25 février, 2010
Ali Tounsi tué dans son bureau
Le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN) Ali Tounsi a été assassiné, jeudi 25 février, dans son bureau à Alger par le colonel Chouaib Oultache (64 ans), responsable de l’aviation au niveau de la police. Selon une source sûre, suite à une altercation verbale, ce matin dans le bureau du DGSN, entre Ali Tounsi et le colonel des écoles, en présence du chef de sûreté de wilaya d’Alger, le colonel a tiré son arme. Il a donné un coup de crosse de pistolet sur la tête du chef de sûreté de wilaya d’Alger, avant de tuer d’une balle dans la tête le patron de la police. Selon notre source, l’auteur du crime, se rendant compte de la gravité de son acte, a tenté de se suicider en se tirant une balle. Actuellement, il est à l’hôpital militaire de Ain Naadja. Pour rappel, en 209, des rumeurs ont circulé sur le départ de Tounsi de la tête de la DGSN; rumeurs vite démenties par le concerné. «Un Moudjahid ne démissionne jamais», avait répondu le colonel Tounsi, le 15 juillet 2009, aux journalistes qui lui posaient la question sur sa démission du poste de DGSN. Poste qu’il occupait depuis 1995. Par ailleurs, contrairement aux rumeurs colportées par certains sites web, aucun dispositif d’exception n’est mis en place à Alger. El Mouhtarem
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Un participant ivoirien à l’assemblée générale de l’Union des conseils économiques et sociaux et institutions similaires d’Afrique (UCESA), qui s’est tenue hier à Alger, a contesté la présence de Abdelkader Messahel, ministre algérien délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines. Ce dernier qui a prononcé un discours à l’ouverture des travaux, a provoqué l’ire du représentant du Conseil économique et social de Côte d’ivoire. En effet, réagissant à l’invitation au débat lancée aux participants par Mohamed-Seghir Babès, président du CNES algérien, le participant ivoirien a pris la parole pour dénoncer la présence du ministre algérien: « Je suis désolé, nous ne pouvons pas parler de débat dans une réunion où est convié un ministre (Messahel) ». Très en colère, Mohamed-Seghir Babès a riposté en disant : »Monsieur, vous êtes un conformiste ». El Mouhtarem
Nacer Boudiaf pour « Algérie Politique »



