Liste des membres du nouveau bureau politique du FLN
Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a révélé hier la liste des nouveaux membres du bureau politique du parti. Il s’agit de Abdelaziz Ziari, président de l’Apn, Amar Tou, ministre des Transports, Alioui Mohamed, président de l’Union nationale des payasans algérien et député, Tayeb Louh, ministre du Travail, Rachid Harraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur, Zahali Abdelkader, Layachi Daadouaa, député, Abderrahmane Belayat, ancien ministre, Madani Bradaï, député, Kassa Aïssa, Bahloul Habiba, Leïla Tayeb, ancien ministre de l’Education à l’époque de Chadli, Filali Mokhtar, Abdelhamid Si Affif, député (Mostaganem), et Mechebek Abdelkader, député (Tissemsilt). El Mouhtarem
Les Abdelaziz décident de reconduire dans leur nouveau Bureau politique du parti dit du FLN, les mêmes « khoubzistes » dont Belayat, le spécialiste des « coups d’Etat scientifiques », lesquels ont conduit tout naturellement à la « tragédie nationale ».
Et la musique continue… Mais où va donc l’Algérie, enserrée, encore et toujours, entre les griffes et les bras corrupteurs des multinationales qui manipulent aisément les corruptibles autochtones, réduits à de vulgaires tubes digestifs non productifs, aux dépens des richesses nationales Algériennes ? Mais réveillez-vous enfin citoyens, pour secouer et jeter le joug qui n’est pas une fatalité !
Salutations
Voila une liste qui ‘on dit long sur la stabilité des Gens du Mangeoire tel que les ministre de Chadli mai aussi sur les Organisation qui ‘oh n ‘on font jamais de la politique tel que l’union des paysans algérien l’organisation des Ayant droits des Moudjahidines et autres ….et tous ce que gravitent autour du mangeoire
Matoub Disait «
» Ighoulal GHarassen amkarane may fouk wa lim dhi lkouri «
Le clan d’oujda s’empare du FLN!! Bravo!
Le FLN menace! il « n’accéptera jamais qu’on touche à l’unité nationale »!
Il a raison! l’Angérie aux algirienne! Attentiou! pas touchi!. Tahia El Djazair.
vous donnez trop d’importance à ce ramassis de parvenus !
Mais c grave c la routine toujours c les mêmes tètes c une conspiration vraiment laisser les licencier en politique en économie laisser les jeunes jeter les pep-aires c bon ils ont roulés leur bosses klou bezaf la richesse des citoyens a Hechmou chwia wlah vraiment Hommage a L’algerie a touts les citoyens car avec eux l’avenire sera leurs augmentations de leurs pensions Merci
Le clan d’Oujda s’empare du FLN!! Bravo.
Aussitôt il menace par l’intermédiaire de l’ « iranien » tous ce qui porteront atteinte à l’unité nationale. Eh oui il a raison le » SOUDANAIS » ( voir sa tenue vestimentaire: Lui au moins il est fidéle aux déclarations de 1991).
L’Angirie aux angérienne! attentiou, il faut touchi! TAHIA EL DJAZAIR.
On quoi la composition du bureau du FLN interesserait encore le peuple algérien.Depuis 48 ans qu’il est au pouvoir a-t-il réglé ou soulagé le quotidien des populations ? Bien au contraire, il a enfoncé chaque jour qui passe, la malvie dans le coeur des modestes ménages.
Une véritable association de dilapideurs des deniers de l’Etat algérien. Passés maitres de la corruption, ce groupe au commande des affaires publiques n’a fait que semer l’enseignement de cette pratique devenue une véritable culture à tous les niveaux de responsabilité de l’administration algérienne.Ce pseudo parti politique est à l’origine de l’apparition en Algérie d’une ploutocratie gloutonne qui arrange toutes ses lois par voie d’ordonnance pour asseoir un pouvoir politico-financier incluant pour elle une perduration et une continuation dans son processus de dilapidation dans la plus totale impunité.Un véritéble sérail qui a placé en permanence dans les différents rouages de l’Etat, des sbires qui lui servent de levier d’action et d’interventions sournoises dans toutes les dépenses publiques.Il est évident que des rabatteurs puisés dans ce sérail que l’on retrouve au niveau des instituions subalternes de l’état,telles que les APC,APW , Wilaya , Daira et associations affiliées, servent de relais importants dans des acquisitions frauduleuses de biens.
