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Conférence d’évaluation: Les résultats attendus dépassent le cadre partisan étroit

Commentaires

  1. khaled tazaghart dit :

    Le concepteur de l’OS et de la philosophie indépendantiste du Mouvement National a non seulement remis les pendules à l’heure mais aussi et surtout les pendules aux Cœurs ,je me souviendrais perpétuellement que « SI LE PARTI EST GRAND DANS NOS COUERS ,LE PAYS EST PLUS GRAND »

  2. FFS AUTHENTIQUE dit :

    THANEMIRTH A sI eL HOCINE .LONGUE VIE POUR VOUS…tous avec vous ..vive la kabylie meurtrie

  3. amghar azzamni dit :

    Mon Dieu que des personnes aux intentions malveillantes s’empressent des conclusions hatives et inconsidérées sur le fonctionnement de la Direction Nationale!Au lieu de réfléchir posément et sereinement aux questionnements des populations plutot embarrassées par leur quotidien déjà assez difficile, ces personnes s’activent à persecuter insensément et sans arguments factuels les démarches courageuses d’une Direction Nationale non à l’abri des attaques du systéme.Pas besoin d’en rajouter et loin s’en faut!Plutot qu’essayer d’aider à construire, le plaisir de saboter et de critiquer tout le monde est tout simplement la tasse de thé de ces personnages qui se cachent derriere le rideau noir et ténébreux d’un esprit malvenu en ces moments difficiles que vit le parti.
    Quant à la composition du Bureau National, sa constitution ne pourrait se faire sans connaitre le contenu du projet à porter par ses membres et initié par le Président du Parti!Anticiper sans définir les taches du Secrétariat National, c’est tout simplement ne pas respecter les perspectives que veut le Président pour le Parti.
    Par ailleurs, si le Président à reconduit Mr TABBOU dans ses fonctions de premier secrétaire, c’est que pour le moins, il y a trés longuement réfléchi.Il ne nous reste plus qu’à lui faire confiance et redoubler d’effort en nous activant à porter le plus haut possible les idéaux du parti!
    Adhérer à une seule partie de la démarche du Président Ait Ahmed est detestable car, aprés nous avoir gratifié d’une contribution trés brillante, il a également émis le voeu de reconduire Karim TABBOU à son poste.
    On ne peut demander à Ait Ahmed de nommer expréssément une autre personne selon notre gout!Ce serait une offense faite à son charismatique!
    Que tous les militants du FFS épris de justice sociale et surtout de convictions adhérentes à ses idéaux, doivent rentrer dans les rangs et se réconcilier avec leurs camarades du parti car l’heure n’est pas aux petits calculs politiciens qui ne font aucnément les grandes ambitions!
    Salutations fraternelles à tous les militants du FFS!

  4. justice&verité dit :

    Le regime d’appartheid d’alger est responsable de la creation de ce gouvernement du MAK en en exil.
    Bientot sera aussi proclamé d’autres gouvernements des autres parties nord, sud, est et ouest de l’algerie.
    C’est voulu et programmé par ce regime d’appartheid d’alger.

    Hocine Aït Ahmed dénonce la proclamation d’un gouvernement kabyle en exil
    ALGER (AP) — Le vieux chef historique du Front des forces socialistes (FFS), Hocine Ait Ahmed, a dénoncé samedi la proclamation d’un gouvernement provisoire de Kabylie, la semaine dernière en France par le président du mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK) Ferhat Mehenni, qualifiant la démarche de « menées aventureuses » mettant « en péril l’unité du pays ». « D’aucuns essayent de mobiliser…
    06 juin 2010
    http://www.kabyle.com/structure/infos24

    Tant que le pouvoir d’appartheid d’alger vole et viole la constitution et fraude toutes les elections nous irons tout droit vers la division de l’algerie qui est deja sur la liste certains ex. colons et reveurs de l’algerie francaise.

    Au bon entendeur.

  5. amghar azzamni dit :

    NOTRE AMI R.B LANCE UN DEFI A CELUI QUI VEUT DEBATTRE AVEC LUI .PERSONNELLEMENT JE SUIS PRET A RELEVER CE DEFI

  6. NARMOTARD dit :

    « Conférence d’évaluation: Les résultats attendus dépassent le cadre partisan étroit » soulignez-vous.

