Mise au point de LNR

imgpdfdujour.jpgEn politique, une déclaration d’un haut responsable d’un parti politique est sujette à une interprétation, à une analyse et à une critique qui ne font que créer un débat constructif. Maintenant que les critiques sont considérées comme une atteinte nécessitant une levée de boucliers, cela ne peut que nous donner une idée sur la maturité d’une scène politique qui a tout à gagner à écouter un autre son de cloche. Concernant, les positions de notre journal, nous les avons toujours affichées et assumées publiquement. Dans ce cadre, c’est au tour de celui qui s’est lancé dans l’invective à l’encontre de notre journal de rendre public son nom. Quant au “faible tirage” de notre journal, nous sommes honorés de vous compter parmi nos lecteurs et sûrement notre site web vous a renseigné sur le nombre de visiteurs qu’il reçoit chaque jour. De même, vu que nous avons bouclé nos 12 ans d’existence, cela vous renseigne, aussi, sur la qualité de notre édition qui ne vit pas des deux pages de publicité institutionnelle utilisée dans tous les pays comme une aide à la presse. Comptant sur votre sens démocratique, nous nous imaginons mal que cette mise au point ne sera pas publiée.

Commentaires

  1. Nawel dit :

    La mise en ligne de ce qui tient lieu de mise au point du journal La Nouvelle République est à votre honneur et témoigne de votre courage politique. Ceci dit, évoquer le FFS ou toutes autres questions ayant trait à cette région qu’est la Kabylie si chère dans nos coeurs ne doit pas donner lieu systématiquement à une levée de boucliers. Au contraire, la Nouvelle République a tout à fait le droit sinon le devoir d’aborder de tels sujets…Personnellement, j’ai suivi les déclarations de Tabbou qui m’ont franchement surprise d’autant que la question sahraouie vient en ligne droite du combat libérateur de notre peuple. Par ailleurs, on ne peut présenter le Maroc comme un parangon de la démocratie. De même que l’on a jamais vu un leader de l’opposition marocaine casser du sucre sur le dos de son pays alors que le SG du FFS ne se prive pas de critiques acerbes à l’encontre du régime algérien sans qu’il ne soit inquiété. Bien à vous en espérant voir également ce commentaire mis en ligne.

    Démocratiquement votre, Maâk yel khadra !

  2. chik dit :

    sinserment je lit je comprend pas ou vous lier vous en revenire nimporte quoi la de la part de ce journal ,soyer serieu svp soyer constructive dans vos phrase svp ah non nimporte quoi la

  3. la Carithastrophe! dit :

    Circulez, il n’y a rien à voir !

