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Messieurs du FLN, mettez ce sigle appartenant aux Algériens au musée

boutefbelkhadem.jpgSmail Lamrous pour « Algérie Politique » 

En quoi la composition du bureau politique du FLN intéresserait encore le peuple algérien. Depuis 48 ans qu’il est au pouvoir a-t-il réglé  ou soulagé le quotidien des populations ? Bien au contraire, il a enfoncé chaque jour qui passe, la mal vie dans le cœur des modestes ménages.  Une véritable association de dilapideurs des deniers de l’Etat algérien. Passés maîtres de la corruption, ce groupe au commande des affaires publiques n’a fait que semer l’enseignement de cette pratique devenue une véritable culture à tous les niveaux de responsabilité de l’administration algérienne. Ce pseudo parti politique est à l’origine de l’apparition en Algérie d’une ploutocratie gloutonne qui arrange toutes ses lois par voie d’ordonnance pour asseoir un pouvoir politico-financier incluant pour elle une perduration et une continuation dans son processus de dilapidation dans la plus totale impunité. Un véritable sérail qui a placé en permanence dans les différents rouages de l’Etat, des sbires qui lui servent de levier d’action et d’interventions sournoises dans toutes les dépenses publiques. Il est évident que des rabatteurs puisés dans ce sérail que l’on retrouve au niveau des instituions subalternes de l’état, telles que les APC,APW , Wilaya , Daïra et associations affiliées, servent de relais importants dans des acquisitions frauduleuses de biens. 

Ce n’est pas par un simple hasard que le FLN aujourd’hui peut se permettre de payer des permanents à coup de millions pendant que d’autres partis politiques sont réduits à leur simple expression faute de moyens financiers. Il faut aussi dire que l’usage du sigle FLN, qui devait normalement disparaitre au lendemain de l’indépendance du pays, continue de servir à tromper les algériens. Messieurs du FLN, mettez ce sigle appartenant à tous les algériens au musée, vous disparaitrez à tout jamais du paysage politique algérien!

Commentaires

  1. kaci-la-merveille dit :

    L’ancien agent, Andrew Warren, viré de la CIA pour accusation de viol dans l’enceinte de l’ambassade US d’Alger arrêté ce matin!
    Qui sait !? Les crapulo-clochards qui régentent ce pays, donneurs de leçons anti-américaines aux « bougnoules » qui les écoutent, génocidaires, auteurs et instigateurs de meurtres collectifs et qui s’auto-amnistient à volonté en prendront peut-être de la graine !

    Kaci la merveille

    ________________________________
    http://blog.washingtonpost.com/spy-talk/2010/04/report_fugitive_former_cia_off.html

    Former CIA official in sex case arrested

    Andrew Warren, the former CIA station chief who was accused of sexual assault by two women in Algeria in 2008, was arrested at a Norfolk hotel Monday afternoon, a police spokesman confirmed Monday night.

    Norfolk Police Department spokesman Christopher Amos confirmed Warren had been arrested « on federal sexual deviancy charges » and turned over to Diplomatic Security Service agents.

    « He was arrested without incident, » Amos said.

    WVEC-TV said Warren, 42, was apprehended by a combined team of Norfolk Police Fugitive Investigators, Diplomatic Security Service Special Agents and U.S. Marshals.

    In June 2009 Warren was indicted on one count of sexual abuse arising from the alleged assault in Algeria and arraigned before a federal magistrate.

    « The indictment alleges that at the time of the alleged sexual assault, the victim was incapable of appraising the nature of the conduct and was physically incapable of declining participation in, or communicating unwillingness to engage in the sexual act, » the Justice Department said.

    Warren was scheduled for trial in June, the Justice Department and Warren’s attorney Mark David Hunter told me in March.

    Justice Department spokesmen in Washington and Norfolk could not be reached for comment on when and why an arrest warrant was issued at this time.

    Warren was fired by the CIA in March 2009.

    Investigators said they had been tipped that Warren had been spotted at the Ramada Limited in Norfolk, WVEC reported.

