Mémoire: Il y a 8 ans, une marche du FFS sauvagement réprimée à Alger

djeddai.jpgConférence de presse d’Ahmed Djeddaï du 15 mars 2002

Déclaration liminaire

La marche du FFS du jeudi 14 mars 2002 a été sauvagement réprimée rappelant étrangement les opérations  » ratonade  » de sinistre mémoire. La violence a été spécialement dirigée contre les responsables du parti, ses élus nationaux et locaux ainsi que les responsables des structures de manière à provoquer la colère et les débordements. Le pire a été évité grâce à la clairvoyance et l’autodiscipline des militants et des sympathisants.

Nous tenons à féliciter particulièrement chacun et tous pour leur observance exemplaire des consignes données par la direction et le service d’ordre du parti.
Nous nous félicitons à juste titre que les différents compartiments du parti aient réagi avec un sens élevé de lucidité politique et un self contrôle exemplaire. Grâce aux liaisons téléphoniques la consigne de rebrousser chemin pour les bus qui n’ont pas pu passer a été exécutée et relayée dans le calme malgré les frustrations que chacun peut imaginer.

Les militants arrêtés et auditionnés par les services de police ont refusé d’emblée le statut et le comportement de délinquant de droit commun. Ils ont assumé avec dignité et sérénité leur participation à la marche pacifique et ont tenu à ce que figure dans les P.V les mots d’ordre qu’ils sont venus promouvoir et défendre. Les militants qui ont jugé que leur motivation politique ou leur mots d’ordre ont été tronqués ou manipulés ont refusé de signer les procès-verbaux de leur audition. Leur comportement solidaire dans cette épreuve, témoigne de la profondeur de leur convictions de lutte politique et pacifique et de leur communion pour défendre un idéal de liberté. Cette posture de dignité citoyenne fait et fera honorer l’Algérie. Plus que jamais, le FFS grâce à sa sève montante s’ancre dans une stratégie de conviction constante et durable malgré les conjonctures répressives à répétition.

C’est en leur nom que je rends hommage aux militants du mouvement associatif autonome et particulièrement aux mères de disparus qui ont subi une répression sauvage. Ces mères dignes et courageuses continueront à hanter la conscience de ceux qui pensent  » d’avoir libéré en jouant les PONCE-PILATE « . Cette répression sauvage n’a pas épargné les journalistes, pourtant présenté et reconnu comme tel. C’est une violence grave, une de plus, une de trop. Elle confirme des lendemains incertains pour cet oasis du pluralisme.

Il vous appartient de répondre es-qualité si cette répression vous a touché en qualité de témoin, ou au motif que vous êtes venus couvrir un événement que le pouvoir n’a daigné tolérer.

Pourquoi la marche (appel joint dans le dossier de presse).

Le FFS qui a fait de la voie pacifique un credo a toujours appelé à des marches chaque fois qu’il juge nécessaire : – de briser le mur de la peur ;
- les conspirations du silence, les conforts de la résignation et les réflexes d’autarcie ;
- d’user concrètement de son droit à la manifestation et à l’expression politique ;
- de maintenir la flamme de l’espoir démocratique car ces rencontres sont un véritable lieu de rassemblement de toutes les forces porteuses de changement.

Même nos adversaires reconnaissent la constance et la cohérence de notre ligne de conduite, REHABILITER LE POLITIQUE.

Pourquoi à Alger.
Rappelons aux gérants patrimoniaux qu’Alger est la capitale de l’Algérie. Il est de tradition pour les dictatures finissantes d’isoler la capitale des provinces indociles pour les condamner aux gestes et actes de désespoir.
Le choix d’Alger comme lieu de manifestation a pour but d’aider la dissidence citoyenne à s’exprimer et s’accréditer dans sa dimension nationale. Sa répression féroce avait pour finalité d’atomiser et de ghettoïser cette mobilisation citoyenne d’espoir.

La présence du FFS à Alger se veut un gage de cohésion nationale.

