Algérie-Politique

Narmotard pour « Algérie Politique »

“Santé en Algérie: Prédominance du secteur privé sur le publique.”  Pourquoi cette remise sur la table du stupide et diviseur conflit entre les secteurs d’activité de la médecine ? Aujourd’hui particulièrement, alors qu’il a été balayé avec le monopole du parti unique dit du FLN, après les sanglants évènements d’octobre 1988 ?

En réalité, le président du Conseil national de l’ordre des médecins n’est autre que le docteur Bekkat-Berkani Mohamed, (voir photo) qui est installé à titre privé à Bab-El-Oued, à Alger. Mais ce médecin qui, dites-vous, “qualifie d’anormale la prédominance du secteur privé, dans le domaine de la santé”, a-t-il une raison valable pour se permettre de scier la branche sur laquelle il est assis ?
Qu’est-ce qui peut bien justifier cette flagrante contradiction qui subodore la malhonnêteté intellectuelle, entre son discours en faveur du secteur public et son statut de praticien privé ?

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Le président du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), Mohamed Bekkat-Berkani, a qualifié vendredi à Alger d’ »anormale » la « prédominance » du secteur privé, dans le domaine sanitaire, sur le public en Algérie.  « Il y a une prédominance anormale du privé par rapport au public, qui devrait réaliser près de 80% de l’activité sanitaire », a estimé M. Bekkat-Berkani dans une déclaration à la presse en marge d’une réunion ordinaire du conseil. Pour lui, la part du secteur privé (cabinets, cliniques et autres) ne doit pas dépasser les 20%, rapporte l’APS.

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Nous apprenons d’une source sûre que le nouveau président de la LADDH,  (il sera élu vendredi, deuxième jour des travaux du troisième congrès de l’organisation), animera samedi 27 mars 2010 une conférence de presse à 11h00.  La rencontre avec la presse aura lieu au siège de la LADDH sis 05, rue Pierre Viala (Frères Alleg), Sidi M’hamed Alger – Algérie. El Mouhtarem

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Le centre de formation et de perfectionnement organisera le 28 mars 2010, de 9h à 12h, au local de la SARP sis au 27 rue de boulodrome Dely Ibrahim, une conférence-débat avec Mr S. Medhar sur «L’impact psychosocial du système social traditionnel en Algérie». L’entrée pour cette conférence est libre et ouverte à tous, gratuite et sans pré-inscription.
Par ailleurs, le CFP/SARP lance du 29 mars au 01 avril 2010 une session de formation sur la «Relaxation, techniques et applications». Les inscriptions sont encore ouvertes et se termineront le 28 mars 2010. Hassiba Cherabta.

Directrice du CFP/ Secrétaire Générale de la SARP.

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Par Vraie justice 

La justice aveugle de Béjaia ne cesse de sévir contre les pauvres gens. Les condamnations injustes sont le lot des citoyens au palais de justice de cette ville. Une réalité frappante est vécue tous les jours. Les “barons” de ce “palais” refusent systématiquement d’entendre les témoins à décharge d’un simple citoyen et acceptent des témoins, même “inventés” à charge en faveur d’un truand du pouvoir. On peut citer ici une multitude de cas concrets. Cette situation est aggravée par le silence complice (?) des avocats et des syndicats quand il s’agit de travailleurs attaqués ou licenciés à tort par un directeur. Si les juges et les procureurs tirent des privilèges en prenant toujours partie pour le plus fort, le silence des avocats est bizarre.

Pour aider à faire face à cette situation de déni de justice et de la hogra,  des citoyens de la wilaya de Béjaia, un collectif de soutien et défense des citoyens vient d’être crée. Avec ses moyens modestes, il se chargera de médiatiser chaque geste anormal des hommes et des femmes sensés rendre justice. Il contactera des avocats épris de justice pour aider, il dénoncera toutes les anomalies constatées et surtout nommément les véreux. Il sera aux cotés de toutes les victimes de cette injustice régnant à Béjaia.

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http://ffs1963.unblog.fr/2010/03/23/lahcene-seriak-fin-de-mission-pour-un-kabyle-de-service/

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Fédération internationale des journalistes (FIJ)

(Hôtel El Biar, Alger  du 22 au 23 mars 2010)

 Déclaration

Nous, journalistes de médias audiovisuels, de la presse écrite, responsables de médias publics et privés en Algérie, spécialistes en sciences de l’information et de la Communication, représentants des Syndicats de journalistes, réunis ces jours les 22 et 23 mars 2010 à l’hôtel El Biar à Alger, dans le cadre d’un séminaire « SUR L’ETHIQUE ET LA DEONTOLOGIE/AUTOREGULATION DE LA PRESSE EN ALGERIE» qu’a organisé  le Centre d’Alger de la Fédération internationale des journalistes:

Notons l’intérêt particulier accordé au thème très rarement soumis à débat public en Algérie,

Relevons l’absence d’instance indépendante de régulation des médias en Algérie,

Constatons les retards observés dans la mise en oeuvre du régime spécifique du journaliste  adopté par le gouvernement algérien en 2008,

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Le verdict de l’affaire de pêche et de transbordement illicites de thon rouge dans les eaux territoriales algériennes sera prononcé le 5 avril prochain. Le jugement de cette affaire a été mis en délibéré à l’issue des plaidoiries de la défense qui se sont poursuivies jusqu’à une heure tardive de la nuit. Des peines de 5 à 8 ans de prison avaient été auparavant requises  par le ministère public à l’encontre des 9 accusés, parmi lesquels le secrétaire général du  ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques, un cadre central au même département, et 7 co-accusés dont 5 personnes de nationalité turque.

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Meziane pour « Algérie Politique »

Nul doute que certains avocats ont un comportement pernicieux et une attitude véreuse envers leurs clients. Soyez conscients que la bataille sera longue et pleine d’embûches. Qui ne tente rien, n’a rien, car la justice est une institution très opaque. Et ces gens se protègent entre eux, mais tout de même, cela vaut la peine de dénoncer tout haut ces avocats malhonnêtes. Certains clients ne savent pas comment déposer une plainte à l’encontre de tels agissements.

En lisant quelques témoignages, il m’a paru utile de donner quelques conseils pour établir un cas. Si un Client pense ou se sent lésé par son propre avocat, ce qu’il faut faire est de constituer un dossier basé sur des faits et des preuves intangibles. Les paroles n’ont aucune valeur.

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