    “Police say a handgun was also taken from the scene,” the station also reported.
    Reblog this post [with Zemanta]

    By Jeff Stein | April 26, 2010; 11:45 PM ET
    Categories: Intelligence , Justice/FBI

  2. Iflisse dit :

    c’est toujours ce que j’ai pensé :o n a libéré le Pays donc il n’a pas de raison qu’il existe enocre !!!!le FLN est utilisé comme machine de corruption

  3. amghar azzamni dit :

    Nous sommes algériens à part enyiére!Le Front de Libération National nous appartient à tous car dans ce sigle se regoupent toutes les sensibilités politiques confondues pour combattre l’occupant !La lettre  » F  » qui est l’initiale duf front, ne peut etre interpréter comme Parti Politique! La lettre « L  » veut elle dire Libération, celle d’un pays qui s’appelle ALGERIE.
    Alors pourquoi la garder alors que le pays est LIBERE ? A moins que ce pays ne le soit pas encore ce qui nous ferait dire autre chose!

  4. afroukhifrafren dit :

    Vous vous trompez chers amis !! Le FLN leur appartient puisque ce sont eux qui ont fait la guerre ! Ils ont libéré l’Angérie , donc elle leurs appartient!
    Le nationalisme et le patriotisme ne se discutent pas! D’ailleurs ils le disent : Celui qui n’est pas content, il n’a pas sa place ici. Eh oui les amis !
    C’est à prendre ou à laisser ! Si non ils ont « les moyens » . Compris ?
    Il nous reste qu’à dire : TAHIA EL DJAZAIR. La seule phrase permise. Quant au reste, c’est leur problème !!
    TAHIA EL DJAZAIR

  5. NARMOTARD dit :

    Très bien dit, monsieur Smaïl Lamrous.

    En effet, le FLN originel de 1954 n’est autre que la résultante de toutes les forces populaires patriotiques issues des nombreuses générations d’Algériennes et d’Algériens. Donc, ce sigle FLN constitue, dès l’indépendance acquise, logiquement et naturellement, l’héritage collectif légitime et légal de l’ensemble de leurs descendants, sans exclusion, sauf celle des traitres volontaires à la patrie.
    Mais l’accaparement malhonnête de ce prestigieux et historique sigle, sous la bannière duquel a été menée la victorieuse guerre de libération nationale dans le cadre de la Révolution algérienne, en fera hélas, un sigle terni, sali et rabaissé. Car il servira malheureusement, pour des raisons inadmissibles de domination dictatoriale, à la prise du pouvoir de l’Etat et à la bestiale jouissance égoïste des richesses nationales, dès l’indépendance acquise.
    Ce prestigieux sigle servira encore, malheureusement, à couvrir la sanglante « tragédie nationale » dans laquelle l’Algérien assassine l’Algérien, sans état d’âme. Comme il couvrira honteusement le retard infligé au peuple dans son émancipation politique, économique, culturelle et sociale, au point d’être dépassé par de nombreux autres.
    Malgré ce triste constat et cet évitable gâchis, ce régime politique de malheur, ne pense pas,à passer la main à de vraies compétences nationales, qu’il pousse par contre à l’exil afin de continuer à enrichir les multinationales, lesquelles lui garantissent la légitimité ainsi que les ristournes corruptrices en faveur de ses « dignitaires » véreux. Nous ne cesserons pas de dénoncer cet état de fait.

    .

  6. afroukhifarfren dit :

    Iflisse: Ils ont libéré le pays ! Il ne faut jamais l’oublier. L’ « Iranien » qui a « ramene » l’indépendance ne nous pardonnera jamais de toucher au FLN. C’est leur bien!! Ne parle plus de ça, si non l’ »iranien » habillé à la « soudanaise » se fâchera. S’il se fâche, alors…. Donc il faut respecter tes grands fréres comme de coutume.
    TAHIA EL DJAZAIR.

