Algérie: Le FFS et son évaluation
Fayrouz pour « Algérie Politique »
Le Front des Forces Socialistes prépare activement un événement qui s’annonce grandiose et mobilisateur, selon des sources généralement très bien inspirées. On croit comprendre aussi en relisant cette fois ci le dernier message du président du parti, Hocine Aït-Ahmed au conseil national réuni les 5&6 Mars, que ce rendez-vous n’a absolument rien de semblable aux Audits traditionnels et encore moins aux conventions thématiques organisés jusque là par le parti. Une véritable échographie semble être bien envisagée.
Je voudrais m’arrêter pour tenter de comprendre le contexte qui aurait poussé les dirigeants du FFS à choisir ce timing, cette conjoncture. Car, il faut se le rappeler, l’appel à initiative engagé au lendemain du 4ème congrès du doyen de l’opposition algérienne, fut à mon avis, un couronnement d’une dynamique particulièrement militante et partisane. Ces appel fut pour le FFS, surtout, après la réussite du congrès, une finalité, au moment où les Algériens espéraient que cela soit une amorce d’un moment inouï pour le réel changement. Depuis, que de déception et que de désillusion, en signalant, objectivité oblige, que l’inertie et l’inaction n’incomberaient pas forcément aux initiateurs, car qui dit appel à initiative, dit logiquement échos.
Est-ce le tome II de l’Appel à initiative ? Est-ce l’aboutissement d’un travail de Fourmis qui voit le jour ? Est-ce une bouée de sauvetage à un peuple qui tente globalement de se sauver autrement ? Est-ce une volonté sincère à l’intérieur du parti de se ressourcer pour mieux se lotir en prévision des futures échéances ? Difficile, trop difficile même de comprendre et encore moins d’être optimiste. Le régime Algérien semble avoir entamé cette évaluation clanique avant les autres. Hélas, il aura toujours plusieurs semelles d’avance sur toutes formes d’embûches qu’on lui souhaite placer ! Churchill disait à son propos: l’histoire me sera clémente car je songe l’écrire.
Le FFS aura le mérite habituel qu’on lui reconnaît sans ambages, car il demeure le seul parti qui tente de changer pour mieux aborder le changement !
finalement ki djedai ki tabbou il veulent contrôle tout les sections les fédération les apc les apw l’apn, d’ailleurs actuellement l’enjeu c’est les législatives, or que la réalité c’est pas sa. enfin le bilan c’est quoi? les militant son devenue des militaires. chaque section a son générale j’arrête ici.
je suis du FFS et et je n’est pas l’intention de le quitter a partir du moment ou j’adhere a ses ideaux et sa ligne politique.
mais d’apres vous es ce que le dernier congrès a vraiment reussi.
non c pas le cas. reste a savoir si le ffs réussira d’autre évènement a l’avenir, je garde espoir
c’est connu depuis la naissance du FFS en 1963 á nos jours quand ce grand UNIQUE parti d’opposition « tousse » un tout petit peu le regime d’appartheid d’algerie et ses chiens tremblent.
Au bon entendeur.
Savez-vous que depuis 1963, date de naissance de ce grand parti democratique flambeau de la lutte pour un etat de droit en algerie, le regime d’appartheid assassin continue toujours ses crimes et intimidations et coups bas contre cet unique grand parti d’opposition.
Qui oublie Ait Mesbah, Mahiou, Mecili?
Aujourdh’hui des millions d’algerien(NE)s partagent et adherent au FFS, certains ouvertement mais subissent la furia du regime d’appartheid d’alger et les autres en standby mais repondent toujours presents á l’appel du FFS.
Urgent : Bouhdiba Kacem et Fekhar Abderrahmane acquittés par la cour de Ghardaïa.
Posté par Rédaction le mai 26th, 2010 // 2 Commentaires —
Coordination de l’Appel du 19 mars 2009
Département des droits de l’Homme
Nous venons d’apprendre à l’instant de nos frères militants des droits de l’Homme de Ghardaïa, que nos deux compatriotes, Bouhdiba Kacem et Fekhar Abderrahmane, militants du FFS, injustement accusés d’avoir incendié un véhicule du croissant rouge Algérien (CRA) en….2005 et jugés aujourd’hui par la Cour de la ville ont été acquittés devant l’absence de preuves.
