Dilapidation du foncier à Tizi Ouzou: Le procès s’est ouvert ce matin
Le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou a examiné ce matin l’une des plus importantes affaires de dilapidation du foncier dans la wilaya de Tizi Ouzou. Sont impliqués dans cette affaire un ancien maire de Tizi Ouzou en l’occurrence Ahmed Taleb qui est en fuite, le dernier directeur de l’Agence foncière de la commune de Tizi Ouzou et son prédécesseur qui comparaissent en qualité de détenus à côté de deux autres détenus employés à la même agence foncière au moment des faits. Les non-détenus sont au nombre de 36 dont le notaire Helas Rachid.
Ces accusés doivent répondre du chef d’inculpation de dilapidation de deniers publics, faux et usage de faux et falsification de documents officiels. L’affaire remonte au 12 juin 2002 lorsque l’ex-wali de Tizi Ouzou, Ouadhah Hocine a saisi la police pour demander l’ouverture d’une enquête à propos de distributions douteuses de plusieurs lots de terrain par l’agence foncière de Tizi Ouzou. Selon l’arrêt de renvoi de l’affaire devant le tribunal criminel, il s’agit de pas moins de 500 parcelles attribuées à des prix symboliques à des employés de l’agence foncière, leurs amis et leurs familles en utilisant parfois des noms d’emprunt.
Par ailleurs, une même parcelle a été attribuée plusieurs fois. Des bénéficiaires ont revendu leurs parts à des prix exorbitants. Près d’une vingtaine de coopératives immobilières ont pu voir le jour de cette façon. La moindre parcelle, le moindre espace vert ont été dilapidés ce qui compromet le développement local dans la capitale du Djurdjura où il est devenu très difficile de trouver un espace pour implanter les équipements publics. Le procès promet d’être riche en révélations et risque de s’étaler sur plusieurs jours. La salle d’audience était ce matin archicomble. Infosoir
à ne pas oublier le fameux livre sur le foncier etait l’oeuvre du feu Aissat Rabah, ex P/APW de Tizi Ouzou.Allah Irahmou.
Et oui mes chers amis ca se passe dans notre chere kabylie sous nos yeux et on est complisse d’une facon ou d’une autre.cette kabylie qui est pourrie par ces gueux mis en place depuis alger,ceuxla qui sont de la meme race des carapasses, des voyoux,des délateurs et des soit disant affairistes.ainsi soit il depuis longtemps mes freres ,on nous a assassiné abane sans que krim ne leve le petit doigt devant l’assassin boussouf,on nous a sequestrer le corps du vaillant amirouche pendant20ans sans que mohend oulhadj ne s’emouve,il ont exilé dalhocine et assassiné 400hommes ,femmes, enfants et viellards sans que le reste de ce foutu pays ne s’emouve.on a exilé notre aimable slimane azem car il chantait la verite par peur dereveiller ses semblables asservis,on nous a assassiné matoub et enlevé toute espoir a notre jeunesse meurti par le chomage le suicide,la drogue et le vice.
Cet region adonné plus qu’il en faut a ce foutu pays qui n’est jamais reconnaissant,elle a donné des maquisards,des intelectuels,des democrates,des footbaleurs, des chercheurs,s medecins;des ingenieurs,,,etc
elle a donné aussi des khobzistes et carrieristes des delateurs et des traitres et des faux democrates ceux la qui ont trahit le plus important des principes humain kabyle qui est enif de lhurma,ceux la qui se la jouent civilisés et au dessus de tout soubsent.
