Décès de Baya Gacemi: Deux poids… deux mesures
Abbes Said pour « Algérie Politique »
Ils sont tous venus. Ils étaient tous là ! Non pas pour assister au recueillement à la mémoire de la journaliste Baya Gacemi, décédée lundi à Paris des suites d’une maladie, mais pour se faire voir par le Consul de France qui était là, visiblement bien présent. Ils se sont bien évidemment les éditeurs de presse, ce cartel qui régente la publicité privée et qui veut se poser en champion des libertés et de la démocratie. Pourtant, une semaine auparavant, décédait, le journaliste Mohamed Issami, seul dans sa chambre sécuritaire à Sidi Fredj et inhumé dans sa ville natale à Tiaret dans l’anonymat le plus total sans pouvoir bénéficier d’une telle « solidarité » hypocrite qu’ils ont bien voulu montrer pour Baya Gacemi. (…) Llah irahmek Baya, Llah irahmek Issami, vous avez quitté ce monde de l’hypocrisie.
Il est des postures définitivement indécentes et franchement, il faut se garder d’établir des comparaisons aussi douteuses.
Sauf à considérer que le combat politique peut s’accommoder de ce type d’indignités. ce que je ne sache pas.
C’est hélas connu!!!!! Salat EL Kiad?????Certains devraient raser les murs tellement ils sont vomis.
Pourquoi cet amalgame ? Qui est le défunt Mohamed Issami dans le monde la presse ? Pourquoi n’a-t-on pas honoré sa mémoire comme Baya Gacemi ? Faut peut être le demander à la FIJ Alger et au SNJ, à ceux qui ont travaillé avec lui. Le reste n’est que du vent.
Allah yarhamek et t’accueille dans Son vaste paradis, Baya GACEMI!