Archive pour avril, 2010

GNL16: Ni Internet, ni fax: grande indignation chez les journalistes

largelogo.gifLes journalistes nationaux et étrangers se sont plaints du manque dans la prise en charge, réservée aux journalistes et qui s’est révélée, dès le premier jour de cet événement international.  À cet effet, les journalistes n’ont pu accéder au service d’Internet et au Fax qu’après 16h. Une situation qui les a retardés dans l’envoi de leurs informations à leurs chaînes de télévisions ou radios et journaux respectifs. En plus, ces journalistes n’ont bénéficié d’aucune ration alimentaire, surtout ceux représentant la presse locale et régionale, et ce, durant toute la journée. Un journaliste d’une chaîne étrangère déclarera: 

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Louisa Hanoune défend Zerhouni

hanoune.jpgLa secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune a estimé hiert que certains journaux ont exagéré dans leurs écrits sur le passeport et la carte d’identité biométriques électroniques. « Prendre des photos et répondre à des questions n’ont rien à voir avec les atteintes à la vie privée », a-t-elle indiqué. Mme Hanoune ne s’est pas trop attardée sur la polémique autour du voile et de la barbe, sinon qu’elle renvoie à « des forces recherchant les clivages et divisions dans les rangs des Algériens ». Elle a toutefois tenu à rappeler que « la liste noire a été annulée, mais pas le scanner » et préciser que « l’État algérien est un État civil, non pas le Pakistan ou le Bangladesh, et (qu’) il n’y a pas de clergé en Algérie ».

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Création d’entreprises, d’emplois et de richesses: L’Algérie au 148e rang mondial

fce.jpgDans son édition 2010 du Doing Business, la Banque mondiale apprécie encore une fois assez négativement l’économie algérienne, notamment dans ses deux chapitres liés au climat des affaires en Algérie et la création d’entreprises. L’institution internationale soustrait même deux points à l’Algérie par rapport à 2009, le reléguant à la 136e place sur les 183 évalués dans le cadre du classement des meilleurs élèves dans le domaine des facilités accordées à l’investissement. De plus, il est à noter que le classement 2010 ne prend pas en considération les mesures prises dans le cadre de la LFC 2009 intervenues alors que les données du Doing Business étaient déjà collectées, ce qui laisse présager que le classement de 2011 favorisera encore moins l’Algérie.

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Affaire des travaux publics: Maintien en détention du SG

corruptionautoroute150x150.jpgLa chambre d’accusation a rejeté dimanche les demandes de mise en liberté introduites par la défense de trois prévenus, actuellement impliqués dans l’affaire de l’autoroute Est-Ouest et qui sont en détention depuis plus de cinq mois. Il s’agit en fait des avocats de Mohamed Bouchama, secrétaire général du ministère des Travaux publics, Chani Mejdoub et Addou Tadj Eddine, deux hommes d’affaires représentant les intérêts de certaines entreprises impliquées dans les malversations liées aux marchés de réalisation de l’autoroute Est-Ouest. La défense de Addou Tadj Eddine et de Chani Majdoub a plaidé la mise en liberté de ses mandants, arguant du fait que « Khelladi, la source principale de l’accusation, est aujourd’hui sous mandat de dépôt, ce qui ne constitue plus l’affaire de Chani et de Bouchama, mais celle de Khelladi», rapporte El Watan.

Printemps amazigh: Brahim Tazaghart animera une conférence à Tazmalt

tazaghart.jpgA l’occasion du 30ème anniversaire du Printemps Amazigh (avril 1980) et du 9ème anniversaire du Printemps noir (avril 2001), la section du Front des Forces Socialistes (FFS) de Tazmalt (Béjaia), organisera une conférence-débat le mercredi 21 avril à 17h30 à la salle des conférences de la section du parti. La conférence sera animée par M. Brahim Tazaghart, animateur du MCB et écrivain en langue amazigh. Thème: Histoire et devenir du combat amazigh.   

Printemps amazigh: Ikhlef Bouaichi a animé hier une conférence

kabylie.jpgA l’occasion du 30ème anniversaire du Printemps amazigh d’avril 1980, M. Ikhlef Bouaichi, animateur du Mouvement Culturel Berbère (MCB) et ancien député du Front des Forces Socialistes, a animé dimanche une conférence-débat à la résidence universitaire 1000 lits de Béjaia. Le thème de la conférence: Identité, démocratie et citoyenneté, trois composantes intimement liées.

Le conférencier a indiqué dans son exposés que la commémoration de ce 30ème anniversaire du Printemps amazigh survient à un moment où le peuple algérien subit les pires souffrances et l’exclusion aussi bien politique, économique, sociale et culturelle. « Les atteintes aux droits de l’Homme sont quotidiennes. Les nombreux conflits, gérés par la violence, sont le résultat de la politique de  négation des  revendications populaires et de nos valeurs », a souligné M. Bouaichi. Selon lui, la négation et le refus de la reconnaissance de l’identité, de la langue, de la culture amazighs et de notre histoire poussent une partie de la jeunesse algérienne à adopter des repères culturels et identitaires étrangers à notre société. « La construction d’un Etat prospère avec des valeurs étrangères est une supercherie au profit de forces anti-démocratique cristallisées dans les sphères du pouvoir », a expliqué l’orateur. Soulignant que l’’identité ne se décrète pas, le conférencier a expliqué qu’elle (l’identité) est plutôt forgée à travers l’histoire. « L’identité n’est pas figée mais dynamique », a ajouté M. Bouaichi.