Pourquoi maintenant.
Est-il décent de se poser cette question après dix ans de guerre sans nom et sans aucune solution politique finale.
La question à se poser est pourquoi pas ICI et MAINTENANT partout et toujours.
Le FFS a tenu à prendre date et à montrer aux Algériennes et Algériens qu’entre les engagements du pouvoir et leur concrétisation il n’y a qu’une constance : le reniement et la répression.
Les discours mystificateurs de ce régime en quête d’une indulgence internationale s’avère incapable de maquiller sa face dictatoriale.
Face à cette furie répressive, le FFS réitère son credo de lutte pacifique.

Pourquoi sa répression ?
Outre le fait que c’est la seconde nature de ce régime, j’allais dire la première, si ce n’était son illégitimité chronique. Dans la constitution non écrite de ce pouvoir, la force prime sur le droit et la fin justifie les moyens.

La répression  » scientifiquement  » planifiée qui a touché sans distinction militants, sympathisants, responsables, mères des disparus et journalistes en fin tout ce qui bouge n’est ni un acte fortuit, ni un acte anecdotique de personnels de sécurité zélés. C’est un acte délibéré, planifié, prémédité sous le regard des chefs de la DGSN et consorts. Elle a visé le FFS pour son indocilité aux diktats du pouvoir et son refus de se laisser normaliser.

Le FFS dont le regard est tourné vers la dynamique de la société, loin des intrigues du sérail constitue pour les va-t-en guerre un danger de paix.

Que faire ?
Le FFS n’abdiquera aucun de ses droits. Il est plus que jamais déterminé à :
Au plan national :
- militer pour l’émergence d’une alternative démocratique nationale avec les acteurs sociaux et politiques autonomes épris de paix, de vérité et de justice.
- Militer pour imposer des règles de médiation politique de tous les conflits par un ensemble de règles applicables par tous et opposables à tous dans les normes du droit universellement reconnus.
Au plan maghrébin :
- militer sans cesse pour un Maghreb des droits de l’homme.
- Construire des ponts de solidarité pour un avenir démocratique du Maghreb.

Au plan international :

- Militer pour le respect des engagements ratifiés par l’Algérie. – Militer pour la levée des barrières douanières sur les droits de l’homme le regard des ONG et instances internationales.
- Alerter l’opinion internationale et la prendre à témoin sur toutes les violations des droits de l’homme.
- L’impunité encourage la récidive et hypothèque l’avenir du pays et les intérêts des partenaires.

Le FFS est convaincu que l’avenir des Algériennes et Algériens est dans la construction d’une société démocratique et ne réside pas dans la répression et les rapports de force illusoires.

Commentaires

  1. Guevara dit :

    Bjr à toutes et à tous, à l’époque ou Mr Djedai étais le 1er secretaire du F.F.S il y’avais une vraie opposition, mais aujourd’hui le F.F.S est dans les rangs.. aucune différence entre le F.F.S d’aujourd’hui et le HAMAS.

  2. NARMOTARD dit :

    Cette marche du FFS de 2002, comme celles nombreuses qui l’ont précédée ou suivie, n’ont pas, hélas, « fait reculer la dictature du pouvoir » qui s’est trouvé devant « la seule alternative, d’aggraver la répression ou de disparaitre politiquement », selon le pertinent constat du président du FFS, monsieur Hocine AÏT AHMED.
    En fait, ce régime qui ne sait que réprimer férocement, ou bien manipuler la justice pour étouffer la libre expression des citoyennes et citoyens, est par contre au service des multinationales pourvoyeuses de pots-de-vin et de corruptions multiformes, en faveur de la gangue de décideurs de la mafia politico-militaro-financière et de leurs lèche-bottes ou proches.
    Du reste, ce régime qui n’est pas encore à bout de souffle, n’a pas hésité à engager une sale guerre contre la population et l’opposition politique, dès l’indépendance du pays. Plus de deux cent milles morts depuis le coup d’Etat contre le processus électoral de 1992, auquels s’ajoutent, entre autres, les milliers de disparitions forcées et les centaines de victimes FFS de la démocratie.
    L’intensité de l’oppression,répression du pouvoir et réaction du FFS a atteint un degré de cruauté telle que l’exprime, comme suit, le poème du président Hocine AÏT AHMED, gravé dans un style lapidaire, sur la stèle érigée au siège du parti, à la mémoire de tous les martyres victimes de ce régime plus qu’autoritaire:

