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Archive pour janvier, 2010

Les praticiens de la santé publique: « Barkat nous a traités de voyous »

saidbarkat.jpgLes praticiens de la santé publique, en grève illimitée depuis deux semaines, à l’appel du Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP) et du Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP) en ont le ras-le-bol des insultes et du comportement ambivalent de leur ministre de tutelle. «Barkat nous a traités de voyous, de chiens à affamer, de moins que rien, alors que nous sommes l’élite de ce pays. Nous soignons les Algériens qui n’ont pas une autre patrie d’échange, nous nous occupons des malades qui ne vont pas en Suisse pour se faire soigner», a fulminé Dr Merabet, porte-parole du SNPSP lors d’une conférence de presse animée à Alger. Synthèse d’El Mouhtarem.

Rebaïne: «Sonatrach a déboursé plus de 700 milliards pour la campagne de Bouteflika »

reba.jpgAbordant le sujet de Sonatrach, sérieusement ébranlée actuellement par le scandale de corruption ayant impliqué nombre de ses cadres dirigeants, le président du parti Ahd 54, Ali Fawzi Rebbaïne a déclaré hier à Skikda, que cette entreprise «a déboursé plus de 700 milliards de centimes qu’elle a accordés aux associations soutenant la campagne de Bouteflika, alors que la marge qui était revenue aux partis ne dépassait pas les 1,5 milliard de centimes », rapporte El Watan.

Caricature de notre ami R.Z

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Algérie: Croire en une guerre « DRS-Bouteflika », c’est méconnaître la nature du régime

toufik1.jpgAmdan n Soummam pour « Algérie Politique »

Croire que le « scandale » de Sonatrach est le fait d’une guerre entre le président Bouteflika et le Département de renseignements et de sécurité (DRS), c’est méconnaître la nature du régime algerien. En fait si c’est le cas, de quels moyens dispose Bouteflika pour mener une guerre au puissant DRS ? Rien à mon avis car tout est concentré entre les mains des Services. Par ailleurs, l’une des fonction régalienne de l’Etat est le contrôle qui ne doit théoriquement épargner aucun secteur d’activité pour une meilleure efficacité des actions des différents acteurs.

Est-ce que ce contrôle existe chez nous  ? Ou ferme-t-on les yeux pour se rendre complice et tirer profit ? Je pense que les responsables chargés des missions de contrôle judiciaire sont tous partie prenante dans la corruption et les détournements. En fait, ces pratiques sont monnaies courantes, tous les citoyens voient et vivent mais les autorités et les différents services ne voient rien, n’entendent rien, ils vivent dans une Algerie qui n’est pas la nôtre.

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Pourquoi Nezzar, Ayat, Atailia, Hajerès et Belhouchet avaient condamné Mostefa Benloucif ?

beloucifmostafa.jpg«Quand j’étais chef d’état-major au MDN, j’avais refusé de cautionner l’achat de radars français, des systèmes clef en main, pour la sécurisation du ciel aérien algérien, parce que j’estimais qu’étant un lourd marché d’Etat à Etat, nous nous devions en tant qu’armée, responsable de la sécurité du pays, de mettre entre les mains de l’ANP une grande maîtrise de cette sécurité en faisant en sorte que l’achat des radars ne se fasse pas auprès d’un seul pays, la France, mais de plusieurs fournisseurs, comme par exemple la Grande-Bretagne et les Etats-Unis», a raconté le général major Mostefa Benloucif à la journaliste Ghania Oukazi. 

S’en suit comme autre événement relevant de la «sécurité de l’Etat», la demande de la France de faire passer ces avions militaires par l’Algérie pour les faire actionner au Tchad. «J’ai refusé le survol du ciel algérien par les avions militaires français, je ne voyais pas pourquoi l’Algérie devait cautionner aussi gracieusement des frappes militaires françaises au Tchad», se demandait-il encore en 2000, pour convaincre de sa bonne foi.

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Amar Ghoul: « Moi je travaille, les autres aboient »

amarghoul3999358851393143028.jpgQuestion d’un journaliste: «Comment expliquez-vous le retard accusé dans la réalisation, surtout du lot est de l’autoroute, constat établi par un bureau d’études italien assurant le suivi pour le compte du maître de l’ouvrage et mainte fois relayé par la presse (40% de taux d’avancement), sinon l’insuffisance des capacités opérationnelles du consortium japonais, comme le révèle, d’ailleurs, l’enquête sur le projet et dont la presse en a également fait état ?»

Réponse du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul: «Qui vous a dit que nous étions en retard, hein ?! On est là, on travaille, les choses avancent et les autres aboient ! Pourquoi la presse ne parle-t-elle pas des projets qui avancent bien ? Ça ne fait jamais la Une des journaux ! Pour le tronçon d’Aïn-Defla, à titre d’exemple, nous avons gagné 14 mois sur les délais, et personne ne le dit. Dans cette même wilaya, nous avons réceptionné tous les projets inscrits dans le plan quinquennal 2005-2009.» Source Le Soir/ Synthèse

Tizi-Ouzou: 50 kidnappings en cinq ans !

