Ni « révolution »… et encore moins de PRODUCTION !
Mao après sa longue marche à la gloire de son culte personnel qui a débouché sur son règne « glorieux », avait lancé contre toute attente, son fameux slogan: « non à la production oui à la révolution ». Et, depuis nous connaissons tous les dégâts faits par sa célèbre révolution culturelle qui a essayé par la torture et le meurtre de rééduquer plus d’un milliards d’individus.
« Heureusement », que quelques temps plus tard, la même devise a été reprise mais sensiblement modifiée, pour mettre définitivement l’empire Chinois sur la rampe de lancement du développement. Un décollage foudroyant, qui est en train de donner des sueurs froides à toutes les nations.
Chez nous, par contre, point de révolution ni de production. L’homme nouveau que Boumediène, voulait façonner brutalement dans les années 70 est enfin parmi nous. Une sorte de mutant, ni révolutionnaire et encore moins productif.
Une race nouvelle, stéréotypée et semblable en tous points dans ses aspirations et comportements, a vu le jour sous le regard médusé de nos pauvres sociologues comportementalistes.
Je veux parler bien sûr, de ces jeunes gens qui entre deux âges, de la trentaine à la quarantaine, le crâne rasé, assez enveloppés et trainant dans leur sillage parfumé des 4×4 Mercedes aux glaces fumées souvent importés des lointains et envoûtants Emirats.
Tous pratiquement se disent dans l’import et l’export. En fait, une grande partie d’entre eux, ont pris d’assaut le créneau porteur des fringues, surtout celui destiné aux femmes. Une façon d’allier l’utile à l’agréable par ses temps de misère sociale très « volage ». Les autres se sont investis à moindres frais dans le marché juteux du trafique de drogues et se sont enrichis en un clin d’oeil sans faire la moindre insurrection.
Si l’indice économique pouvait se quantifier grâce au développement massif de cette espèce, nous aurions pris la tête des pays industrialisés, avec comme seul handicap une inculture significative à mettre à l’actif de ses faiseurs de progrès et de croissance record frelatée.
Notre économie de bazar, alliée indéfectible de l’informel a su faire sortir du néant ces enfants issus d’un système bâtard, pour les projeter au yeux des gens comme l’image parfaite d’une réussite personnelle, donc nationale.
Une façon de réviser lourdement la devise du début, chère au grand timonier: oui à la seule consommation clinquante non à l’éveil des consciences.
Nous sommes à la période de constitution d’une classe aisée.Ces gens commençent par voler, amassent des richesses, sont capables de tuer toute personne qui tente de se mettre sur leur chemein.Puis,ces gens pour se légitimer font faire des études si possible à l’étranger ainsi la deuxième génération et la troisième auront LA LEGITIMITE et nous pôvres cons on les appellera SIDI
mais nos decideurs ont fait mieux beaucoup mieux!
legalisation du raket, clochardisation de nos jeunes! le raket est synonime de travail! les trottoirs « voie public » sont devenus des parkings payant je vous prie de 30 DA A 50 DA! et gare a l’insulte ou pire si vous ne payer pas.
et s’est dit a la radio il y a quelques mois par un comis du pouvoir!
au lieu de créer des CFPA de 16 a 50 ans!
nos constructions sont lamentables aucune finition et estetique! on fait venir des chinois pour le batiment et les trottoirs quelle honte!!!
le pouvoir a mit en faillite
la sonatro un fleuron des routes! maintenant cest la cata!
la sogedia en faillite une entreprise qui ne fait que acheter et vendre et tous se vend! faillite impossible? elle a été remplacé par des impotateurs vereux qui importent les dechets! le cancer fait ravage chez nous!
la sn sempac meme topo!
la SNVI grace a la defense elle respire un peu! et bien des scandales.
Ni « révolution »… et encore moins de PRODUCTION !
Mao après sa longue marche à la gloire de son culte personnel qui a débouché sur son règne « glorieux », avait lancé contre toute attente, son fameux slogan: « non à la production oui à la révolution ». Et, depuis nous connaissons tous les dégâts faits par sa célèbre révolution culturelle qui a essayé par la torture et le meurtre de rééduquer plus d’un milliards d’individus.
« Heureusement », que quelques temps plus tard, la même devise a été reprise mais sensiblement modifiée, pour mettre définitivement l’empire Chinois sur la rampe de lancement du développement. Un décollage foudroyant, qui est en train de donner des sueurs froides à toutes les nations.
Chez nous, par contre, point de révolution ni de production. L’homme nouveau que Boumediène, voulait façonner brutalement dans les années 70 est enfin parmi nous. Une sorte de mutant, ni révolutionnaire et encore moins productif.
Une race nouvelle, stéréotypée et semblable en tous points dans ses aspirations et comportements, a vu le jour sous le regard médusé de nos pauvres sociologues comportementalistes.
Je veux parler bien sûr, de ces jeunes gens qui entre deux âges, de la trentaine à la quarantaine, le crâne rasé, assez enveloppés et trainant dans leur sillage parfumé des 4×4 Mercedes aux glaces fumées souvent importés des lointains et envoûtants Emirats.
Tous pratiquement se disent dans l’import et l’export. En fait, une grande partie d’entre eux, ont pris d’assaut le créneau porteur des fringues, surtout celui destiné aux femmes. Une façon d’allier l’utile à l’agréable par ses temps de misère sociale très « volage ». Les autres se sont investis à moindres frais dans le marché juteux du trafique de drogues et se sont enrichis en un clin d’oeil sans faire la moindre insurrection.
Si l’indice économique pouvait se quantifier grâce au développement massif de cette espèce, nous aurions pris la tête des pays industrialisés, avec comme seul handicap une inculture significative à mettre à l’actif de ses faiseurs de progrès et de croissance record frelatée.
Notre économie de bazar, alliée indéfectible de l’informel a su faire sortir du néant ces enfants issus d’un système bâtard, pour les projeter au yeux des gens comme l’image parfaite d’une réussite personnelle, donc nationale.
Une façon de réviser lourdement la devise du début, chère au grand timonier: oui à la seule consommation clinquante non à l’éveil des consciences.
Nous sommes à la période de constitution d’une classe aisée.Ces gens commençent par voler, amassent des richesses, sont capables de tuer toute personne qui tente de se mettre sur leur chemein.Puis,ces gens pour se légitimer font faire des études si possible à l’étranger ainsi la deuxième génération et la troisième auront LA LEGITIMITE et nous pôvres cons on les appellera SIDI
mais nos decideurs ont fait mieux beaucoup mieux!
legalisation du raket, clochardisation de nos jeunes! le raket est synonime de travail! les trottoirs « voie public » sont devenus des parkings payant je vous prie de 30 DA A 50 DA! et gare a l’insulte ou pire si vous ne payer pas.
et s’est dit a la radio il y a quelques mois par un comis du pouvoir!
au lieu de créer des CFPA de 16 a 50 ans!
nos constructions sont lamentables aucune finition et estetique! on fait venir des chinois pour le batiment et les trottoirs quelle honte!!!
le pouvoir a mit en faillite
la sonatro un fleuron des routes! maintenant cest la cata!
la sogedia en faillite une entreprise qui ne fait que acheter et vendre et tous se vend! faillite impossible? elle a été remplacé par des impotateurs vereux qui importent les dechets! le cancer fait ravage chez nous!
la sn sempac meme topo!
la SNVI grace a la defense elle respire un peu! et bien des scandales.