     » Pour un observateur initié, pour vous, c’est un miracle si le FFS est encore là.
    Ce miracle, vous l’avez construit petit à petit comme un nid;
    Pierre par pierre comme un temple de la démocratie;
    Mot par mot comme un lexique d’espérance;
    Douleur après douleur comme un champ de résistance. » Hocine AÏT AHMED.

  3. amghar azzamni dit :

    Il est vrai que le ffs doit sortir de l’immobilisme mais la question qui se pose et comment le faire lorsqu’on est face à un pouvoir sourd et féroce!C’est quasi certain que le pouvoir est intraitable lorsqu’il s’agit de revendications légitimes;le cas des enseignants et des praticiens de la santé en est un exemple frappant!La seule réponse du pouvoir est la matraque.A chacune des manifestations pourtant pacifiques l’état mobilise un arsenal de défense à dissuader toute une population armée uniquement de bonne foi et de volonté de revendiquer des droits à une vie décente,à une sécurité et au logement.
    Les réponses du pouvoir sont si virulentes qu’elles empechent les citoyens de se manifester en tant que force vive de la nation.Où est notre droit à la citoyenneté si on est empeché de s’organiser en association pour revendiquer ou construire!
    Les partis politiques sont muselés par la loi scélérate de l’Etat d’ Urgence qui perdure et sert le seul interet du systéme!
    Tous les algériens sont soumis à vivre et à évoluer à l’intérieur de ce systéme.Nul n’est épargné dés lors que l’on bouscule l’ordre établi.Pas de revendications, pas de manifestations sous peine de matraquage!Les citoyens sont empechés de faire de la politique ou de s’organiser;c’est une pratique découlant d’une dictature dure qui nous étouffe et nous fait peur!

  4. amghar azzamni dit :

    Il est vrai que le ffs doit sortir de l’immobilisme mais la question qui se pose et comment le faire lorsqu’on est face à un pouvoir sourd et féroce!C’est quasi certain que le pouvoir est intraitable lorsqu’il s’agit de revendications légitimes;le cas des enseignants et des praticiens de la santé en est un exemple frappant!La seule réponse du pouvoir est la matraque.A chacune des manifestations pourtant pacifiques l’état mobilise un arsenal de défense à dissuader toute une population armée uniquement de bonne foi et de volonté de revendiquer des droits à une vie décente,à une sécurité et au logement.
    Les réponses du pouvoir sont si virulentes qu’elles empêchent les citoyens de se manifester en tant que force vive de la nation.Où est notre droit à la citoyenneté si on est empêché de s’organiser en association pour revendiquer ou construire!
    Les partis politiques sont muselés par la loi scélérate de l’Etat d’ Urgence qui perdure et sert le seul intérêt du système!
    Tous les algériens sont soumis à vivre et à évoluer à l’intérieur de ce système.Nul n’est épargné dés lors que l’on bouscule l’ordre établi.Pas de revendications, pas de manifestations sous peine de matraquage!Les citoyens sont empêchés de faire de la politique ou de s’organiser;c’est une pratique découlant d’une dictature dure qui nous étouffe et nous fait peur!Après 18 années d’état d’urgence,la répression et les dénis de droits continuent de faire rage dans le pays.La situation économique du pays n’est pas des plus brillantes du fait qu’elle n’est basée que sur l’exploitation à outrance des hydrocarbures sans parler des scandales financiers qui ont éclaboussé plusieurs de nos entreprises et administrations!
    L’on constate malheureusement que le pays s’achemine vers un étouffement de toutes les activités partisanes et une mise au pas de toute la société civile qui es pourtant la pierre angulaire de tout développement social,économique et culturel d’un état digne de ce nom!
    Construire une démocratie n’est surement pas l’affaire d’une frange de la société mais de l’ensemble des partenaires qui ont l’amour de la patrie!

