26 février, 2010
L’homme qui a tué Ali Tounsi
Choaïb Oultache est né en 1946 à Béjaïa. Ce père de 2 enfants est un ancien pilote de l’aviation militaire et colonel en retraite. Il a été nommé directeur de l’unité aérienne de la DGSN créée en 2003. Il avait sous son commandement 11 pilotes. En 2008, le DGSN lui confie le grand projet de développement de liens sécurisés dans le domaine de la téléphonie, messagerie et la radio transmission avec l’utilisation de la fibre optique, l’introduction du Wimax et la mise en place d’un intranet sans fil. Le colonel Oultache présidait la commission technique d’évaluation des TIC. Il est aussi derrière la concrétisation de l’équipement du système PDA au niveau de la DGSN et la création de l’académie de technologie qui a été inaugurée durant l’été dernier par Ali Tounsi.
C’est en raison de ses compétences que le colonel Ali Tounsi lui a confié des projets stratégiques dans le domaine où il a prouvé ses capacités. Il faut savoir que les deux hommes sont voisins. Ils habitent le même quartier à Hydra. Ils se disaient bonjour chaque matin. Des sources concordantes affirment que c’est Oultache qui a veillé personnellement, le 11 avril 2007, lors des attentats kamikazes perpétrés par le GSPC, sur la sécurité de Ali Tounsi.
Pour preuve, après avoir localisé un véhicule piégé devant son domicile en survolant le quartier avec l’hélicoptère, Oultache a transmis les renseignements nécessaires aux équipes de déminage pour désamorcer la voiture bourrée d’explosifs.
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Nous apprenons d’une source informée qu’un puissant général algérien est actuellement aux Etats-Unis pour des examens médicaux. Atteint d’un cancer, ce général aurait choisi les États-Unis pour mieux garder au secret le voyage. Dans le pays de l’oncle Sam, les généraux algériens ne sont pas connus comme en France ou en Espagne. El Mouhtarem
Le bureau de Béjaia de la LADDH est préoccupé par la situation de la famille IZEM de la commune de FERAOUN où dix de ses membres sont entrés en GREVE DE LA FAIM depuis le lundi 15 /02/2010, élisant domicile au sein même de la mairie , suite à la «HOGRA» exercée sur eux par le président de l’APC qui n’a pas hésité à les spolier de leur bien foncier et ester huit membres en justice rien que pour les faire taire, Or la loi (91/11 du 27 février 1991) leur octroi le droit à l’indemnisation (voir le décret




