Je suis une fille d’un zaouali oua Fhal
Amseur pour « Algérie Politique »
J’aurai bien aimé avoir un père puissant, un parrain de l’UGTA qui, au lieu de défendre les travailleurs, défend sa famille, à l’exemple de ce cadre de l’UGTA qui a installé sa fille sans diplôme en qualité de sous directrice commerciale à Mobils. Elle était chef d’agence Mobilis de Sidi Yahia, ensuite elle est promue, bien sûr avec ses boys et sa cousine infographe, pour massacrer le réseau commercial de Mobilis.
Un seul indice: faire sortir la fiche de police de l’aéroport pour déceler le nombre de sorties avec les congés de la progéniture de ce grand syndicaliste, elle est en congé plus de la durée qu’elle a travaillé. Personne n’ose rien lui demander !
La différence : - Etre la fille d’un syndicaliste puissant et habiter à Club des pins c’est beau, bénéfique et magnifique. Etre la fille de ce DG, Azouaou Mehmel, qui a démissionné de son poste, c’est pas bon, stressant et dégoûtant en voyant le père angoissé sous pression. Mais l’acquis que le deuxième et un homme à principes dont le geste de démission n’est qu’une preuve de son intégrité et de son refus d’être gérer à distance en devenant un tapis qu’on empiète ou un escalier qu’on use pour monter. A l’inverse de la fille du premier personnage, la fille de ce monsieur DG démissionnaire doit sûrement sentir la noblesse du geste de son père et doit être fière de ses principes d’un homme libre. Au fond je préfère la bien être comme je suis une fille d’un zaouali oua Fhal.
zaouali ou fhel et pas markanti ou bghel