kidnappingmexico.jpgUne cinquantaine de personnes ont été kidnappées dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis cinq ans a indiqué jeudi le commandant de secteur de la gendarmerie, le colonel Salim Benazouz, lors d’une conférence de presse qu’il a animée à Tizi-Ouzou. Le responsable de la gendarmerie a évoqué le phénomène des enlèvements d’enfants d’entrepreneurs en indiquant qu’il n’est pas facile de mettre en place une stratégie afin de contrecarrer ce problème compte tenu de leurs actions sporadiques. Par ailleurs, le conférencier a indiqué qu’avant la fin de 2010, vingt-neuf nouvelles brigades de gendarmerie seront officiellement inaugurées. Synthèse d’El Mouhtarem/ Source L’Expression

Oued Koriche: Des émeutes en réponse aux fausses promesses de Ould Abbès

ouldabbes14184.jpgRencontrés hier sur une terrasse de ce qui reste d’un immeuble dont les occupants n’en garderont que des mauvais souvenirs, les citoyens de Oued Koriche reviennent sur cet après-midi du jeudi.Toufik Mélikchi, lui qui a perdu deux de ses frères en ce mardi a gros sur le coeur. «Serait-il normal qu’on nous fasse une promesse de nous reloger en 24 heures sans que cette promesse ne soit respectée», s’est il interrogé. Et d’ajouter, «il ne suffit pas de se tenir face aux caméras et journalistes et de dire à haute voix que les sinistrés vont être pris en charge dans 24 heures, on est à notre quatrième jour en plein air et rien n’a été fait pour apaiser nos maux, les femmes et les enfants ont passé 3 nuits consécutives à la belle étoile et personne n’a daigné s’approcher de nous».

Face à cela, dira un autre attristé, «nos voisins des autres immeubles de même que ceux des cités avoisinantes se sont montrés solidaires avec nous». La colère ne faisait que grandir et l’imparable devait arriver. Les forces antiémeutes ont été prises pour cible par les jeunes protestataires, après que ces forces les aient empêchés de réduire en cendres le siége de l’APC». Evoquant le relogement proposé dans des chalets érigés à cet effet dans la localité de Ouled Moussa, dans la wilaya de Boumerdès, la plupart, pour ne pas dire tout ceux concernés par le relogement, ont affiché un refus catégorique à cette solution du «provisoire qui dure», ont-ils fait savoir. Le Courrier d’Algérie

Exercice de journalisme: Entre conditions socio-professionnelles et professionnalisme

tahardjaout.jpgPar Karim Aimeur http://tribune-lecteurs.com/event.html

Une quinzaine de journalistes algériens ont assisté, jeudi dernier, à une journée de formation portant sur l’exercice de leur profession. Animée par deux anciens journalistes, Said Djaâfar et Ali Boudoukha, cette rencontre a été organisée à l’initiative de l’animateur du blog « Algérie Politique » et tenue au siège national du Front des forces socialistes (FFS), à Alger. Les anciens journalistes sont revenus dans leurs interventions sur leur passé dans la presse en racontant les belles pages et la belle époque où les journaux  » Libre Algérie  » et  » La Nation  » existaient encore.

Les difficultés socio-professionnelles liées à l’exercice du métier de journaliste ont été évoquées par ces deux anciens journalistes ainsi que par les journalistes ayant assisté à la rencontre. L’autre obstacle qui empêche le journaliste à jouer son rôle qui lui est voué dans la société est la démission des intellectuels et des hommes politiques, censés éclairer l’opinion sur les sujets d’actualité, par la voie de la presse. Ce qui fait, selon l’assistance, que le journaliste prend soin lui-même de jouer ce rôle. Mais là, se pose un autre problème qui est lié à la liberté d’expression et le verrouillage du champs médiatique. Comment donc un journaliste peut s’assumer en tant que tel dans ces conditions sans être manipulé ou même acheté ?

Les animateurs de la journée de formation ont exhorté les journalistes à se contenter de l’exercice du métier dans le volet qui consiste à donner de l’information objective et de s’armer de professionnalisme en attendant des journées meilleures.
Les participants à ce rendez-vous se sont « dispersés » avec l’espoir que d’autres pareilles initiatives verront le jour prochainement.

Le Professeur Nourredine Amir réélu pour un troisième mandat au CERD

sedeonuginebra.jpgLe Professeur Nourredine Amir a été réélu pour un troisième mandat de quatre ans au Comité des Nations unies pour l’élimination de toutes les formes discrimination raciale (CERD) http://www2.ohchr.org/french/bodies/cerd/, a indiqué vendredi le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Le candidat algérien a été réélu au cours du premier  tour du scrutin, avec un score remarquable de 150 voix sur 162 Etats votants  lors de la 23ème réunion des Etats parties à la Convention internationale pour l’élimination de toutes les formes de racisme qui s’est tenue jeudi à New York,  précise le ministère. Diplomate de carrière, Docteur en Droit, le Professeur Amir a servi  dans plusieurs postes diplomatiques avant d’être élu en 2001 puis réélu en 2004  en qualité d’expert au CERD. 

Le CERD, a été créé en 1969 avec l’entrée en vigueur de la Convention  internationale pour l’élimination de toutes les formes de racisme. Cet organe est composé de 18 experts qui siègent à titre individuel,  conformément à une répartition géographique équitable et de la représentation des différentes formes de civilisation ainsi que des principaux systèmes juridiques. II a pour mission l’examen des rapports périodiques que les Etats parties  lui soumettent tous les deux ans sur la mise en oeuvre de la convention.

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