Ce n’est pas par un simple hasard que le FLN aujourd’hui peut se permettre de payer des permanents à coup de millions pendant que d’autres partis politiques sont réduits à leur simple expression faute de moyens financiers.Il faut aussi dire que l’usage du sigle FLN,qui devait normalement disparaitre au lendemain de l’indépendance du pays, continue de servir à tromper les algériens.
Messieurs du FLN, mettez ce sigle appartenant à tous les algériens au musée, vous disparaitrez à tout jamais du paysage politique algérien!
Voici la liste des vrais boss dans l’ombre de ce Festi Lill wa Nhar …
Benyoucef Mellouk vous répond
Permettez-moi tout d’abord de remercier tous les internautes pour leur soutien et de m’excuser pour le retard mis à répondre aux (trop nombreuses) questions.
Bien des lecteurs du Matindz m’ont adressé des questions d’ordre politique ou ayant trait à des considérations politiques. Je tiens à préciser que je ne suis pas un homme politique ; je ne fait pas partie d’un parti politique, ni d’un clan quelconque, que ce soit du systeme ou autre. Je suis désolé de ne pouvoir donner suite à leurs interrogations.
Les lecteurs : Comment a éclaté le scandale ? (Question de Abu Ramdane, Bouzouidja, Amnas, Belminour, Quoas, Vringlin, Mouna, Kamel)
Benyoucef Mellouk : En 1975 j’ai été » chargé d’une mission dans le cadre de mes attributions en tant que chef de service des affaires sociales et du contentieux au Ministère de la Justice, des dossiers pour vérification des membres de l’A.L.N et O.C.FLN conformément à la réglementation en vigueur des Moudjahidine (suivant les Circulaires de feu le Président Houari BOUMEDIENE et l’ex Président CHADLI Bendjedid). J’ai été aussi chargé des plaintes et enquêtes concernant le personnel judiciaire
En appliquant les instructions de mes supérieurs hiérarchique et en épluchant les dossiers des magistrats et du personnel judiciaire j’ai trouvé des anomalies concernant leur carrière et celle de la période de la révolution (député ,caïd ,militaire engagé ,membre du salut publique ,et promotion Lacoste ,et fonctionnaire de la periode coloniale,et ceux qui étaient dans l’administration marocaine et à l’étranger) ,c’est une véritable gangréne ;concernant des hauts cadres de la centrale du ministère de la justice et des juridictions .
Après avoir avisé par des rapports officiellement tous les ministres qui se sont succéder au M.J ainsi que les chefs d’Etat et ceci jusqu’en 1992, j’ai mesure l’ampleur de la gravité ,de la trahison envers nos martyrs et aussi le crime économique causé à l’Etat .pour cela j’ai décidé de dénoncer ces intouchables magistrats (qui ont des liens de parenté et d’alliance et clans d’intérêts dans le pouvoir) .
Suite à ça j’ai pris attache avec le défunt directeur du journal « L’HEBDO-LIBERE » Mr Mahmoudi Aderahmane qui s’est engagé – avec courage – de publier les listes avec les noms et documents ( photographiés) preuve à l’appuie (voir publication de ce journal N°: 43,47,52,53,et 55 du 22 janvier au 21 avril 1992
(voir aussi le journal » LE QUOTIDIEN D’ALGERIE « ) directeur feu kamel Belkacem
L’affaire a été reprise par la presse indépendante suite aux interview qui m’ont été faites dans El Watan -Liberte – Le Matin – El Khabar – Le Soir d’Algérie – Le Jour – Les Debats .