comme dit ferhat:il faut liberer la kabylie,liberer de cet etat qui nous a rien offert depuis 62 si ce n’est la matraque,la misere et les assassinats,et pour commencer il faut liberer les esprits mes amis, de toute obediance et toute dependanceà l’autre,appenant a vivre independant dans nos tetes,crer soit meme sa propre richesse a commencer par celle de son esprit.Nos richissimes hommes d’affaires ,savants,matieres grises qui peuvent generer une dynamique de changement sont esclave d’une pensee clanique,partitisane ou carrieriste ,d’ou la dependance a lkhobza QUI dois cesser un jour si nous voulons reelement avancer et endiguer a jamais la JALOUSIE (comme disais lounas:aqvayli si thismine am thadut ma telset a dyemarni) d’oula necessité et l’urgence d’un vrais travail de fond necessaire a un changement radicale des mentalités quelques soit le rang social ni aubedience religieuse ou politique ,soyons l’oiseau dans le ciel qui n’a d’appartenance que sa propre liberté. tanemirth
Cher El Mouhtarem :
J’ai perdu mon mot de passe, veuillez m’excuser de vous écrire à travers ce forum pour vous proposer le forum suivant :
LES SULTANS DE L’ALGERIE INDEPENDANTE
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Les pressentiments du Colonel Lotfi
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N’oublions pas nos martyrs : c’est le vœu du Chahid Didouche Mourad. A l’occasion du 50° anniversaire de la mort au champ d’honneur du Colonel Lotfi, je propose ci-après le témoignage du Président Ferhat Abbas recueilli de son livre « Autopsie d’une guerre », non disponible en Algérie, sur ce valeureux colonel qui lui a fait part de ses terribles pressentiments sur le devenir de l’Algérie après son indépendance, pressentiments qui se sont malheureusement révélés exacts. Il apparaît selon ce témoignage que si le Colonel Lotfi avait survécu à la guerre, il aurait été un témoin gênant pour les tenants du Pouvoir issus principalement du Clan d’Oujda, clan qu’il connaît le mieux et aurait pu connaître un sort tragique comme beaucoup de dirigeants de la Révolution. C’est ce pressentiment qui l’a sans doute poussé à confesser : « J’aime mieux mourir dans un maquis que de vivre avec ces loups.» Il a été attaqué par l’aviation française seulement 48h après le franchissement de la frontière marocaine.
Extrait du livre du Président Ferhat Abbas :
[...] Le 6 juin 1959, je conduisis en Yougoslavie une délégation composée de Bous¬souf, du Colonel Lotfi et de Benyahia. [...] Le 12 juin, après une déclaration commune et une conférence de presse, nous reprîmes 1′avion pour Le Caire. Au cours de ce voyage, un jour, au petit matin, le colonel Lotfi entra dans ma chambre triste et abattu. II me confia ses inquiétudes : « Notre Algérie va échouer entre les mains des colonels, autant dire des analphabètes. J’ai observé chez le plus grand nombre d’entre eux, une tendance aux méthodes fascistes. Ils rêvent tous d’être des «Sultans » au pouvoir absolu. Derrière leurs querelles, ajouta-t-il, j’aperçois un grave danger pour l’Algérie indépendante. Ils n’ont aucune notion de la démocratie, de la liberté, de I’égalité entre les citoyens. Ils conserveront du commandement qu’ils exercent le goût du pouvoir et de I’autoritarisme. Que deviendra I’Algérie entre leurs mains? II faut que tu fasses quelque chose pendant qu’il en est encore temps. Notre peuple est menacé. »
J’ai expliqué à Lotfi que personnellement j’étais un combattant aux mains nues. Mon ambition n’était pas de diriger, mais d’aider et de conseiller. Je pouvais, évidemment, manoeuvrer et m’assurer l’appui de certains colonels et d’une fraction de l’ALN. Mais la manoeuvre n’a jamais été de mon goût. L’essentiel était d’unir et de maintenir la cohésion entre tous, jusqu’à la fin des hostilités.
Le Colonel demeurait tourmenté, il ne cessait de répéter : « Où allons-nous ?» Les anciens chefs de Wilayas constituaient pour lui un sérieux danger pour les libertés publiques. Son inquiétude me rappelait celle du regretté Abbane. J’ai essayé de le rassurer : « Nous sommes encore loin de l’indépendance. Au demeurant, rien ne se fera – du moins je le pensais – sans les forces de I’intérieur. Notre peuple s’est aguerri. II ne voudra plus se laisser faire. Les rivalités qui se font jour et se développeront à l’extérieur, sont des agitations stériles, des tempêtes dans un verre d’eau. De plus, il faudra compter sur l’autorité et la sagesse des frères emprisonnés. Les frères sauront, le moment venu, se mettre d’accord pour consulter démocratiquement le peuple avant de donner à l’Algérie une constitution et des lois. Ils sauront sauvegarder la foi musulmane qui nous a conduits au combat et assurer les libertés essentielles du citoyen. »
Le Colonel Lotfi ne fut ni convaincu, ni rassuré. Quand, quelques temps après, survint la première crise au sein du GPRA, 1′avertissement de Lotfi me revint en mémoire. Ses craintes allaient-elles se justifier? [...]
