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Archive pour le 15 avril, 2010

Procès du Maire de Zerlada: il n’y a pas une explication à ce jugement très clément

maire.jpgMohand pour « Algérie Politique » 

Si le procureur a demandé 5 ans dans son réquisitoire contre le maire de Zeralda, c’est que les faits sont graves. Le tribunal l’acquitte en première instance, et enfin on le condamne à 2 ans avec sursis. C’est dire qu’il n’y a pas une explication ni une logique à ce jugement très clément, pourtant les faits sont passibles de beaucoup plus que ça, à moins de circonstances atténuantes exceptionnelles. Il y a aussi une autre hypothèse c’est une intervention du parquet ou de personnes occultes, façon justice de nuit.
Cette condamnation suppose aussi une décision du Wali représentant l’Etat pour le relever de ses fonctions d’élu. Sa tête me dit que c’est un parvenu, et qu’il fait partie, sans conviction, du clan qui dirige actuellement. Entre eux c’est comme des juifs fortunés, ils sont solidaires. Bientôt on le verra désigné à quelque poste pour le remercier d’avoir servi de relais.

Il me rappelle le Maire de Bordj el Bahri, un petit enseignant du primaire, devenu milliardaire grâce au poste de maire (FLN) de cette commune anciennement prestigieuse. Tout comme son prédécesseur aussi, qui est monté très vite jusqu’à devenir ministre. Ce qu’il a fait de cette belle région est à peine croyable. Des terres agricoles ont été saccagées et transformées en villas informes et innommables. Des apprentis promoteurs immobiliers se sont donné à coeur joie en transformant tout sur leur passage, à leur image.

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Les Etats occidentaux observent complaisamment l’omerta lorsque le pouvoir spolie le peuple algérien

bouteflikasarkozy203afp.jpgNarmotard pour « Algérie Politique »

Une fois de plus, Hocine AÏT AHMED  dénonce publiquement l’ampleur de la régression multiforme et multidimensionnelle dans laquelle sont traînés les citoyens algériens.
Cette régression est attendue. Elle s’amplifie avec le temps du pourrissement. Elle parait fatale dès lors que l’on sait que le système de pouvoir de la RADP a été mis en place, en 1962, par les combines obscures et malveillantes de l’armée de l’Etat-major, avec l’aide, à la fois, des DAF (Déserteurs de l’Armée Française), des civils avec Benbella, des services secrets avec Boussouf et leurs maîtres en la matière, les services secrets français, sous la bannière du président, le général de Gaulle, l’adversaire du président
Ferhat Abbas.
Leur but était surtout d’empêcher l’instauration, en Algérie, de la démocratie authentique ainsi que la souveraineté de la citoyenneté, telles que prônées par ce dernier.

En effet, ils ont violé les Accords d’Evian après avoir renversé le GPRA par un coup-d’État déguisé.
Il est donc évident, même si cela est bien camouflé, que ce système de pouvoir soit tributaire des Etats occidentaux, particulièrement. En effet, ces derniers observent complaisamment l’omerta, c’est-à-dire le silence complice, lorsque ce pouvoir spolie et continue de spolier le peuple de son droit sacré à la libre autodétermination. Il en est de même quand ce pouvoir fraude massivement et légalement, par le détournement des voix ou le bourrage des urnes, en violant les conditions de loyauté du suffrage universel et en étouffant dans le sang et le crime toute opposition politique crédible et légitime.

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CNAPEST: Pétition nationale

larbi1.jpgDepuis sept ans, le secteur de l’Education nationale est secoué par de longues grèves dont les conséquences sur la scolarité des élèves sont incalculables. Elles auraient pu être évitées si les autorités avaient accepté d’instaurer un dialogue sérieux pour prendre en charge les revendications des professeurs que tout le monde qualifie de légitimes.

 

Lors de la dernière grève les pouvoirs publics ont eu recours à un arsenal répressif sans précédent: ponctions sur salaires, menaces de radiation, institution de commissions sécuritaires…Arsenal que les Algériens auraient souhaité voir déployé pour combattre la grande délinquance et la corruption.
L’inconscience de certains responsables du ministère qui, au lieu d’oeuvrer à mettre en place un dispositif qui puisse garantir un enseignement de qualité, s’acharnent à qualifier les enseignants de preneurs d’otages et les accusent d’avoir recours à des procédés terroristes. Ceci, sans mesurer les conséquences désastreuses de ces déclarations stupides sur les valeurs qui fondent l’école républicaine.

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