- Accueil
- > Archives pour le Samedi 17 avril 2010
Archive pour le 17 avril, 2010
BOGHNI: H. Ali libéré hier soir
H. Ali, un entrepreneur âgé de 83 ans, enlevé par un groupe armé, a été libéré vendredi à 23h00 après 26 jours de mobilisation. Les ravisseurs avaient demandé à son fils d’aller récupérer son père à Mechtras, une commune limitrophe de Boghni d’où H. Ali a été kidnnapé le 22 mars écoulé. Il est à rappeler que depuis l’enlèvement de H. Ali les habitants de Béni Koufi, auxquels se sont ensuite joints ceux de toute la commune de Boghni, ont mené plusieurs actions (rassemblements, marches…) pour obtenir sa libération sans conditions (les ravisseurs avaient exigé 2 milliards de centimes de sa famille). Synthèse d’El Mouhtarem
Familles de disparus:Rassemblement pour le droit à la vérité et à la justice
Place de la Grande Poste d’Alger- Samedi 17 avril 2010 à 9h30
Les déclarations du Président de la CNCPPDH, formulées dans cadre du forum El Moudjahid du 18 mars 2010, ont provoqué une grande colère chez les familles de disparus, ce qui a poussé le CFDA et SOS disparus à réagir fortement.
Plusieurs rassemblements de protestation ont été organisés ces dernières semaines devant la CNCPPDH, devant la maison de la presse et devant le ministère de la Justice. Ces rassemblements, qui ont réuni de nombreux proches de disparus, ont eu un certain écho médiatique. En revanche, M. Ksentini fait la sourde oreille, persuadé, en dépit du bon sens, que les familles ont cessé de réclamer le droit à la vérité et à la justice.
Mobilis: la démission du DG acceptée
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (PTIC), Hamid Bessalah, a reconnu, jeudi, lors de l’inauguration du 19e Salon international de l’informatique, de la bureautique et de la communication (SICOM-2010), que l’actuel P-DG Azouaou Mehmel a déposé sa demande de démission. Le ministre a également révélé que le conseil d’administration a accepté la demande. « Le président par intérim de Mobilis a déposé sa demande de démission et nous l’avons acceptée.
Le colonel Bencherif se cache derrière les morts
Mohand pour « Algérie Politique »
Après Boumédiene, le colonel Bencherif cite maintenant Kasdi Merbah, toujours à se cacher derrière les morts. La question est donc vraie, mais pour embrouiller encore plus l’affaire et se dérober il préfère citer Kasdi Merbah qui n’est pas vivant de peur de s’expliquer devant la famille Boumédiene qui a réagi. Ils ont le sens de l’honneur et de la responsabilité certains de nos dirigeants et nos aînés ! Et dire que ces hommes ont géré le pays pendant de longues années et on était en quelque sorte sous leurs ordres. Ils ont trahi leurs frères, ceux qui étaient dans les maquis, ils ont fourvoyé les plus jeunes pendant la construction de l’Etat durant les premières années de l’indépendance et maintenant ils se cachent, chacun à sa façon, pour ne rien dire de ce qu’ils ont fait ou accepté que cela se fasse.
L’algèbre biométrique selon le Professeur Zerhouni !
Khoukoum Samy pour « Algérie Politique »
Jamais, du moins depuis la «République» de Platon en passant par les écrits d’Ibn Khaldoun puis Hegel, une corporation à la tête d’un Etat n’a pu défier toutes les conceptions et théories sur ce que pourrait représenter «l’Etat» aux yeux d’un simple citoyen voir même d’un être vivant saint d’esprit. Jamais une poignée d’hommes aussi influente soit-elle, n’a réussi à faire du pouvoir de l’Etat un horrible instrument au service d’intérêts tantôt particuliers tantôt au service d’intérêts obscures. De l’infantilisation du peuple en le privant structurellement de ses libertés fondamentales, au viol permanent des consciences par des discours mêlés de propagandes et de mensonges depuis près d’un demi siècle, les «octo-dignitaires» du régime (octogénaires mais ‘‘dignement’’ infâmes !), dont Mr Zerhouni en est le super «archétype», rares sont les moments où une société n’a éprouvé autant de sidération et d’indignation face aux pratiques administratives qui relèvent sans cesse d’un autre âge !
Mourad Benachenhou: « Mon article sur le colonel Amirouche est destiné à rappeler des faits historiques »
Mourad Benachenhou pour « Algérie Politique »
Je suis un ancien Moudjahid qui a fait ses armes en wilaya 5 zone 2 et j’ai repris mes études supérieures après l’Indépendance c’est-à-dire après le 5 juillet 1962. De plus je suis sorti du gouvernement en 1996 et, depuis, actuellement je n’ai aucun position officielle de quelque nature que ce soit. Mon article sur le colonel Amirouche est destiné à rappeler des faits historiques et ne vise nullement à remettre en cause l’héroïsme ou le patriotisme de Amirouche connu dans la région de Tlemcen depuis 1950 car, horloger à Relizane, il a été arrêté par la police française et jugé devant la tribunal militaire d’Oran et emprisonné à Oran pour atteinte à la sûreté de l’Etat, en même temps que des militants du PPA-MTLD de l’Oranie.
Ce que je relate constitue une information de première main, y compris le nombre approximatif des exécutions. On peut glorifier Amirouche sans diffamer de manière grossière et mensongère des hommes avec lesquels beaucoup dont moi-même ont milité au risque de leur vie pour l’Iindépendance de l’Algérie; et on peut critiquer mes affirmations sans m’attaquer personnellement, réécrire ma biographie et m’inventer un parcours et des amitiés que je n’ai pas et que je n’ai pas eu, et des relations que je n’ai pas, et me traiter de tous les noms.