?