    Je voudrai dans un premier temps, souligner, que la motivation profonde qui m’a encouragé à émettre ce suivant commentaire est totalement indépendante, d’une quelconque volonté, de soutenir ceux ou celles qui se sentiraient, d’une manière ou d’une autre, affligés par cette énième escroquerie- journalise-TIC- éditée, puisque c’est son tour, à la une d’un quotidien qui se targue de boucler ses 12 années d’existence.
    Ainsi donc, ma réplique sera destinée par pur respect au blog et à celles et ceux qui le consultent !
    Comment peut-on justifier une telle attaque qui est par ailleurs, aussi vile que vaine, par le simple devoir d’avoir le droit de critiquer une position d’un dirigeant politique qui ne peut être d’ailleurs, qu’un responsable du FFS , pour conclure après une douzaine de lignes écrites à la hâte, que décidément, ce parti s’est livré sans scrupule, au service pernicieux du royaume Chérifien ! Là, je dirais vite, que le lieutenant Colombo ne fera pas mieux !
    Objection ! qui sera surement retenue par les nombreuses personnes qui par fidélité à ce blog, ont eu à s’éclater de rire devant cette tentative haineuse et revancharde d’un journal qui croit trouver le moyen idoine de s’incruster tel un champignon sur l’arbre de la « CHITA » pour tenir compagnie à El CHOUROUK, EL NAHAR, EL FEDJR et plein d’autres parasites qui n’attendent qu’à être actionner pour obéir. La cible est toute bien indiquée, Le FFS, puisque à l’état ou nous en sommes, elle ne peut être que ce parti-ogre, qui gène quand…. il dégaine !
    Peut-on se flatter du droit de critiquer le seul parti qui dit vrai ?
    Peut-on contredire une seule déclaration faite dans cette émission, autour de se qui se passe en Algérie ?
    Avez-vous le moindre écho récolté auprès des citoyens qui étaient très nombreux à regarder cette émission ?
    Savez – vous que cette émission a été rediffusée pas moins de 20 fois à compter du 19 Avril 2010 et que votre pigiste l’avait aperçue que lors du 10ème passage ?
    Et que dire du timing ! À un moi du premier passage ! Quoi dire ? Un vrai exemple de ponctualité ! Pour un scoop, vous avez vraiment raté l’occasion de prolonger votre weekend !
    Heureusement, qu’après le retentissant succès de cette émission, ici et ailleurs, on a vu le réveil de beaucoup de langues et de plumes qui ont enfin décidé de rompre avec le silence. Ces gens là, elles sont en train de réfléchir et de tenter d’élaborer des entreprises allant dans le sens des retrouvailles entres les peuples qui étaient et qui sont toujours otages, des régimes que vous défendez crânement sans qu’ils vous sollicitent ! À propos de cette affirmation, je suis plus que catégorique !
    Heureusement aussi, que votre quotidien ne risque pas de polluer l’atmosphère plus les autres. Evidement, il est inutile de décliner la raison ! Car elle saute aux yeux.
    Le FFS qui lutte sans répits et depuis toujours, pour l’instauration d’un Maghreb démocratique des peuples qui soit l’aboutissement de l’enracinement de véritables états de droit et de justice sociale, ne peut être dérangé ou inquiété par des « zélés » qui ont découvert par ailleurs , que le fait de mettre la photo de Hocine Ait Ahmed à la une , ça fait immédiatement écouler les 1000 journaux tirés !

  4. Ami dit :

    Et en journalisme, il faut bien respecter les règles de l’art lorsqu’on rapporte les faits, c’est à dire avec fidélité et honnêteté.

    Maintenant si on commet des erreurs de bonne foi par rapport à cet aspect, on peut s’excuser, il n’y a pas de mal à cela,, mais si on le fait à dessein, là ça devient grave.

    Heureusement que l’entrevue était sur chaine audio-visuelle.

    Par contre ce que je ne comprend pas, sur quelle base un citoyen algérien est obligé d’adopter voire même de défendre la position de nos soi-disant gouvernements illégaux et illégitimes successifs, en un mot le régime, par ce qu’il faut faire preuve d’esprit de clan, c’est de la pure inquisition des esprits, on se croirait au moyen âge, une constante nationale et celui qui y déroge est un traitre!!!!

    Laissez les gens exprimer leurs points de vue du moment qu’il ne s’agit pas en principe (Et là c’est vous qui ferez une levée de boucliers par procuration) d’atteinte à notre souveraineté et autres considérations stratégiques.

    On arrive à intimider les gens juste par rapport à ce genre de questions, c’est grave quand on sait qu’au même moment c’est nous qui payons la facture et qu’un jour, les premiers qui se retourneront contre nous seront ceux-là qu’on a hébergé, aidé etc…. les marocains, libyens et tunisiens n’ont même pas attendu qu’on reprenne notre souffle après 124 + 8 de guerres interminables pour venir grignoter des KM² aux frontières, et nous, on va ouvrir un nouveau front de problèmes et de soucis interminables aussi.

    Je voulais également dénoncer les milliers de personnes qui tirent avantage de cette « cause » associations, boites audiovisuelles, partis politiques, officiels et autres ici et outre-mer, qui se remplissent les poches, le ventre et mangent aux frais du contribuable algérien à chaque séminaire, colloque, festivité etc….