Les lecteurs : Qu’avez-vous subi ? (Question de Blad El-Khir, Akavache, Yacine, Azrou, Tarelhmam, Hana, Souhil, Latigny, Yousef)
Benyoucef Mellouk : Je suis harcelé par l’appareil politico-judiciaire depuis 18 ans. Face à la justice depuis 1992 à ce jour. J’ai connu quatre arrestations (1992;1997;1999;2008), deux fois la prison (El Harrach et Serkadji )
La première condamnation à 3 ans de prison avec sursis (pour divulgation de « secret » )
La deuxième condamnation à 4 mois de prison ferme (diffamation )
La cavale continue après 18 ans
De plus le syndicat des magistrats au temps de Berim et Louh qui ont déposer plainte à notre encontre
Les lecteurs : Pourquoi ne publiez-vous pas la liste des faussaires ? (Question d’Ahmed, Benyacoub, Idir, Zinou, Yamina, Federico, Clara, Aicha, Boufira)
Benyoucef Mellouk : Les listes ont été publiées avec les documents photographiés (référez-vous aux archives de l’Hebdo-libéré de janvier à avril 1992)
Consulter les numéros 43,47,52,53,et 55 du 22 janvier au 21 avril 1992
En outre, certains noms des magistrats et ministres impliqués directement dans cette affaire ont été cités par ces journaux comme Mohamedi Mohamed salah – ex ministre de l’Intérieur, Kharroubi Abdarahim -magistrat à la Cour suprême, Djeraba Mohamed -ex ministre des Moudjahidine
Les lecteurs : Est-ce que vous croyez à la réhabilitation de l’Algérie malgré tous ces scandales ? (Question de Amazigh, Algérienne, Ahmed Bouras, Kiloum, Saretilou, Fertioua)
Benyoucef Mellouk : Je ne crois pas avec ce système de l’injustice de la hogra et de la corruption
Les lecteurs : Regrettez-vous votre geste ? (Question de Rachedi, Massikani, Mouna, Benyoucef Mellouk : Ahmed, Mokrane, Afertou, Nait Kaci, Loumi)
Je ne regrette pas c’est un devoir et un honneur
Je n’ai fait que mon devoir de vérité dans cette affaire et je ne regrette rien.
C’est une injustice flagante et un acharnement a mon encontre de la maffia POLITICO-JUDICIAIRE et leurs support
Les lecteurs : Etes-vous décidé à aller jusqu’au bout ? (Question de Chidra, Souissi, Arezki, Ghanima, Chouf, Rabah, Sihem
Benyoucef Mellouk : Ma mission est accomplie vis a vis de ma conscience.
Les lecteurs : Que pensez vous de la réaction de la société civile à propos de cette affaire de faussaires qui la concerne pourtant ? (Question de Chid, Nec Vergitur, Benkou, Alaerzni, Derbiter, Houmir, Cherbit)
Benyoucef Mellouk : Cette affaire est très grave et inadmissible venant d’hommes de loi qui sont censé rendre justice au nom du peuple algérien – la société civile doit se manifester pour la vérité dans ce dossier
Les lecteurs : Avez-vous sous-estimé vos adversaires ? (Question de Mokrane, Sophia, Anbi, Gueloumi, Hadid, Shehrazade)
Benyoucef Mellouk : Non, je n’ai jamais sous-estimé mes adversaires. J’ai toujours déclaré qu’ils étaient puissants et cruels. Mais ils n’ont pas pu me dissuader de faire mon devoir.
Les lecteurs : Etes – vous optimiste pour la suite ? (Question de Sawles, Tach, Belkheir, Oubeida, Nar el Feck, Guelmi, Chounir)
Benyoucef Mellouk : Non, je dois avouer que je ne suis pas optimiste quand on se rappelle qui sont ces gens qui sont au pouvoir. Je ne leur fais aucune confiance.
http://www.lematindz.net/news/3070-benyoucef-mellouk-vous-repond.html
Faqou.