  7. Sahraoui dit :

    Extrait du Courrier.com
    Réveille-toi, ô mon peuple bien-aimé! L’Algérie brûle !
    Par Mahieddine Lachref Paradoxale est la situation en Algérie. Au moment où le peuple algérien patauge dans une misère de toutes les couleurs, les officiels, toutes les parties confondues, s’amusent, l’esprit bien conforté par de belles oeillades arrivant de Londres, de Paris, de Washington, et de Madrid, de la pluie et du beau temps. Révoltante est [...]

    Paradoxale est la situation en Algérie. Au moment où le peuple algérien patauge dans une misère de toutes les couleurs, les officiels, toutes les parties confondues, s’amusent, l’esprit bien conforté par de belles oeillades arrivant de Londres, de Paris, de Washington, et de Madrid, de la pluie et du beau temps. Révoltante est cette attitude des autorités. Mais jusqu’où la révolte peut-elle mener? Décidément, il s’agit de tourner le dos à tous ce qui est officiel et de ne s’adresser, de ne parler et de n’écouter désormais que le peuple. Car n’est-ce pas que l’autorité qui permet à l’Etat de faire et de défaire est illégitime?
    Peuple algérien, sais-tu ce qui se passe en Algérie? Les médias algériens te parlent-il de ta faim, de tes angoisses, de tes soifs, de tes misères, de ton chômage, de tes peines, de tes malheurs, de tes bonheurs que tu réalise rarement et à prix de mille peines, de tes peurs, de tes nuits blanches, de tes espoirs, de tes ambitions, de tes rêves? Les medias algériens ne te parlent-ils pas des chiens qui meurent de sida en Australie, des enfants qui naissent avec quatre pieds en Indes, du derniers album de Hadj Brahim tandis que des Algériennes et des Algériens meurent dans l’anonymat par les balles assassines, criminelle du pouvoir? Certains diraient que j’exagère, pourtant la chose est très simples: les quelques journaux privés qui s’intéressent au peuple ne le font que pour entretenir l’illusion d’une presse écrite indépendante et d’une Algérie souveraine qui consacre la libre expression. N’a-t-on pas vu des personnes cupides qui, confondant entre les fins et les moyens, n’ont d’autres souci que celui de se remplir les poches par l’argent vilain d’une publicité frustrante vis-à-vis du peuple pauvre, des personnes incultes au sens propre du terme, qui n’ont aucune relation avec le journalisme, ni au sens pratique ni au sens théorique, se faire agréer des journaux tandis que de très grands journalistes, connus de tous, intègres, honnêtes et qui ont fait leur preuves sur le terrain se font cracher les « refus » crasseux des « autorités » sur la figure?
    Peuple algérien, sait-tu que cette Algérie pour laquelle des milliers d’Algériennes et d’Algériens se sont sacrifiés n’est toujours pas indépendante? Sait-tu que les conseillers du ministre de l’éducation nationale sont des Français? Sait-tu également, mon peuple, que pour acquérir la nationalité américaine il faut prêter un serment, la main sur la Constitution des USA, et jurer de défendre les intérêts américains au prix de sa vie et que nombre de nos ministres possèdent cette nationalité, à leur tête le « petit » Khelil qui parle très bien l’anglais? As-tu, cher peuple, entendu parler à la télévision de Benyoucef Mellouk, ce valeureux Algérien qui a osé dénoncer les magistrats faussaires et qui a déclenché l’affaire des faux moudjahiddines? Sais-tu qu’il est condamné pour quatre mois de prison ferme après 18 ans de cafouillage dans les tribunaux? Sais-tu, ô mon peuple bien aimé, que la majeure partie de ceux que l’on appelle les « cadres de l’Etat », « les officiers », « les agents du DRS » n’ont aucun niveau d’instruction et que la seule chose qu’ils sachent faire consiste à se montrer arrogants et, lorsque c’est nécessaire, dégainer pour faire couler le sang de tes enfants?