  5. thamourth dit :

    Oui, nous sommes fiers, grâce au courage de valeureux algériens vous pouvez compter sur le sens démocratique de ce site pour publier votre droit de réponse. De mon coté, je suis sure que nous n’aurons jamais l’occasion de faire de même dans votre journal. Concevoir une « UNE » de ce genre, vous appelez vous ça, instaurer un débat démocratique !!!??? Vous qui n’avez jamais donné la parole à un démocrate, vous qui vivez encore et encore avec les acquis des Djaout, Mekbel …etc. et qui êtes incapable d’exprimer un minimum d’opposition à un régime qui tue les enfants d’Algérie !!!??? Lorsqu’un jour, la véritable démocratie d’installera définitivement, vous serez pourchassez comme des lapins dans vos douras pour répondre du mal que vous avez semé en Algérie.
    «Un cadre du FFS à bien dit « on regrette le temps d’El Modjahid ».
    Si je suis journaliste, je ferai mon travail convenablement, à défaut je ferai autre chose. Au moins, je ne servirai pas de façade démocratique au régime. Vous, vous la faite et parfaitement.

  6. Algérien dit :

    Thamourth, votre verdict est sans appel : « Lorsqu’un jour, la véritable démocratie s’installera définitivement, vous serez pourchassés comme des lapins dans vos douars » ; il trahit une propension à l’extrémisme qui me rappelle étrangement un certain slogan du FIS dans les années 1990. Heureusement que l’armée était là pour chasser ces « cafards ».
    Revenons à Tabbou : je suis un citoyen algérien et j’ai comme beaucoup suivi les différentes interventions du responsable du FFS sur deux chaînes marocaines et non pas une, effectivement. Je me suis moi-même posé la question de savoir pourquoi le FFS était à ce point sollicité par nos voisins marocains à ce moment précis ? Certains m’ont répondu que cela était sans doute une réponse logique au verrouillage des médias lourds par le régime algérien. La thèse tient la route, en effet. La télé algérienne est entre les mains de pantins doublés de médiocres. J’en conviens. Mais, Internet existe, des journaux démocrates aussi ; ils sont nombreux et leur tirage est respectable. Pourquoi leur tourner le dos pour aller « flirter » avec la monarchie voisine et défendre les thèses marocaines à demi-mot, au point de tomber dans le piège de journalistes marocains tout aussi « menottés » que les nôtres, et se prêter au jeu du Palais ? La preuve ? Il n’y a qu’à voir les questions :
    - Pourquoi l’Algérie achète-t-elle des armes ?
    - La question du Sahara, comment est-elle perçue par la rue algérienne ?
    - La fermeture des frontières…
    - Le terrorisme…
    - Les droits de l’homme…
    - La corruption…
    - Etc.
    En somme, en se prêtant à ce jeu (complicité ou naïveté politique ?) le porte-parole du FFS a prêté le flanc aux Marocains qu’il a pleinement satisfait au travers de ses réponses nihilistes et par trop exagérées.
    Le journal algérien (La NR) n’a pas tout rapporté. Dire, par exemple, que les Algériens vivent dans la misère, cela appelle plusieurs questions : les Marocains jouissent-ils d’une vie en rose ? Sont-ils à ce point libres de leur propos ? La misère en Algérie se quantifie-t-elle en termes de « nourriture » ? L’Algérie, ce n’est pas Haïti, M. Tabbou. Ce que vous appelez « misère » (et qui conduit à la harraga, en effet), c’est un désir irrépressible des Algériens de vivre comme les pays du Nord ; dans un pays où les choses marchent à peu près normalement ; où le travail et l’effort devront reprendre leur place d’excellence ; où les corrompus devront être pendus haut et court sur les places publiques pour éradiquer ce fléau pour de bon, etc.
    Non, M. Tabbou, les Algériens ne crèvent pas de faim, ils aspirent à vivre mieux. Et vos propos étaient sinon mensongers du moins exagérés.
    Enfin, on ne « tire » pas sur son pays à partir d’un autre ; c’est une mauvaise habitude qu M. Tabbou semble avoir hérité de son chef Hocine Aït Ahmed qui éprouve un plaisir orgastique à geindre contre tout ce qui est algérien à partir de son exil doré de Lausanne. Au fait, combien le grand manitou du FFS a-t-il vendu « sa » villa à Alger ? Au moins, on ne pourra pas dire que lui, il vit dans la misère…