Tendrement votre
Petit a petit, l’iceberg de la hogra et de mensondes, bati par le FLN de 1962, commence a s’effriter, a devoiler le FLN souterrain et profond avec toutes ses facettes de manigances, et d’usurpation du pays. C’est une nebuleuse mafieuse, arrogante, et sans scrupule. Elle n’a aucune bonne intention pour le peuple algerien. En soi, c’est une maffia installee, et enrobee des Institutions nationales pour faire bonne figure et donner une bonne image et une legitimite sur le plan international. Le peuple algerien s’est retrouve dans une souriciere, machiaveliquement bien orchestree par cette bande d’Oudja.
Le moment est venu, chers compatriotes, de secouer cette caste eternelle de la hogra, et du faire le nettoyage de notre nation, sinon……l’etau va se resserer de plus en plus. Et on ne va plus manger de ce pain pourri. L’Algerie est fiere, et n’a pas besoin d’une caste de voyous. Le peuple est de s’en droit de reconquerir sa souverainete, sa liberte et son independance. La Fance est partie. Une autre France s’est installee a jamais !!
Extrait de Shashnaq: Le Résultat de l’Algérie d’Aujourd’hui n’est pas un hasard, ni un destin !….
Ceux par qui notre malheur arriva : Le colonel Boumediène et le groupe d’Oujda C’est ce noyau d’Algériens nés au Maroc, qui compte à son actif deux putschs, qui a permis à Boumediène de parvenir à ce destin de chef d’Etat de l’Algérie indépendante. Houari Boumediène était chef de la Wilaya 5 et installa son QG dans la ville marocaine frontalière avec l’ouest du pays, Oujda. Tout comme Boussouf pour le MALG, Boumediène recruta des alliés parmi ces Algériens du Maroc pour l’état-major général de l’ALN. Le premier s’en servit pour porter le premier coup de l’armée contre les politiques en assassinant Abane Ramdane, et le second y trouva un appui pour porter le deuxième coup de force de l’armée contre le FLN en s’attaquant au Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA). Le groupe d’Oujda est entré de la sorte par effraction dans l’histoire de l’Algérie et il signera, avec Boumediène à sa tête, l’acte de naissance du régime algérien. Ces Algériens du Maroc nommés Wasti: Les membres du groupe ou clan d’Oujda sont désignés comme ceux qui sont nés ou ayant vécu au Maroc avant 1962. Les « wasti », en référence à la position géographique de l’Algérie au centre du Maghreb, ou encore « deuxième francis, français de seconde catégorie », comme aimaient à les qualifier les Marocains, sont des Algériens qui sont nés au Maroc avant le déclenchement de la guerre de libération. Après la soumission de l’Emir Abdelkader en 1848, puis la défaite des soulèvements des Ouled Sidi Echeikh puis de Bouamama, une communauté algérienne s’est installée dans le pays voisin de l’Ouest. Une autre communauté enrôlée quant à elle dans l’armée française pour imposer le protectorat au Maroc y a aussi trouvé asile. Une troisième migration d’Algériens a quant à elle rejoint le Maroc, après 1954 par fuite des représailles de l’armée française. Le clan d’Oujda s’est bâti toutefois sur la première communauté d’Algériens au Maroc, qui était une communauté de petite bourgeoisie francophone composée soit de propriétaires terriens ou d’auxiliaires de l’administration marocaine. Cette dernière communauté trouva sa place dans les rangs de l’armée, de la sécurité militaire et du FLN. Le colonel Bencherif estime le nombre d’Algériens rentrés du Maroc en 1962 à pas moins de 10000 hommes. Le travail commencé par le MALG de Boussouf au milieu des années 1950 a connu une suite avec Boumediène qui introduisit la logique des clans pour accéder au pouvoir. Entouré d’Ahmed Medeghri, Kaid Ahmed, Cherif Belkacem, Abedlaziz Bouteflika, Boumediène