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Archive pour le 16 avril, 2010

Karim Tabbou sur 2M lundi 19 avril 2010 à 23h00

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Le général Mohamed Atailia hospitalisé

atailia.jpgNous apprenons d’une source sûre que le général Mohamed Atailia est admis, depuis jeudi, à la clinique privée Chahrazad de Chéraga, Alger. Pour rappel, l’ex épouse du général qui réside à Paris a introduit une action en justice contre son ex-époux suite au retard accusé dans le versement de l’allocation alimentaire. Notons que l’ex général a été arrêté au mois de mars 2009 à Paris alors qu’il se promenait sur boulevards en compagnie de son épouse actuelle. Par ailleurs, dans le cadre de la même affaire, le général Atailia se présentera devant le tribunal le 9 septembre 2010.  El Mouhtarem 

Amirouche et Saïd Sadi, questions sur un livre: Pourquoi ce livre aujourd’hui ? Provocation ?

sadi.jpgDavid Lemac pour « Algérie Politique »

Pourquoi ne pas laisser aux historiens le soin de trouver le chemin de la vérité ? Qui a peur des Historiens les vrais ? Les hommes politiques ont toujours eu la tentation d’instrumentaliser l’Histoire à leur profit. L’opportunité du moment ? La polémique sur Amirouche est une source de conflits graves et dangereux en particulier en Kabylie. Qui cherche à allumer le feu ? Quel rapport entre Amirouche et la démocratie ? Son fils ? celui qui a sillonné la Kabylie avec son groupe armé ou le député RCD ? Qui veut installer Amirouche au centre de la Révolution algérienne ?  contre qui ? Ne sommes nous pas fatigués des manipulations de l’Histoire ? Pourquoi ne pas la « sacraliser » et la confier officiellement aux hommes de science ?

Pourquoi ne pas demander le témoignage de Hocine Zahouane, lui qui a été condamné à mort pour désertion par Amirouche et, aujourd’hui, retraité et pensionné en qualité de moudjahid, membre du bureau politique de BenBella.  Qui a le courage de tout déballer aujourd’hui ? Peut-être le ministre français des affaires étrangères KOUCHNER, lui qui attend  «qu’il est temps que la génération de Novembre passe la main» ? Saïd est-il sur la même ligne politique ? Que de questions dont les réponses sont si difficiles.

Le colonel Bencherif invite Aït Hamouda à consulter un psychiatre

bencherif457708780.jpgL’ancien colonel de la Gendarmerie nationale,  Ahmed Ben Cherif  a invité Nouredine Aït Hamouda, qui a accusé l’ancien président Houari Boumediene et Ben Cherif d’avoir participé à la mort du colonel Amirouche, à consulter un psychiatre et de cesser ses allégations et ses mensonges. Bencherif a affirmé que c’est Kasdi Merbah qui était à l’origine des tractations pour récupérer la dépouille d’Amirouche qui par la suite, a été transférée à Bab Djedid. A l’époque, tous pensaient que le cercueil contenait les archives de la révolution. Mais, Bendjedid a été averti dès que Ben Cherif a découvert la vérité.  Selon lui, c’est en ayant recours à la technologie que l’armée française a entrepris de monter une embuscade qui coûtera la vie le 29 mars 1959, aux colonels Si Amirouche et Si El Haouès, alors qu’Omar Idriss, blessé, a été achevé en dépit de la pression populaire, a raconté Bencherif à un quotidien algérien.

Les parents des victimes du Printemps noir: « Les Aârouch nous ont utilisés à fond ! »

parents.jpgSaïd Mokrab, 64 ans, père de Azzedine, assassiné le 28 avril 2001, dans le village Thaourir Amokrane, à Larbaâ nath Irathen, wilaya de Tizi Ouzou, est déterminé à relancer la justice. Atteint d’une balle au niveau de la gorge, le chauffeur de bus de 23 ans meurt sur le coup. Son père Saïd, qui n’a pu retenir ses larmes, pleure son fils comme s’il venait de l’enterrer. «Il me manque de plus en plus. Chaque mois d’avril, ma famille est en deuil, chacun de nous pleure en cachette. Si mon fils était un malfrat, qu’on le juge et qu’on le condamne, je lui mettrais moi-même des barreaux sur sa tombe. A-t-il mérité de mourir de la sorte ?»

