La modernisation de la police est plus que palpable, car nous sommes rentrés dans le giron des 66 pays au monde qui ont déjà adopté un révolutionnaire instrument de travail. Le Taser X26, un nom très poétique,sous lequel se cache le redoutable pistolet électrique, sera d’ici peu (si ce n’est déjà fait) au service de la sécurité musclée.Pour un peuple qui a souffert dans sa chair de la gégène de Massu, le Pen et consorts… cette modernisation rappelle de tristes souvenirs.
Ali Tounsi, né en 1934 à Metz, était fils d’un officier de l’armée française. Cet algérien installé en France bien avant la 2ème guerre mondiale est resté dans l’armée française jusqu’à sa retraite. De nationalité double, française et algérienne, Ali Tounsi a été élevé à Meknès au Maroc où son père était en garnison. En 1957, il rejoint la wilaya V. Il est fait prisonnier en 1958. En 1961, on le retrouve au sein du 2ème Bureau de l’armée française à Sidi Bel Abbes. Il a été membre du commando « Tempête » composé de supplétifs récupérés par les services secrets français sous les ordres de l’officier français De Saint Georges d’où l’appellation « Commando Georges ». Au cessez le feu, il est injecté dans l’administration naissante grâce a des relations familiales nouées au Maroc qui ignoraient sa collaboration avec l’armée coloniale, il est enrôlé dans les rangs de l’ANP. En 1983, son engagement avec l’armée française durant la guerre de libération ayant été dévoilé, il est radié de l’ANP. Son passage au sein d’une structure dépendant du ministère de la jeunesse et des sports lui vaut en 1994 une condamnation à une peine de prison pour détournement et dilapidation de deniers et de biens publics. En appel, début 1995, et malgré son intimité avec « la magistrate » siégeant, la peine de prison fut confirmée bien qu’abaissée. De 1995 jusqu’à son assassinat il était à la tête de la Police algérienne.
La modernisation de la police est plus que palpable, car nous sommes rentrés dans le giron des 66 pays au monde qui ont déjà adopté un révolutionnaire instrument de travail. Le Taser X26, un nom très poétique,sous lequel se cache le redoutable pistolet électrique, sera d’ici peu (si ce n’est déjà fait) au service de la sécurité musclée.Pour un peuple qui a souffert dans sa chair de la gégène de Massu, le Pen et consorts… cette modernisation rappelle de tristes souvenirs.
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Courte biographie
Ali Tounsi, né en 1934 à Metz, était fils d’un officier de l’armée française. Cet algérien installé en France bien avant la 2ème guerre mondiale est resté dans l’armée française jusqu’à sa retraite. De nationalité double, française et algérienne, Ali Tounsi a été élevé à Meknès au Maroc où son père était en garnison. En 1957, il rejoint la wilaya V. Il est fait prisonnier en 1958. En 1961, on le retrouve au sein du 2ème Bureau de l’armée française à Sidi Bel Abbes. Il a été membre du commando « Tempête » composé de supplétifs récupérés par les services secrets français sous les ordres de l’officier français De Saint Georges d’où l’appellation « Commando Georges ». Au cessez le feu, il est injecté dans l’administration naissante grâce a des relations familiales nouées au Maroc qui ignoraient sa collaboration avec l’armée coloniale, il est enrôlé dans les rangs de l’ANP. En 1983, son engagement avec l’armée française durant la guerre de libération ayant été dévoilé, il est radié de l’ANP. Son passage au sein d’une structure dépendant du ministère de la jeunesse et des sports lui vaut en 1994 une condamnation à une peine de prison pour détournement et dilapidation de deniers et de biens publics. En appel, début 1995, et malgré son intimité avec « la magistrate » siégeant, la peine de prison fut confirmée bien qu’abaissée. De 1995 jusqu’à son assassinat il était à la tête de la Police algérienne.
honte a ce policier qui na pas donner la main a cette dame pour la soulever
nous devons tous comparaitre devant le tpi.