Cette photographie émouvante, montrant AÏT AHMED Hocine fixant dans les yeux la petite fille portée sur le bras du photographe, me laisse dire ceci: Sourire d’une enfance innocente, mais hélas, exposée à l’humanisme défaillant des régimes de certains Etats impérialistes ou autoritaires et arbitraires qui ont fait blanchir les cheveux des résistants sincères, plisser leurs front et visage, et exprimer un regard interrogateur sur l’avenir. Mais l’espoir est toujours de mise avec le président du FFS losqu’il conclu souvent par cette boutade amazygh: « Ayène thebghidh thighzifedh a yîdh, azzeka addili thafath », c’est à dire que le jour se lèvera quelle que soit la longueur de la nuit, ou encore, après la pluie, le beau temps!
Cette photographie émouvante, montrant AÏT AHMED Hocine fixant dans les yeux la petite fille portée sur le bras du photographe, me laisse dire ceci: Sourire d’une enfance innocente, mais hélas, exposée à l’humanisme défaillant des régimes de certains Etats impérialistes ou autoritaires et arbitraires qui ont fait blanchir les cheveux des résistants sincères, plisser leurs front et visage, et exprimer un regard interrogateur sur l’avenir. Mais l’espoir est toujours de mise avec le président du FFS losqu’il conclu souvent par cette boutade amazygh: « Ayène thebghidh thighzifedh a yîdh, azzeka addili thafath », c’est à dire que le jour se lèvera quelle que soit la longueur de la nuit, ou encore, après la pluie, le beau temps!