  7. justice&verite dit :

    Un torchon de + qui vit sur la securité sociale (bagrat eldzair) zaama presse-algerie libre mais du DRS (deux pages de publicité institutionnelle utilisée dans tous les pays comme une aide à la presse) contre le peuple algerien.

    Comme ce torchon (www.lnr-dz.com) s’auto devoile?
    oú sont ces 2 pages pub institionnelle?
    seulement un spot pub sur le web design et le reste nada…khor’rafates de djeha en 2010…

    Ce torchon pretend qu’il existe depuis 12 ans … zut!
    alors que nous venons juste de le decouvrir … 12 ans de securité sociale!

    2 pages de pub pour le web master (drs) mais qui payent des salaires enormes pour ces istes qui mettent uniquement des initiales sous la dictée de leur maitre/dieu absolu.

    Que peut-on deduire alors ?
    tout simplement des miserables qui attendent le signal de leur maitre et dieu absolu qu’est le drs pour cracher leur mensonge afin d’acquerir un petit morceau de galette.

    Nous avons parcouru tout ce torchon de long en large et diagonalement aucun article ne porte une signature d’un vrai journaliste digne du nom tout simplement des initiales … ces pauvres taiebat-el-hammam!

    OSEZ-vous signer vos noms sous vos articles (s’ils le sont) si vous etes professionels/Homme?
    SINON la boucle racaille et microbe de toute l’humanité.
    HELAS vous vous etes auto-devoilés au monde entier.

    Au bon entendeur.

  8. Samra dit :

    C’est avec un intérêt particulier que je viens apporter un point de vue à ce propos. Il est claire que la liberté d’expression n’a pas de frontière. Ceci étant, je tiens à souligner que pour atteindre ce stade, il y a lieu d’abord d’apporter une contribution effective pour la libération des peuples des chaînes. Et c’est le combat de chacun qui croit dur comme fer à la liberté d’expression. Pour Tabbou qui se place sur cette voie, a (consciemment ou inconsciemment) et en politique y a pas d’action inconsciente choisie d’étaler ses opinions sur 2M en présence de responsables du royaume chérifien qui pour le simple citoyen marocain sont à l’origine de sa situation socio-économique et politique très en deça de ce qu’il devrait l’être. Tabbou qui représente se place comme acteur de l’opposition dans son propre pays s’est alliée au Maroc non pas avec l’opposition marocaine, qui elle est sous le poids des procès arbitraires, interdites sur les divers plateaux de chaînes télé du Maroc et sur les ondes des radios marocaines une opposition persécutées au quotidien par le Makhzen. Ce dernier se conforte et se consolide via ceux qui étaient présents à tes côtés sur le plateau de 2M. La prestation de Tabbou si elle a eu un effet sur l’opinion marocaine, c’est celui de découvrir que le parti algérien que représente Tabbou s’aligne sur les partis marocains représentant le Makhzen qui manœuvrent à maintenir le peuple marocain dans sa pauvreté et freiner son élan et son essor. Cci au moment ou d’autres partis de l’opposition marocaine militent souvent en détriment de leur vies, un choix honorable pour faire l’avènement d’une justice, social, économique et politique (pour ne citer que Nahdj démocratie et d’autres associations civiles et les syndicats). Quant aux propos de Tebbou sur le Sahara Occidental, il devrait consulter les annales et les textes de l’Onu et ceux de la 4eme commission onusienne depuis l’occupation espagnole du Sahara Occidental. L’occupation et la colonisation marocaine du Sahara Occidental est une réalité qui devrait changer selon le Droit internationale et dont les souffrances endurées par le peuple sahraoui depuis près de 35 ans (sans compter les années vécues sous le joug espagnol) devraient interpeller tout responsable politique épris de justice et de liberté de part le monde pour que cesse cette injustice et cette colonisation. Un grand pas vers la liberté et l’indépendance qui verra sa traduction effective comme nous le renseigne l’Histoire de d’autres peuples qui ont subis la colonisation et l’occupation. La politique c’est aller dans le sens de l’Histoire et de ses renseignements