    Je soutiens que la pensée politique de l’auteur du texte, le président Hocine AÏT AHMED, s’inspire de l’universel, tout en s’élançant du parti du FFS, en passant par l’Algérie et en débordant, à la fois, sur le Maghreb démocratique des peuples, l’Afrique et la Méditerranée.

    L’abord du discours est d’une logique implacable, dans le cadre habituel du respect de l’éthique politique ainsi que des convenances de neutralité positive et de la rigueur scientifique, afin d’arriver à faire resurgir les vrais, les crédibles et les possibles remèdes nécessaires au traitement de la mauvaise gouvernance.

    Cette gouvernance du tout sécuritaire, de toutes les incompétences et de toutes les formes d’allégeance aux partenaires étrangers et pêcheurs en eaux troubles multinationaux, est menée despotiquement depuis 1962 par le régime de la RADP qui a squatté l’État souverain des Algériennes et Algériens dont il a, en outre, confisqué le droit à leur libre autodétermination sans fraude ou intimidation.

    Le discours politique en question a l’avantage d’être franc, car fondé sur le vrai, ce qui le distingue du séduisant discours vraisemblable des apprentis sorciers.

  7. dader dit :

    cette conference a ses objectifs et je ne sais pourquoi certains essayent de s’illustrés plus militants que d’autres
    svp si le president a decidé de nommé lui meme la composition c’est n’est pas par simple hasard
    et par ailleurs il n’a reconduit personne il a confié une mission dans le temps laisser le temps faire les choses
    car le FFS n’a jamais atteind un niveau pareil posé la question au citoyens

  8. un algerien tt cour dit :

    Les élites et les masses de ce pays émigrent en occident pour leur survie sous l’emprise sous l’emprise du néocolonialisme ou sous la dictature de quelques responsables. L’Algerie a suffisamment perdu des millions d’innocents, femmes, hommes et enfants dans des guerres et génocide injustifiées. Le vrai esprit de l’identité et de l’indépendance algerienne émergera seulement par la résistance générale à de telles oppressions (comme au temps du colonialisme). Les frontières coloniales héritées de la france, qui sont artificielles et illogiques( dévisé pour regné) ont détruits la cohésion culturelle des Algeriens( kabyles, chawi, mzab, arabe tergui etc….), et séparé les citoyens qui vivaient en un seul peuple liées pendant des siècles par leur héritage et langue communes(TAMAZIGHT). Ces frontières sont les vrais obstacles à notre unité et sont les sources de conflits sur notre pays. Après 50 ans d’indépendance le pays est devenu le lieux de conflits ethniques, religieux et linguistiques , en plus de faire face aux défis urgent du développement social, économique, politique, juridique et scientifique. Il m’ apparaît que seulement les programmes de développement unifiés et solidaires dans une Algerie fédérale élimineront les tensions ethniques et établiront un système de développement global viable sans aucunes « sphères d’influence » des gouvernements européens ou étrangers.

  9. padakor dit :

    La France avait laissé un pays en état de marche, avait créé une agriculture inexistante et disparue, des routes hôpitaux, écoles chemins de fer…La Mitidja est morte.
    Ici en France nous ne voulons plus d’algériens, qui brulent, volent agressent, se croient chez eux, (IO fois plus nombreux que les pieds-noirs mais pas utiles comme eux, les rues sont bloquées pour des prières dont nous n’avons rien à foutre en France.
    Rentrez chez vous, et bon vent !
    Nous avons aussi notre FLN, bientôt vous le sentirez, et vous partirez de gré ou de force.

  10. ABDELHAHHHHHHHHQ dit :

    « Bouhfa adorateur du diable » Eva Joly ma rencontre avec Bouteflika
    Eva Joly, de son nom de jeune fille Gro Eva Farseth, est une magistrate française née le 5 décembre 1943 à Oslo (Norvège). Elle est célèbre pour avoir instruit des dossiers comme l’affaire Elf.