La perte cruelle de son fils n’est pas l’unique source de sa souffrance. Pour Saïd, certains ont profité de cette situation d’amalgame pour instrumentaliser les victimes. «J’en veux à ceux qui se sont servis des parents des victimes. Les Aârouch nous ont utilisés à fond ! », dénonce-t-il vigoureusement, avant de continuer :«Pour légitimer leur mouvement, ils ont profité de la détresse des parents de victimes. Combien de fois ai-je participé aux conclaves des Aârouch ? Combien de fois m’ont-ils promis de combattre pour la vérité et la justice ? Aujourd’hui, je suis abandonné, et je ne suis pas le seul à l’être», déplore-t-il. Même son de cloche chez Abdennour Sidhoum, père de Karim, mort à l’âge de 17 ans à Akbou (Béjaïa).

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En Algérie, la présence à éclipses de M. Bouteflika

boutef.jpgIsabelle Mandraud, Le Monde du 16 avril 2010 

Mais où est donc passé Abselaziz Bouteflika ? Le chef de l’Etat algérien a disparu de la scène internationale. Ou plutôt, il apparaît par éclipses, et jamais où on l’attend.

Absent, les 12 et 13 avril, du sommet de Washington sur la sécurité nucléaire dans le monde, où l’Algérie était invitée, il accueille au même moment, à Alger, son homologue vietnamien, Nguyen Minh Triet, venu, le temps d’une visite de trois jours, consolider les relations bilatérales et développer les partenariats économiques. Depuis des mois, délaissant les longs discours qu’il affectionne, M. Bouteflika ne s’est plus adressé aux Algériens. Et, depuis le 30 décembre 2009, il n’a plus présidé un seul conseil des ministres.

Cet effacement étonne. « An I du troisième mandat. A l’état stationnaire », titrait, le 8 avril, le journal francophone El Watan, à la veille de la date anniversaire de sa réélection en 2009, dix ans après son arrivée au pouvoir. « Le chef de l’Etat, qui s’est « offert » tous les pouvoirs à la faveur de la révision de la Constitution, se fait de plus en plus rare, relevait le quotidien. Lui qui aime tant occuper le devant de la scène politico-médiatique a brillé par son absence. »

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Arezki Abboute représentant de Zehouane à Tizi-Ouzou !

abbout.jpgHocine Zehouane, ancien président de la LADDH, a porcédé récemment à la nomination de Arezki Abboute au poste de coordinateur de la Maison des Droits de l’Homme et du Citoyen de Tizi-Ouzou. Ancien détenu d’avril 1980, Arezki Abbout s’est retiré de la scène politique avant de réapparaître en 2003 lors de la création de l’Union pour la démocratie et la République (UDR) de l’ancien ministre de la Santé, Amara Benyounes. Arezki Abboute a occupé le poste de secrétaire national à l’Organisation de la formation de Benyounes. Lors des élections législatives de 2007, Arezki Abboute a conduit la liste de l’Alliance nationale républicaine (ANR) de l’ancien chef de gouvernement,  Reda Malek, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. El Mouhtarem

Le CNAPEST de Tizi-Ouzou salue la mobilisation des PEST

cnapest.jpgLe Bureau de wilaya du CNAPEST de Tizi-Ouzou salue l’extraordinaire mobilisation des PEST qui  ont  répondu massivement à l’appel du conseil de wilaya de Tizi-Ouzou. Le sit-in du 14 avril 2010,  démontre une fois de plus:
- L’attachement indéfectible des PEST à leur structure syndicale, leur détermination inébranlable à poursuivre la lutte pour leur dignité et leur droit à l’exercice syndical. Par ailleurs, le bureau de wilaya, dénonce énergiquement les tentatives d’intimidation, les pressions, le mensonge et l’intox orchestrés par la Direction de l’Education de Tizi-Ouzou et relayés par ses larbins; condamne le recours de la tutelle à l’instruction orale au détriment de la communication administrative réglementaire; réaffirme son engagement à mener à terme tous les combats des PEST  tel que préconisé par le Conseil de Wilaya.  Continuons à rester mobilisés, vigilants et solidaires autour du CNAPEST.
Le coordinateur par intérim

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