créa le groupe d’Oujda. Les « malgaches » de Boussouf se fondèrent dans ce qui est devenu plus tard le clan d’Oujda. Le régionalisme s’est érigé en règle d’appartenance à ce clan. « Mohamed Boukharouba s’affubla d’un nom de guerre qu’il emprunta au saint légendaire Boumediène, très connu dans l’Oranie, et du prénom de Houari, très répandu dans cette même région… dans le régionalisme qui sévissait dans l’armée des frontières, être à la fois, saint et oranais, c’était avoir toutes les chances avec soi »(1). Le groupe d’Oujda, sous les commandes de Boumediène et toute l’armée des frontières, attendait la fin de la guerre de libération qui avait éprouvé les moudjahidines de l’intérieur du pays dans la lutte contre l’armée coloniale pour pouvoir entrer en jeu. Laissant les politiques se charger des négociations d’Evian, et après la sortie des cinq historiques de prison, l’état-major général sous Boumediène trouve le moment propice pour actionner le coup d’Etat contre le GPRA. Pour donner du poids à ce coup de force, il fallait une couverture politique via un des historiques. Seul Ben Bella, animé aussi par l’amour du pouvoir, accepta l’offre de l’EMG. En légalistes, Aït Ahmed et Boudiaf refusèrent de cautionner le putsch. « L’armée de Boumediène avait un double atout considérable : sa force et son unité favorisées par un long travail d’endoctrinement. Mais elle n’avait que peu de répondants dans la société algérienne et son leadership était rejeté par plusieurs wilayas. Il fallait à Boumediène de bien faire jouer le prestige de Ben Bella pour s’implanter politiquement « (2). Afin de donner du crédit aux putschistes, un autre groupe baptisé “groupe de Tlemcen”, en opposition au groupe de Tizi Ouzou qui était sous la coupe de Krim Belkacem, fut créé et mit au point la naissance du Bureau politique, un instrument politique pour le dénigrement du GPRA. Le groupe de Tlemcen regroupant Ben Bella, Khider, Mohammedi, Ferhat Abbas, Ahmed Boumendjel et Ahmed Francis a formé un duo avec le groupe d’Oujda pour mettre au pas les commandements des wilayas historiques notamment la III et la IV. Ben Bella était tout désigné pour devenir le premier président de l’Algérie indépendante sous la bénédiction de l’EMG de l’ALN qui marcha sur Alger pour accéder au « trône ». La Zone autonome d’Alger sous Yacef Saâdi ouvrit grandes les portes de la capitale à la coalition Boumediène-Ben Bella au prix de plusieurs morts du fait d’affrontements avec les troupes de la Wilaya IV qui étaient ralliées au GPRA. Le cri « sept ans ça suffit » des populations a fini par mettre fin aux hostilités. L’armée des frontières réussit son coup et pénétra d’un pied ferme dans ce qui est devenu le pouvoir algérien, sur des centaines de cadavres. Dans la nuit du 28 au 29 septembre, Ben Bella, candidat unique, fut élu par l’Assemblée, chef d’un gouvernement de 19 portefeuilles. Boumediène qui s’adjugea l’important poste de ministre de la Défense, proposa 4 postes : deux pour ses compagnons de l’armée des frontières d’Oujda, à savoir Bouteflika et Medeghri et deux autres pour l’armée des frontières de l’Est, à savoir Moussa Hassani et le docteur Nekkache. Le putsch servit l’armée qui, depuis l’indépendance, a joué la carte de l’unité face aux divisions politiques. « Le clan d’Oujda s’était ouvert au recrutement intensif de « soldats » venus des rangs de l’ALN, tout comme les « marsiens » de tout bord avaient pris d’assaut les administrations, étaient avant tous des éléments opportunistes sans aucune conviction politique ou idéologique. Ils étaient recrutés non pas pour faire la guerre mais pour construire le nouvel Etat « (3). Avec les recrues du MALG de Boussouf devenu Sécurité