  9. Lafhal dit :

    Je me rappelle lorsque Mandela Algérien est rentré d’exil en 1990 si ma mémoire est bonne , certains journaleux sont même attaqués à la dignité de Hocine Ait Ahmed en inventant , rappelez vous bien la rumeur comme quoi , sa secrétaire va avoir un enfant de lui et je me souviens aussi qu’un grand journaliste leur a répondu qu’il serait très enchanté d’être le  » bâtard  » de Hocine Ait Ahmed .
    Arrêtez pauvres types , si AA Hocine avait accepté le poste que vos chicours lui ont proposé , vous lui feriez la courbette et la bise main comme le font vos compères avec les généraux .
    La seule chose que je reproche à Ait Ahmed , c’est d’avoir refusé le poste de Président ( contraire à ses principes ) comme ça je verrais ces mesquins se courber comme ils ont l’habitude de le faire .
    Le premier Algérien qui a donné à ,son fils le nom d’un de nos valeureux Amazigh  » JUGURTHA  » en 1954 .Condamné à mort par ces frères de combat , évadé de prison , il était dans l’avion quand le premier acte de PIRATERIE caractérisé commis par la France , le premier à avoir passé son bac en prison , le premier à avoir passé la thèse de Doctorat sur L’AFRO FASCISME , 21 sur 24 des militants qu’il a formés avec Mecili ont été arrêtés en 1980 , le deuxième parti politique durant les véritables élections en Algérie en 1991.
    Les valets resteront valets , les chiens aboient et la caravane passe .

  10. amghar azzamni dit :

    La presse algérienne, pressée de donner des informations qui discréditent et critiquent l’opposition, en particulier un seul parti national qui dérange à plus d’un titre l’ordre établi.Il est clair que cette presse qui prétend et se dit indépendante n’est en fait que de plus en plus liée par un fil ombilical indestructible au sérail.On peut penser un moment que cette presse est mise au pas parceque tout simplement mouillée ou achetée par des mentors au service d’autres mentors plus géants qu’eux!Die des inepties et s’attaquer à des vérités en racontant des ragots qui ne peuvent franchir une grande porte grandement ouverte tellement ils sont d’une énormité incommensurables.
    Des journaleux, avides de gains faciles, écrivant et publiant des informations déformées pour plaire à leurs chefs, c’est totalement haineux et lache!
    De quelle déontologie journalistique font-ils partie ces gens au comportement cupide!
    Le mensonge ne paie plus dans notre pays, les lecteurs ne sont plus naifs comme au temps du parti unique;ils ont été échaudés par l’intox usitée à cette époque pour permettre aux dirigeants de faire passer leurs projets sordides!

  11. arezki dit :

    azul.le ffs est un parti democratique,au sens le plus large du terme.donc il ne peut pas et il ne sait pas mentir.il dit tjr la verite parcequ’il sait que le peuple algerien a mare des mensonges.le ffs ou qu’il soit parle vrais et sans aucun complexe.il parle vrais en france et devant les medias francais,en suisse et devant les medias suisses,en espagne et devant les medias espagnols,en italie,en amerique,devant eldjazeira,en engletaire etc…il n’a pas de fil a la patte,voila pourquoi il derrange.il est le seul parti politique veritablement autonome en algerie.thanmirth.