  5. yalas dit :

    Le pouvoir n’a rien à opposer aux revendications du peuple que son arsenal militaires et policier.Je pense que la resistance pacifique et populaire est le seul moyen pour gagner des espaces à la ferocité des decideurs.Je crois qu’au meme titre que les enseigants et les medecins,le FFS doit battre le pavé et retrouver la rue et sa vocation de parti populaire.Les declarations et les meetings sont transformés en alibi democratiques par le pouvoir pour orner sa façade sale.Les manipulations et la violence sont deux caracteristique d’un pouvoir totalitaire et faible.

  6. amghar azzamni dit :

    Le ffs n’est pas une plaque indicatrice que l’on retrouve sur les places publiques et dont on a le plaisir à lire mais un parti politique digne de comporter en son sigle la connotation « Socialste « .Guevara se trompe beaucoup en comparant le ffs au Hamas qui n’est autre qu’une branche alliée du systéme en place.
    C’est une honte et une injure à l’encontre de tous ses militants que d’affirmer que le ffs s’est rangé du coté du pouvoir alors qu’il méne un combat ,selon ses moyens, contre ce dernier.Il faut que notre ami guevara sache que le ffs ne s’est jamais autorisé à s’allier au FLN ou tous les partis de l’alliance présidentielle telle que l’a fait tout derniérement le P.T .

  7. opposant dit :

    depuis quand un parti d’opposition comme le FFS doit attendre une autorisation de ce pouvoir pourri, corrompu pour sortir dans la rue et manifesté son opposition a ce regime ??? le FFS doit appelé les algériens et algériennes a une désobéissance civile , et en urgence, il n y a pas de temps a perdre dans la politique, au lieu de se caché derriere les conferences et autres rencontres….les citoyens en n’ont marre de ces réunions ils veulent du concret…

  8. opposant dit :

    ayammghar azemni, saches que les hommes qui ont declenchés la revolution de 54 n’ont attendus une autorisation de l’armée coloniale. toi qui pretend etre l’ange gardien de ce parti, au lieu de posé tes fesses derriere ton ordinateur a repondre a tt le monde dans ce blog. pourquoi ne pas proposé des solutions pour en terminer avec ce regime???

  9. AMGHAR AZZAMNI dit :

    A notre ami » Opposant « ,je voudrais tout d’abord de soigner avant tout son langage et d’etre un peu plus respectueux des autres.Le vocabulaire qu’il utilise n’est pas trés loin de ressembler à celui que colporte nos opposants. Il me semble d’opposant notre ami ne porte que le nom car il se comporte tel dictateur.
    Je ne suis ni ange gardien ni doneur de leçons mais je participe comme tout un chacun à l’animation de cet espace de libre débat. N’en n’ai-je pas le droit ? Vous qui etes un opposant à l’ordre établi vous devriez commencer à laisser parler les autres librement.
    Salutations fraternelles Monsieur l’OPPOSANT.

  10. AMGHAR AZZAMNI dit :

    A notre ami » Opposant « ,je voudrais tout d’abord de soigner avant tout son langage et d’etre un peu plus respectueux des autres.Le vocabulaire qu’il utilise n’est pas trés loin de ressembler à celui que colporte nos opposants. Il me semble d’opposant notre ami ne porte que le nom car il se comporte tel dictateur.
    Je ne suis ni ange gardien ni donneur de leçons mais je participe comme tout un chacun à l’animation de cet espace de libre débat. N’en n’ai-je pas le droit ? Vous qui etes un opposant à l’ordre établi vous devriez commencer à laisser parler les autres librement.
    Salutations fraternelles Monsieur l’OPPOSANT.
    NB. Je ne suis pas partisan de la violence:je ne peux envoyer des personnes humaines au matraquage et encore beaucoup moins à la boucherie car je sais quelle est la valeur humaine!