Le 30 mars 1960 nous apporta une triste nouvelle. Le Colonel Lotfi, et son adjoint, le Commandant M’barek, étaient tombés au champ d’honneur, dans la région de Bechar.
Avant de quitter Tunis, Lotfi m’avait renouvelé ses craintes. L’atmosphère au sein de la Délégation Extérieure lui faisait peur. Les luttes sourdes des Colonels ne lui avaient pas échappé. Il en était épouvanté :« J’aime mieux mourir dans un maquis que de vivre avec ces loups.»
II tint parole. Le 27 mars, il franchit la frontière marocaine. II se trouvait dans le Sud de Bechar lorsqu’il fut repéré par l’aviation française. La journée du 29 fut dramatique. Sur un terrain nu, l’aviation avait la partie belle. Lotfi et son escorte se défendirent.
Tous tombèrent glorieusement, les armes à la main. La guerre d’Algérie continuait à dévorer ses meilleurs enfants. Avec Lotfi disparaissait un rare Colonel aux idées généreuses et libérales, respectueux des droits de l’homme. II avait le plus grand respect pour le peuple d’où il était issu. Il est mort en emportant avec lui ses angoisses et ses fragiles espérances.
(source: ABBAS Ferhat, Autopsie d’une guerre…, op. cit., pp. 263-264 et 282-283)
Le camarade Hamou a tout à fait raison de citer le colonel Lotfi pour illustrer malheureusement ce qu’st devenue notre Algérie pour laquelle sont morts plus de un million et demi de combattants.
Que de malversations et de dilapidations de nos richesses dans notre pays!Des responsables mégalomanes dirigent notre jeune république à laquelle ils ont pourtant attribué le slogan » par le peuple et pour le peuple »!Quelle infamie,quelle perfidie que d’user de slogans aussi creux pour exploiter la voix du peuple avec beaucoup de rosserie au menu.
Ce procès qui a lieu en ce moment à Tizi Ouzou n’est malheureusement pas le premier ni le dernier.Il reflète parfaitement l’état d’esprit de ceux qui dirigent le pays. La dilapidation se fait en général à tous les niveaux et en tout lieu en Algérie par le biais de responsables élus ou nommés par l’administration.
La question qui se pose est de savoir si l’on doit juger tout le monde à commencer par le haut dans la sphère de l’État ou de continuer à agir selon les circonstances données ,en un temps et lieu donné.
Le pays est en pleine convulsions répétées et risque la déconfiture comme le rapporte Ferhat Abbas de la bouche du colonel Lotfi qui a choisi de mourir au combat, les armes à la main, que la main dans le sac dans une Algérie indépendante prise entre les mains de responsables malhonnêtes.
Ce proces n’est qu’une facette d’un iceberg pourri et corrompu jusque dans la moelle epiniere. Chers amis, Allh Yarhmane Achouda. Mais, je m’excuse, ces chouhadas ont fait leur devoir et leur epoque. Cette page est revolue tout en tenant compte de leur memoire inoubliable et respectueuse. Mais, une deuxieme revolution s’impose pour faire le cleaning de cette malaria, sans nom, sans vergogne. Tout simplement des bandits et des charognards, a tous les niveaux. Le peuple doit se reveiller, et combattre tous ces Draculas, servant le syteme de 1962. En realite, c’est plus pire que cela. C’est une maffia a l’italienne: un vrai cancer de ce pays.