militaire, et à leur tête Kasdi Merbah, et les tacticiens politiques de son groupe d’Oujda, Boumediène n’avait plus qu’à laisser mijoter son accession à la tête de l’Etat. La fin d’une collégialité Dans le deuxième gouvernement de Ben Bella, Cherif Belkacem et Kaïd Ahmed sont nommés ministres et Boumediène fut nommé 1er vice-président de la République. En sus de leurs responsabilités gouvernementales, respectivement la Défense nationale, l’Intérieur et les Affaires étrangères, Boumediène, Medeghri et Bouteflika firent leur entrée au Bureau politique. A l’heure où Kaïd Ahmed et Cherif Belkacem étaient désignés respectivement, ministres du Tourisme et de l’Orientation nationale et membres du Comité central. Sentant son pouvoir personnel menacé par les ambitions grandissantes du clan d’Oujda, Ben Bella œuvra à la mise à l’écart de ses anciens compagnons de la course au pouvoir. « Président de la République, chef du gouvernement, secrétaire général du FLN, il s’attribue les portefeuilles de l’Intérieur, des Finances, de l’Information ». Après Kaïd Ahmed, Medeghri, puis Belkacem Chérif, le tour du ministre des Affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika, arriva pour se voir retirer son poste. Le groupe d’Oujda se réfère à son chef, Houari Boumediène afin de mettre un terme aux attaques de Ben Bella. Le coup d’Etat du 19 Juin 1965 a été la réponse de celui qui devint le deuxième président de l’Algérie. Mais la logique du clan ne durera pas face à la logique de l’intérêt personnel. La fin de l’union du groupe d’Oujda sous Boumediène ne tardera pas à se manifester. En pleine campagne des nationalisations, le divorce de Boumediène d’avec ses anciens compagnons d’Oujda ne tarde pas à être prononcé. « Les raisons ne manquaient pas : choc des caractères, rivalités incontrôlables, apparition de nouveaux cadres politiques, radicalisation des réformes, domination écrasante de Boumediène et bien d’autres encore ont fini par entamer le pacte de fer qui liait les membres du groupe d’Oujda »(4). L’histoire n’a pas encore tout dit sur cette dislocation du groupe d’Oujda, mais des supputations sont émises. La révolution agraire avait entamé la relation privilégiée des membres du groupe d’Oujda avec leur mentor. « Pour l’opinion publique algérienne, ni Bouteflika, ni Cherif Belkacem, ni Medeghri ne faisaient figure de socialistes. Boumediène, porté par le consensus populaire et voulant suivre le processus de la mise en application de la révolution agraire, a rogné les prérogatives du ministre de l’Intérieur Medeghri. Sur le conflit du Sahara occidental, il semblerait que la solution de Bouteflika ne procédait pas de la même démarche de Boumediène. Quant à Cherif Belkacem, on ne sait pas si sa disgrâce lui est venue de sa santé fragile ou bien de la soi-disant publication par sa femme étrangère d’un livre intitulé « Les folles nuits d’Alger » dans lequel plusieurs personnalités auraient été mises en cause. Toutefois, ce qui est certain est que cette affaire du livre dont tout le monde parlait mais que personne ne pouvait exhiber relevait de l’intox à l’encontre d’un homme qu’on voulait éloigner du pouvoir », note Abdelkader Yafsah. Pour sa part, Khalfa Mameri confirme la désapprobation par les membres du clan d’Oujda de la révolution agraire et évoque la crise de l’été 1974. Kaïd Ahmed, propriétaire terrien et de Haras, a été le premier à être éliminé par Boumediène en 1972 en lui ôtant son poste de ministre. « Trois faits sont bien établis. Un grave incident entre Medeghri ministre de l’Intérieur et Mahroug ministre des Finances. Celui-ci cherche sur ordre de Boumediène à rapatrier les reliquats de crédit que les ambassades viraient habituellement