    Oh, mon peuple! Sais-tu que, il y a à peine quelques jours, les services de « sécurité » ont commis un ignoble assassinat en Kabylie, dans la région d’Ait Yahia Moussa, là où est né Krim Belkacem? Aissa, un père de 45 ans environ, possédant des ruches à quelques centaines de mètres de sa maison sise en pleins bois dans le village montagnard de Ait-atallah, est allé les visiter, histoire de les alimenter. Quelques soldats qui étaient juste dans les environs, dans le cadre d’un ratissage, l’ayant vu, le criblent de balles. Bavure? Peut-être. Mais pourquoi les services de sécurité exigent-ils de la famille de la victime de signer un PV attestant que le mort est un « terroriste », chose sans laquelle ils affichent un refus catégorique de leur remettre la dépouille? Quel est le terroriste dans ce cas? N’est-ce pas, cher peuple, l’Etat qui, par le biais de ses auxiliaires, terrorise la population en commettant des assassinats à ciel ouvert et en militarisant chaque jour un peu plus l’espace public? La dépouille a été remise hier à la famille de la victime mais ce ne fut plus celle d’un pauvre citoyen peinant à gagner un morceau de pain en vendant du miel mais celle d’un « terroriste ».
    Hier encore, sais-tu ce qui s’est passé en Kabylie mon cher peuple? La presse indépendante ne t’en a pas parlé? Si. Mais de quelle manière? » Deux personnes, un chauffeur de taxi et un mécanicien, ont trouvé la mort hier vers 13h dans l’explosion d’une bombe artisanale » Ce qui est vrai dans cette histoire est que, effectivement, une bombe a exposé hier, aux environs de 13h prés de Ain Zaouia, dans la route reliant Drâa-el-mizan à Boghni, et que deux personnes ont été mortes. Mais de quelle mort s’agit-il? C’est la bombe qui les a déchiquetés? Les services de Zerhouni n’ont pas encore terminé avec les affaires de Khider, Krim, Mecili, les 22000 disparus pour s’en occuper et les programmes de l’ENTV sont tellement chargés, étant donné que cette télévision mythique doit s’occuper des grandes affaires d’intérêt mondial comme la « toux de la chatte de Obama », « les sandales en caoutchouc de Omar el Bachir », « la couleur des yeux d’Angéla Merkel », etc., qu’elle ne trouve même la minute requise pour annoncer la nouvelle. Sais-tu, mon cher peuple, le taxieur et le mécanicien ne sont pas victimes de l’explosion d’une bombe comme l’on l’a si bien dit dans notre « presse indépendante », ce sont, au contraire, les gendarmes qui observent un barrage permanent à environ un kilomètre du centre ville de la commune de Ain Zaouia qui ont tiré sur la voiture où étaient ces deux personnes, paniquées par le bruit de la déflagration, et l’ont criblée de balles. Une preuve? Il n’y a qu’à voir la voiture et les corps de Boualem Amiziane le taxieur et Kamel Oubraham le mécanicien auxquels on a logé des balles dans le crâne, pour s’en convaincre. De plus, des témoins oculaires l’ont dit et le disent toujours.
    En attendant, mon cher peuple, tu dois savoir que ceux qui parlent en ton nom, ceux qui gouvernent en ton nom, ceux qui décident en ton nom, sont aussi ceux-là qui dilapident les richesses du pays en ton nom, qui te volent ta dignité en ton nom, qui offrent l’Algérie en cadeau aux barons de la finance internationale en ton nom, qui violent les droits les plus élémentaires des Algériennes et des Algériens en ton nom, qui assassinent tes rêves, tes espoirs, tes ambitions, tes hommes honnêtes et intègres au nom de ton histoire, qui te trahissent et trahissent Dieu au nom de ta religion. Oh, mon peuple bien-aimé, tu dois apprendre à prendre ton destin en main, tu dois apprendre à ne laisser personne ni parler, ni gouverner, ni décider, et encore moins assassiner l’Algérie en ton nom. Mon cher peuple, l’Algérie t’appartient, son passé et son présent aussi; il t’appartient de la sauver ou de la laisser périr sous les bottes des petits dieux de la mythologie impérialiste que sont tes tortionnaires. Réveille-toi, ô mon peuple bien-aimé!

