Archive pour avril, 2010

Les forces de l’ordre ont opéré une descente au Centre des affaires de Zeralda

maire.jpgAbbes Said pour « Algérie Politique » 

Le centre des affaires de Zeralda a été hier matin le théâtre d’une descente musclée opérée par les forces de l’ordre qui ont effectué une perquisition sur les lieux de l’opération. Selon des témoins oculaires, les forces de l’ordre ont agi sur ordre du wali d’Alger après les révélations faites la semaine dernière par le premier magistrat de la commune de Zeralda, élu sur une liste indépendante en 2007, Mouhib Khatir. Ce dernier avait dénoncé mercredi dernier lors d’une conférence de presse à la Maison de la Presse les agissements d’une bande, composée d’une jeune femme de 26 ans, L.I, une ancienne danseuse de cabaret mariée à un énergumène notoire et plusieurs fois repris de justice, un ancien DEC et l’ex maire d’obédience FLN, un ancien chef de parc qui sont tous aux ordres d’une caste d’intouchables qui fait régner sa propre loi, celle de la corruption.

Ce cartel, a, selon le conférencier, réussi à s’introduire dans tous les rouages de l’Etat, y compris les services de sécurité et la justice pour imposer sa domination sur tous les projets de la commune. Ils ont pris le contrôle du Centre des affaires d’une surface de 2723m2 pourtant propriété de la commune pour y faire leur quartier général et un lieu de débauche. Cette bande a transformé le centre des affaires en un cabaret et en maison close de 32 chambres. Ils ramènent de la wilaya de Relizane les jeunes filles qu’ils font travailler 24h sur 24h à raison de 5000 DA l’heure. L’ancien P/APC, membre influent de ce cartel leur a loué le centre à raison de 400.000 DA le mois alors que le prix du loyer était estimé au départ à 400.000 DA mensuel.

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Karim Tabbou: «Le MAK est une diversion du pouvoir»

tab.jpgUne conférence-débat a été animée vendredi après-midi par le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, à la salle des fêtes de la ville des Ouadhias. Cette rencontre sur «La prise en charge effective de tamazight» a été mise à profit pour évoquer l’histoire contemporaine de l’Algérie. L’orateur reprendra le fil de la revendication amazigh, depuis 1949 jusqu’à l’indépendance, et reviendra sur la création de son parti et sur les maquis de 1963. «En 1962, le peuple a gagné la guerre, mais il a perdu la paix. Et, en voyant l’énorme dérive d’après-guerre, Hocine Aït Ahmed crée le FFS pour remettre le train sur les rails et rendre aux Algériens leurs droits et leur liberté confisqués. Hélas, le pouvoir d’alors a redoublé de férocité et de répression qui a coûté la vie à 400 de nos valeureux militants et la blessure de 3000 autres», a lancé le responsable du FFS qui est également revenu sur le printemps berbère, la création de la première Ligue des droits de l’homme en 1985, les événements de Constantine de 1986 et ceux de 1988.

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Cachetiers de la radio algérienne: Les grévistes interpellent le DG

radio.jpgNi officiellement suspendus ni franchement licenciés, ils sont loin d’être réintégrés. Plus d’un mois et demi après avoir «osé» dénoncer publiquement leur situation socioprofessionnelle précaire, les 7 journalistes et réalisateurs cachetiers de la station de radio El Bahdja sont comme suspendus à un crochet de boucher. De «l’arbitraire» dans toute sa splendeur, un «chantage alimentaire» qui ne dit pas son nom, une « situation kafkaïenne » pratiqués par un média public, la Radio algérienne, à l’endroit d’une frange de son personnel.

Le collectif des grévistes d’El Bahdja a dénoncé, hier, lors d’un rassemblement devant le siège de la station algéroise, une situation jugée «intenable», leur statut d’éternels «précaires» auquel la direction de l’Entreprise nationale de radiodiffusion (ENRS) ne semble pas prête à remédier malgré les «engagements» pris par Toufik Khelladi, son DG, de réintégrer les membres du collectif empêchés de reprendre du service depuis leur mouvement de grève, le 7 mars dernier.

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Idir Ahmed Zaid, le revirement !

idir.jpg Témoignage de Ferhat Mehenni. «Avril 80. Insurgés et officiels du pourvoir racontent Le «Printemps berbère» page 112:

« Vers une heure du matin, un fourgon cellulaire pointa devant le commissariat où on me jeta avant de me menotter aux chaînes du véhicule. A coté de moi, séparé par un grillage, il y avait Idir Ahmed Zaid. J’étais loin d’imaginer qu’un jour un homme de cette qualité, devenu vice recteur de l’université de Tizi-Oouzou, allait signer une délibération par laquelle on attribua au bourreau de la Kabylie, Ahmed Ben Bella, le titre pompeux de Docteur Honoris Causa de l’université de Tizi-Ouzou ».  

Ali Mecili avait financé Imedyazen et les deux premiers albums de Ferhat Mehenni

mecili.jpgTémoignage de Ferhat Mehenni. «Avril 80. Insurgés et officiels du pourvoir racontent Le «Printemps berbère» page 103:

« En été 1978, Me Ali Mecili réussit un attelage historique entre de jeunes militants berbéristes, dont Said Sadi, et le leader charismatique du FFS, Hocine Aït-Ahmed. Avec le recul d’aujourd’hui, je me rends compte combien cet événement, que beaucoup de témoins passent sous silence, avait compté dans l’engagement du destin kabyle en 1980. Un nouveau programme politique intitulé «Algérie, pour une alternative démocratique» fut élaboré et une coopérative culturelle, Imedyazen, fut mise sur pied à Paris, au 6, rue Lesdiguières, dans le 4ème arrondissement. C’était Mecili qui en avait assuré le financement, y compris pour l’enregistrement de mes deux albums, «Chants Révolutionnaires de Kabylie (1979) et «Chants berbères de lutte et d’espoir» (1981) ».  

