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Archive pour le 14 mai, 2010

L’Algérie a été violée maintes fois dans son histoire

bouteflikacherchell.jpgBaghdadi pour « Algérie Politique »

L’Algérie a été violée maintes fois dans son histoire: Elle pleure, elle piétine mais elle reste forte et courageuse…
Quand on parle de viol, le viol reste un acte criminel. Et c’est le cas de l’Algérie. Dans son histoire, elle a été violée à plusieurs reprises. D’abord, par la France, celle-ci a commis un génocide humain (cas de Guelma-Sétif), et un viol de la souveraineté nationale. Ensuite, durant la guerre de libération, par les deux groupes stationnés respectivement à Oujda (Maroc) et à Ghoumeir (Tunisie). Durant et après la guerre, ils ont commis un viol moral, un viol éthique, un viol politique, un viol socio-économique du pays. Ces deux groupes n’ont jamais fait le maquis. Ils se sont fixés dans ces pays voisins, et attendaient le moment favorable pour s’engager sur la scène nationale et prendre les honneurs. 

Ayant compris que la fin de la guerre approchait, la plupart d’entre-deux  étaient des déserteurs de l’armée française, ils se sont mis d’accord pour l’élaboration d’une stratégie de la gouvernance de l’Algérie et de son viol systématique, à tous les niveaux.  Pour préparer et asseoir leur pouvoir, ils avaient commencé à violé l’histoire de l’Algérie: trahir les vrais Moudjahidine et les assassiner, en l’occurrence le vaillant Abane Ramdane, et surtout toute l’Unité redoutable du Colonel Amirouche et de son camarade si-Elhoues, qui avait donné du fil à retordre à la France.

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Anis Rahmani viole le code du travail !

anis.jpgNous apprenons d’une source sûre que le directeur du quotidien arabophone Ennahar, Anis Rahmani, a tenté d’imposer à ses journalistes la signature d’un contrat d’une durée de deux ans.  Le contrat  stipule que le signataire n’a pas le droit de quitter le journal durant cette période. Considérant que le contrat est en violation du Code du travail, les journalistes ont refusé de le parapher. Pour rappel,  Ahmed Fattani, directeur de l’Expression, avait tenté, en 2008, d’imposer un contrat de cinq ans à ses journalistes stipulant que si le journaliste décide de quitter le journal avant la fin du contrat, il procédera au remboursement d’une somme de 200.000 DA. El Mouhtarem

Presse au Maghreb : Journalistes bâillonnés mais pas muets

libertedelapresse1174749806.jpgMontpellier sera, ce lundi 17 mai 2010 le haut lieu de la liberté de la presse au Maghreb. Pour la première fois, des journalistes aux prises, en Tunisie en Algérie et au Maroc, avec leurs dirigeants respectifs, parleront du combat qu’ils mènent pour soulever la chape de plomb qui pèse sur l’information dans leurs pays.

Taoufik Ben Brik est le plus fameux d’entre eux. Après six mois d’enfermement, ce journaliste intraitable est sorti le 27 avril du bagne de Monaguia, à trente kilomètres de de Tunis. Il y avait été emprisonné après qu’une femme se fut plainte d’avoir été « agressée » par l’opposant. A l’évidence, un coup monté.

Radio indépendante  
Autre journaliste de Tunisie : Sihem Bensedrine. Le 20 octobre, cette femme intrépide a été rouée de coups par des policiers en civil alors qu’elle se rendait à une formation pour la couverture des élections par les médias. Elle a créé Kalima, une radio indépendante, doublée d’un site internet, qui diffuse sur la Tunisie et depuis peu sur l’Algérie. Yahia Bounouar, le journaliste indépendant qui anime Radio Kalima Algérie, sera là pour raconter comment, à la demande des présidents Ben Ali et Bouteflika, Eutelsat a mis un terme le 16 mars à la diffusion par satellite de cette station indépendante.

Dissidents

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