sur un compte bancaire suisse. S’est-il senti personnellement visé ou non, Bouteflika aura plus tard quelques démêlées avec la Cour des comptes. Medeghri qui semble faire équipe avec Bouteflika pour éliminer Cherif Belkacem s’en mêle. Il convoque manu militari Mahroug, et l’aurait menacé d’un pistolet et d’un dossier intime compromettant « (4). Le deuxième fait cité oppose Medeghri au ministre de la Culture, Taleb El Ibrahimi un reportage télévisé sur une villa somptueuse qui appartiendrait à la mère de Medeghri. A-t-on voulu salir ce dernier, le discréditer, le déstabiliser au moment où le populisme battait son plein en Algérie ? Une chose est sûre : le journaliste est tabassé et Taleb couvert de mots peu aimables ». Le troisième fait concerne la réunion de deux membres du clan d’Oujda à Annaba « ces deux membres séjournent à Annaba avec Draïa, directeur général de la Sûreté nationale. Qu’avaient-ils à y faire ? Quel était le rôle du chef de la Sûreté nationale ? Etait-il informateur de Boumediène ou jouait-il pour son compte ? De ces questionnements sont parties des supputations sur une tentative de déstabilisation de Boumediène ». Le « suicide » de Medeghri en 1974 signera la fin du groupe d’Oujda. « Après l’exil extérieur de Kaïd Ahmed, intérieur de Chérif Belkacem et la mort de Medeghri, il ne restait plus que Bouteflika et Boumediène ». Références : 1- 3. Abdelkader Yafsah. La question du pouvoir en Algérie. 2-Gilbert Meynier. Histoire intérieure du FLN 1954-1962. 4- Khalfa Mameri. Les Constitutions algériennes. Nadjia Bouaricha EL WATAN 27 décembre 2008
il manque a la liste de bureau politique de fln une sule personne, cette personne s’agit de rabahallah akli le symbole de l’incompetence en algerie qui gere la cnac depuis une année sans avoir les competences requises pour ce poste mais il possede juste une chose son appartenance au fln depuis 15ans mais sans etres connu dans le bataillant .
pauvre algerie.
c’est au temps de faire son oeuvre..peut etre dans 100ans ca ira mieux ..qui sait ..on ne peut pas se comparer aux autres…au depart de cette histoire un peuple pauvre dans tout le sens du mot qu’il faut donc malheureusement comprarer a un chétif mouton ..de l’autre une bande de voyous et de tuands a l’appetit intarissable .. la suite c’est pas la peine d’en parler
ALGERIE AVEC 400 MILLIARDS DE DOLLARS DANS LES CAISSES..PEUPLE ALERIEN KI MANGE DANS LES POUBELLES …REFLICHISSEZ 1 PEU..
LA CLIC D OUJDA KI REMPIL LES BANK SUISSE
ACHETE DES HOTELS DES IMMEUBLES DANS DE BO QUARTIERS DE GENEVE
LEVEZ VOUS PAUVRE PEUPLE POUR K DEMAIN VOS ENFANTS VIVRONS MIEUX
COMME DAUTRES PEUPLES
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Le_Rire_-_Joffre.jpg
javais 10 ans comme étant millitant du FLN et je prend un nom qui pése dans tout les domaine « politique et culturel et économique……meme au sain de notre sociéte pour ne pas dire je sui célebre que la majorité des élus du FLN ACTUELLE
mais pour combatre les opportuniste avec toute volanté et honneté je sui le plu jeune élu dans APW de souk ahras et peut etre a l échele nationale mais non pas sur la couleur du FLN mais sur le trpeau du FNA qui vraiment a donné la chabse au jeune compétant
raw galbna ala hizb jadna w ramz tarikhna
quand on a voulu faire en 2007 un jeune monsieur nomé s.l à la pc de belouizdad vous avez manigonsser pour l’enlever vous avez réussi en détruisant les simpatisants de l’fln et les sitoyens de cette commune.et pour etre franche vous l’avez remplacé avec un malade montal qui ne sait meme pas ce qui ce passe dans quartier révolutionnaire .et moi autant que citoyenne qui croit en ce parti politique je vous demandes de placer les gens qu’il faut là ou il faut.