    En 2002, elle s’est mise en disponibilité de la magistrature pour devenir conseillère du gouvernement norvégien dans la lutte contre la corruption et la délinquance financière internationale, déplorant au passage la complaisance en France avec les malversations financières. Elle explique son départ en Norvège comme un véritable exil pour se mettre à l’abri : « J’ai quitté la France. Je suis partie parce que je ne voulais laisser à personne les moyens et le temps de se venger. »

    Elle vient de publier un nouveau livre « La Force qui nous manque », éditions Les Arènes, 2007. Elle y racontre notamment les circonstances de sa rencontre avec M. Bouteflika. Nous reproduisons ci-après quelques passages à ce sujet.

    « …Je me souviens d’une escale à Alger, ou marcher sur le tapis rouge m’a paru une épreuve. Ce jour là, cette longue bande officielle semble décider de mes pas. Ellen’est pas là pour moi, le président de Palestine est annoncé pour le début de l’aprés midi. Celui qui m’attend tout au bout, petit homme rondserré dans un costume sombre, n’est pas mécontent de me voir marcher ainsi jusqu’à lui.
    Abdelaziz Bouteflika a ce petit sourire satisfait qu’on lui connaît sous la moustache grise. Je devine pourquoi: entre ces deux puissances pétrolières que sont l’Algérie et la Norvège, l’intermédiaire n’est autre que celle qui conduisit au prétoire Elf, c’est à dire la France. J’ai été la première surprise par cette invitation.
    Au printemps de l’année 2005, j’ai reçu un coup de téléphone de l’ambassadeur d’Algérie à la Haye. Il m’invite à venir donner uneconférence devant les magistrats d’Alger. Cette idée est venue après m’avoir entendue parler six mois plus tôt, à l’occasion de la remise du prix Nobel de la paix. Ce jour là , pour illustrer les dégâts de la corruption dans les pays en voie de développement, j’ai pris un exemple,l’Algérie. « La corruption de son élite se lit dans son paysage », ai je dit. Et voilà que l’élite m’invite sur son territoire. Avec l’autorisation de mon gouvernement, je décide de m’y rendre. Je parle le lundi devant l’école de la magistrature, le mardi devant les fonctionnaires et la presse, d’ici là j’ai rendez vous au palais présidentiel. C’est un dimanche à 10 heures du matin.
    J’ai mis mon tailleur blanc jupe plissée, des chaussures noir et blanc à talons, pris mon sac à main, et aussi mon grand sac où je trimballe mes notes et mes problèmes. Ould Abbas, ministre des Affaires sociales, ancien médecin qui a fait ses études en RDA, est venu me chercher à l’hôtel. Nous roulons vers le palais présidentiel en voiture officielle, avec petit drapeau, motard à l’avant et voiture suiveuse à l’arrière. Quelques minutes plus tard, la voiture me dépose devant le tapis rouge. Le président Bouteflika m’attend tout au bout de l’angle droit, il me salue me fait signe de le suivre jusqu’à son bureau. Là il m’indique deux fauteuils proches l’un de l’autre, posés devant une petite table basse. Je comprends que ce rendez-vous n’a rien de formel.
    Il cherche à installer une connivence entre nous. Il me dit d’entrée « Je sais que vous êtes une amie de l’Algérie ». Là-bas, qui a mis les intérêts français en difficulté est forcément un ami de l’Algérie. Il me félicite chaudement et longuement pour l’instruction du dossier Elf, en affirmant haut et fort que le ménage est nécessaire. Mais plus nous parlons de corruption, plus il m’assure que, chez lui, l’industrie pétrolière est un modèle de transparence. Je ne suis plus juge. Mon rôle n’est pas de contredire. J’ai appris lors de ces rencontres internationales qu’il ne faut pas jouer à l’expert, mais rentrer dans l’univers mental de l’autre, l’accompagner, l’entendre. C’est comme au poker, la table attrape, les mots créent la réalité. Quand Bouteflika me dit qu’il lutte contre la corruption, il faut le féliciter et le prendre à ses propres mots. Je n’ai rien à gagner ni à perdre, je me sens tranquille.
    L’horloge tourne. Notre temps paraît nettement moins limité que prévu. Il avance à coup de confidences. Lorsqu’il me dit « Madame Joly qu’est ce que je vais dire aup résident palestinien? Doit il accepter la dernière proposition de rétrocession des territoires? » Je panique un peu, je ne m’attendais pas à refaire avec lui la carte du Proche-Orient, je trouve incroyable cet apparté. J’articule quelques phrases générales sur la nécessité de ne pas rompre le dialogue de paix.
    Il a besoin de s’épancher. A un moment, il s’approche, pose sa main sur moi et me dit : »Eva, c’est terrible ce que vit mon pays. J’ai lu vos livres, j’entends ce que vous dîtes. Mais si j’exécute les islamistes, si je fais arrêter les militaires, les tueries vont reprendre, j’ai peur de ne pas y arriver…Je voudrais faire une grande loi d’amnistie ».