    Source : http://feedproxy.google.com/~r/lequotidienalgerie

    http://diasporasahraouia.blogs.courrierinternational.com/archive/2010/04/14/reveille-toi-o-mon-peuple-bien-aime-l-algerie-brule.html

  8. afroukhifrafren dit :

    M. SAHRAOUI/
    Le peuple est réveillé ! Il est conscient de la situation mais il ne fait rien. Il ne veut rien faire. Il se sent bien comme il est.
    Il sait qu’il y a des « presonnalités » qui ont la nationalité étrangére, qu’il y a la corruption,la hogra des gendarmes, des policiers, des militaires. Et après ? Pourquoi voulez-vous qu’il bouge? Vous voulez l’envoyer à la boucherie?
    TAHIA EL DJAZAIR.

  9. Batna dit :

    Au debut, le sigle FLN voulait dire Front de Liberation Nationale. Il y a des hommes et des femmes qui sont morts pour cela. Ils ont donne leur vie pour que l’Algerie devienne libre et independante. Cependant, ce sigle FLN a ete recupere par une clique (deserteurs de l’armee francaise, bandits, oportunistes, etc..) des 1959, ils ont elimine tout le monde, et ils ont prepare a prendre le pouvoir en 1962. Durant cette periode, ce sigle devrait s’appeler FPPN (Front de la Prise du Pouvoir National). Ensuite, depuis 1962, ce FPPN, au lieu de generer de la richesse, de la competence, un pays de droit, il a genere:
    - l’enrichissement d’une caste,
    - l’appauvrissement de la population,
    - la haraga
    - la hogra
    On devrait appeler ce sigle maintenant, FDPN (Front de la dilapidation et Pauperisation Nationale

  10. Mostefa dit :

    Extrait du texte : ’’Qui est le clan d’Oujda?”
    Ce qui nous intéresse dans ce sujet , ce sont les algériens nés au Maroc avant le déclenchement de la guerre de libération algérienne en 1954. C’est le clan d’Oujda. Ce sont les algériens nés ou qui ont vécu au Maroc avant l’indépendance en 1962 Ce sont des enfants issus de la communauté de l’Emir Abdelkader qui est resté au royaume après la soumission de ce dernier à la France en 1848. L’autre communauté appartenait à la tribu de Ouled-Sid-Echiekh. Après la défaite de leur chef Echiekh Bouamama en 1908 contre la France, le reste de sa communauté s’est réfugié au Maroc. Elle s’est installée à Ain Bni Mathar , Taourirt et Guercif. Une troisiéme composante des algériens nés au Maroc est issue des algériens enrôlés dans l’armée française pour faire imposer le protectorat au sultanat en 1912. Parmi ces militaires, on peut citer le cas du capitaine l’Emir Khaled,petit fils de l’Emir Abdelkader , le Colonel Bendaoud , le Spahi Bencherif et si Kaddour Benghabrit l’ancien recteur de la mosquée de Paris dans les années 20. Le Premier de ces militaires algériens ayant trahi ses coreligionnaires est l’Emir Khaled, le père du nationalisme algérien. On cite son comportement pendant le débarquement à Casa Blanca en 1908 avec Lyauté:’’Malgré sa fidélité, son loyalisme, les grands services qu’il a rendus, lui et sa famille en Algérie , au Maroc et en Syrie, il s’était trouvé, ( lui Prince ) soumis à un règlement qui le rendait l’égal du fils d’un vulgaire colporteur ’’. Ainsi , tous ses efforts ne lui ont pas servi ; ni sa conduite au Maroc , ou il a guerroyé pour la civilisation , en héros , contre les frères musulmans , ou il se déguisait en montagnard pour s’introduire dans les milieux marocains, au profit des conquérants . Tout ce qu’il a pu faire pour la grandeur de la France et l’asservissement des ses compatriotes et coreligionnaires ne lui a pas été profitable. Peine inutile, espoir évasé comme une promesse d’un fonctionnaire bourgeois.
    On les appellait au Maroc les 2éme Franciss ou Wasti.
    Deuxième Franciss parce que c’étaient des français de deuxiéme collège.
    Puisque ils rendaient à leurs maîtres colons des services en jouant le rôle de Wastis c’est-à -dire des interprètes entre les indigènes marocains, algériens, tunisiens et l’armée françaises.
    Ce sont les algériens nés ou ayant vécu à Oujda avant 1962.
    Actuellement à leurs têtes se trouve si Abdelkader el Mali, on veut dire Abdelaziz Bouteflika Algérien d’origine Koulougli natif en 1937 à Oujda. Souvent ce sont des enfants et petits enfants de la tribu des Banu hachim de l’Emir Abdelkader et des Hméyens . Ils se sont installés surtout à Fez et Oujda aprés la soumission de l’Emir en 1948. L’autre communauté appartient à la tribu des Ouled Sid echeik d’elBiyoud . Elle s’est installée à Ain Bni Mather , taourirt et Guercif depuis l’échec de la révolte de bouamama en 1908. Ensuite il y a la vague des Algériens de 1908 et 1912 qui avait accompagné le Marechal Lyauté pour imposer le protectorat. Ils étaient nombreux ces Spahis Algériens à choisir la cité de Fez comme lieu de naissance de leur progéniture. à titre d’exemple on peut citer le capitaine l’Emir Khaled, Si Bencherif , le colonnel Ben djelloul et Kaddour Benghebrit le Premier recteur de la mosquée de paris. D’autres sont arrivés avec la construction ou le prolongement des lignes de chemins de fer Oran -Oujda au début du 20éme siècle.
    Probablement, la famille de Bouteflika qui avait un Hammam à la Wilaya d’Ain-Témouchent avait quitté El Malah un village distant de 11 km de cette Wilaya.

