30 juin, 2010
15 gendarmes tués à Tamanrasset
Nous apprenons d’une source sûre que 15 gendarmes ont été tués ce matin par un groupe armé dans la région de Tinzaouatine à Tamanrasset lors d’un accrochage.
Nous apprenons d’une source sûre que 15 gendarmes ont été tués ce matin par un groupe armé dans la région de Tinzaouatine à Tamanrasset lors d’un accrochage.
Le nouveau ministre de la Communication, Nacer Mehel, a ordonné aujourd’hui aux responsables des imprimeries de l’Etat de suspendre l’impression des journaux qui refusent de payer leurs dettes. « Les journaux qui ne s’acquittent pas des frais de l’impression ne seront plus imprimés », a affirmé le ministre à Constantine. El Mouhtarem
Un groupe a été crée sur facebook contre le recrutement d’un coach étranger pour l’équipe nationale de football. « Au lieu de réformer la politique sportive nationale, certains font un forcing pour recruter un entraineur étranger pour l’équipe algérienne de football. En rejoignant ce groupe, nous disons non au recrutement d’un étranger qui coutera des milliards au contribuable algérien », ont écrit les initiateurs du groupe. El Mouhtarem
Le tribunal criminel près la cour de Tizi-Ouzou a prononcé, lundi, la peine capitale par contumace à l’encontre de Abdelmalek Droukdel, alias Abou Moussaab Abdelouadoud, «émir national» d’Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), pour appartenance à groupe terroriste armé et diffusion de documents subversifs faisant l’apologie du terrorisme. Cette affaire remonte au 12 décembre 2009.
A. Droudkel a été jugé pour plusieurs chefs d’accusation: adhésion à un groupe terroriste armé ayant pour objectif de semer la terreur parmi la population, création d’un climat d’insécurité et diffusion de documents et d’enregistrements ayant pour contenu des appels à perpétrer des actions terroristes et des meurtres ainsi que la destruction des biens publics et privés.
Il y a un an, le 13 juin 2009, le ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur chargé des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia a déclaré que c’est le Front des forces socialistes (FFS) qui est derrière la récente reprise des émeutes dans la wilaya de Ghardaïa. Interrogé en marge des travaux du Conseil de la nation, Ould Kablia a assuré que «ces nouveaux évènements n’ont rien à voir avec le problème de Berriane». «Ce sont des éléments du FFS qui veulent monter les gens afin de semer la zizanie», a-t-il dit en substance, ajoutant que cela est en relation avec la condamnation du citoyen reconnu coupable de meurtre, a rapporté Le Jeune indépendant.
Actuellement ministre de l’Intérieur, ce même Ould Kablia pour ne pas dire Kabila, est revenu sur ses déclarations en affirmant, hier, qu’il n’a jamais accusé les partis politiques dans les événements de Berriane. El Mouhtarem
Le colonel Abdelkrim était, de son côté, heureux d’avoir dupé tout ce beau monde. « Le scénario a bien marché. Ils ne se sont aperçus de rien, ces pauvres cons (Aziouaz Mokhtari). Tu vois, tu peux les acheter au prix d’une bière. Depuis qu’ils sont en Belgique, ils vivent en parasites au crochet du contribuable belge. Ils n’ont jamais travaillé. Ils passent leur temps à dépenser, dans les bars, l’aide sociale que leur octroie l’Etat belge.
Dès qu’ils sont à sec, ils se tournent vers moi en essayant de me vendre du n’importe quoi. Ils se vendent entre eux. Ils rivalisent en délation pour arracher une bière. Que veux-tu que je leur fasse ? Ils me font de la peine. Après tout, ils servent de temps à autre à quelque chose. Ils me permettent d’avoir une idée sur ce qui se passe au sein de la communauté algérienne, sans me donner la moindre peine. Qu’est-ce que cela me coûte ? A peine une centaine d’Euros par mois. » Source: http://redahassaine.unblog.fr/
J’ai plusieurs remarques à faire suites à vos commentaires.
1) La justice algérienne est impitoyable (vous le savez comme moi), en effet M. CHANI, “présumé innocent” par la justice, est emprisonné depuis septembre 2009 et n’a pas pu faire un appel téléphonique à sa famille depuis lors. Donc s’il a été innocenté dans l’affaire “FAKI” ce n’est pas pour rien. En effet ce n’est que grâce à son aide que les actions illégales de M. BRAHIMI EL MILI purent être prouvé en justice et que le fond koweïtien put être bloqué avant que M. BRAHIMI EL MILI put entreprendre d’autres mesures litigieuses facilitant sa fuite. Je le rappelle M. BRAHIMI EL MILI est, de nos jours, toujours en fuite et recherché par les services de police internationale.
Je ne veux pas défendre M. CHANI dans cette affaire puisque la justice algérienne n’a pas encore émis d’avis officiel et argumenté. Suite à mes rencontres avec M. CHANI, je dois avouer que je le chéris énormément et que je l’admire honnêtement pour son professionnalisme et son travail (acharné tout le long se sa vie). Finalement je voulais vous dire que vous ne connaissez pas cette personne et que c’est toujours facile de culpabiliser autrui surtout quand il est livré sur un plateau d’argent.
Karim Aimeur pour « Algérie Politique »
L’Algérie a commémoré timidement, ce 29 juin 2010, le 18eanniversaire de l’assassinat du président du Haut comité d’Etat, le regretté Mohamed Boudiaf.
Ceux et celles qui se souviennent de cette date maudite du 29 juin 1992 et fatidique pour le pays entier peuvent raconter l’évènement qui est passé en direct à la télévision à partir de Annaba.
Comme si cela s’est passé hier, je me souviens, alors que je n’avais que 10 ans, des larmes que ma mère avait versé, en apprenant par la voix de la chaîne 2 de la radio nationale, (en 1992, mon village n’avait pas encore d’électricité), que Boudiaf était assassiné. Je me souviens comment mon père s’était emporté en apprenant la nouvelle par la voix de ma mère, en versant sur elle toute sa colère. Ce jour là, mon père et ma mère avaient compris que l’Algérie ne pourra jamais être délivrée des mains des fauves qui la dirigent comme une propriété personnelle.