M. Naguim Kolli est le roi de La mafia qui a dégomme .M. Mohand Belhadj
M. Mohand Belhadj de son poste de maire de Tizi-Ouzou. C’est M. Naguim Kolli, un simple élu, qui a succédé au malheureux premier magistrat communal de Tizi-Ouzou.
L’installation du …
La mafia dégomme M. Mohand Belhadj de son poste de maire de Tizi-Ouzou. C’est M. Naguim Kolli, un simple élu,FLN qui a succédé au malheureux premier magistrat communal de Tizi-Ouzou.
La question pertinente se posant à présent est de savoir combien de temps la mafia jugera M. Naguim Kolli est raciste envers les villageois il les appellent les tchicanos
« assez bon » pour le maintenir à son poste. Nos fidèles lecteurs doivent se creuser les méninges pour savoir comment le prédécesseur de l’actuel « patron » de la commune de Tizi-Ouzou a été poussé vers la porte de sortie ou tout simplement comment son siège lui a été arraché sous le fessier. C’est pourtant très simple, dès lors que piétiner les lois de la République algérienne est aussi ordinaire que de prendre une tasse de café au café du coin.
En effet, M. Mohand Belhadj qui s’était vu refuser sa demande de congé annuel par la tutelle (l’administration de wilaya) a jugé intelligent de se faire délivrer un certificat médical pour pouvoir se permettre quelques jours de repos. Relevons au passage que M. Belhadj n’a pas pris de congé depuis trois ans. Ayant envoyé à qui de droit le document qui lui a été dûment remis par l’autorité médicale compétente , il a cru contourner l’obstacle qui a été dressé devant lui. Hélas, les choses sont plus compliquées.
Légalement, c’est toujours M. Belhadj qui est le maire de la commune de Tizi-Ouzou, puisque son congé de maladie n’a pas encore expiré. Autrement dit, l’installation de M. Naguim Kolli à la tête de la commune n’est pas conforme aux textes réglementaires en vigueur. Par ailleurs, en cas de démission du maire, le choix de son successeur doit dépendre de celui des autres élus de la commune. En général, c’est le groupe majoritaire qui place l’un des siens. La compétence des services de la wilaya consiste à approuver par arrêté le choix des élus quant au détenteur du premier fauteuil communal.
Cependant, au-delà du constat du fait que le code communal a été piétiné, il y a lieu de s’interroger sur les véritables raisons de la mise à l’écart de M. Mohand Belhadj qui est pourtant un ancien combattant. A-t-il contrarié la mafia ? Dans ce cas, en quoi ? Est-ce à comprendre alors que ce que la mafia n’a pu obtenir de la main de M. Belhadj, elle compte l’obtenir …
cet iranien est un veritable carnassier comme boumedienne qui avait une peur bleue de amirouche mm mort bouteflika et ouyahia sont des criminels des dictateurs gloire a boudiaf hocine ait ahmed et ferhat abes le reste ceux sont des voleurs et des criminels dictateurs
tres bizzar zahali toujours et pour toujours….c’est l’image meme d’un vrai opportuniste voleur de villa et d’appart.ce mouhafidh qui reigne sur tipaza depuis plus de 22 ans et qui etait avec benflis et quant a vu que boutef est vainceur il a tourné si vite de visage et de direction sans aucun principe.et en plus il ne cesse d’utilisé la jeunesse pour arrivé au sommét et maintenant il tient la commission des jeunes hors qu’il est l »énnemi des jeunes.krahnakoum puis une fois devennu senateur il a mis son beau frere a la tete de l’apw de tipaza…