Accusé de corruption: Le P-DG du port d’Alger écroué

pdg.jpgLe P-DG de l’Entreprise du port d’Alger (Epal), Bourouaï Abdelhak, le directeur adjoint, Z. Madjid, ainsi que l’ex-P-DG de la même entreprise, Ali Farah, viennent d’être écroués. Le juge du tribunal de Sidi-M’hamed a également placé sous contrôle judiciaire 4 autres cadres de l’Epal. Il s’agit des nommés N. H., directeur adjoint chargé des techniques, T. M., directeur des conteneurs, A. B., directeur de la sécurité interne, et de B. A., directeur des logistiques. Le port d’Alger vient d’être éclaboussé par un scandale. La gestion des marchés d’acquisition des clarcks a été passée au peigne fin par les enquêteurs et les conclusions de l’enquête auraient été accablantes. Ainsi, le président-directeur général, l’ancien patron de cette même entreprise,  qui a occupé ce poste durant la période allant de 1993 à 2005, et qui avait été cité comme témoin dans l’affaire du naufrage du “Béchar”, et 5 autres cadres ont été présentés au tribunal de Sidi-M’hamed, jeudi dernier en fin d’après-midi, après une enquête préliminaire menée par les officiers judiciaires militaires du Département de renseignement et de sécurité (DRS), qui a duré plus d’un mois.

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El Hadi Khaldi: Le grand syndicaliste recruté par la SM

elhadikhaldi114250141.jpgTémoignage d’El Kadi Ihsene. 1979 à la faculté d’Alger.

« A mes cotes, le délégué de la 1ère année arabophone est un certain Khaldi. Il est combatif. Un camarade syndical. Il sera quelques semaines plus tard, animateur, de la grande grève des étudiants arabophones en revendication de la garantie de l’emploi à la sortie de l’université. Ligne de destin avant bifurcation. Le syndicalisme étudiant peut mener à tout. Khaldi, sans doute recruté par les services, devient un agent provocateur contre le mouvement démocratique à la faculté. Sa carrière le conduit au poste de ministre de
la Formation professionnelle à l’ère de Bouteflika. »

La Sécurité Militaire a-t-elle récupéré Said Sadi en 1982 ?

saadi.jpgTémoignage de Ferhat Mehenni paru dans l’ouvrage «Avril 80. Insurgés et officiels du pourvoir racontent Le «Printemps berbère» page 115:

 

«En mars 1982, malgré la «liberté provisoire» qui empêchait les 24 détenus de sortir du territoire algérien, Sadi vint à paris et participa à un débat organisé à la fin de mon concert à Anthony par le professeur de psychologie Mohamed Lahlou. Il était venu proposer à Hocine Aï-Ahmed de rentrer le 5 juillet 1982, pour le 20ème anniversaire de la fête de l’indépendance ou de rompre, à notre insu, l’alliance avec lui. Sadi avait une proposition pour deux postes au Comité central du FLN; Aït-Ahmed refusa après avoir pris soin de consulter ses amis dont moi-même».

Ma Kabylie…

Boussad Bouaich: « Il y a deux Kabylies: la vraie, celle qui est encore régie par des traditions archaïques et qui sent la bouse de vache; et il y a la Kabylie virtuelle, fantasmée, celle qui n’existe que dans la tête de certains qui, souvent, n’y ont pas mis les pieds depuis des lustres. Je connais les deux malheureusement, mais j’essaye de m’attacher à la première ».

آلة العنصرية تواصل حصادها في منطقة مزاب !!

ghardaia1.jpg تشهد منطقة مزاب مؤخرا تطورات خطيرة متسارعة وهذا بتطبيق الميز العنصري الصارخ في كل المجالات ولم يسلم منه حتى منكوبي الفيضانات، المزابيون، وأخطرها تكريس هذه الممارسات لدى جهازي الأمن والعدالة في ولاية غرداية  وما حدث في « بريان » من ممارسات عنصرية شاذة لرجال الأمن بالزي الرسمي والتي شاهدها العالم من خلال أشرطة فيديو عبر القنوات الفضائية لا يمثل إلا جانبا موثقا بسيطا من هذه الممارسات العنصري اليومية في ولاية غرداية.

وبالرجوع إلى مخلفات فيضان أكتوبر 2008 الذي تسبب في هدم سور مقبرة « إمحراس » المزابية حيث قامت مجموعة من الشباب المزابيين بحملة تطوعية لإعادة بنائه إلى حالته الأولى،وما إن بدؤوا العمل حتى فوجئوا بمجموعة من السكان العرب الشعانبة ينهالون عليهم بوابل من الحجارة مع عبارات السب و الشتم العنصرية !! وقد حضرت السلطات المحلية على رأسها والي ولاية غرداية وقوات الأمن ولكن بقيت متفرجة على هذا التعدي دون أن تكلف نفسها توقيف أحد من المعتدين المهاجمين ؟! وبالرغم من استمرار رشقهم الحجارة من خلال صفوف قوات الأمن وبحضور والي غرداية !! وبالرغم من سقوط العديد من الضحايا بجروح خطيرة في صفوف المزابيين الذين كانوا منهمكين في بناء سور المقبرة !! .

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