  12. NARMOTARD dit :

    A la « Mise au point de LNR ».

    Permettez-moi, par courtoisie, de diriger mes premiers propos en direction de madame Nawel, avant l’innomé auteur de la « mise au point ».

    Avec mes hommages, je voudrais vous exprimer ici mes félicitations pour votre participation à ce débat qu’offre le blog El Mouhtarem.
    Je ne partage pas vos positions que je peux réfuter et proposer d’autres solutions quant à la question sahraoui ou à la politique extérieure des frontières. Elles méritent chacune une long, large et profond débat public, libre et non contrôlé ou orienté à distance, par l’inévitable police du secteur politique informel algérien.
    Il m’a semblé que, dans votre intervention, vous avez considéré le FFS comme une question « entre autres questions ayant trait à cette région qu’est la Kabylie… »
    Je me permets donc d’attirer amicalement votre aimable attention sur le fait qu’il s’agit là du seul parti d’opposition qui a prouvé, depuis 1963, et prouve chaque jour encore à travers toute l’Algérie, sa crédibilité à travers sa légitime et constante lutte politique. Cette lutte de résistance a toujours été accompagnée de propositions sérieuses à même de sortir le pays du marasme multidimensionnel dans lequel il s’enfonce de plus en plus du fait de l’autisme et l’entêtement qui caractérisent le pouvoir de la RADP.
    Ainsi l’action politique du FFS dépasse les limites territoriales de la Kabylie dans lesquelles, le régime de la RADP voudrait le contenir, comme dans un ghetto, à défaut de parvenir à le détruire.
    Son activité est nationale et universelle, en faveur de l’émancipation de la personne humaine en général, et des droits et libertés démocratiques du peuple algérien en particulier.
    Sa présence en Suisse assurée par son président, AÏT AHMED Hocine, permet d’attirer l’attention des Instances de l’ONU qui se trouvent dans le voisinage, avec l’aide de la Chancellerie du FFS à l’étranger, évidemment. Il soumet aussitôt à celles-là les dossiers bien ficelés en bon avocat défendant la cause des droits de l’homme, des syndicats, des individus contre les exactions ou les abus d’autorité du pouvoir algérien.
    Sachant que ce régime qui réprime et fait la guerre contre son peuple, à huis clos et dans l’impunité garantie, doit obligatoirement, réduire ses agressions, en se soumettant aux injonctions de ces Instances onusiennes ainsi alertées. Ces dernières disposent des moyens efficaces et nécessaires pour lui faire respecter les Conventions et Engagements internationaux, qu’il a signés au nom de l’État algérien.
    Ainsi, la présence de AÏT AHMED Hocine en Suisse est très douloureuse pour le régime, mais salvatrice pour les citoyens victimes de l’abus de pouvoir.
    Je puis témoigner que AÏT AHMED Hocine a toujours été là où il ne se serait jamais dérobé.
    J’espère enfin que vous n’êtes pas tombée, madame, dans le piège de la propagande officielle visant à faire accroire que le FFS est le parti des Kabyles uniquement et non pas des Algériens, arabophones et amazyghophones confondus.
    Cette propagande financée avec les deniers publics dans le but de diviser pour régner, est indispensable à ce pouvoir qui a donné maintes fois la preuve qu’il est corrompu et corrupteur, divisé et diviseur.

    A l’intention de l’innominé auteur de « cette mise au point »:

    1°- Je dirai que dans cette affaire, La Nouvelle République s’est placée, en quelque sorte, sur le banc des accusées. Le chef d’accusation n’est pas la diffamation, mais l’introduction par effraction d’un débat-polémique contreproductif.