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A Monsieur Mourad Benachenhou…

benachenhou.jpgAmmi Said pour « Algérie Politique »

Ce qui peut être intéressant Mr le MINISTRE, Mourad Benachenhou, serait que vous vous mettiez à écrire votre histoire et celles de vos compagnons d’armes durant la guerre et ensuite ce que vous avez fait pour l’Algérie durant la période ou vous étiez au pouvoir. Pourquoi la décennie noire ? Comment vous avez pu construire autant de villas, de grands hôtels…et avec quel argent certains avaient pu arroser toutes nos côtes de béton et de fer ? Amirouche Allah irahmou avait fait la guerre contre la France, un colonisateur puissant et sans pitié, le savez-vous ? Savez-vous, que le peuple vivait dans la misère noire, la terreur et la torture et qu’il était resté derrière ces moudjahidine jusqu’à l’indépendance ? Savez-vous que les hommes que vous défendez avaient usurpé cette indépendance chèrement acquise, qu’ils avaient fait la guerre (ou peut-être avaient nettoyé l’Algérie des moudjahidine qui étaient susceptibles de s’opposer à leurs dessins machiavéliques: regardez le résultat de leur règne et ne le mettez pas su le dos de ceux qu’ils avaient assassiné ou écartés de force) et qu’ils continuent de faire la guerre à tous et à toutes celles qui avaient contesté et qui continuent de contester leur pouvoir illégitime, criminel et autoritaire.

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Si Amirouche et Abane étaient encore en vie ?

benachenhou.jpgMourad Benachenhou pour « Algérie Politique » 

Le colonel Amirouche et Abane Ramdane étaient de vrais nationalistes algériens qui,au delà des erreurs qu’ils ont pu commettre, ont lutté pour une Algérie unie de l’est à l’ouest et du nord au sud. S’ils étaient encore en vie, ils auraient été horrifiés de voir que le débat autour de leur histoire prend une allure résolument régionaliste si ce n’est ethnique. Je n’ai nulle part mis en cause ni leur engagement pour la cause nationale, ni leur nationalisme, mais seulement, et c’est mon droit comme Algérien et comme ancien moudjahid, signalé certaines erreurs qu’ils ont commises et qui ont coûté la vie à des milliers d’Algériens. La perfection n’est pas de ce monde, même chez les héros les plus parfaits.

J’ai écrit d’autres articles sur l’histoire de l’Algérie qui ont été critiques à l’égard d’autres responsables de la guerre de libération nationale en Wilaya 1 et Wilaya 5; personne alors ne m’a reproché d’avoir des tendances régionalistes. Il s’agit donc de savoir si on veut une histoire de l’Algérie unifiée et une ou une histoire de différentes régions, c’est-à-dire un retour au tribalisme qui a eu pour effet de prolonger le colonialisme d’un siècle. Apparemment certains choisissent la seconde approche et reprochent à ceux qui la refusent d’être régionalistes.

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A propos de la rencontre Nordine Aït Hamouda-colonel Bencherif

sisiaithamouda.jpgCi-après, le témoignage du Colonel Benchérif recueilli par le fils du Colonel Amirouche en présence de trois témoins, MM Saad Dahleb, Chibane et Salim Saadi, ex-ministres (extrait du journal l’Evènement du 18 octobre 1992) : Boumediene est nommément mis en cause. Cette information a pu être publiée du temps de la récréation démocratique : aujourd’hui que les vis sont serrées de nouveau comme du temps de Boumediene, le Colonel Benchérif s’est rétracté et n’a pas hésité à charger un mort, Kasdi Merbah, pour dégager sa responsabilité. Il a peur. Pourtant, c’est un ancien membre du Conseil de la Révolution, autant dire un homme de pouvoir.

EXTRAIT DU JOURNAL L’EVENEMENT :

Noredine Aït Hamouda :” Le 8 mars 1982, à M’sila, on m’annonce que les dépouilles mortelles des chahids, colonel Haouès commandant de la wilaya 6 et colonel Amirouche commandant de la wilaya 3, tombés au champ d’honneur, se trouvaient depuis 1964 au siège de l’Etat-major de la gendarmerie nationale. Allant aux informations auprès de MM.Lekhdiri, directeur de la Sûreté Nationale, Lekhal Ayat, directeur de la Sécurité Militaire, Larbi Belkheir, secrétaire général de la présidence de la République, on me répondit que cette information, que j’avais recueillie aux sources du dernier combat de mon père, n’était qu’une provocation, menée par les “détracteurs de la révolution”. Poursuivant mon enquête, j’ai rendu visite à I’ex-colonel commandant en chef de la Gendarmerie Nationale de 1962 à 1977, M. Benchérif entouré de MM. Salim Saadi et Chibane, ministres du gouvernement et Saad Dahlab, ancien dirigeant de la guerre de libération.

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Caricature de notre ami R.Z

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