Il nous faut beaucoup de courage, et il va y avoir du sang qui va couler encore. C’est inevitable. Tous les gens integres, qui ont decouvert leur pot aux roses,(comme Aissat Rabah, Allah Yarmouhe), ont ete elemines de facto. Il y en aura encore des Aissat. Le wali doit lancer a l’echelle de la Wilaya de Tizi-Ouzou, une campagne d’assainissement pour corruption et dilapidation des biens publics: APC, Gendarmerie, Police, institutions publiques, etc…Elles sont corrompues jusque dans les racines. Une simple question: Comment un employe ou responsable touchant un salaire de 30.000DA/mois, est devenu riche? Ils ont tous des affires en France et a l’etranger. Une enquete de grande envergure s’impose.
Tout ce dysfonctionnemeent de la societe, la misere, la clochardisation des villes, proviennent de ces gens: C’est la gangraine du pays.
Ceux qui nous dirigent se divisent en deux catégories:
- Les girafes au long cou qui voient tout de haut,toutes les richesses du pays et qui s’accapparent de tout ce qui a de la valeur.
- Les crocodiles, des rampants,des aplat ventristes qui rodent partout où il y a encore des restes à prendre.
Algerie sale impropre corrompue est le veritable visage de son president, gouvernement, apn et senat.
Ils sont tous des voleurs, corrompus et corrupteurs.
Nos cadres, enseignants et medecins souffrent et ils vivent dans la misere.
Des meres qui pleurent toujours leurs cheres disparus.
Les familles des tremblements de terre attendent toujours leurs appartements…
l’etat des plages est catastrophique,… saletés, des bouteilles en plastiques et sachets partout, les toilettes sont totalement impropres et meme hygiene des cafeterias sont un lieu de divers maladies …
pauvre algerie!
et meme les auto-routes mal achevées avec des troux qui menent au cimetiere,…
toutes les construits sont inachevées et des bidonvilles partout dans cette algerie si riche en petrole et gaz.
Ca fait tres mal de voir …
Mais c’est ca l’algerie sous les Bouhef
et les ouyahiane et belkhradem … apn+senat
l’assassinat du feu Aissat Rabah est due á son oeuvre le fameux livre sur le foncier … oú est la commission d’enquete sur son assassinat?
Au bon entendeur
… pour ajouter un « petit » detail sur l’etat et l’hygiene du pays,…
non seulement que toutes les constructions sont inachevées mais en rentrant dans n’importe quel quartier, les routes sont dans un etat incroyables, si ce n’est des dos d’anes il y’a pleins de trous cad les routes mal-construites et/ou inchevées et delaissées, … oú est le maire, la mairie et son budget?
Des bouteilles en plastique dans les rues, du plastique partout, les ordures, les chats, chiens et rats …
il faut voir l’etat de des dispensaires et les hopitaux, mon dieu c’est une catastrophe, l’on comprend pourquoi les medecins algeriens mal payés au monde parceque les dignitaires fuient les hopitaux de l’algerie pour se soigner et financer les hopitaux etrangers…
À chaque fin de mois et partout en algerie des queux immenses devant les dictributeurs automatiques des banques qui ne fonctionnent pas souvent… c’est le calvaire…
et pour s’octroyer un papier de la commune, mon dieu, on devient malade.
C’est ca l’algerie de 2010 sous la gouvernance des gens malades au pouvoir.
Ca fait tres mal de voir cette algerie si riche en petrole et gaz mais toujours arriérée dans tous les domaines.
Bouhef et ses freres se sont enfermés á El-mouradia et ne se soucient que de leurs maladies et business,…
son gouvernement (RND+FLN+MSP), ouyahiane qui s’occupe de ses buss du cous, belkhradem des affaires de famille, … etc
Le tout une apn et un senat de malades et affairistes taiwans
Ca fait tres mal de voir la decomposition et mauvaise gestion de ce pays dans tous les domaines.
Au bon entendeur.
un conseil pour les journalistes avant de rédiger un articleil faut bien se nettoyer les oreilles et surtt porter des lunettes car les peines donner pour les accusés ce n’est pas du tout comme sa qu’il a distribuer les peines, les nom et les prénoms son faux, et passant au verdicte final pour camoflé cette affaire il fallait bien avoir des accusé coupable malgrés leurs grade et leur fonction et leur situation l’essentiel qu’il vont etre condanés pour les faits que des gens trés haut placés en bénéficier et ont carrément detournés mais eux ils sont intouchables à vrais dire il y a pas de justice en algérie