  11. AMGHAR AZZAMNI dit :

    A tous ceux qui pronent la violence et en particulier  » L’ opposant  » qui porte bien son pseudo, je voudrais leur dire que personnellement je rejette cette forme de lutte qui ne fait qu’endeuiller notre peuple.Je pense que le FFS a eu sa dose lors des premières années qui ont suivi sa création:plus de 450 martyrs de la démocratie ( Allah Yirham houm )sans parler des militants emprisonnés ou exilés malgré eux.Pour répondre à notre ami,je lui dirai que le FFS n’a ni les moyens ou même les options de mener une guerre au pouvoir . Il existe bien d’autres formes de lutte pacifiques et pour cela, il s’agit seulement d’être beaucoup plus imaginatif afin d’en définir les contours.
    Je pense que la voie pacifique, politique constructive sont plus indiquées dans le cas de notre pays dés lors que nous avons affaire à un pouvoir intraitable et capable de matraquer sans aucune pitié.
    Je pense qu’il vaudrait mieux pour les militants de la liberté démocratique de plancher sérieusement sur la recherche d’un consensus national pour déclencher un combat commun et unifié au lieu de se cantonner dans des lamentations personnelles qui n’aboutissent à rien.
    Je reste persuadé que la voie du salut existe sans pour autant aller vers une effusion de sang douloureuse pour tout le monde.

    Salutations fraternelles et militantes.

  12. AMGHAR AZZAMNI dit :

    La violence appelle la violence et celui qui prend le pouvoir en y usant ne peut qu’exercer son pouvoir que par elle! C’est inévitable!
    Les moyens les plus démocratiques sont ceux qui peuvent apaiser les populations de leurs souffrances quotidiennes!Pas besoin de les enfoncer encore davantage dans une fournaise où nul ne sera épargné d’égratignures douloureuses.
    Le pacifisme est la meilleure voie du salut et de la prospérité.

  13. Zahia dit :

    En theorie, c’est tout a fait exact. Nul ne peut souhaiter autrement le pacifisme, le dialogue, l’ouverture pour avancer. Mais helas ! l’histoire a demontre le contraire a maintes reprises, et c’est dommage: Il n’y a pas de progres, ou de changement sans lutte et violence en general. Et c’est intrinseque au pouvoir et c’est inherent a l’etre humain: Pour que l’esclave arrache sa liberte, il doit se revolter contre son Maitre. Pour qu’un regime change de posture ideoligique, il faut du bruit et du tapage. C’est une condition lie a l’equilibre irreversible du pouvoir qui ne veut pas ceder une parcelle de concession a l’autre partie. Le pouvoir n’ecoute pas, il punit et reprimande toute forme de revolte.
    Ainsi soit-il? Il ne faut pas deranger l’ordre celeste des choses comme au gtemps du feodalisme, du sultanisme, du communisme, des dictatures militaires, des monarchies aboslues, etc…
    Pour faire bouger l’elephant, la mouche doit le piquer !!

  14. amghar azzamni dit :

    Je comprends tout à fait l’avis de notre camarade ZAHIA .Mais il faut savoir que les temps ont changé ,les comportements aussi.La violence ne peut qu’engendrer la meme chose.Tout clan qui arrache un pouvoir par la violence,ne peut l’exercer que par la violence!Je ne crois pas au contraire du fait qu’il porte déjà en lui une pathologie violente!
    Nous vivons au 21 ème siècle et la violence n’a plus sa raison d’être;l’intelligence a pris sa place.
    Seulement,il faut que l’intellectuel se saisisse de la situation et participe au changement d’une manière très intelligente.Il faudrait qu’il cesse de se comporter en lettré qui cherche tout juste à améliorer son statut et son confort.L’éléphant boit malgré les couacs des grenouilles!La sensibilisation des masses populaires ne peut être faite que par les intellectuels et non par des hommes violents.