    Il sait, s’il m’a vraiment lue, que, pour moi, seule la vérité juridique guérit. L’amnistie est un couvercle posé sur un passé encore brûlant.
    Mais sa voix plaintive, et ses gestes appuyés, tentent de me faire partager son angoisse, et de rendre vains les mots qui me viennent spontanément à la bouche. Je ne sors pas mon disque habituel. Mais j’ai de quoi lui répondre. Une semaine avant ce voyage, j’ai participé à une rencontre entre la Norvège et l’Indonésie sur les droits de l’homme. La délégation indonésienne était composée de nombreux magistrats et journalistes. J’avais alors bâti un discours sur l’importance de juger le passé pour être crédible aujourd’hui dans la lutte contre la corruption, je m’étais appuyée sur la pensée du philosophe Derrida. Il a écrit sur le pardon. A Alger, son texte est encore dans mon sac, véritable mille feuille. Le désordre a ses avantages.
    Je dis à Bouteflika qu’une simple amnistie ne réglera rien, que dans les villages on continuera de vivre mal à frôler les assassins. J’ajoute qu’une amnistie dépend des mots qu’on choisit et des projets qui l’accompagnent . Je sors le texte de Derrida. Je ne sais s’il a fini un jour par le lire… J’aimerais qu’il en retienne certains passages, comme celui-là.. « Si je dis comme je le pense, que le pardon est fou, et qu’il doit rester une folie de l’impossible, ce n’est certainement pas pour l’exclure ou le disqualifier. Il est peut être même la seule chose qui arrive, qui surprenne, comme une révolution, le cours ordinaire de l’histoire, de la politique et du droit. Car cela veut dire qu’il demeure hétérogène à l’ordre du politique ou du juridique tels qu’on les entend ordinairement. On ne pourra jamais, en ce sens ordinaire des mots, fonder une politique ou un droit sur le pardon. Dans toutes les scènes géopolitiques dont nous parlions, on abuse donc le plus souvent du mot « pardon ». Car il s’agit toujours de négociations plus ou moins avouées, de transactions calculées, de conditions et, comme dirait Kant, d’impératifs hypothétiques. Ces transactions peuvent certes paraître honorables. Par exemple au nom de la « réconciliation nationale », expression à laquelle de Gaulle, Pompidou et Mitterrand ont tous les trois recouru au moment où ils ont cru devoir prendre la responsabilité d’effacer les dettes et les crimes du passé, sous l’Occupation ou pendant le guerre d’Algérie. En France les plus hauts responsables politiques ont régulièrement tenu le même langage : il faut procéder à la réconciliation par l’amnistie et reconstituer ainsi l’unité nationale. (Derrida, « Lesiècle et le pardon », Le Monde des débats. Décembre 1999).
    Les heures passent. Le président algérien a manifestement du temps devant lui. « Vous savez Eva, je n’ai pas eu d’ami scandinave depuis Olof Palme, pourquoi vous ne faîtes que regarder l’Algérie? » Sentant venir le fin de l’entretien et son obstination à faire de nous des amis, je lui parle des journalistes en détention et lui suggère de les libérer. Il feint la colère, m’assure qu’ils sont en prison pour des délits financiers, et non d’opinion. Je lui réponds que leur qualité de journaliste est prédominante. Il évacue le sujet, en promettant vaguement de regarder leur cas. Lorsque nous nous séparons, quatre heures se sont écoulées. Je suis épuisée.
    Quelques mois plus tard, Abdelaziz Bouteflika a convoqué un référendum pour faire adopter un ensemble de mesures dont le but était de restaurer la paix civile en Algérie. Il a proposé de reconnaître le droit à des réparations pour les familles de disparus, d’accorder une forme d’amnistie pour les membres de groupes armés non coupables de massacres. Dans la foulée, il a mené campagne tambour battant, écartant du débat l’opposition et les familles des victimes ainsi que les associations des droits de l’homme. Les médias ont fait bloc autour du pouvoir. L’Etat a utilisé tous les moyens matériels y compris les fonds publics pour le seul bénéfice des partisans du président. Le même qui, sa main posée sur moi, m’exhortait à le comprendre.
    Je ne suis pas surprise. Je me rappelle qu’en sortant du palais présidentiel nous avions sacrifié au rituel de la photographie côte à côte, la belle image imposée aux journaux du lendemain. Je savais que Bouteflika cherchait à se blanchir avec Eva Joly, mais j’en ai couru le risque, espérant c’est ma nature, que les mots laissent des traces, des taches de mensonge, sur les tapis rouges ».
    Copyright – 2007 Eva JOLY – Editions Les Arènes – Juin 2007