Dès le matin, les citoyens se sont rassemblés et mobilisés dans le calme devant le tribunal pour soutenir les deux victimes de l’arbitraire. Le collectif d’avocats et à sa tête, Mes Noureddine Ahmine et Mokrane Aït Larbi, a démonté avec brio toutes les accusations préfabriquées. Dès l’annonce du verdict, ce fut l’explosion de joie chez les citoyens rassemblés sur la principale artère où se trouve le tribunal. Une marche grandiose et spontanée est actuellement organisée à travers les artères de la ville de Ghardaïa aux cris de « pouvoir assassin », « libérez Mohamed Baba Nadjar ».
Encore une fois, la mobilisation de la population et le dévouement exemplaire des avocats bénévoles venus des quatre coins de l’Algérie ont eu raison des tentatives vaines d’instrumentalisation de la justice pour tenter de faire taire les Hommes Dignes et les voix libres.
Encore une fois nous dirons à l’unisson avec nos frères de Ghardaïa que « NUL DROIT NE SE PERD TANT QU’EXISTE UN REVENDICATEUR ».
Restons MOBILISES et UNIS pour défendre tous les opprimés de NOTRE Algérie où qu’ils soient.
Salah-Eddine SIDHOUM
Le 26 mai 2010 17h 15
http://www.lequotidienalgerie.org/2010/05/26/urgent-bouhdiba-kacem-et-fekhar-abderrahmane-acquittes-par-la-cour-de-ghardaia/
One Two Free Algerie
Vive le FFS
Abat le regime dictateur voleur violeur fraudeur assassin d’appartheid
Au bon entendeur.
A mediter, le FFS toujours egal á lui-meme va droit au but et dit haut ce que tout le monde pense bas.
Heureusement pour l’algerie, le FFS, hier, aujourd’hui et demain toujours le FFS.
Tant mieux si le RCD s’aligne du coté du FFS, rien n’est eternel et la verite finit toujours par triompher, car tot ou tard les empires s’effondrent surtout celles contruites par le vol, viol, mensonges et assassinats.
Gestion des deniers publics : Le FFS et le RCD expriment des doutes
Le 5 mai, le RCD a adressé une question, par écrit, au Premier ministre, Ahmed Ouyahia, lui demandant des clarifications sur les motivations du doublement du montant du plan quinquennal 2010/2014.
Si aujourd’hui le RCD se réjouit de ces clarifications, il se dit, en outre, outré du fait qu’aucun bilan sur le précédent plan quinquennal n’a été révélé au grand public et aucune précision n’a été donnée sur le pourquoi d’un tel rallongement : « S’il y a une rallonge de 130 milliards de dollars pour les anciens projets, cela démontre que ces projets ont été mal étudiés et mal initiés », a lâché M. Derguini, chef du groupe parlementaire du RCD.
Ce député a tenu à rappeler l’avertissement lancé par Bouteflika avant la fin de son deuxième mandat : « Dorénavant, tous les grands projets seront soumis à des études strictes et les responsables en haut lieu doivent veiller à concrétiser cet objectif, et ce, afin d’éviter leur réévaluation successive. »
En toute vraisemblance, les premiers concernés n’ont pas tenu compte de cet avertissement et n’ont pas été, en contrepartie, sanctionnés. Mieux, selon M. Derguini, l’enveloppe dégagée pour le parachèvement des projets déjà entamés est excessive et unique en comparaison avec nos pays voisins. Le parti de Saïd Sadi, à l’instar de quelques autres partis siégeant à l’APN, ne cesse de revendiquer la présentation de la loi sur le règlement budgétaire. Une loi qui permet aux députés d’exercer leur rôle de contrôleurs. « La loi de règlement du budget a été appliquée une seule fois en 1983, à l’époque de Chadli Bendjedid. Depuis, le gouvernement fait l’impasse sur cette disposition constitutionnelle sans aucun argument valable », a déploré M. Derguini, qui pense qu’en l’absence de mécanismes de contrôle, la corruption continuera à faire ravage dans notre pays. « On n’arrive même pas à trouver des personnalités crédibles pour la constitution de l’organe de lutte contre la corruption, cela va constituer un pactole pour ceux qui se nourrissent de la corruption. »
Inventions du pouvoir
Continuant dans ses reproches, le représentant du RCD regrette que les collectivités locales, cellule de base de l’Etat, ne soient pas dotées de budget pour faire face aux préoccupations et besoins des citoyens, les collectivités locales sont marginalisées. Cette démarche favorise, à notre sens, l’opacité et le développement illisible. A chaque fois que l’on annonce un programme, ce sont toujours les mêmes secteurs qui en bénéficient. Le RCD est convaincu que le pouvoir refuse de donner un bilan chiffré, car « au sommet de l’Etat, il y a une volonté de gérer les deniers publics de façon douteuse ».