  15. gavroche dit :

    je pense sincerement que la presence de la figure emblematique de HOCINE AIT_AHMED en algerie , au siege national du parti donnera des sueurs froides aux predateurs qui ruinent le pays.Cependant je sais qu à son age il ne peut se soustraire aux douceurs du LAC LEMAN ni à un certain mode de vie maintenant acquis.Alors que doit faire le ffs? Eh bien continuer cahin cahan a installer des comité federaux…des commissions d evaluation… des congrés de section…il active …il active… ne desespérez pas …il active et son premier secretaire n a pas peur des tabous il denonce… il denonce…parfois il se defonce que croyez-vous il na pas khatem sidna souleimane alors…..au prochain congrés

  16. opposant dit :

    merci ma chere zahia, tu as bien expliquer a ce amghar azemni ce que sait un militant engagé, il faut qu’il sache que la liberté ne se donne pas comme un cadeau, il faut l’arrachée…mais allah ghaleb il aime trop son fauteuil pour sortir milité dehors, il crois qu’il va changé ce systeme avec son ordinateur, et ç dommage pour le FFS d’avoir ouvert les portes a ces peureux qui se cache derriere le pacifisme… win ivghan lesfendj adhyefk nanass…ce pouvoir ne va pas partir avec ces methodes il est temps de changer la strategie si vous voulez y arriver

  17. AMGHAR AZZAMNI dit :

    Il y a des gens têtus qui ne contrôlent même pas leur langage!Dommage,ce ne sont pas avec des personnes de cette valeur que l’Algérie retrouvera sa sérénité ainsi qu’une véritable démocratie.Il existe des voies pacifiques mais notre camarade Opposant préfère celle de la violence qui est aussi synonyme de dictature.
    Alors tant pis ! Qu’il aie seulement un gramme de courage pour commencer et il y aura surement des semblables qui le suivront.
    Facile de dire, mais trés difficile de faire!
    Nous n’aimons pas trop les beignets,nous réfléchissons beaucoup.Chtahna warmina lamharam ya jeune homme de bonne famille!
    En tout cas bon courage si jamais tu te décidais à prendre les armes et à aller en guerre!Quant à nous, nous n’avons les moyens ni les options pour cette méthode que nous abhorrons de crainte , pas de nous faire du mal à nous-même,mais surtout à notre jeunesse.Nous n’aimons pas les discours enflammés et insidieux!Nous vous laissons le passage ya l’Opposant Imaginatif!!

  18. awasif dit :

    « Il est vrai que le ffs doit sortir de l’immobilisme »,une phrase pleine de sens.Mais qui a dit cela ? c’est « amghar azemni » qui defendait bec et ongles que le FFS va bien,qu’il fonctionne tres bien,qu’il se structure et restructure parfaitement,qu’il s’organise et se reoganise de maniere impeccable,qu’il fait des declarations pleines de bon sens,il prend des positions perspicaces mais il reste immobile.Le FFS « doit sortir de l’immobilisme »,pour une fois amghar azemni ne defend pas l’indefendable,je suis tres content qu’il joigne sa voix pour appeler à bouger,à mobiliser ,a aller vers la population et à travailler avec elle.BRAVO AMGHAR AZEMNI ,je suis d’accord avec toi sans rentrer dans les querelles entre personnes qui ne m’interessent nullement.

  19. belkcem mellikeche dit :

    tout simplement pour que le ffs réussira il faut que chaqu’un qui se dit du ffs; qu’il joigne ses actes a ses convictions -pour ne pas dir à ses paroles- au niveau individiuel.2ement il faut cesser de parler au peuple via l’Etat,mais parler au peuple via le peuple pour que l’Etat devienne un Etat, et pour que le pouvoir perd forcément sa sourdité.il faut que dans nos pratiques politiques aux niveaux: individuel,relationel, organisationel et institutionel et dans nos discours; pousser la consciense des indvidus et le peuple à ne pas dépondre de l’etat et du pouvoir,mais de lui-meme pour que le pouvoir perd ses influences sur les membres du peuple et perd avec les liens et les files qui les ataches a lui;pour que vraiment l’Etat dépendera du peuple et non le contraire.aussi,on donne et on travail pour et dans le FFS pour etre servi par et avec le peuple et non par et pour le FFS.toujour il ne faut jamais oublier que le FFS est un outil et un moyens et non une fin en lui meme; et maleureusement c’est devenu le cas .

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