  11. Mostefa dit :

    Suite a l’extrait du Clan d’Oudja
    Le clan d’Oujda ces collabos d’origine algerienne du Maroc

    Ils ont appris aux Algériens à détester leur pays
    La déconstruction de l’identité algérienne vient de trouver son explication historique et ses véritables concepteurs. La déliquescence de l’Etat, l’immobilisme politique, la désintégration sociale, la déculturation chronique, la tentation de l’exil et de la haraga, la haine de son propre pays ne sont pas le fruit d’une malédiction ni d’une tare collective.
    C’est le résultat d’un double processus prémédité, une conjugaison de deux forces qui ont remplacé le pouvoir colonial dès la fin de la guerre de libération en 1962… et qui gouvernent encore en 2008.
    D’une part, Abdelhafidh Boussouf avait prémédité la création d’une «Armée de l’ombre» dont la première promotion Larbi Ben M’Hidi formée à Oujda était composée exclusivement de «recrues marocaines» (1). Ils se disent «algériens de longue date», mais ils sont nés et ont vécu au Maroc. Leur histoire n’a jamais été écrite et on ne sait toujours rien de leur parcours personnel, familial et militant, 50 ans après leur entrée dans les rangs du Malg et de l’ALN. Ils n’ont «découvert» le sol algérien qu’après l’indépendance. Par simplification sémantique et en vertu du «droit universel du sol», nous les nommerons sans nuance les «Marocains de la SM». Ils étaient si nombreux que, selon un témoignage du journaliste Paul Balta, «Houari Boumediene, qui était guidé par un souci permanent de préserver l’unité nationale, avait interdit que les notices biographiques officielles des responsables comportent leur lieu de naissance.»
    D’autre part, le général De Gaulle, revenu au pouvoir en 1958 à la faveur du putsh d’Alger, avait prémédité, à la façon d’un grand stratège militaire, l’indépendance qu’il voulait négocier par «la paix des braves». «Nous avons laissé 140.000 harkis infiltrés dans les rangs de l’ALN», selon ses propos rapportés par son fils dans son livre «Mon père De Gaulle». Ceux qu’on nomme les DAF «déserteurs de l’armée française», ont rejoint les rangs de l’ALN vers la fin de la guerre, essentiellement dans l’armée des frontières, avec des grades subalternes, mais formeront plus tard le «clan des généraux».La déconstruction du FLN par Boumediene

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