Plus pessimiste, le FFS pense que le pouvoir décisionnel en Algérie ne se trouve pas à l’intérieur des institutions, mais en dehors :
« Le pays est tenu en otage par les ‘‘affairistes’’ et les ‘‘militaires’’, ils tiennent le monopole des affaires, du politique et des lois.
Ils ne veulent pas que ce pouvoir soit partagé et les plans quinquennaux ne font que profiter à toute la mafia qui gravite autour du système en place », a pesté Karim Tabbou, premier secrétaire du FFS.
Ce dernier a remis en cause l’existence même des institutions et du Parlement.
Il n’y a, à son avis, ni un dispositif de contrôle des deniers publics ni même une Constitution.
« L’Algérie fonctionne par le mensonge.
M. Bouteflika, en personne, a écrasé toutes les lois de la République, il a changé la Constitution pour briguer un troisième mandat.
Il y a des députés qui font semblant de poser des questions et des ministres qui font semblant de répondre.
Nous sommes dans un pays fictif qui est fait d’institutions non crédibles », fera remarquer M. Tabbou.
Pour ce dernier, tous les chiffres et bilans que peuvent inventer le pouvoir ne seront que mensonges, car les Algériens vivent dans un dénuement total, une anxiété, leur situation ne cesse de se dégrader.
« Dès lors que l’on n’accepte pas que la gestion de ce pays soit faite dans le cadre d’un dialogue avec les véritables acteurs, il n’y aura aucune transparence.
Nous sommes dans l’infra-politique et les Algériens n’ont même pas le droit d’interférer dans leurs propres affaires », a soutenu le premier secrétaire du FFS.
Par ailleurs, le MSP, le FLN et le RND ont applaudi ce nouveau programme qui permettra au pays de se développer. Djemaâ, du MSP, revendique la mise en place de mécanismes pour le contrôle des deniers publics…
Par Nabila Amir
http://www.elwatan.com/Gestion-des-deniers-publics-Le-FFS
FLN+RND+MSP=parti du drs et
c’est normal qu’ils applaudissent c’est leur nature d’exister sinon babye…
Tendrement votre
le FFS aura son mot à dire dans un futur proche. Car contrairement à ceux qui ont déjà dit leurs derniers mots dans qui « veut gagner des milliards «organisé par le pouvoir, le FFS reste l’unique organisation qui ne se fatigue jamais pour faire valoir ses objectifs initiaux à savoir, l’instauration d’une démocratie durable en Algérie.
La mission sera dure, car le régime ne peut pas laisser ce parti de prendre le large. Le pouvoir veut que le FFS reste dans la piscine kabyle. Reste à savoir si le parti de D’Alho réussira à casser ce bourbier. C’est notre mission à tous.
Que la lutte paye!
a lire certain commentaires on peut se rendre facilement du caractéré démocratique dont le FFS est géré.
en faite le democratie telle qu’elle est perçu par mon opposé. etre du ffs c ne pas penser eutre que le FFS sinon tu es un intrus police politique frondeur etc les qualificatifs osnt multiples. voila ce qui remet un peu en doute la crédibilité et le caractère democratique du FFS certains militants ne rend pas vraiment service au FFS bien qu’ils croient le contraire
je pense profondément que le FFS est le seul parti politique qui mérite encouragement et soutient. Les autres sont comme des ours polaires,qui quittent leurs hibernations rien que pour se porter candidats sur des listes électorales.
le FFS doit se déployer beaucoup plus chez les jeunes et les femmes.
un régime qu’on soutient est un régime qui tombe!
je voudrai uniquement savoir si le FFS compte organiser une marche à Alger pour faire valoir les orientations qui seront celles de la conférence nationale d’évaluation.
j’ai tellement besoin de me dégourdir les jambes et huiller ma voix.
Si El houcine Mazalna Mou3aridine.
Je me demande pourquoi le peuple algérien hésite toujours à choisir son camp.
je pense que le temps est arrivé pour trancher: soit subir encore les affres de la dictatures ou bien s’inscrire dans un combat qui mérite d’être mené.
je remarque aussi que seul le FFS est en mesure de proposer les termes de ce projet qui mobilisera l’élite nationale et le peuple algérien en général. Je le souhaite de tout coeur, Amin.