    Conformément à l’éthique politique qui est essentielle au FFS, cette mise au point et effectivement publiée. Cela, malgré que ce grand parti d’opposition, reconnu à travers le monde, soit la victime directe d’une procédure d’attaque, digne d’une prise d’assaut d’un objectif militaire, qu’on peut qualifier de cavalière et qui est engagée à la une du journal en question.
    Quel argumentaire apporte donc cette mise au point, en dehors du fait de vouloir tester la capacité du blog à jouer l’équité impartialement ?
    Ceci me rappelle étrangement, au lendemain de l’indépendance, l’interpellation du président du Conseil, BENBELLA Ahmed, par le député AÏT AHMED Hocine, dans ces termes:
    « Monsieur le président, donnez-moi la parole et arrachez-moi la vérité ».

    2°- Vous dites dans votre mise au point du 10 mai 2010, que: « En politique,une déclaration d’un haut responsable d’un parti politique est sujette à une interprétation, à une analyse et à une critique qui ne font que créer un débat constructif. Maintenant que les critiques sont considérées comme une atteinte nécessitant une levée de boucliers, cela ne peut que nous donner une idée sur la maturité d’une scène politique qui a tout à gagner à écouter un autre son de cloche. »

    Vous êtes servi, vais-je dire en ajoutant qu’aucune personne honnête ne peut être en désaccord avec ce que vous dites là. Personne, sauf qu’au lieu d’un son de cloche, vous avez peut-être, il faut que vous l’avouiez, vous avez peut-être brutalement et maladroitement tiré la cloche.

    3°- Vous dites que: »c’est au tour de celui qui s’est lancé dans l’invective à l’encontre de notre journal de rendre public son nom. »:

    Bien sûr, c’est votre droit de vouloir connaître le nom de la personne qui porte le pseudonyme carithastrophe. Mais, ne pensez-vous pas que votre veux aurait été justifié si la personne vous avait saisie par lettre écrite sans signature, fonction, grade, etc. Cependant, s’agissant d’un blog qui se caractérise par les pseudonymes en général, vous n’allez donc pas avoir l’incorrection d’exiger le nom de votre correspondant virtuel électronique.

    Vous savez bien, ou vous ne savez peut-être pas que dans un pays qui dispose d’un État de droit, d’un contre-pouvoir légalisé digne de ce nom et d’une justice indépendante que l’Exécutif n’osera jamais instrumentaliser, ni même penser le faire, la procédure d’un « débat constructif » n’y nécessite guère de recours au pseudonyme. Car, la libre expression des idées contradictoires n’est ni censurée ni bâillonnée. Elle y est même juridiquement et pratiquement encouragée dans des débats démocratiques télévisés entre l’opposition et les pouvoirs publics. Les citoyens s’imprègnent de l’information directe, participent quelques fois au thème du débat, et peuvent juger ainsi en connaissance de cause et d’une façon plus objective que subjective.
    Est-ce le cas de notre pays ?
    La question est mal venue dans cette RADP, république des camarades et de la fumeuse famille révolutionnaire qui est tenue en respect par le cordon nourricier fécond.

    Vus ce que vous venez d’écrire dans votre mise au point et ce que je viens d’exprimer par ces quelques lignes, sous mon pseudonyme, vous deviez normalement orienter votre éditorialiste et vos journalistes, dans le sens de la défense des droits de l’homme, par exemple, ou bien dans la dénonciation des lois scélérates. Celles dont les dispositions empêchent tout changement politique véritable fondamental et constitutionnel, autre que le changement clanique dans la continuité du fait du prince, injuste et belliqueux. Cette scélératesse qui a poussé à l’exil nombre de nos meilleurs élites, ou laissé végéter nos cadres résignés, quand ils ne se font pas sauter comme des fusibles expiatoires pour la sauvegarde des requins qui nagent à l’aise et sévissent dans l’impunité que leur garantie intra muros leur RADP.

