« Presse au Maghreb: Journalistes bâillonnés mais pas muets », dites-vous.
Il nous faut nous réapproprier Notre histoire: ce qui implique de ne rien accepter, malgré les tortures morales et physiques, sans l’examiner, mais de ne rien en rejeter, non plus, à priori.
Là, réside le sens véritable de l’éducation, lequel doit viser, pour reprendre des expressions de Friedrich Nietzsche, à « nous enraciner dans notre existence » et à ne pas laisser la civilisation être « une fleur de papier piquée sur la vie ou versée dessus comme un nappage de sucre ».
Quelle que soit l’expérience de chacun de nos journalistes maghrébins qui se réunissent à l’étranger pour pouvoir débattre utilement et dans une ambiance serein que leurs régimes politiques respectifs sont incapables de tolérer, ils ont su retrouver le sens de la liberté, en prenant compte, lucidement, la singularité de chaque situation.
Bon courage et bon vent dans vos importants et utiles travaux qui traitent du sombre présent pour lieux éclairer le chemin d’un avenir radieux pour toute l’humanité.
« Presse au Maghreb: Journalistes bâillonnés mais pas muets », dites-vous.
Il nous faut nous réapproprier Notre histoire: ce qui implique de ne rien accepter, malgré les tortures morales et physiques, sans l’examiner, mais de ne rien en rejeter, non plus, à priori.
Là, réside le sens véritable de l’éducation, lequel doit viser, pour reprendre des expressions de Friedrich Nietzsche, à « nous enraciner dans notre existence » et à ne pas laisser la civilisation être « une fleur de papier piquée sur la vie ou versée dessus comme un nappage de sucre ».
Quelle que soit l’expérience de chacun de nos journalistes maghrébins qui se réunissent à l’étranger pour pouvoir débattre utilement et dans une ambiance serein que leurs régimes politiques respectifs sont incapables de tolérer, ils ont su retrouver le sens de la liberté, en prenant en compte, lucidement, la singularité de chaque situation.
Bon courage et bon vent dans vos importants et utiles travaux qui traitent du sombre présent pour lieux éclairer le chemin d’un avenir radieux pour toute l’humanité.
Hormis quelques journaleux ,des agents stipendiés par des pouvoirs occultes, nos écrivains ateints de pauvreté jusqu’aux tréfonds de leur ame , tentent vainement de rétablir des vérités et luttent déloyalement contre des pouvoirs aux abus de pouvoir.
Nos pauvres journalistes honnetes,par leur éducation ancestrale pour quelques uns d’entre,sont vilipendés quotiennement par des hommes comme eux, journalistes de profession, mais au service des tenants du pouvoir dans les régions du Maghreb.
A tous nos journalistes épris de justice et de liberté, je dis bon courage et bon vent!
« Presse au Maghreb: Journalistes bâillonnés mais pas muets », dites-vous.
Il nous faut nous réapproprier Notre histoire: ce qui implique de ne rien accepter, malgré les tortures morales et physiques, sans l’examiner, mais de ne rien en rejeter, non plus, à priori.
Là, réside le sens véritable de l’éducation, lequel doit viser, pour reprendre des expressions de Friedrich Nietzsche, à « nous enraciner dans notre existence » et à ne pas laisser la civilisation être « une fleur de papier piquée sur la vie ou versée dessus comme un nappage de sucre ».
Quelle que soit l’expérience de chacun de nos journalistes maghrébins qui se réunissent à l’étranger pour pouvoir débattre utilement et dans une ambiance serein que leurs régimes politiques respectifs sont incapables de tolérer, ils ont su retrouver le sens de la liberté, en prenant compte, lucidement, la singularité de chaque situation.
Bon courage et bon vent dans vos importants et utiles travaux qui traitent du sombre présent pour lieux éclairer le chemin d’un avenir radieux pour toute l’humanité.
« Presse au Maghreb: Journalistes bâillonnés mais pas muets », dites-vous.
Il nous faut nous réapproprier Notre histoire: ce qui implique de ne rien accepter, malgré les tortures morales et physiques, sans l’examiner, mais de ne rien en rejeter, non plus, à priori.
Là, réside le sens véritable de l’éducation, lequel doit viser, pour reprendre des expressions de Friedrich Nietzsche, à « nous enraciner dans notre existence » et à ne pas laisser la civilisation être « une fleur de papier piquée sur la vie ou versée dessus comme un nappage de sucre ».
Quelle que soit l’expérience de chacun de nos journalistes maghrébins qui se réunissent à l’étranger pour pouvoir débattre utilement et dans une ambiance serein que leurs régimes politiques respectifs sont incapables de tolérer, ils ont su retrouver le sens de la liberté, en prenant en compte, lucidement, la singularité de chaque situation.
Bon courage et bon vent dans vos importants et utiles travaux qui traitent du sombre présent pour lieux éclairer le chemin d’un avenir radieux pour toute l’humanité.
Hormis quelques journaleux ,des agents stipendiés par des pouvoirs occultes, nos écrivains ateints de pauvreté jusqu’aux tréfonds de leur ame , tentent vainement de rétablir des vérités et luttent déloyalement contre des pouvoirs aux abus de pouvoir.
Nos pauvres journalistes honnetes,par leur éducation ancestrale pour quelques uns d’entre,sont vilipendés quotiennement par des hommes comme eux, journalistes de profession, mais au service des tenants du pouvoir dans les régions du Maghreb.
A tous nos journalistes épris de justice et de liberté, je dis bon courage et bon vent!