  11. afroukh dit :

    Cette dernière phrase écrite par AIT AHMED nous renseigne sur une idée trés importante.
    De mon avis, le président du FFS, s’accorde à justifier de l’installation d’une commission nationale d’évaluation indépendante ,pour essayer de propulser tous les idéaux du parti sur le plan national, chose que nos propres structures n’ont pas réussi à concrétiser sur le terrain. Cette commission, je suppose, sera composée certainement de personnalités universitaires, politiques qui viendraient de tous les horizons apporter un appui certain pour l’aboutissement de l’idéologie que porte le FFS . Cette commission servira de courroie de transmission des structures du parti vers l’ensemble du territoire nationale.La politique du FFS couvrira à ce moment là l’ensemble des wilayas et lui permettra d’appliquer son programme politique .

  12. taourga city dit :

    « Le concepteur de l’OS et de la philosophie indépendantiste du Mouvement National »,voilà des propos mensongers.ce genre de propos ne rendent service ni au FFS,ni à son president.Je sais que l’auteur de cette phrase sait tout cela mais l’obsession de plaire par tous les moyens est plus forte que tout.En fait depuis l’etoile nord africaine , l’independance etait deja une revendication centrale(exemple AMAR IMACHE).Etre militant du FFS ne nous permet pas ,surtout avec ses valeurs,de dire n’importe quoi ,de verser dans l’intox ou de falsifier l’hitoire comme le fait le pouvoir que nous denonçons pourtant.Cela discredite le parti et son parti,parfois nous devenons meme la risées par ce genre de propos inexacte.Aspirer à un strapontin ou meme une vraie place ne justifie pas le mensonge pour y parvenir.Sans rancune

  13. s.lamrous dit :

    @ afroukh

    Vous avez très bien résumé ma pensée concernant cette conférence d’évaluation à laquelle a fait allusion le président du parti!Comme je l’ai écrit dans un de mes précédents commentaires, cette conférence qui réunira l’élite universitaire et politique du pays, s’inscrit en droite ligne avec la politique et les idéaux du FFS. Ce sera le prolongement et une aide à la vulgarisation du programme du parti sur tout le territoire national!

    Merci d’y avoir pensé!
    Salutations fraternelles et militantes.

  14. s.lamrous dit :

    Eva Joly est une femme exceptionnelle,intègre et incorruptible!Savez-vous que c’est une femme qui se déplace seule,à ses frais pour faire soit son marché ou régler ses affaires liées à son administration!je me rappelle avoir suivi un documentaire sur une chaine française qui la montre se faufiler parmi la population sans « escorte » ni garde-corps! Ce qui n’est pas la coutume chez les personnalités des pays du tiers monde!

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