    4°- Vous affirmez votre fierté devant la qualité de votre édition qui existe depuis 12 longues années.
    Je suis persuadé que cette qualité pourrait égaler, sinon dépasser celle du journal réputé à sensations, France Soir, à condition d’évoluer dans un État de droit tel que le sien.
    N’ayant aucun espoir de vous créer une telle condition enviable, vous vous êtes défoulé sur « le FFS se vend au Maroc » peuple frère du notre malgré tout, sous prétexte de provoquer « un débat constructif », ou plus précisément un débat-polémique stupide, à mon humble avis.

    Votre intitulé, « Le FFS se vend au Maroc » tombe comme désagréable sentence qui soulève des questionnements. Le moins douloureux de ces derniers est de savoir le coût de la vente. Est-ce plus cher que le pétrole et le gaz ou l’uranium, seuls produits que le régime vend pour entretenir ses rentiers, alimenter les comptes des multinationales et doter le budget. Cette rente permet au régime de se passer de la contribution des citoyens contribuables afin qu’ils n’aient pas le droit d’exiger des comptes ou de prétendre à une représentation parlementaire forte et intègre qui soit capable de participer à la prise des décisions politiques. Cette rente permet au régime totalitaire de la RADP d’éviter la situation qu’avaient vécue les Américains en exigeant la représentation politique contre la contribution en impôts: « No contribution without participation ».

    Le régime algérien a facilité, pour perdurer, le marché noir ou informel ou encore trabendo, dans le but d’y fixer une partie de la population. Il a dévalué la valeur du travail afin d’écarter de la sphère dirigeante et de la scène politique verrouillée, les travailleurs, les hommes de l’art, les médecins , les enseignants, etc, tous sous payés, alors que des milliards de pétrodollars sont mis à la dispositions des banques étrangères contre un minable intérêt.
    En vendant, sans le contrôle du peuple souverain puisque ses parlementaires ont été achetés par l’augmentation conséquente des émoluments, les richesses publiques non renouvelables, le régime vend en fait son âme ainsi que celle de tous les Algériens qui souffrent de la mal-vie engendrée par la mauvaise gouvernance politique dans tous les secteurs.

    5°- Si l’on se réfère à l’esprit de votre mise au point, l’on s’attend à ce que vous soyez irrité et révolté par l’unanimisme officiel qui ne supporte ni réserve, ni critique sérieuse pertinente.
    Je suis persuadé que l’effet de votre scoop contre le FFS, aurait été de loin plus populaire et plus profitable aux citoyens algériens, si vous aviez pris la défense de leurs justes causes, à l’instar de ce même parti qui assume cette mission démocratique, malgré vents et marées, depuis 1963.
    Vous savez très bien que depuis 1989, le pluralisme politique s’est avéré inopérant face à un parlement assimilé à une caisse de résonance, incapable de récupérer « l’indépendance confisquée » et encore moins libérer les droits et libertés démocratiques bridés. De même les syndicats autonomes autorisés sont soumis à l’hégémonie de l’UGTA qui est au service du régime.

    Vous savez, en fin, que si ce pluralisme politique de 1989 est impuissant et qu’il le restera tant qu’il n’accepte pas d’unir ses efforts, ainsi que les vôtres, à la seule force qui lutte réellement contre l’ennemi commun des libertés algériennes et contre la démocratie, depuis 1963. Cette force, ne vous y méprenez pas, s’appelle le FFS.

  13. amghar azzamni dit :

    @NAWAL,

    Je reléve dans votre commentaire une phrase qui en dit long sur votre parti pris et votre attitude farouche envers le FFS.Vous dites, je cite: » Le SG du FFS ne se prive pas de critiques envers le régime algérien sans en etre inquiété « .
    Qu’attendez du régime algérien en disant cela ? Qu’il mette le SG du FFS en prison ou quoi d’autre ?
    Voulez-vous avoir l’obligeance de nous expliquer votre point de vue la dessus?
    Merci Nawal.

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